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DĂ©fi aux OMBRE d'Hibernia...

Par Larme Assassine le 9/4/2002 Ă  15:59:15 (#1254902)

La nuit battait son plein sur la lande, les pales rayons de lune dardaient la cime des arbres, projetant une ombre de nuit. Un jeune renard a la queue blanche arpentait les bois en quête d’une cible pour son dîner, d’un pas Legé et délicat il trottinait entre les brindilles. Le vent tourna portant avec lui l’odeur si alléchante d’un lapin. Plissant les yeux, le chasseur cambras ses pattes et se cacha derrière un buisson, sa future victime s’abreuvait paisiblement de goutte de rosé déposé sur le revers des feuilles, elle ne semblait pas ce douter du danger qui la guettait. Le renard contracta ses muscles près à leur donner l’impulsion de la chasse, il attendit le bon moment et quand il vint ce précipita sur sa cible, mais elle avait disparu…

Larme Ombre, maître de la guilde des Ombres Assassines courait à travers la forêt, sautant d’ombre en ombre, il entoura, le fruit de sa chasse dans un drap de lin noir, le ficelât tout en continu à courir à vive allure. Il rangea le lapin dans son sac au coté de ses nombreux autres objets, tous entourés de tissus pour éviter leur entrechoquement, il releva ensuite sa capuche pour cacher son visage dans ses revers sombres. D’une grande agilité il esquivait les branche des arbres sans jamais les toucher, ne laissant aucune trace de son passage, il avait appris durant sa courte jeunesse la façon de marcher de son clan, qu’a chaque pas il devait casser son mouvement pour ne pas lui laisser le temps de s’enfoncer dans le sol.
La forêt s’arrêta brusquement laissant apparaître une immense muraille de pierre, les drapeaux d’Hibernia claquant fièrement au vent, les portes bien gardé et fermement renforcé contre toute invasion était encore inviolée, car derrière s’étendaient disait, les merveilleuses terres d’Hibernia, peupler de d’elfes de fées et de lutins, un monde plus coloré que sa terre d’enfance.

Le maître assassin repéra une cachette parfaite pour observé les allé et venu des habitants de son monde, si parfaite que ce serait très certainement la ou ce serait caché beaucoup d’assassin, mais pas Larme. Il trouverait l’endroit le plus improbable.

Le temps passa, la lune descendait lentement vers l’horizon, les oiseaux commençaient leurs chants matinaux. De nombreux allez et venu avait agité cette muraille, et il se trouva que beaucoup de revinrent jamais chez eux. D’autre blessé, se faisait porter par leurs amis, mais il y avait les vainqueurs arborant un casque pris à l’ennemi ou des morceaux d’emblème. Mais rien n’avait l’odeur ni la couleur de ce que recherchait l’assassin.
Quand ce qu’il attendit arriva enfin, et à sa plus grand surprise, n’apparu pas par la grand porte, mais se glissa le long de la muraille. Jamais il ne l’aurait perçu si l’assassin ne le recherchait pas activement, après plusieurs heures d’inaction Larme Ombre fit son premier mouvement, sa cible était engagée…

Par Syry Iris le 9/4/2002 Ă  20:08:44 (#1256616)

:lit: :amour:

miam :)

Par Aylan le 9/4/2002 Ă  20:39:09 (#1256784)

Noth se promene dans une foret d'Hibernia,
caché derriere un arbre, il observe un loup qui passe par là.

"Hya Nya !"

Le loup se retourne dans la direction du rire.
Des bruissons bougent imperceptiblement près du loup...

A peine conscient de ce qu'il vient de se passer, le loup sent son sang mouiller son pelage; mais déja le second coup est parti.
Un dernier coup et le loup est mort...

Fierement, Noth arrache l'oeil du loup pour l'ajouter Ă  sa collection.
"Hya Hya"

Noth entend des un bruit derrière un arbre et se cache dans un buisson.

"Jolie technique jeune Lurikeen", dit un vieil homme édenté.
"Vous avez vu !! il est plus gros qu'moi !! Moi j'fais la collection des zyeux ! mais j'vous laisse l'autre oeil si vous voulez!"

L'homme sourit.

"On fait des rencontres surprenantes dans les forets d'Hibernia... Non merci pour l'oeil, il me semble bien lĂ  ou il est."
"Moi quand j'serais grand, ben j'tuerais des Albionais et des Midgardiens !! et puis j'leur prendrais les zyeux! j'en ai pas encore dans ma collection !!"

L'homme masque difficilement un expression de dégout, puis sourit.
"Il va falloir bien t'entrainer pour cela mon jeune ami. Mais je ne me fais pas de souci, tu y arriveras..."

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http://coyot.dyndns.org/forums/noth.jpg

Par Selicia le 9/4/2002 Ă  23:35:06 (#1257829)

L'ombre de la lune...

