[wiki]Vikings : Races et classes

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LES RACES



Valkyries



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Compétences raciales
Citation :
Notre haine nous rend plus fort – Toutes les Valkyries doivent appliquer un debuff de ce type contre une race, agissant comme une amélioration permanente de l’attaque, lorsqu’une Valkyrie attaque un membre de cette race

Quand les larmes montent… –
Les Valkyries sont une race très empathique et, de fait, souffrent lorsqu’elles voient trop de membres de leurs royaumes mourir. Lorsque cela arrive, elles commencent à pleurer des larmes de sang, agissant comme une amélioration temporaire de l’attaque.

Votre temps est écoulé –
Les Valkyries peuvent utiliser une arme spéciale (en fonction de leur classe), qui peuvent réduire en cendres leurs ennemis.
En cercles nous tournons – Les Valkyries peuvent utiliser leurs ailes pour gagner +X% de défense. En tournant, elles ne peuvent pas attaquer avec d’autre arme que leurs ailes.
[Note: Les ailes ne permettent pas de voler, sauf pour le cas suivant, et cela N’EST PAS confirmé pour le jeu. Précisons avant que quelqu’un lance un sujet sur le forum comme quoi c’est une race OP…]

Sauvez-nous! – Bien que ne pouvant pas voler normalement, les Valkyries peuvent utiliser leurs ailes pour gagner +X% de vitesse de déplacement. Pour activer cette capacité, la Valkyrie doit se diriger tout droit et rejoindre une bataille. Dans le cas contraire, la Valkyrie recevra un debuff temporaire de vitesse.

Pleurez pour la justice – Si une Valkyrie est présente lorsqu’une construction est en train de brûler ou d’être pillée, elle peut laisser échapper un cri indiquant aux autres Valkyries où elle se trouve.

Les souvenirs sont douloureux –
Les Valkyries doivent appliquer au moins un debuff de ce type sur une race, agissant comme un debuff de l’attaque permanent lorsqu’un membre de cette race attaque la Valkyrie. Cela est dû au passé de la race, qui associe cette race à la cause des actes menant à leur transformation en Valkyrie.

Ils ne sont pas aussi forts que ça – Les ailes des Valkyries apportent un certain avantage, mais lorsqu’elles frappent, X% des dégâts sont infligés au joueur. Les joueurs devront sûrement faire un jet de sauvegarde contre choc, en fonction de la quantité de dégâts infligés sur la durée ou sur un coup.
Débuff
Citation :
Nous sommes uniques – Les Valkyries ne peuvent pas être ramenées à la conscience, sauf par d’autres Valkyries, les tempêtes du Voile, ou la renaissance.

Tristesse accablante – Les Valkyries sont si empathique qu’elles peuvent parfois en être victime lorsqu’elles sont entourées de trop de morts et d’éléments de destruction. Lorsque cela arrive, Elles recevront un debuff temporaire, non stackable, non supprimable.

The Becoming™
Citation :
“Mes enfants, venez autour de moi et écoutez l’histoire du Fornaldarsag de la naissance de notre race”, dit l’ancienne Valkyrie, aux ailes marquées par les signes du temps. Le groupe de jeunes l’entoura rapidement. “Vous avez tous bien grandi, et êtes maintenant en âge d’écouter cette histoire, aussi terrible soit-elle. N’ayez pas peur de tomber en larmes. Les larmes ne sont pas un signe de faiblesse, mais plutôt d’empathie, que toutes les vraies Valkyries considèrent comme une vertu. Si votre force vous fait défaut, rappelez-vous notre code et le serment que vous avez prêté.” Légèrement secoués par le ton très sérieux de l’ancienne, les enfants s’assirent et se préparèrent à écouter son histoire.

Il est vrai que la Percée du Voile a apporté de nombreuses terreurs jusqu’alors inconnues dans notre monde, mais nous ne pouvons ignorer que l’ancien monde contenait déjà son lot d’esprits tordus, perpétrant des actes abominables sans aucune influence du Voile. Un exemple est particulièrement troublant, ayant eu lieu sur une petite île de nos grands fjords. Là-bas, le chaos était roi. Les survivants étaient difficilement capable de trouver un sens à ce nouveau monde mis sens dessus-dessous. Des changements incroyables balayèrent nos terres, et pourtant, un petit village situé sur cette île réussit à essuyer les tempêtes. Ce village était majoritairement peuplé de jeunes, et de quelques anciens tenaces. La vie était dure pour ces villageois, séparés du continent, les tempêtes ayant détruit leurs bateaux. Durant l’une des rares accalmies, ils purent percevoir la forme d’un bateau se rendant vers leur île. Tous se regroupèrent dans la joie, et de dirigèrent vers la plage en courant, agitant leurs bras pour accueillir leurs sauveteurs, ne croyant pas leur chance. Ils ne pouvaient pas imaginer à quel point ils se trompaient.

