Snowcelt
RESURRECTION
Ce soir là , la lune brillait de mille éclats,
La nuit s'annonçait pourtant agitée et les ombres,
Glissaient furtivement entre les créatures sombres,
Assurément, ce monde était dans tous ses états.
Au loin s'agitaient les corbeaux et les furets,
Lorsque soudain un bruit sourd se fit entendre,
Telle une masse puissante, une troupe s'avançait,
Une foule approchait et ne semblait savoir ou se rendre.
Pourtant, peu à peu, de toute la forêt,
Un chant guttural montait comme un cri,
Des elfes, des celtes et même des kobolds se rassemblaient,
Il n'y avait aucune explication à cette étrange magie.
Une lumière subtile éclairait maintenant cette assemblée,
Le silence était revenu et un seul semblait commander,
Par gestes et signes il fit asseoir ses invités,
Puis doucement il désignât la lune embrumée.
Alors, une silhouette sombre fit son apparition,
Lentement cette âme déchirée s'approcha de l'assemblée,
Arrivée en son centre tout à coup s'est exclamée,
"Je suis la vie je suis votre espoir : mon nom est RESURRECTION".
Doucement la troupe rassemblée repris cette clameur,
RESURRECTION, RESURRECTION, RESURRECTION,
Les visages se figèrent et les regards reflétèrent le bonheur,
La lune semblait sourire à cette mystique invocation.
Les capes s'illuminèrent de couleurs chatoyantes,
Les armes ternies brillèrent à nouveau de mille feux,
Et comme dans un rêve je décrochais la lune luisante,
Voici enfin l'accomplissement de notre plus cher voeux.
RESURRECTION !!!!!!!!!!!!!
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sur la Guilde des
FAUCHEUSES d'AMES
La neige étend sur la plaine,
Son grand manteau de velours,
Et tes filles sous leur frêles laines,
Vont dormir en t'invoquant.
Ô Lilith, Reine des Faucheuses,
Ecoute leurs tristes mélopées,
Tes filles douces et ensorcelleuses,
Réclament enfin justice et paix.
Loin des sentiers de guerre,
Elles aspirent sans que nous le sachions,
Comme toute femme dotée de raison,
A l'amour, la tendresse et la compassion.
Or, Camlann ne leur délivre,
Que douleur et détresse infinie,
Quand, au tréfonds de leurs âmes ivres,
Elles recherchent cette irréelle amnistie.
Faucheuses, vous nous faites trembler,
De peur, de désir et d'effroi,
Faucheuses, le désir et la mort sont vos alliés,
Et pourtant votre regard n'est pas si froid.
Demain une nouvelle aube se fanera,
Dans la clarté blafarde d'une terre éteinte,
La neige à nouveau s'estompera,
Mais votre nom à jamais gravé dans nos coeurs demeurera.
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Sur la Guilde
CARPE MORTEM
Irréelle torpeur ou cauchemar sordide,
La nuit sur Camlann, les loups se déchainent,
L'espace d'un instant, les cris, les râles étouffent,
Les rires, les joies et le vent de la vie.
Carpe, tel un poisson tu te faufiles,
Mortem, ton latinisme n'aura de cesse de surprendre,
Alliance du sang et du bien être,
Ta guilde pourfend les faibles et tue les impies.
Demain, les innocents se lèveront,
Assoiffés de haine et de vengeance,
De jour comme de nuit ils vous chasseront,
Seule la tombe assurera votre salut.
Que nous importent vos crimes perfides et violents,
Le châtiment qui vous attend est à l'aune de votre engeance,
Les morts d'hier seront les ressuscités de demain,
Car Resurrection chasse la mort, fut-elle donnée par la Carpe
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REQUIEM
Comme une triste et sordide mélopée,
Telle une litanie invoquant le passé,
Dans le coeur des hommes tu es demeurée,
La horde impie, la guilde des tueurs assoiffés.
Si loin que je me rappelle et j'en frémis encore,
Vos troupes en fanfare régnèrent sur Camlann,
Ainsi, à chaque instant lorsque vous torturiez une âme,
De sa longue agonie vous enchantiez Dame Mort.
La souffrance des faibles et les pleurs des enfants,
Vous n'en avez cure lorsque vous autres REQUIEM,
Votre faux s'abat avec véhémence sur tous les innocents,
Et lorsque vos sourires accompagnent ce terrible requiem.
La nuit est votre mère et la folie votre alliée,
Justifiant tous vos actes et vos meurtres insensés,
Nul ne peut dire quand son heure sonnera,
Si ce n'est lorsque REQUIEM un jour il croisera.