Par Larme Assassine le 10/4/2002 Ă  9:49:38 (#1259317)

Larme descendit de sa cachette, réajusta sa cape, sortie son sac de sous un tas de feuille et ce remit en route. Sa cible se déplaçait à travers les bois a une rapidité affolant, Larme faillit la perdre de nombreuse fois, mais il connaissait dans les grandes lignes sa destination, il prit de gros risques en sortant de l’ombre pour gagner du temps. Au bout d’une course qui lui sembla interminable, l’Ombre c’était arrêté et était positionnée en hauteur de la route non loin d’une place forte Albionnaise. Sa cachette était parfaite, Larme se dit qu’il aurait eu du mal à la trouver s’il ne l’avait pas suivie, et la magie jeter par les prêtres et les mages de son royaume, avait été vitale à la réussit de sa filature. D’un revers de la main Larme Ombre essuya les gouttes de sueur de son front, il les épongea soigneusement sur le cuir de son armure. L’ombre ne bougeait plus, mais que diable pouvait t’elle faire ???
La réponse ne fut pas très longue, une unité de combattant se dirigeait vers le fort pour renforcer ses lignes, mais les hommes ne devaient jamais arriver jusqu’au porte de la cité, un par un l’ombre fondit sur eux, distribuant la mort telle une furie, son ballait macabre était d’une fluidité et d’une précision incroyable, les coups portés étaient tous mortels.
La faucheuse des ombres se tenait au milieu des corps allongés sur le sol, elle s’accorda un petit moment de contemplation, mais elle savait que des renforts allaient bientôt arriver, elle prit le temps de saluer chacun d’eux au risque d’une arrivé imminente et disparut telle sa venue sans laisser de traces.

Le vent fit onduler les capes des hommes allongés sur le sol, leur sang vermeille se joignant en une marre sinistre.

Larme contempla la scène avec admiration est horreur…le défi venait de commencer, les jeux étaient ouvert…




HRP

Je ne voudrais pas utiliser quelqu’un à son insu, alors si vous voulez participer poursuivez un peu l’histoire et vous serez très vite ou cela nous mènera…il peut y avoir plusieurs personnes :)...

La je peux pas :)

Par Larme Assassine le 10/4/2002 Ă  9:53:25 (#1259327)

HRP

Noth je n'ai pas passé la muraille d'Hybernia, donc même avec la plus grande volonté du monde je ne puis considérer ton histoire.

Amicalement...

Par Elrik Drakken le 10/4/2002 Ă  9:58:35 (#1259343)

HRP => Emain Macha, Mt Collory , Cruachan Gorge et Breifine font partie d'Hibernia ;) (enfin bientot midgard mais bon :p)

Par Aylan le 10/4/2002 Ă  13:39:12 (#1260655)

Je sais, je sais :)
et ce n'Ă©tait pas le but...
c'Ă©tait juste pour dire au passage "un jour, moi aussi..." :)

-/Noth

Mais toi aussi

Par Larme Assassine le 10/4/2002 Ă  15:57:14 (#1261631)

Pourquoi sous pretexe de ton petit niveau tu n'aurais le droit de faire du RP ?
Allons, si le coeur t'en dit carresse les touches de ton clavier.

Chacun sa place dans le meilleur des mondes :merci:

(Les Rp n'ont pas le but de terminer en session PK :rolleyes:)

Par Aylan le 10/4/2002 Ă  16:53:53 (#1262041)

Ce jour là, Noth avait décider d'aller mesurer sa force aux ennemis venus d'ailleurs, et autres bêtes écervelées.
Se cachant d'arbre en arbre et de touffe d'herbe en touffe d'herbe, il avancait en territoire Albionnais.

Attiré par des cris d'agonie non loin de là, Noth rampait sur le sol.
Arrivé en haut de la colline, il pu voir ce qui semblait être un compatriote au milieu d'un champ de cadavres.

"Un jour, je s'rais comme lui!!", se dit Noth.

DĂ©jĂ  l'ombre Ă©tait repartie...
Noth commencait déjà a se demander si il devait aller prendre les yeux des victimes, car après tout ils manquaient a sa collection.
Cependant, Noth n'aimait pas l'idée de dépouiller ceux qu'il n'avait pas tués, car les yeux perdaient alors leur valeur de trophée...

Noth ne put pas vraiment réfléchir dessus bien longtemps...
Un homme s'approchait discrètement des corps.
L'homme Ă©tait un ennemi d'Hibernia ! le premier ennemi en vi que Noth voyait de ses yeux.
Il semblait fort, trop fort pour Noth....
N'écoutant que son courage, Noth saisit une pierre de la taille d'un poing de lurikeen, et la lançât à la tête de l'ombre.
En touchant le casque de l'homme, la pierre rebondit.

