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Ich möchte ein Eisbär sein im kalten Polar, dann müßte ich nicht mehr schrei'n, alles wär so klar. Eisbären müssen nie weinen. |
15/05/2003, 01h30 |
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Les mutants sont parmi nous
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15/05/2003, 01h36 |
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Xeen ?Satisferais tu un jeune curieux ?
*fais le beau* |
15/05/2003, 01h45 |
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S'il vivait aux USA, il assurerait son intelligence pour quelques millions USD.
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15/05/2003, 03h06 |
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15/05/2003, 03h12 |
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15/05/2003, 05h47 |
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Son nom est asiatique. Il a peut-être obtenu une bourse pour cette université et est parti étudier là bas.
C'est pourquoi j'ai dit s'il était américain. |
15/05/2003, 06h28 |
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Il est normal que dans des systèmes éducatifs censés éduquer le plus grand nombre des individus sortent un peu du lot.
En France on avait entre autres Arthur Ramiandrisoa (bac à 11 ans, ~170 de QI), le 20h y va chaque année de son interview du plus jeune bachelier (entre 4 et 7 ans d'avance environ), et tout ce petit monde finit traditionnellement chez Delarue pour répondre à la question "et les filles ?". L'aura de mystère de la précocité est associée dans la tête des gens, à 2 chiffres: - le nombre d'année d'avance (on donne toujours une classe et un age) - un QI A la suite de ça on entend inévitablement des mots à connotation extrême comme "surdoué", "génie", voire..."mutant" Aucun de ces mots ne saurait rendre la réalité de la vie intellectuelle, sociale et affective d'une personne qui potentiellement traite le programme de chaque année scolaire en 4 ou 5 mois, qui effectue une scolarité parmi des élèves beaucoup plus vieux (ou chez lui en cas de nombre d'années d'avance trop important). En bref ces mots, tout comme ces chiffres, sont loin d'être représentatifs de ce qui est souvent le fruit d'une insatiable curiosité intellectuelle qui vient de l'enfant, contrairement à ce qui est généralement montré lors des émissions télés. On ne peut pas, sur le long terme, gaver les enfants comme des oies à moins de les briser totalement ou de provoquer une réaction inverse. On cite souvent l'exemple d'Einstein qui était facteur mais qui cite ces enfants précoces qui finissent ...qui finissent où d'ailleurs ? pourquoi pas d'émission sur leur futur ? ou bien... disparaissent ils à l'âge de 18 ans, capturés par ces hommes verts au même périmêtre cranien ? Et surtout, pourquoi ces enfants, saturés en permanence de ces mots trop forts de sens, finissent en fin de compte par trouver comme tout le monde amis, travail, femme et enfants ? Pas le temps de développer ce matin mais je pense qu'il y a quelque part un "désir de normalité" en partie induit par ce décalage permanent entre ce que ressent l'enfant et la manière dont il est vulgairement estampillé génie. Quant aux relations sociales qui sont plus laborieuses, c'est une évidence, au moins à cause du décalage d'âge, encore plus critique à l'adolescence quand le physique (sport/drague) souligne les différences. Des écoles spécialisées comme le lycée Michelet (lycée d'élèves ayant entre 2 et 4 ans d'avance) y remédient partiellement. Mais au final tout le monde doit à un moment trouver son équilibre social, certains peut être plus que d'autres, et je ne pense pas que les enfants précoces soient particulièrement mal lotis à ce niveau, ayant généralement bénéficié d'un encadrement familial plus poussé, de la confiance en eux qui va avec, et bcp de temps libre (celui pendant lequel les autres tentent de comprendre ce que représente une foutue intégrale...) pour y penser Un lien pas mal avec des qualificatifs un peu plus élaborés... http://www.jourapresjour.com/2002/01...ssier_02.shtml Avram |
15/05/2003, 10h29 |
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Alpha & Oméga
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Regardez la lumière rouge *flash* merci *sort après son flashouillage* [post édité cause erreur d'aiguillage]
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15/05/2003, 18h13 |
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