Demain nous aussi nous serons vos victimes,
Sur vos terres sanglantes nous subirons cette dure loi,
Mais en clamant ce refrain nous gagnerons l'estime,
De vos ennemis, de vos alliés et de tous ceux qui croient.
REQUIEM ta musique s'écoule chaque soir,
Et ce froid qui nous glace efface tout espoir,
Celui de la vie, de la jeunesse et de l'amour,
REQUIEM efface toi, car je suis le nouveau jour.
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Nicholas Wolfwood
Les CARPE
Pour gagner le pardon, il nous faudra la tombe?
Moi je pense que non, car chaque fois qu'on tombe
On se doit de reprendre ce combat dans la mort,
Ce combat pour la Mort qui laissera en cendres
Les montagnes, les collines et les prés verdoyants
Où la nature taquine me transforme en enfant.
Si Elle veut Elle prend, et vos âmes comme les nôtres,
Nos esprits noirs ou blancs finiront comme les autres,
Dans ses bras pleins du sang de tous les innocents
Et de tous les brigands que ce monde comprend.
Aussi être vivant ou mort n'est pas la vraie question
Ni être les plus forts, ni même avoir raison.
Si Elle nous a ramenés, c'est pour être servie
En âmes arrachées, son menu favori.
Les nôtres sont damnées, mais le goût reste exquis.
Si elle décidait que nous étions finis
Alors vous pourriez, et seulement alors
Nous dire : "Vous pourrirez, envoyés de la Mort".
Les Inguz
La plaine se déroulait devant mes yeux mi-clos
Le soleil déjà bas m'empêchait de bien voir
Tous ceux qui aux combats participaient ce soir.
Tant de corps transpercés, je trouvais ça si beau...
Le champ était jonché de cadavres brisés
D'anciens morts qui vivaient, de vivants qui mouraient.
La plaine était couverte bien plus de vermeil
Que de cette herbe verte, cette si belle merveille.
Face au soleil couchant nous étions une poignée
Nous étions les méchants, mais aussi les derniers
A résister au nombre de cette immense armée
Dont à elle seule l'ombre nous impressionnait.
Nous avions beau tuer, toujours ils revenaient
Dix, vingt, trente tombaient mais rien ne suffisait.
J'invoquais le Très Haut, l'implorait de m'aider
Car Inguz Mornieo, face à moi se dressait.
Encore
Les Carpe
Déçus par la vie à maintes reprises
Ces âmes damnées si souvent incomprises,
Qu'on hait, qu'on insulte et qu'on méprise
Et sur lesquelles vos mots ne trouveront pas de prise
Se rassemblent le soir dans l'ombre de la crypte
Se parlent en une langue que personne ne décrypte
Préparent leurs méfaits contre les Requiems
Et les éxécutent fiers d'être Carpe Mortem.
Ankavos
Les Messagers partis, il va falloir t'y faire
Ton Alliance affaiblie remet dans notre guerre
Un parfum d'imprévu, un petit peu de doute.
Ils ont vu et vaincu, puis ont repris la route.
Les Messagers étaient parmi nos ennemis
Mais beaucoup les comptaient au nombre des amis.
Encore je me souviens des propos attristés
D'un ami paladin par leur départ peiné.
Mais ils sont revenus, plus forts que jamais
Pour nous botter le cul et glaner nos RP.
De beaux combats s'annoncent avec cette guilde neuve,
Mais nous, on les défonce, puis on s'occupe des veuves.
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TriomphArc
Les messagers d'Ankavos
Ils étaient venus en paix
si loin de leur lointaine contrée
découvrir ces nouvelles vallées
ou tant de personne sombraient.
Obligé sur ces vallées de se déclarer
Ils devinrent l'une des guildes alliées
afin de tuer l'ennemi ou de l'enchaîner
loin des lieux ou le meurtre est privilégié.
Plusieurs mois de combats acharnés
contre les Pk ont été dépensés
et enfin reconnus de tous leurs alliés
dans la séparation ils sont tombés.
Nous étions fiers de combattre à leur côté
d'avoir des aventures dans des lieux éloignés
pour y combattre des créatures enchantées
et découvrir des paysages brûlants ou gelés
Desormais, c'est fait, ils se sont séparés
en deux groupes radicalement opposés.
nous devrons combattre nos anciens alliés ...
Que sont devenus les Messagers ?