"HYA NYA!"

L'homme se retourna, et regarda fixement le lieu ou Noth pensait être caché...
"un peu fort pour moi celui la... je vais retourner tuer des crapauds des collines moi...", se dit Noth

Sans attendre une seconde de plus, Noth partit en courant Ă  travers une foret de mauvaises herbe en direction d'une foret d'arbres...

PS HRP:
Ce n'est pas une question de lvl, mais plus une question de cohérence;)
Noth a son niveau ne s'aventure pas en zone frontiere...
il est sadique, méchant, jeune, mais pas si fou que ca ;)

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Bingggg <eco>

Par Larme Assassine le 11/4/2002 Ă  9:48:07 (#1266533)

Larme se trouvait au milieu du massacre, les corps allongés devant lui ne le soutirèrent pas l’ombre d’un sentiment. Tout massacre a une raison, quelque elle soit. L’odeur du sang picota son nez, une odeur familière, une odeur le replongeant dans des souvenirs douloureux.

Larme se tenait au milieu du massacre, immobile les yeux plongés dans le vague, refoulant de vieux démons.

Un choque brutal a la tête vint le sortir de sa rêverie, il se retourna pour faire face à son agresseur, se maudissant d’être si stupide d’avoir une fois de plus fait preuve de faiblesse, d’être passé à deux doigts de la mort. La créature humanoïde qui lui avait jeté ce projectile en signe de défi le regarda un court moment et disparu derrière le talus. Jamais l’assassin n’oublierait son visage, mais sur le moment présent il devait s’en tenir au plan. Il se retourna et courut à en perdre haleine, il avait pris trop de retard, à cause de son étourderie son plan était mis en danger.

Il devait retrouver lÂ’Ombre et viteÂ…

Par Larme Assassine le 12/4/2002 Ă  9:43:05 (#1272797)

Apres une traque qui sembla sans fin, l’ombre s’arrêta et ne semblera plus bouger. Larme se recula d’avantage dans les ombres, sa respiration diminua à devenir impénétrable…
Les minutes passaient, emportés par le vent sans espoir de retour, l’esprit de l’assassin sombra une nouvelle fois dans ses souvenirs.

Les trompettes de la victoire retentissait, le soleil reflétait de mille feux sur la plaine, le combat avait été remporté, les défenseurs anéantis. Un éclaireur gravit la tour de garde et y déposa un drapeau aux couleurs d’Albion, a ça vu un cri de joie raisonna dans la plaine, Larme ne pu empêcher un frisson de lui remonter l’échine. Son armure était tachée de sang, sa cape boueuse, il avait besoin d’un nettoyage, un troll aurait pu repérer son odeur a des kilomètres. L’assassin se dirigea vers les dortoirs en quête de produit de nettoyage.
L’attaque avait été longue et fastidieuse les défenseurs avaient tenu le siège durant de longues heures. On pouvait voir que les couches étaient en pagaille du probablement à l’arrivé des envahisseurs. L’œil avisé de larme balayait la pièce, quand il s’arrêta sur le corps d’un elfe étalé sur le sol, mort. Il tenant dans ses mains un morceau de parchemin finement décoré et bien protégé on pouvait nettement y voir le fin travail des elfes, mais la langue lui était inconnue, il se rendit donc de ce pas a Camelot pour y trouver un traducteur, l’homme lui remis la traduction d’un regard noir…

Larme lu le documentÂ…



Ce fut la révélation qui changea la vie de l’assassin.

LÂ’ombre restait immobile, ne donnant aucun signe de vieÂ…LÂ’assassin attendrait se signeÂ….



HRP

Certain se reconnaîtront ici

Patiente

Par Larme Assassine le 15/4/2002 Ă  9:12:30 (#1287809)

Par danogena le 15/4/2002 Ă  10:31:59 (#1287954)

moi aussi j'attend un mouvement (mais de l'ecrivain) .
beaux recits bien ecrit mais un peut court a mon gout .
comment ca je suis trop gourmand ??? :p

Par Selicia le 15/4/2002 Ă  18:29:40 (#1290312)

Elle respira doucement, humant l'odeur du sang qui l'environnait. L'excitation de la chasse était à son comble, ce soir encore, elle ferait honneur à son peuple, à sa race. Sa langue passa sur ses lèvres délicates, passant sur les gouttes sanglantes qui les maculaient. La forteresse d'Albion se révélait devant elle, la grossièreté de son architecture n'étant qu'un piètre écrin à la merveille qu'elle contenait.