Alors que le bateau s’approchait de la côte, ils virent que celui était rempli d’hommes, et de quelques femmes, tous habillés pour le combat, mais souriant et agitant leurs bras vers les villageois, tels des proches perdus de vue depuis longtemps. Jeunes et naïfs, les enfants acclamèrent leur arrivée, et certaines des jeunes filles allèrent même jusqu’à commenter l’aspect plutôt attirant de certains des hommes. La présence de femmes combattantes, couplé à leur aspect amical, fut suffisante pour apaiser les peurs des plus anciens du village, qui n’avaient pas vu d’un bon oeil l’arrivée de ce bateau. Anticipant l’arrivée de l’embarcation, l’un des garçons se mit à courir vers le bord de l’eau, souhaitant la bienvenue au premier guerrier ayant posé le pied sur la plage. Il était à peine arrivé à hauteur du guerrier, qu’il lui proposa de l’aider à porter tout son paquetage. L’homme eut un grognement en retour, puis attrapa le jeune garçon par les cheveux, et, d’un geste rapide, sortit son épée et la passa contre son cou, séparant nettement la tête des épaules. Tout cela se passa en un éclair, le sourire du jeune garçon encore figé sur son visage alors que son corps tombait sur le sable. Les autres guerriers suivirent et firent de ce jour funeste un événement qui, encore maintenant, n’est que chuchoté, en dehors de notre race.

Les envahisseurs, dans leur soif de meurtre, assassinèrent les villageois sans merci, de façons si atroces, que même le plus valeureux des guerriers en serait devenu malade. Le village se transforma en scène d’un spectacle funeste, en trois actes, et celui-ci n’était que le premier et le plus complaisant. Certains villageois furent traînés puis utilisés comme cibles d’entrainement. D’autres jeunes hommes furent castrés et utilisés par certains guerriers sous des formes indescriptibles et impardonnables. Pour ces bêtes immondes, seuls les guidaient la soif de pouvoir, le contrôle et la cruauté, rien d’autre. Ce n’était pas pour les plaisirs de la chair; c’était simplement l’envie de faire souffrir leurs victimes à l’aide des pires moyens qu’ils pouvaient imaginer, du moins jusqu’à maintenant.

Les anciens furent traités comme des bêtes de somme. Les envahisseurs se chamaillaient sur les moyens qu’ils pourraient utiliser afin de les humilier encore plus. Ils cherchaient celui d’entre eux qui trouverait, le plus originalement possible, comment briser l’un d’eux à la force des mains. A la mort du dernier, le groupe de guerriers tourna son attention vers les dizaines de villageois emprisonnés.

Pour commencer leur beuverie, ils les séparèrent en deux groupes. Le premier fut directement forcé à servir leurs nouveaux maîtres. Ils durent se mettre à quatre pattes et supplier pour le peu de nourriture qu’on leur donnait. La première soirée fut remplie de bien d’autres cruautés et tortures qui ne valent pas la peine d’être répétés. Peu importe l’horreur de leurs actes, les guerriers riaient et célébraient leur bravoure et force imaginaires, forçant le peu de survivants à les remercier pour l’honneur qu’ils faisaient aux derniers chanceux en leur laissant la vie sauve. C’était une fête abominable, et alors que les envahisseurs se noyaient dans l’alcool, le restant de villageois ne se considérait pas comme chanceux.

L’aube suivante n’apporta pas vraiment la lumière sur le village. La lueur du soleil était d’un rouge pâle, probablement tinté des horreurs ayant eu lieu sous ses rayons. Le deuxième groupe de prisonniers fut habillé de leurs plus beaux vêtements, et fut prié d’attendre l’appel de leurs “gentils maîtres” pour la fête du soir. Les minutes devinrent des heures, et leur peur se fit de plus en plus grande, au gré des cris de leurs amis, mêlés aux rires moqueurs des guerriers. Ils prièrent leur salut à leurs anciens Dieux, et finalement à n’importe quelle personne capable de les sauver, et pleurèrent leurs proches perdus. Malheureusement, lorsqu’ils furent appelés pour la fête, ils n’avaient encore rien perçu des cieux.

Accompagné dans l’une des pièces par un guerrier, chaque captif dut monter sur une table. Ils furent alors mesurés et jugés de toutes les manières possibles. Certaines des jeunes femmes venaient à peine d’entrer en âge de concevoir, mais cela ne faisaient rien pour ces démons. Chaque guerrier, en fonction de son grade, pouvait choisir un villageois. Ceux n’ayant pas été choisi devaient rester prêt, au cas où l’un des autres “n’ait pas envie de voir le jour suivant”. Afin de nettoyer leurs consciences, ils firent appeler un “prêtre” afin de marier chaque couple. Aux yeux larmoyants des villageois, les envahisseurs paraissaient tels une masse d’horribles monstres. Les choses qu’ils firent entre les murs de leurs chambres confirmèrent qu’ils n’étaient, effectivement, pas humains. Ceux ayant survécu à cette nuit furent considérés comme chanceux, alors qu’on les envoyaient nettoyer les restes des événements passés.

Avec le temps, les événements finirent par devenir prévisibles, et certaines victimes finirent par perdre espoir, déambulant tels des corps sans âmes… Même si ces cas étaient exceptionnels. L’état engourdi de ces villageois finit par énerver les envahisseurs. Après tout, ils se nourrissaient de leur peur et de leur terreur. Les guerriers pensèrent alors à de nouvelles formes, encore pires, de tortures. Certains souffraient des fers de lances, d’autres de sons bruyants répétitifs, d’autres forcés à supplier pour leur salut.