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Thanadrielle
Les Faucheuses d’Ames
Sœurs, nous sommes sœurs
Notre amour fait reculer la peur
Farouche et insoumises
Rebelles et incomprises
Sœurs, nous sommes sœurs
Un mot qui peut faire peur
Aux bigots et aux faux dévots
A tous ceux qui veulent notre peau
Sœurs, nous sommes sœurs
Pour cela nous luttons sans peur
De simple partie d’un grand tout
Pour lequel nous lutterons jusqu’au bout
Sœurs, nous sommes sœurs
Grâce à elles je n’ai plus peur
Chaque jour, sans relâche
Je m’applique à accomplir ma tache
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Moonchild
Les Bannis
Les Morts nous Chassent,
Les Ames nous Tourmentent,
Les Vivants nous Haissent,
et Pourtant l'Espoir Perdure,
Nul ne Sait d'ou il Provient,
Simple d'Esprit ou Ardente Folie
Notre Guide est desormais Parti...
Rejetés De Tous,
Acceptes d'Un Seul
La Balance Nous Unit
L'Equilibre, Notre Salut.
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fesnomor
<Les détonants Daltons daltoniens>
Je marche sur une queue qui n'est pas de dragon.
Elle est violette mais ne sent nullement la rose.
Au pont les crânes plus que les glands éclosent
...Mais ces derniers le tapissent de leurs jurons !
De l'infragris à l'ultraviolet,
L'arc-en-ciel n'est qu'écarlate.
Que le prisme renvoie une proie facile
est l'espoir que l'aube miroite.
Mais mes armes plus vite que moi vieillissent
et mes ennemis encore plus vite s'aguerrissent.
Brute épaisse ou tacticien habile,
"Que le daltonisme les frappe !"
est de chacun le souhait secret.
Je cours dans une forêt ni noire ni comestible,
Elle est violette mais ne sent nullement la rose.
Je suis magicien, toc toc badaboum truc en "ible".
...Et du recyclage éhonté le virtuose !
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Zangtar Elween
Les Faucheuses d’Ames
Fines, belles comme l'aurore
Armées pour tuer
Unies comme les doigts de la main
Chevauchant les plaines a la recherche de leurs proies
Haches épée et marteaux scintillants
Ecoutant leur coeur et combattant avec ardeur
Utilisant leur beauté pour tuer
Si vous les apercevez c'est peut être déjà trop tard
En un baiser elles vous enverront dans l'autre monde
Sans relâche, elles seront là ou on ne les attends pas
Dans ces terres froides et arides
'
Avec joie elles vous accueilleront
Mais gare a vous si vous leur déplaisez
Et oui amoureux d'elles je le suis
Seul ou avec elles je défendrai leurs vies et leur nom !
Faucheuses d'ames.
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Gardid
Les messagers D'Ankavos
Par ordre de leur seigneur ils étaient venus
Terribles furent leurs premières heures
En ces terres de chaos et d'horreur
Mais ,malgré les épreuves,leur force grandi
Et le royaume de l'Ankou ce repeuplait
Grace aux âmes de leur ennemis.
Les messagers gagnèrent en réputation et en amis
Leur nombre grandissait chaque jour
Ainsi que leur puissance.
Ils affrontèrent de grands démons,
En terrassèrent une grande partie.
Leur grande force résidaient aussi dans de grand allié
Ces grand combattant venu d'autres contrés,
Pour apporter la paix,sur ses terres désolées.
Cette alliance de puissance ne plaisait pas a tous
Et ils se regroupèrent pour les anéantir.
Ils ne réussir qu'a moitié,
détruisant moralement les messager d'Ankavos
Les Premiers, las des batailles insurmontable
Et des traitrise de cette coalition noire,s'en allèrent
Leur âmes reposant enfin en paix.
Ankavos s'épuisait,et il dit a ses messagers:
"Je suis faible,malgré tout vos efforts.
Ne vous en faite pas pour votre Seigneur.
Partez ,chacun de votre coté,mais n'oublier pas.
Defendez vos vies,elles sont précieuses.
Nos chemin se recroiseront sûrement en mon royaume,
Mes fiers messagers!"
Redemption
Des fous sanguinaires,ou des âmes meurtries?
Voyageurs sans patrie ni raison
Poursuivant leur chemin
En quête de leur rédemption.
Aveugle, triste et perdu
De colère ou de désespoir
Sur leur chemin sèment la mort
Ame en peine,coeur de glace
Terrible situation que la recherche de la rédemption
Ni famille,ni ami a part eux même
Sur nos terres désolées ils se promènent
A la recherche de leur raison
Perdue depuis longtemps
Leur foi ancienne est perdue
Leur seigneur est parti.
Ankavos voulait qu'ils gardent espoir
Mais ils n'en ont plus
Traitrise et horreur
Voila ce qu'ils affrontent
Mais aveuglé par la rancoeur
Ils ne différencient plus innocent et ennemi
Quel terrible fardot,que la recherche de son âme
D'autres les rejoindrons
Pour trouver leur propre Redemption.