Même chez les plus puissants enchanteurs Elfes, le bâton de Merlin était mythique. Depuis la mort du Pendragon et la disparition de son magicien, le royaume d'Albion était certes affaibli, mais la magie brutale des humains représentait un danger pour la terre des Elfes. A partir de maintenant, elle se devait d'être prudente. Le petit groupe qu'elle avait libéré de cette lourde charge qu'est la vie était suffisamment éloigné pour que la garde ne le repère pas, mais cet endroit était gardé par l'élite. Et toute princesse siabra qu'elle était, elle ne ferait pas le poids face à une horde de ces combattants fanatiques.

Avec une remarque acerbe sur la trop grand confiance des humains en leur force brute, elle fouilla son sac. Elle en sortit un petit parchemin scellé que lui avait remis un des maîtres de Tir Na nOg. Elle brisa le sceau et prononça les paroles de l'enchantement. Un halo lumineux la nimba et lorsqu'elle rouvirt les yeux, son corps gracile d'Elfe avait pris l'apparence d'une humaine.

Elle sourit et maudit l'esprit pervers du vieux mage Tilandeus ... ce vieux cochon lui avait donné la forme d'une courtisane humaine. En songeant qu'elle ressemblait desormais aux créatures qu'affectionnait un highlander de sa connaissance, elle se dirigea, à découvert vers l'entrée. On lui avait dit que les humains avaient énormément de mal à résister à la vue d'une femme bien faite et si ses renseignements étaient exacts, ceux-là n'en avaient pas aperçu l'ombre d'une depuis des mois (si l'on exceptait les femmes trolls qui n'avaient pour toute fémininité que le nom de la pierre qui les constituait).

Elle jeta un coup d'oeil en arrière, l'ombre qui l'avait poursuivie était toujours là, certes compétente, mais fort peu protégée contre les sortilèges d'Hibernia et les yeux d'une Elfe.


PS. Pour ceux qui s'interrogent sur la provenance du texte cité par Larme, ils peuvent venir voir les Rodeurs, sur www.rodeurs.net

precision

Par Crovax le 15/4/2002 Ă  22:39:13 (#1291873)

petite precision pour ceux qui ne le savent pas encore les Ombres assassines est une guilde de sicaire ... voila c'est tout desoler d'avoir casser le rp mais je me rattraperai

Re: precision

Par Selicia le 15/4/2002 Ă  23:54:51 (#1292235)

Provient du message de Crovax :
desoler d'avoir casser le rp mais je me rattraperai


Qu'on empale ce gueux pour avoir osé faire de la casse

Dur echec...

Par Larme Assassine le 16/4/2002 Ă  12:05:34 (#1293768)

Cela faisait plusieurs heures que le renard à la queue blanche tentait de grimper sur l’arbre pour aller y déguster les petits oisillons fort appétissants, leurs cris hystérique lui donnait l’eau à la bouche. Assez peu a son aise sur cette branche il avançait prudemment. Le vent fit légèrement ballotter la branche, manquant de le faire tomber, le renard aperçut les adorables petits qu’il cherchait, ils appelaient leur mère de toute leurs forces, mais leurs cris mourut dans l’infini de la nuit.
La lune fut soudainement couverte, l’obscurité enveloppa le renard, un voile de peur traversa son regard. Il sentit un étau se resserrent autour de son cou, le soulever de la branche, les yeux dilatés le renard faisait face à un homme. L’homme le plaça au-dessus du vide et émis un son de sa bouche incompressibilité pour lui, puis lâcha prise, le sol s’approchait à grande vitesse, le renard eu un grand moment de solitude.

Larme reprit ça route, un sourire se dessina sur son visage plongé dans l’ombre, la pauvre bête, pensa t’il mais rien ne le dérangeait plus que d’enfreindre les règles de l’honneur. Pour qui que ce soit. Mais il ne devait pas trop se disperser à des broutilles.

Les pas de l’ombre l’avait conduit à la forteresse Albionaise, Larme essuya les gouttelettes de sueur de son front, il commençait à perdre le contrôle de la situation. Tout avait bien commencé, elle avait attaqué l’unité prévue, elle les avait battu avec facilité et avait repris son chemin, mais Larme n’avait pas prévu qu’elle vienne si proche de ses frontières, la folie l’habitait t’il les gardes de la forteresse seraient venu à bout d’un assaut de troll, l’assassin plissa les yeux, il fallait qu’il reprenne les choses en mains. Les ténèbres furent soudainement repousser par un halo de lumière, l’arrachant à sa furtivité, il se plaqua contre l’arbre en désespérance de mieux. Quelle idée il avait eu de défier une ombre, désormais il s’en mordait les doigts, il avait été trop loin pour reculer. Il se décolla lentement de l’arbre et regarda vers la cachette de l’ombre, elle avait disparu !!!! L’envie de hurler fut trop forte, l’assassin serra les poings de toutes ses forces, se blessant les mains, laissant un filet de sang couler sur le sol, quand il les ouvrit il avait dessiné des demi-lune de sang sur ses paumes.