L’un des cas exceptionnels était celui de Brynhildr. C’est une jeune fille qui n’était pas facilement intimidée. Dans son enfance, elle était plutôt attirée par les jeux agressifs des garçons, au lieu de coiffer des poupées avec ses soeurs. Bien qu’ayant grandi plus tôt que les garçons, comme chaque jeune fille, ceux-ci avaient fini par la rattraper et la dépasser en taille et en force. Elle y remédia en travaillant plus et en adaptant son style de combat, ce qui fit d’elle un adversaire de taille pour n’importe quel mâle de son âge. Ses parents étaient fiers d’elle et de son coeur de guerrière. Elle était un esprit indomptable, animé par l’envie de protéger ses plus jeunes proches et les plus faibles du village.

Après plusieurs semaines de pure folie, un certain air Malveillant fini par s’abattre sur le village. Intrépides, les guerriers continuèrent leurs atrocités alors que la tempête faisait rage. L’activité du jour consistait à placer les survivants les uns contre les autres dans une compétition d’humiliations. Ce soir, le gagnant aurait le privilège de recevoir un collier de la part du chef. Brynhildr vit que ce collier était celui de sa défunte mère, bien le plus précieux à son coeur; qui n’était pas une pièce d’art, mais qui se passait dans sa famille depuis plusieurs générations. Elle éclata en sanglots pour la première fois de sa vie. L’entendant pleurer, les monstres s’approchèrent d’elle, tels des requins attirés par le sang. Ses pleurs devinrent alors de la rage, et elle cria de toutes ses forces. Elle combattit avec tout ce qu’elle pouvait trouver autour d’elle, refusant d’être la victime de leurs supplices. Les guerriers entrèrent dans une colère folle, personne n’ayant jusqu’alors osé les défier. Étant une vraie guerrière, elle se battit fièrement, mais elle n’était qu’humaine, et, ayant supporté beaucoup de choses sur les derniers jours, fini par succomber à ses assaillants, n’ayant que le temps de les maudire et supplier Odin de la venger. Voyant sa mort, les villageois se mirent à pleurer. Ils furent envoyés dans la hutte gardée, là où les guerriers ne pourraient pas les entendre.

Alors que le courant Malveillant continuait de tourner autour de l’île, certaines personnes furent témoins d’un phénomène encore jamais vu. Il semblait que l’air s’amassait autour de la hutte des prisonniers. Entendant le son de la tempête s’abattre sur eux, les captifs pleurèrent de plus belle, gémissant le nom de la jeune défunte et suppliant pour de l’aide. Alors que les dieux ne semblaient pas être réceptifs, la tempête, elle, sembla les entendre, envoyant une partie de son énergie vers le corps de Brynhildr. En d’autres temps, la mort de cette jeune fille n’aurait été qu’une preuve de plus des infamies que l’humanité est capable de s’infliger à elle-même. Pleurée par ses proches, elle finirait par être remplacée par une autre, un autre nom, et petit à petit sombrerait dans l’oubli. Mais nous sommes à l’Age de l’Avènement et l’influence des tempêtes du Voile sur l’humanité n’entendait pas si simplement des principes tels que la Vie et la Mort. Le corps de Brynhildr commença à briller d’une lueur vive, ondulant tout autour, comme un feu aux flammes blanches. Lorsque les flammes finirent par engloutir son corps tout entier, Brynhildr était de retour parmi les vivants. Elle s’éleva, couverte d’une armure brillante et d’ailes noire-pourpres, portant une lance enflammée. Des larmes couleurs de sang sertissaient son corps. Elle s’élança alors vers la tante des assaillants, et pointa sa lance vers certains d’entre eux. Les plus chanceux furent brûlés vifs, les autres laissés pour mort, jaillissant dans l’agonie.

Goûtant du sang noir, Brynhildr libéra les derniers survivants et leur demanda qui d’entre eux souhaitaient se joindre à elle, afin d’être purifiés par la tempête. Eir, Hildr, Gondul et bien d’autres s’approchèrent, s’exposant à la violence de la tempête. Ils furent tous transformé. Leurs blessures disparurent et leurs yeux se mirent à briller de toute la rage qu’ils contenaient, tel le soleil un jour d’été. Ces êtres visitèrent alors les chambres de leurs propres assaillants, les tuant de manières si vicieuses que l’on pouvait les comparer aux tortures qu’ils avaient souffertes quelques jours auparavant. Cette nuit-là, l’expression “celui qui vit pour l’épée, meurt par l’épée” pris tout son sens. A l’aube, seul un envahisseur avait survécu, le chef, celui-là même qui avait proposé le collier de la mère de Brynhildr en récompense du concours. Brynhildr lui arracha le collier des mains, et se préparait à l’étrangler, lorsque l’un des jeunes castrats fit un pas en avant. Sans un mot, il lui prit le collier des mains et l’attacha autour du coup de la jeune fille. Il sourit, à la manière dont avait souri son petit frère lorsque le chef l’avait tué sur la plage. Il regarda le chef, secoua se tête tristement, et se place de nouveau derrière Brynhildr. Elle le regarda fixement, pensant à son âme, et bien que la sienne criait vengeance, elle ne prononça que ces mots : “Plus jamais”, chaque syllabe enflammant ses yeux. Elle pointa alors sa lance vers le toit en paille de l’habitation, laissant échapper un jet de flammes, le réduisant en cendres. Tous ouvrirent alors leurs grandes ailes et s’envolèrent en recherche des derniers survivants.

