Attente

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Attente

Monte, écureuil, monte au grand chêne,
Sur la branche des cieux prochaine,
Qui plie et tremble comme un jonc.
Cigogne, aux vieilles tours fidèle,
Oh ! vole et monte à tire-d'aile
De l'église à la citadelle,
Du haut clocher au grand donjon.

Vieux aigle, monte de ton aire
A la montagne centenaire
Que blanchit l'hiver éternel.
Et toi qu'en ta couche inquiète
Jamais l'aube ne vit muette,
Monte, monte, vive alouette,
Vive alouette, monte au ciel !

Et maintenant, du haut de l'arbre,
Des flèches de la tour de marbre,
Du grand mont, du ciel enflammé,
A l'horizon, parmi la brume,
Voyez-vous flotter une plume
Et courir un cheval qui fume,
Et revenir mon bien-aimé ?



voilà un petit poème que j'ai rédigé en rentrant pété, qu'en pensez vous ?
Citation :
Publié par Petite Paquerette
tu es jaloux de mon talent ?
Perso j'ai pondu ça il y a 5 minutes en mangeant de la pizza, donc non.

La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d'une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.
Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement renaître,
Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !
Citation :
Publié par Attel Malagate
Tu veut pas m'écrire un poème sur l'insomnie et l'ennui qui me pousse à aller sur JoL à des heures indues?
Il est tard et pourtant,
Nul sommeil ne me prend.
Sans arret je pense à mes problèmes.
Oh je voudrais tant proteger ceux que j'aime.
Ma vie la nuit possède deux aspects.
Nul bruit dans la maison, moment privilégié.
Il y a ce calme ambiant, cette serenité,
Et cette tempete dans toutes mes pensées.
Insomnie



L'alcool me pousse dans l'ennui
Et malgré l'étroitesse de ton esprit
Je ne peux qu'avaler ton sort
Qui malgré moi me dévore

J'entame une nouvelle soirée,
Loin des miens, sur JoL à galérer
Et ma soeur, cette catin
Se fait troncher (encore) par Corentin

NP
Une petite recherche vous montrera le réel auteur de ce/ces poèmes, je ferme ce post à flood.
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