Il balaya la plaine de yeux il n’y avait que peu de monde, des gardes les yeux rivés sur l’horizon impatient d’en découdre avec l’ennemis et une jeune courtisane, du type que les mercenaires ou les highlanders aimaient à fréquenter, il ne vit pas son visage.

Bien, l’ombre croyait pouvoir se débarrasser de lui si facilement, elle se trompait…Larme sortie précipitamment son sac un sablier, les derniers graines de sables s’était engouffré déjà depuis un bon moment dans la gorge. Son plan numéro un avait échoué, le poison que ses assassins déguisés en soldats lui avaient administré avait échoué, une magie élfique ou autre avait détourné ses effets.
QuÂ’il en soit ainsiÂ…
Mais ses hommes avait réussit à la recouvrir d’une poutre de lune, cette poudre était connue des assassins d’Albion elle s’utilisait en relation avec une pierre blanche, qui a son approche chauffait légèrement et plus la pierre était proche et plus elle chaufferait, elle ne pourrait lui échapper.

Larme sÂ’engagea sur les pas de lÂ’ombre dans la forteresse dÂ’AlbionÂ…ou ses pas le conduirait tÂ’il ???

<Sourir>

Par Larme Assassine le 17/4/2002 Ă  14:44:32 (#1299975)

:lit:

Par Selicia le 17/4/2002 Ă  17:48:56 (#1301101)

Le corset de Selicia la serrait atrocement et elle peinait à respirer correctement. Les formes que lui avaient donné le sortilège de métamorphose étaient autrement plus voluptueuses que les siennes. Comment les femmes humaines pouvaient-elles être efficaces avec ces attraits ? En tout, cas l'étroitesse de ses vétements ne faisait que les souligner un peu plus. Elle se tortilla dans le vain espoir de soulager sa gêne, ce qui ne manqua pas de plaire au garde de faction d'ailleurs ...

Garde : Et bien ma p'tite dame, faut pas vous promener toute seule par ici, c'est dangereux. Il y a des créatures infâmes qui rodent ici, des morts vivants, des trolls, des nains....

Selicia : J'ai bénéficié de l'escorte fort courtoise de quelques membres de la sainte Eglise. Ils ont tous tenus à me bénir afin de me protéger pour le chemin qui me restait à parcourir.

Garde : Des bénédictions ... !! Rien ne vaut l'acier et les muscles ma p'tite dame. Quand il s'agit de défendre le baton de Merlin, on ne peut compter que là-dessus. Le reste, c'est pour amuser les gosses et les donzelles - sans vouloir vous vexer mam'zelle.

Selicia : Le bâton du sage Merlin ? La Dame m'en parlait quand je suivais l'enseignement sur les îles d'Avalon. On le disait très puissant et ... très porté sur la chose.

Garde : Ce n'est un secret pour personne que Merlin compensait largement la chasteté de notre bon Roy - Dieu le garde. Oui ... fort vigoureux ... pour un mage bien sûr. Nous'aut guerriers sommes d'une autre trempe.

Selicia : Vraiment ?

Garde : Tu veux vérifier ma jolie ?

Selicia : Hummmm, pourquoi pas, mais vous ĂŞtes de garde et je ne voudrais pas vous troubler dans votre mission.

Garde : La relève est toutes les 4 heures, dans une demi-heure j'aurai fini et je serais tout à toi.

Selicia : Et pour entrer ? Il fait nuit et je préférerai ne pas rester dehors ...

Garde : T'inquiète fillette, je te montrerai comment entrer et sortir discrétement de la forteresse sans te faire voir.

Selicia : Comme cela nous pourrons être seuls ... tous les deux et à l'abri . Vous êtes un véritable chevalier.

Garde: Toi, t'es le genre qui m'plait ... Je vais te montrer comment passer sans te faire repérer par les gardes des tours et des ramparts

Selicia : Vous ĂŞtes trop gentil, je ne sais comment vous remercier, vraiment

Garde : On trouvera, on trouvera, t'inquiète

L'inatendu et la fin d'un grand projet

Par Larme Assassine le 18/4/2002 Ă  12:02:36 (#1304579)

