Après quelques jours de méditation à l'entrée de la taverne, mêlés à beaucoup de réflexions, le moine sorti de sa transe. Il se leva et ramassa les quelques pièces de cuivre que des passants avaient jeté ça et la par pitié, mais qui allaient faire le bonheur de Sinju.
Il est vrai que malgré sa maîtrise dur corps et de l'esprit, Sinju commençait à avoir légèrement faim. Et comme tout bon combattant qui se respecte, Sinju savait que le ventre vide ne rendait pas les taches faciles.
Il se dirigea alors vers l'aubergiste et lui demanda un plat de ragout pour les quelques pièces qu'il ait en sa possession, ainsi qu'un verre d'eau.
La gamelle remplie, d'un pas non-challant il s'assit à une table fixant le coursier qui lui avait murmuré quelques mots.
*Je me demande bien quel type de personne vous rechercher là, messire !!!* Dit-il à l'homme qu'il fixé du regard, tout en mangeant.
*Si vous chercher quelqu'un pour quelques besogne que se soit, sachez que je suis ouvert à toutes propositions. Les seules choses qui me sont interdites, sont de violer, tuer des enfants ou incendier le peu de bien que peuvent posséder de pauvres et honnêtes gens* Puis il but une lampé d'eau.
*j'attends votre réponse, mais ne tarder pas de trop Messire. Mes poches sont vides et je vais être obliger de vagabonder afin de trouver quelques petits boulots par-ci, par-la afin de subsister à mes besoins.*
*Sachez aussi que la seule divinité en laquelle je crois, est mon maître spirituel de l'école du poing d'acier. Et il est loin d'être un dieu.* Et sur ces mots Sinju éclata dans un sanglots de rire guttural.
Puis Sinju plongea le nez dans son assiette afin de finir son repas.
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