Seul au milieu des décombres de la hutte, le chef des maraudeurs s’assit de nouveau et contempla sa chance. Il y aurait toujours d’autres combattants, d’autres villages, et il s’était assez amusé ces dernières semaines. Tout s’était plutôt bien fini pour lui; il était plutôt chanceux. Bien que le village n’avait pas beaucoup de richesse, tout ce qu’il en restait maintenant n’était que lui, seul.

Quelques années plus tard, le chef arriva dans un village, entouré de nouveaux guerriers. Un sourire vorace se dessina sur son visage, il se dit : “Plus jamais hein? Ha! J’ai bien montré à cette salope qui était le vrai maître ici!”. Il continuait de sourire, jusqu’au moment où il commença à entendre des bruits d’ailes battant l’air au-dessus de lui, puis vit une figure ô combien familière se placer face à lui, sentant une douleur infinie dans ses reins.

Lorsque l’ancienne Valkyrie termina son histoire, il y avait effectivement de nombreuses larmes rouges coulant le long des visages des jeunes Valkyries, tout comme de ceux de certains anciens venus écouter le récit de la matriarche. Ce qu’elle vit parmi eux, cependant, au-délà des larmes, fut une détermination d’acier, couplée à la fierté. Elle le savait bien, étant elle-même plus que fier d’être une Valkyrie. Cette fierté était un cadeau éternel brûlant son coeur en tout instant, qu’elle raconte cette histoire ou qu’elle combatte les ennemis.

Ainsi s’achève l’histoire des Valkyries. On dit que de toutes les races du royaume Viking, ce récit est le plus tragique. Nous ne pouvons qu’espérer que cela en soit ainsi et le reste. Née de la souffrance et l’horreur, était une race qui se dédiait pleinement à son Royaume, protégeant les plus faibles, digne d’être appelée Légendaire. L’incarnation de leur esprit est appelée le Code Valkyrique.

Mais ceci est une autre histoire.


Dvergars


Rendu 3D


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The Becoming™
Citation :
La déchirure du Voile a déchaîné la puissance des tempêtes du voile altérant inexorablement la vie sur notre planète. Alors que la puissance brute des tempêtes du voile a engendré une dévastation terrible, elle s’est aussi mêlée à l’esprit vif de l’humanité pour donner naissance à une toute nouvelle faune et flore pour notre monde. De plus, elle a aussi transformé les rares survivants en des êtres allant du cauchemar vivant jusqu’aux héros et légendes. Il en résulte que les races jouées dans Camelot Unchained ont commencé leurs existences il y a des lustres de cela en tant qu’entités différentes pour évoluer lentement vers ce qu’elles sont aujourd’hui. Ce changement est connu comme “The Becoming” et les Dvergars, que l’on nomme communément des Nains, sont un parfait exemple de l’interaction entre la puissance, les rêves et la capacité à survivre donnant naissance à une race légendaire, bien qu’unique en son genre.

Avant la déchirure, il n’y avait pas de Dvergar. Bien qu’il soit vrai qu’une partie de l’humanité a toujours travaillé dans les mines, les Dvergars n’étaient qu’une race mythologique dont l’histoire a évoluée et changée à travers les siècles. Lorsque les tempêtes du voile commencèrent à s’abattre sur le monde, beaucoup furent piégés dans un labyrinthe de mines soit parce qu’ils y travaillaient soit simplement car ils cherchaient à se protéger de la furie des orages en se réfugiant dans les profondeurs des cavernes montagneuses et sous terre. Tandis que la plupart de ceux ayant fui dans ces endroits moururent pour diverses raisons, une partie isolée de l’humanité survécu à travers eux. Cependant, alors que les mines fournissaient un refuge contre les pires effets des orages, la puissance de ceux-ci trouva malgré tout un chemin à travers les tréfonds du monde. A travers les siècles les humains ayant trouvé refuge dans ces lieux s’adaptèrent non seulement pour survivre mais aussi pour prospérer de façons qu’ils pensaient inimaginables, utilisant inconsciemment le pouvoir des tempêtes du voile dans le but de les aider à survivre.

Le Becoming apporta des changements dans l’évolution des survivants, évolution comparable à celle du “monde naturel” mais avec un rythme nettement plus rapide. Chaque génération d’humain apporta des changements à la fois physiques et mentaux qui furent ainsi transmit de génération en génération. Ces modifications n’étaient pas simplement causées par le besoin d’adaptation pour survivre à un nouveau monde, mais aussi causées par la conservation des histoires et des traditions de l’ancien monde. De plus les survivants furent reconnaissant envers la terre qui les avait sauvé, ce qui créa une réaction en chaîne dans laquelle furent changés non seulement les survivants mais aussi les montagnes, mines etc. les ayants nourrit et protégés des ravages provoqués par les orages à la surface de la terre. Ces lieux évoluèrent avec leurs habitants, créant un monde souterrain aussi différent de ce qu’il était dans le passé que les Dvergars différaient de leurs ancêtres humains. Oubliez les mines et/ou cavernes froides et sans vie mais imaginez plutôt un monde souterrain où la vie s’exprime avec une myriade de créatures et de points de vue que l’on ne peut croire à moins de les observer soit même. Souvenez-vous qu’il s’agit d’un monde de fantaisie et de magie, et donc, cela permet aux créatures de vivre là où dans le “vrai monde” il serait impossible de survivre, ni même dans un monde dominé par les lois de la physique que nous connaissons aujourd’hui. La vie dans les cavernes des Dvergars a beau être dirigée par des forces magiques, elle n’en reste pas moins réelle. D’un autre coté ça rend les choses bien plus intéressantes.