La femme parlait avec un garde, l’homme d’une allure vulgaire semblait subjugué par la jeune courtisane. Larme connaissait cette forteresse pour y avoir séjourné un temps dans l’obscurité et la noirceur de ses cachots infestés de rat. Il avait réussit à s’en échapper une fois par chance, mais il n’y avait jamais séjourné pour de grosse peine. Il se colla au mur sorti des gants incrustés de clou et des chaussons d’escalade et gravi le mur jusqu'à la fenêtre du lieutenant de la garde. La chambre était plongée dans l’obscurité, les ronflements de l’homme à forte corpulence faisaient vibrer un verre encore plein de vin de Salysburie. L’assassin approcha de la chaise sur la quelle était posé les affaires du gradé, mais s’arrêta soudain quand il vit une ombre bougé sur le sol, sa main se retrouva instantanément sur la garde de sa dague. Il resta immobile sans bouger. Ses yeux s’habituèrent à l’obscurité épaisse de la pièce, il observa la masse remuant lentement et irrégulièrement sur le sol froid de la chambre. Larme leva un sourcil quand il vit le corps d’une elfe attachée avec une chaîne fixé à son cou. Ses habile léger mettant en valeur des formes avantageuse ne la protéger gère de la température mordant de l’extérieur. Son petit corps tremblotant était blottit contre les pieds essayant de trouver confort et chaleur, ses oreilles d’une droiture si fière et noble étaient recroquevillés sur elle-même, comme fanées par le temps et la souffrance, ses joues gonflées par les larmes versées avant de s’endormir avait la pâleur de la mort. Larme leva lentement la tête et jeta un regard de haine au lieutenant, enveloppé dans ses épaisses couvertures de graisses et de tissus. Un voile de folie traversa le regard de Larme, l’envie de planter ses dagues dans ce gros tas et de les faire raper sur ses os, lui faisait vibrer le corps entier. L’infiltrateur enfila un uniforme surdimensionné pour lui avec des petites épingles il le réajusta à sa taille, un œil avisé verrait la différence mais pas c’est imbécile de garde. Il sortie de sa double manche une petite fiole, il la plaça en dessus de la serrure de la chaîne et en versa avec soin le contenu une petite fumée s’en dégager aussitôt, Larme sortit sa dague la plaça dans la serrure et força d’un coups sec, le mécanisme céda. Larme retira les entraves du cou de l’elfe, la réveillant douceur même coups, elle ouvrit avec difficulté les yeux pour plongé son regard dans les yeux noisette de l’humain.
Le silence.
Le soupçon d’un souffle.
Le murmure d’une pensée.
Le battement dÂ’un cÂśur.
L’elfe comprit aussitôt les intentions de l’humain, elle se laissa faire. Avait t ‘elle le choix ?
Larme l’aida à se lever, et la dirigea vers la porte de sortie, il ne souhaita qu’une chose que le gros tas ce réveil ainsi il aurait le plaisir de lui jeter sa dague entre les deux yeux et ne tacherait pas son code de l’honneur. Que faisait il ? Qu’elle folie l’habitait pour risquer sa vie pour une elfe, qui une foi libre en profiterait pour se venger, et les hommes en userait de magie pour retrouver le coupable, il avait laissé une empreinte magique et il était tristement connu de ses paires. Au diable la raison cracha t’il…Le corps de l’elfe était Legé et ferme cela lui faciliterait la tache.

Le chemin était libre, les couloirs envahis par les vrombissements des ronflements des gardes, cela faciliterait l’évasion. Larme supportait le corps de l’elfe marchant rapidement dans les couloirs, il devait regagner l’aile est, il connaissait un passage sur pour s’échapper facilement d’ici. Il s’engouffra dans un escalier l’amenant dans les douves et tomba nez a nez avec un garde, le visage traversé d’un immense sourire, accompagner d’une courtisane aux formes parfaite. La folie avait rejoint la réalité, les secondes étaient contés il devait réagir…


HRP

Désolé pour cette longueur…

Par Selicia le 18/4/2002 Ă  15:36:10 (#1305568)

Ce garde humain était par trop facile à manipuler, il lui avait à peine fallu un sourire et un corset un peu seyant pour qu'il fasse ses quatres volontés. Elle avait même réussi à le décider à la faire entrer dans la salle du baton de Merlin, sous le prétexte que la proximité d'un tel objet de pouvoir ne pouvait qu'attiser ses sens. Cet humain avait acquiscé comme un bovin quelconque, persuadé que son charme inexistant avait un effet sur la jeune femme qui se trouvait devant lui.

Elle remontait l'escalier, se pendant au bras de son chevalier servant, comme tout femelle humaine semblait devoir le faire. quand une forme fit irruption devant eux. Un humain, supportant une elfe, se trouvait devant eux. Le garde sortit son arme en inspirant profondément avant de pousser un cri. Mais ce dernier mourut quand un coude s'enfonça violemment dans sa gorge.

Il tituba en arrière en toussant et crachant. Quand il retrouva ses esprits, ce fut pour voir sa compagne d'un soir le menacer d'une dague suintante.

Selicia : Un cri, un bruit, un soupir, humain, et tu quitteras ce monde d'une façon particulièrement déplaisante.