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Niki
Les Messagers d’Ankavos
En ces temps-là, nos jeunes compagnons,
Venus des quatre coins du royaume,
Se retrouvèrent un jour autour d'un bon pot,
Discutant à propos de fréquentes attaques de Crauchon.
Ils aimaient tant se retrouver,
Parmis les rires et les gorgées,
D'avoir des idées communes,
De les concrétiser entre amis.
Un beau soir d'automne,
Nos jeunes compagnons,
Alors qu'ils venaient de mourir sur le champ de bataille,
Se retrouvèrent comme bien souvent,
Pour discuter autour d'un bon pot,
dans une taverne de Tir na Nog.
C'est alors qu'Ankavos, La Mort,
Fit une apparition soudaine en cette taverne,
En quête de contacter nos jeunes compagnons.
La dite mission divine du grand Ankavos,
Est de récolter les âmes d'envahisseurs,
Equipé d'une faux émanchée à l'envers,
Mission qu'il ne pouvait plus accomplir seul,
Il avait besoin d'être aidé,
Par des âmes mortelles,
Qui acceptèrent sans relâche.
Au fil du temps,
Et au cours des années,
Nos jeunes compagnons,
Les messagers d'Ankavos,
Grandirent et furent à nouveau contactés par Ankavos.
Il était très fier,
Impressioné,
Du nombre d'âmes que ces mortels avaient pu récolter.
C'est alors qu'il les mis à défis,
De poursuivre cette mission en d'autres terres,
D'une manière plus amusante,
Certes plus difficile mais,
Plus constructive...
Et surtout,
Moins "fermière"...
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Grenouillebleue
Carpe mortem
Le vent qui gémit là n'a rien de naturel
Le froid omniprésent n'affecte pas leurs chairs
Morts depuis des eons, et pourtant immortels
Leur sourire sinistre a l'odeur du cimetière
Tremblez, que vous soyez, meurtriers, innocents
Car les Carpe ne font jamais de distinction
Surtout rappelez-vous, quand coule votre sang:
Profitez de la mort, maudissez notre nom.
Messagers de l'Ankou, de noir et rouge vêtus
Ils fouillent vos entrailles, mettent votre âme à nu
Et rient sans aucun son de vos tristes efforts
L'épée est inutile, il n'y a pas d'issues
Vous comprendrez trop tard, terrorisé, perdu,
Que l'on ne peut tuer ce qui est déjà mort.
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Trollesse
Redemption
Réveille toi petit garçon car il est encore temps,
Ecoute ma voix mon enfant, car je suis éphémère,
Demain, serais-je encore là ? Qui le sait seulement,
Etre une mère, une soeur me laisse un goût amère,
M'asseoir à tes côtés et doucement te bercer,
Petit garçon tu es ma source de vie et ma raison,
Trop longtemps je me suis égarée en cette illusion,
Innocence incroyable ou perfidie démesurée,
Oui aussi longtemps que je vivrai, je suivrai cette lignée,
Non, non je ne suis pas la mort, je ne suis que la rédemption.
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Prootch
Les dragons de Kalidor
Le Chant Des Dragons
Camlan Oh Univers,
Ou Je Pose ma Première Pierre,
A l'Edifice du Bouffon,
Ces Quelques Vers de Mirlitons.
Aux Ennemis, Ames de Pierre,
A leurs Abaques meurtrières,
Aux Nécrophiles à triste mine,
Je leur dédie cette comptine :
« Oh Ennemis Aux Chants de Fiel
Venez à Nous, Goûtez le Miel,
La Gorge Chaude, les Yeux Embués,
D'avoir Bien Rit et Trop Chanté
Séchez vos larmes Oh Rois du Triste,
Et Trop Sombre Royaume des Listes,
Vainqueurs de Quêtes Couronnées,
Sans Même Avoir Su Rigoler.
Je Vous Salue, Oh Doctes Lames,
Qui au Dragon Donnez vos Ames,
S'il vous plaît à l'heure de périr,
Pensez à nous, faites nous rire !
Venez à nous, Frères de Guerre,
Bouffons, Nous Sommes Fier,
De Nous Poiler et Parfois Pire,
De Rigoler à en Mourir.
Nous Vous Aimons, Oh Compagnons
Et du Plus Profond des Cruchons
Endormi Tout Prêt Du Bouchon
Bien Bas Vous Salue le Dragon ».
Voilà à vous de voter
La fin des votes est pour dans une semaine.
Bonne chance à tout les concurrents