Les siècles passants les Dvergars devinrent plus heureux dans leur “monde souterrain” et perdirent tout intérêt pour les changements du “monde extérieur” au-delà de leurs cavernes. Les sorties et chemins s’oublièrent avec le temps et, pour les Dvergars, le monde extérieur ne devint qu’un simple monde de légende tout comme les Dvergars l’était pour l’humanité avant la déchirure. Tout comme le corps de Dvergars, leur esprit et capacités devinrent plus adaptés à la vie dans leur monde, le désir de vivre ailleurs ou d’explorer diminua grandement. Jusqu’au jour où une jeune Dvergar décida de défier les “Anciens” (Dirigeants de son clan) et pris la décision de chercher un chemin vers le monde extérieur. Son histoire est un conte à elle seule, pour l’instant elle peut se résumer au mieux par la fin de son conte. Utilisant sa capacité à transformer et absorber la roche solide elle traversa ainsi la dernière barrière rocheuse vers le monde extérieur. Elle ressentit l’afflux d’eau chaude et de rayons solaires sur son visage à mesure que la terre s’ouvrait et elle retrouva à interrompre un groupe de Vikings se baignant dans une source d’eau chaude. Nul besoin de le préciser, à la fois elle et les baigneurs ouvraient de grands yeux surpris. Il est dit que les cris émanant des deux côtés résonnent encore à travers les cavernes du monde intérieur et dans les terres Vikings.

Ainsi se termine la première légende Dvergar.


Úlfhéðnars (Berserkers)



The Becoming™
Citation :
Soyez attentifs jeunes Úlfhéðnars et écoutez la légende de tristesse et de souffrance dont notre race est issue. Souvenez-vous à jamais de la douleur et du sacrifice ayant permis à notre puissance d’être forgée et pourquoi le tribu à payer était si lourd.

Des siècles avant la Percée, lorsque les anciens Dieux arpentaient encore les terres, notre peuple et la guerre étaient comme deux faces d’une même pièce. Nos ancêtres étaient à la fois explorateurs et des guerriers, aussi bien sur terre que sur mer et contrairement à bien d’autres, nous n’avions pas peur des eaux profondes ni de leurs tempêtes. Par précaution nous combattions pour les riches ; cependant nous combattions aussi en nom de nos Dieux pour faire connaitre au monde la grande puissance qu’ils représentaient. Malheureusement, tout ceci changea à l’arrivée de tempêtes mystérieuses tombant des cieux.

Lorsque ces tempêtes se rependirent sur nos terres, beaucoup parmi nous se réjouirent, espérant que l’heure de Ragnarök soit enfin arrivée. Malheureusement, ces tempêtes sauvages n’étaient pas le signe d’un événement divin mais plutôt invoquées par des puissances énigmatiques provenant d’au-delà le grand Ásgarðr. L’une des histoires qui se répéta alors maintes fois autour du monde, est celle d’une famille ayant été prise dans l’une de ces tempêtes. N’ayant pas pleinement conscience de la force de ces tempêtes, leurs enfants ne s’abritèrent pas et restèrent dehors alors que la tempête battait son plein. Un par un, ils furent tués ou éparpillés par la puissance de l’orage. Lorsque la tempête fut passée, les parents pleurèrent ouvertement, berçant les corps sans vie de ceux qui n’avaient pas été emportés. Ils en appelèrent à la force d’Odin et jurèrent de parcourir le monde tant qu’ils n’auraient pas retrouvés leurs enfants. Pendant des décennies ce couple arpenta nos terres, bravant l’intensité des orages mais ne purent jamais retrouver leurs enfants. L’espoir est une chose volatile, mais encore présent dans leur cœur, il brillait comme jamais, certains le disaient alimenté par la puissance insondable des orages.

Après plus de trois décennies d’errance, le couple arriva à un petit village qui fut pris dans l’étau puissant d’une violente Tempête du Voile. Cette tempête, appelée Malveillance par les Royaumes Maudits, libéra de sa gueule béante un serpent massif. Le couple observa, impuissant le serpent détruisant le village de ses griffes, dents et magie impure. Ecartant ses épaules et se plaçant sur le chemin de l’immondice, le chef du village était debout, l’épée à la main, protégeant un groupe d’enfants de son bouclier. Sachant ce qu’il allait advenir, les enfants pleuraient de peur et de terreur, tous à l’exception d’un garçon qui fixait d’un air de défi l’énorme créature qui s’avançait vers eux. La réalité de cette âme si petite et si brave face à une telle horreur, après avoir passé leur vie à rechercher vainement leurs enfants, fut trop dure à supporter pour le couple. Il avait atteint son point de rupture. Ils chargèrent depuis les hauteurs de la colline, criant de toutes leurs forces et de toute leur rage sur le serpent. Ils firent encore une fois appel au Tout-Puissant pour recevoir sa force. Peut-être qu’Odin lui-même répondit à cet appel ou était-ce simplement les décennies de frustration et de tristesse couplées à la fière puissance que leurs paires avaient absorbés lors des tempêtes, quoi qu’il en soit le résultat fut immédiat. D’immenses vagues de puissance déferlèrent en eux et repartirent dans la tempête elle-même, se nourrissant de son intensité. La terre autour de ce modeste village tremblât ce jour-là, pas des piétinements de la créature géante, mais du poids de leurs pertes, car tout parent sait qu’il n’y a pas plus douloureux au monde que la perte de ses enfants.