L'assassin tourna son regard vers les deux arrivants, Elle ne connaissait pas l'elfe mais celle-ci semblait avoir été torturée à de maintes reprises, sa peau pâle était couvertes de cicatrices, dont certains étaient très anciennes. En revanche, elle reconnu dans l'humain celui qui l'avait suivie dans les bois.

Selicia : Tu n'es pas des notres humain, tu es d'Albion, pourquoi aides tu cette elfe ? Et pourquoi me suivais-tu ?
Garde : Traître à ta r...

La dague s'enfonça jusqu'à la garde dans le coeur de l'homme, le poison s'insinuant dans son système sanguin en quelques secondes. De violentes convulsions l'agitèrent quelques instants avant qu'il ne tombe au sol, le visage violacé. L'assassin se détourna du cadavre en puissance, pointant vers son "confrère" une rapière apparue comme par miracle entre ses mains.

Selicia : Nous serons plus tranquilles, maintenant, répond à mes questions, humain, où tu subiras son sort.

Trouble dÂ’esprit

Par Larme Assassine le 18/4/2002 Ă  16:53:16 (#1305965)

La courtisane sortie de nul par une dague enduite de poison, d’une rapidité fulgurante elle le paralysa et le menaça de sa dague, qui entre ses mains semblait être la pire des armes. Les muscles de Larme commençaient à fatiguer, le poids de la jeune n’était pas important mais a long terme il devenait un fardeau terrible.

-Tu n'es pas des notre humain, tu es d'Albion, pourquoi aides tu cette elfe ? Et pourquoi me suivais-tu ?

Les paroles tourbillonnaires dans lÂ’esprit de lÂ’assassin.
avait t’elle dit ??? Elle une courtisane, qui était en réalité bien plus qu’elle paraissait être.
Â…Son regardÂ…
, elle devait ĂŞtre dÂ’un autre royaume, probablement dÂ’Hibernia.
Â…Son regardÂ…
C’était elle ?, cette humaine et non pas une Elfe, dans de telle accoutrement, il n’avait jamais entendu parlé d’humaine de ce royaume chevauchant les ombres, et la façon d’on elle s’était battue et sa grâce dans le mouvement…
Â…Son regardÂ…
Larme plongea ses yeux au plu profond de son âme, cherchant à lire ses pensées, ses yeux ne lui mentirait pas…
Elle semblait si rude, si froide, vivant une vie autre que son destin, marchant sur le fil du temps a contre pied, elle cachait une âme de douceur et de saveur, n’on pas celle d’une dame de la nuit. Le Sicaire sut qu’elle n’était pas humaine, elle devait user d’un déguisement, d’un
subterfuge.



Larme pausa la corps de l’elfe sur le sol, la jeune fille regardait son aîné avec espoir.

Le cœur de l’assassin battait la chamade, il refoula ses appréhensions, faisant le vide dans son esprit.

-Je suis Larme Ombre Maître de guilde des Ombres Assassines, guilde d’assassin de ce royaume que tu nomme Albion, et sur le quel tu foule la terre.
Le maître de guilde marqua une pause.
-Et toi tu n’es pas humaine, je n’ai jamais vu, humain se mouvoir comme tu le fais…ni se battre de cette manière.
Larme avait repris le contrôle sur lui même, ses muscles avaient repris vigueur, son souffle était régulier et léger, presque imperceptible.
-je crois que les raisons pour les quels je te suis et pourquoi je suis la, avec cette créature, n’ont pas lieu d’être révélées dans cet escalier. Les gardes risquent à tout moment de passer, il y a une patrouille qui passe ici toutes les 2heures et je n’ai pas tenu le conte du temps.
-Prend cette elfe avec toi, je t’aiderais à sortir de ce château avec elle… Je ne puis traverser la muraille avec elle, toi si…

-HRP-

Je te laisse parler un peu et agir un peu

:blabla:

Par Selicia le 22/4/2002 Ă  15:03:48 (#1327384)

L'assassin d'Albion la regardait fixement, elle pouvait ressentir sa peur, son exitation et sa détermination mélés. Il savait que derrière ce masque humain se cachait une autre personne et il avait sauvé cette Elfe, pris le risque de mourir, d'être pris, de trahir pour sauver la vie d'une Elfe. Elle se prit à se demander qui pouvait être cet homme près à trahir son peuple pour sauver une ennemie.

Elle hésita ... une simple pression aurait suffit à faire pénétrer la rapière dans la chair de l'assassin. Le poison violent qui recouvrait l'arme le tuerait avant qu'il ne touche le sol. Mais la curiosité était plus forte, voilà un adversaire, une ennemi, qui la suivait depuis qu'elle avait traversé la frontière d'Hibernia. Un ennemi qui avait tout risqué, à commencer par sa vie, en la suivant, et il abandonnait sa mission pour aider une étrangère.

