Provient du message de Ludmilia
j en ai jamais essaye de simuler mais je ne vois vraiment pas comment reussir a simuler l ejaculation...
si elle arrive c qu il y a eu forcement du plaisir. donc ca n est pas une simulation meme si niveau plaisir la personne a connu mieux (orgasme).
de toute facon pour se faire chier pendant l acte il ne faut pas avoir de sentiments pour sa (son) partenaire... c donc simpe a eviter... rester avec qqn que l on aime.
Bon, je ne veux surtout pas me placer comme exemple dans ce domaine ; j'ai mon expérience pesonnelle, dont j'ai tiré mes propres leçons. Je bossais il y a quelques années dans un bar que je qualifierai "à la mode", et durant cette période, sans être ni magnifique, ni beau-parleur, je me suis trouvé confronter plusieurs fois (je n'ose pas dire de nombreuses fois) à la situation où une cliente souhaitais coucher avec moi et rien d'autre.
Donc bref, je ne couchais avec mes partenaires que pour le plaisir de la chair, et dans la plupart des cas c'était réciproque (malheureusement pas tous, mais ceci est une autre histoire).
Parmis ces partenaires, toutes n'étaient pas suffisamment expérimentées motivées pour me fournir le plaisir suffisant pour atteindre l'orgasme (pas plus d'ailleurs que je n'ai pu en apporter à toutes, mais... ahem... n'en parlons pas
).
Lorsque après une vague séance de vas-et-viens sans résultat, l'ennui commence à se faire sentir, et bien on se contracte un petit peu, on fait affluer le sang dans la verge, on pousse un petit râle, simule un frisson dans le dos, et le préservatif permettant de dissimuler le fait que la semence n'est pas émise, l'affaire est jouée. La simulation pour un homme n'a rien de plus difficile que pour une femme ; il suffit de faire croire à son partenaire que l'on prend un plaisir immense
Ensuite, je fais une distinction entre orgasme et éjaculation, parce qu'à mon sens, ce n'est pas la même chose.
Il me semble dur d'avoir un orgasme sans éjaculer, mais on peut s'en rapprocher beaucoup : les prémisces de l'orgasme sont selon mon expérience, des vagues de frisson nettement plus puissante que celles apportées par l'éjaculation, qui parcourent tout le corps en commençant par l'intérieur des cuisses, provoquant une sensation d'intense électrisation.
L'orgasme commence un peu avant l'éjaculation, et avec pas mal de volonté, peut être prolongé dans la durée. Son paroxisme est, toujours d'après moi, sur la fin de l'éjaculation, dont la durée est souvent proportionnelle au plaisir obtenu.
Concernant une simple éjaculation, au risque de choquer, le plaisir est le même que celui provoqué par l'onanisme. C'est quelque chose de très mécanique ; il n'y a pas d'alchimie de l'amour derrière.
n.b. : j'ai essayé de parler de tout ça sans plonger dans la pornographie, ni l'érotisme vulgaire.