La tempête répondit à leur furie, leur volonté et, à mesure qu’ils courraient, le couple changea. Leur vitesse était celle de Fenrir et alors qu’ils dévalaient le flanc de la colline, le chef du village faisait toujours face au serpent. C’était un homme solide mais il n’était rien devant la puissance du monstrueux serpent. Sa fin fut brève et il mourut vaillamment, comme un vrai guerrier, son épée éclatant sur le corps recouvert d’épaisses écailles de son ennemi. Le serpent haineux s’avança ensuite vers les enfants, se préparant à un repas savoureux, c’est alors que le garçon pris son courage à deux mains et la poignée brisée de l’épée de son père. Maintenant jeunes guerriers, s’il s’agissait de la saga du garçon ayant fraichement perdu son père, il aurait pourfendu lui-même la créature, seulement voilà nous sommes dans la vraie vie. Le garçon essaya de soulever l’épée et il échouât faute de force, celle-ci étant trop lourde, néanmoins son courage ne faillit pas. Par chance, alors que le serpent s’approchait des enfants, le couple lui aussi s’approchait et le père enragé attrapa l’épée cassée du valeureux garçon.

Sentant cette nouvelle puissance et cette rage sans limite, la créature compris qu’elle était à présent en danger et se tourna vers cette nouvelle menace. Se rétractant et hurlant furieusement, elle relâcha sa magie noire sur le père, qui eut été tué sur le coup sans la réaction instinctive de sa femme. Elle n’était une vraie guerrière, mais possédait cependant des capacités magiques et bien que n’étant pas familière avec l’ancienne langue magique, son amour pour son mari et son instinct maternel furent suffisant pour invoquer un bouclier magique qui les abrita. L’assaut de la créature atterrit inoffensivement sur le bouclier, mais le serpent, à présent prévenu, invoquât sa sombre magie vers le couple. Cette fois cependant, le père était prêt.

Beaucoup pensent que seule une femme peut crier à s’en briser l’âme mais ce jour-là, le cri du père couvrit le bruit même de l’orage alentour. Il cria pour la perte des siens et il y en avait beaucoup : d’innombrables enfants, des villages entiers, le brave père qui mourut ce jour-là défendant ces enfants et même pour toute la douleur ressentie au-delà du Royaume. Sous le poids de ces pertes, son bras armé devint fort tel le bras d’un ours tant et si bien que même le puissant Thor ne l’aurait pas envié ce jour-là. Cinglant avec rage, dans une transe de furie le père balança l’épée et alors que la créature tenta de dévier le coup, l’épée traversa ses écailles, sa chaire et ses os pour ouvrir la colossale bête en deux. Mais cette créature était un serpent et sa tête sans corps continua à mordre et claquer des dents tandis que le père continuait de frapper, enragé et criant fort alors qu’encore plus de puissance affluait en lui. Coup après coup il abattait l’épée sur cette horreur jusqu’à ce qu’il ne reste rien d’autre que des dents éclatées, un œil et quelques écailles intactes. La bête enfin morte, le couple s’effondra sur le sol épuisé par leurs efforts.

Pendant une semaine le couple resta étendu à dormir, leurs corps recouverts de torrents continus d’énergie, gardés par le garçon qu’ils avaient sauvé. En vérité tous les survivants du village voulaient cet honneur mais le garçon les éconduits. Quand le couple s’éveilla enfin, leurs corps et leurs esprits restaurés, ils n’avaient plus le moindre souvenir de ce qu’il s’était passé après leur descente de la colline en direction du village. Une fois le récit du garçon détaillants leurs exploits terminé, ils furent à la fois tristes et heureux d’avoir sauvés les enfants. Ils surent aussi que leur longue quête prenait fin car durant leur long sommeil le couple avait rêvé du garçon, de leurs enfants, de ce village, notre village. Une fois que le garçon réalisa que le couple avait récupéré il leur fit savoir qu’il devait partir, son père étant mort, le bien être des siens était à présent sa charge. Le couple demanda son nom au garçon et alors qu’il partait, tenant encore l’épée brisée de son père, il dit au couple « Je suis Sigurd, fils de Sigmund, chef déchu de notre peuple. »

L’histoire de Sigurd n’est pas encore terminée et les exploits du couple ne conduisirent pas simplement au salut de notre peuple, c’est de par leurs actions que notre race a gagné son nom et son formidable pouvoir. Lorsque les cris de fureur du couple libérèrent leur puissance forgée par la tempête, cette énergie déferla en nous, nous modifiant et faisant de nous plus que de simples humains. Bien qu’ayant appris de leurs rêves que leurs enfants étaient depuis longtemps morts perdus dans le Voile, leurs recherches n’étaient pas vaines, car ils nous ont sauvés, moi y compris. Nous les honorons chaque fois que nous combattons criant notre nom et remémorant leur douleur.