Elle abaissa sa lame

Selicia : Va-t-en humain, va-t-en et ne te retourne pas, je m'occupe de ta protégée, elle retrouvera la chaleur d'Hibernia. Pour cette fois je t'épargne ...
Larme : Une vie pour une vie ?
Selicia : Une vie pour une vie ... l'honneur n'est pas reservé à vos paladins. Mais que je ne te recroise plus, ou je couperai le fil de ta vie.

L'assassin s'eclipsa discrétement alors que l'Elfe se tournait vers la jeune congénère.

Selicia : Je vais te sortir de cet endroit infâme ma soeur, demain matin, nous serons de retour en Hibernia. Il me reste deux petites choses à faire et nous nous enfuirons.
Elfe : Est ce vrai ? Es tu bien une Elfe derrière cette apparence humaine ? N'es tu pas un de ces jeux pervers que les humains inventent pour me tourmenter ?

L'assassin Elfe prononça le mot de pouvoir qui libérait le sortilège de métamorphose et reprit sa forme originelle. Elle rattrapa de justesse son corset qui commençait à glisser et le ressera prestement.

Selicia : pffff !! Quel plaisir de retrouver sa véritable peau. Es tu convaincue maintenant ?
Elfe : Ou ... oui
Selicia : Suis moi, et sois silencieuse.

Selicia entreprit de se débarasser du corps du garde et le fit rouler jusquà un réduit et en bloqua la serrure. Les humains mettraient du temps à se demander d'où vient cette puanteur immonde. Puis, se remémorrant les fanfaronnades du garde, elle se dirigea vers la salle qu'on lui avait demandé de repérer.

Laissant la jeune Elfe dans une petite pièce vide, elle se faufila jusqu'à l'antre du bâton de Merlin. La porte était gardé par deux hommes en armes et un poste de garde en contenait encore trois. Usant de ses sortilèges, elle repéra les glyphes de garde et les sortilèges d'alarmes apposés sur la porte. Satisfaite de son exploration, elle redescendit retrouver sa protégée pourqu'elles puissent s'eclipser toutes deux.

Par Silent Auben le 22/4/2002 Ă  16:14:06 (#1327711)

mmmhhhh j'hesite a m'insinuer dans tout ca.
Pourtant l'occasion est trop belle pour ne pas venir en aide a Larme.
Peut etre vais je continuer a observer ces deux jeunes assassins jouer au chat et a la souris.

Silent'Auben

Ceci n'est pas la fin...juste le commencement...

Par Larme Assassine le 22/4/2002 Ă  17:00:24 (#1327918)

Larme remonta les escaliers deux à deux, ses pas frappant rapidement le sol ne faisait aucun bruit, sa respiration régulier et légère résonnait très faiblement dans le petit couloir. Larme tourna brusquement a un étage, non pas inconsidérément, il s’engouffra dans les ombres épaisses de la pièce, parcouru par un frisson lors de leur contact rassurant, l’assassin passa par la fenêtre escalada le mur et grimpa sur le toit. Le vent jouait avec sa cape noire, les attaches de son armure de cuire clapotait au rythme des bourrasques. Larme était en conflit avec ses pensées. Lentement il leva les mains ouvertes en grand et les porta à son regard.
-Des elfes souffla tÂ’ilÂ…
Il avait passé sa jeune a les imaginer, a rêver d’eux et de leur monde, il n’avait jamais pris au mot ses histoires de pilier de taverne concernant des être terrible et sans cœur. Larme sortie le parchemin de sa ceinture. Il commença sa lecture…

Par ce manuscrit Ă©crit depuis la nuit des temps
Chaque RĂ´deur jureÂ…

Les RĂ´deurs, guilde dÂ’Hibernia, lÂ’assassin regarda la signature de ce parchemin, et repensa au petit insigne que portait lÂ’elfe. Elle faisait partie de cette guildeÂ…un sourire sÂ’afficha sur le visage de lÂ’humain, le hasard devait les mettre plusieurs foi sur son chemin.

Larme vit s’éloigner les deux elfes courant tel des antilopes, il les vit disparaître dans les ombres des bois, elle avait pris son temps pour sortir de la forteresse, certainement avait t’elle exploré les lieux. Elle allait revenir, et cette fois ci Larme n’échouerait pas…mais ce que ne savait l’ombre qui repartait plein de victoire dans la tête c’est qu’elle emportait avec elle un souvenir des terres d’Albion, un souvenir difficilement effaçable, aussi vieux que l’origine de la roche…La poudre de Lune…

Il lui resservait la surprise de la suite, l’assassin sortie le caillou encore chaud de sa poche…On se retrouvera ombre, toi et les tiens…et sache qu’a chaque pas que tu feras sur nos terres nous serons là, les ombres d’Albions sont gardés désormais…
:merci:

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