Les sacrifices, les pertes et les douleurs nous dirigent, pas la puissance des tempêtes contrairement à ce que disent ceux des Royaumes Maudits. Nous ne serons jamais vaincus et nous aussi sauverons les nôtres, au nom de ce que nous sommes et serons à jamais. Nous somme les Úlfhéðnars et nous attendons le jour où notre grand Roi fera de nouveau appel à nous pour sauver notre Royaume, notre monde.

Ainsi se termine ce conte.


Vikings



Rendu 3D

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LES CLASSES




Helbound (Soigneur)



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The Becoming™
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Quelque part sous un volcan endormi depuis longtemps, un flot constant de Vikings pénètraient dans une caverne, profondément dans les entrailles de la montagne. Vêtus des habituelles robes bicolores des initiés HelBound, toutes les races du Royaume étaient représentés ici. Alors qu’ils prenaient place debout devant la statue de Hel, les initiés étaient accueillis par un riche mélange d’odeurs âcres : cendre, mort, puissance et sueur émanant des corps nerveux de ceux qui avaient voyagé jusqu’à ce lieu abandonné pour recevoir les derniers rites. Bien que la fureur de ce volcan n’aient pas été ressentie depuis la venue des Tempêtes du Voile, la caverne était toujours bien trop chaude pour la plupart des Vikings et beaucoup d’entre eux commencèrent à tirailler leurs lourdes robes de laine, visiblement inconfortables dans la chaleur étouffante. Une fois rassemblés, ils attendirent ce qui sembla être des heures et certains succombèrent aux terribles températures et aux fumées toxiques et durent être emportés par des Helbounds plus experimentés. Les minutes devinrent des heures, et soudain, sans prévenir, la pièce se rafraichit subitement, les fumées pernicieuses remplacées par la brume des fjords lors d’une fraîche matinée d’hiver. Tandis que la température plongeait, d’autres initiés mordaient la poussière et étaient également emportés et jetés sans cérémonie à l’entrée de la caverne, leurs robes arrachées à leurs corps tremblottants. Les membres de la congrégation, dont les rangs s’étaient désormais éclaircis, commencèrent à se blottir les uns contre les autres à la fois pour se réchauffer et se réconforter, ne sachant pas ce qui allait arriver ensuite. Lentement, la température de la pièce changea à nouveau, et atteignit un point d’équilibre entre le chaud et le froid. Même l'odeur de la pièce était indicernable ; elle était ni plaisante, ni désagréable. L’équilibre atteint, la caverne fut emplie par le bruit assourdissant d’un instrument qui aurait pu être décrit comme le mélange discordant de tambour et d’une corne de brume. Au “boom” final, un homme portant la robe de la Voix de Hel (NdT: sonne mieux que "Porte parole de Hel") émergea de la base de la statue et se tint debout devant le groupe épuisé. Portant son Casque de la Mort qui lui couvrait la moitié du visage, comme chaque vrai Helbound le doit, la Voix canalisa la rune “Ouïe” et commenca son oraison

"Entendez moi, implorateurs de Hel, la vraie et bienvaillante mère des neuf mondes," entonna la Voix de Hel alors que les suppliant bouleversés se rapproche de lui. "Vous avez choisi de suivre la seule véritable voie, qui est la plus sage d'entre toute. Néanmoins, si vous pensez que cette voie est simple, vous vous fourvoyez comme ces fous des Royaume Maudits qui croient qu'ils peuvent sauver notre monde de la destruction. Ecoutez attentivement car je vais vous conter notre histoire et ce que cela signifie de gagner le droit de devenir un HelBound."

"Hel n'est pas une déesse, comme l'ignorant peut le croire. Comme vous l'avez appris, elle est l'une des Grandes Puissances, si transformées par les Tempêtes du Voile qu'elles ont transcendé le genre humain. De par vos études initiales, vous avez sans aucun doute compris que son évolution a été a la fois puissante et douloureuse, comme la dualité de son apparence en atteste. Tout comme beaucoup de Grandes Puissances, c'est sa force intérieure qui l'a à la fois protégée et transformée au travers de la puissance des Tempêtes du Voile. Quand sa métamorphose fut complète, elle devint un être capable de marcher simultanément au travers de multiple mondes. Quel que soit le lieu où elle passe, elle porte la vie et la mort et s'en nourrit, gagnant en puissance de jour en jour. Jusqu'au jour glorieux où elle transcenda la vie et la mort pour devenir ce qu'elle est aujourd'hui."

"Devenir un HelBound signifie la douleur et le plaisir, la puissance et la faiblesse, car nous sommes comme notre mère, des créatures d'une nature duale. Dès que vous aurez prononcé vos voeux, vous serez pour toujours liés à elle et reconnaissez que votre vie ici n'est qu'une transition. Elle vous marquera pour que chacun puisse reconnaitre en vous votre véritable allègence et destinée. Portez sa marque avec fièrté car tant que vous le ferez, vous aurez la possibilité de faire appel à ses dons pour propager sa raison d'être sur le monde entier. Le jour glorieux ou votre existence dans ce monde prendra fin, vous rejoindrez notre mère dans son royaume et la servirez tout au long de sa veille des neuf mondes.

"Les nouveaux venus vont passer la cérémonie de Renaissance après laquelle vous recevrez votre première Marque de Hel" continua la Voix sur un ton glacial. "Le Helbound peut choisir différentes voies au service de notre mère bien-aimée et vous devez choisir avec sagesse. Ne vous méprenez pas, ce choix n'est pas une illusion, rien ne pourrait être plus de loin de la vérité, car ce choix va déterminer les runes que Hel elle-même vous offre. Bien qu'il soit attendu de vous que vous appreniez d'autre runes tout au long de votre périple, ces runes originelles vont définir ce que Hel attend de vous.

Si vous choisissez la voie de la vie, vous apprendrez comment utiliser les runes en accord avec les arts des soins. Si vous choisissez la voie de la mort, vous apprendrez les runes qui apporteront la mort à vos ennemis. Pour nous, le sang est ce qui ouvre le chemin du Voile et en le répandant, vous invoquez et controlez la magie de vos runes au travers de votre connexion et dévotion a Hel. Chaque fois qu'un Helbound jette un sort, son lien avec Hel devient plus fort. Ce lien est continuellement renforcé tant que vous servez et vous sacrifiez au nom de votre Royaume.

"Lors du choix de votre voie une arme vous sera donnée, et cette arme sera liée au plus profond de votre âme. Ce lien pourra être transmis à une autre arme à l'avenir, mais vous pouvez avoir uniquement une arme liée à vous de cette façon à la fois. Vous pouvez tout aussi bien choisir d'utiliser vos propres mains en tant qu'arme. Bien que ce ne soit pas aussi performant qu'un outil fait par la main de l'homme, choisir vos mains en tant qu'arme entraînera l'inscription d'une rune de pouvoir sur celles-ci. Le temps faisant, Hel durcira vos mains pour qu'elles prennent les caractéristiques d'une arme ouvragée.

"Une fois que le dernier rituel du lien aura été achevé, vous serez en mesure d'appeler au combat des âmes vaillantes ayant quitté notre monde; ces âmes vous assisteront dans vos efforts. C'est le plus grand don de Hel à ceux qui la servent. Contrairement aux Royaumes Maudits, nous avons toujours reconnu l'importance de nos ancêtres et sommes reconnaissants des dons que leur disparition nous a conférés. En tant que HelBound vous pouvez invoquer et faire fusionner en vous les ancêtres disparus afin de partager leur pouvoir et leur force pour un court instant. Tout comme votre lien avec Hel, celui avec vos ancêtres se renforcera en même temps que vous et vous deviendrez capable de faire appel à d'autres facettes de leur personnalité, ainsi qu'à d'autres ancêtres. Faites appel à eux, mais ayez à l'esprit qu'il y a toujours un prix à payer pour le pouvoir, qu'il vienne du Voile ou bien de Hel elle-même."Alors, mes petits Helions (NdT: "enfants de Hel" avec un jeu de mot, sans doute), dit la Voix de Hel presque avec douceur, "qu'en dites-vous? Êtes vous prêts à faire face aux défis et aux récompenses liés au service de notre mère miséricordieuse? Si tel est le cas, j'ai une dernière chose à vous montrer avant que vous preniez votre décision." La Voix retira alors lentement ses robes bicolores finement ornementées et ce faisant, des murmures horrifiés s'élevèrent de certains des suppliants. Alors seulement furent-ils témoins du véritable prix qu'il avait payé pour sa dévotion. Son corps donnait l'impression de deux moitiés distinctes retenues uniquement par la simple force de sa volonté. Un coté était sans vie, couvert de bandes épaisses de chair nécrosée, tandis que l'autre semblait presque trop vivant et était couvert d'une masse d'organismes étrangers se tordant dans tous les sens. "Ceci est le prix que je paie pour servir notre Dame et je le referais sans hésitation. C'est à vous de décider, mais rappelez-vous, chaque choix est important."

Debout devant le regroupement d'hommes et de femmes, la Voix de Hel sourit intérieurement en sachant que ce qu'il disait n'était que partiellement vrai. Il y avait certaines choses dans la voie qu'il avait choisie dont il aurait souhaité qu'elles ne fassent pas partie de son pacte avec Hel. Il n'avait que trop bien appris à quel point chaque choix était important, d'autant plus quand on avait affaire à un demi-dieu qui avait autrefois été votre fille.

Ainsi s'achève cette histoire."



Dernières modifications :
(Voir) 20/10/2013 13:13:41 : Uncold (image 3D vik)
(Voir) (Comparer)20/10/2013 12:22:38 : Uncold (mep)
(Voir) (Comparer)20/10/2013 12:20:51 : Uncold (MEP)
Bonjour, j'ai pensé regrouper un peu toutes les races/classes au fil du développement du jeu.
Il manque peut-être des choses, des erreurs ( parfois j'avais du mal à distinguer les races des classes)

Pour la mise en page, je n'ai pas pu mettre un lien dans mon sommaire, si vous pouviez m'aider merci.

J'envoie la suite
Bonne initiative !

J'ai fait une petite passe de mise en page avec le passage en wiki.

S'il y a des motivés, vous pouvez carrément transférer tout ça sur le wiki -JoL-CU.

Pour la taille des images, le plus simple est de les enregistrer comme pièces jointes du wiki.
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