Bon voila, j'en fais pas souvent, mais quand j'en fais, je le fait pas a moitié.
C'est un bon pavé, c'est a theme assez triste, comme mes precedents.
Bien que l'inspiration etait la, mon vocabulaire lui, etait absent, je passe d'habitude beaucoup plus de temps a les rediger, donc soyez indulgents.
Le voila, j'ai pas encore trouver de titre:
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Je suis allongé sur mon lit
Je sens un froid qui m'envahie
Traversant chaque pores de ma peau
Malgré qu'où je suis il fait chaud
Je ferme les yeux, et rejoint le monde de l'imaginaire
Hier encore si intensé, aujourd'hui il est vidé
Mes pensée a rejoint les confins de l'univers
Jamais je n'ai ressenti une tel sérénité
Alors que le froid vient me devorer
Je sens mon esprit s'élevé
En moi je sens monté une harmonie
Je fusionne avec l'infinie
Dans ce monde, je ne connais plus de problemes
Ressentir ca un jour, je ne l'aurai jamais cru
En moi, plus aucune once de rancoeur ou de haine
Meme la tristesse et la melancolie ont disparu
Tout est si noir, ces tenebres sont si glacé
Je flotte dans le neant, mais je n'en ai plus peur
C'est dans ce calme qu'elle s'est devoilé
je sais desormais que je suis pret, il est l'heure
Soudain, de ces tenebres, jailli une lumiere sacrée
Perforant ma chair comme du vulgaire papier
Je sent soudainement une chaleur me bruler
Des flammes, en vision, puis me voila reveiller
Dehors il pleut, j'entend la pluie sur mes volets
J'ai toujours aimer la pluie, entendre le tonnere gronder
Une larme coule sur mes joue, mais j'esquisse un sourire
Aujourd'hui est un bon jour pour mourrir
Je me leve, et ouvre cette boite de pandore
Je sais ce qu'elle contient, mais pas ou elle peut me mener
Je sens une peur, mais je sais que je dois etre fort
Dans cette boite, des scalpels sont bien rangés
D'un geste lent, j'en prend un dans ma main
Quand soudain un souvenir me revient
Une vision; de mon bras ce sang jaillissait
Mais cette fois ci, il ne faudra pas l'arreter
D'une main tremblante, je pose la lame sur la gorge
Je sens mon sang circuler au rythme d'une forge
La lame contre la peau, je me mets a douter
Suis-je vraiment sur de vouloir m'en aller
Je regarde tout ce qui est passé
Je ne vois que tristesse et regret
Voila que je me mets a pleurer
Si ma famille me voyais
J'essaye de trouver un bon souvenir
Mais je crains de ne pas y parvenir
Il n'y a vraiment rien a quoi me racrocher
Je ne vois pas pourquoi hesiter
Je serre tres fort mon poing
J'appuie sur la carotide
Je sens venir la fin
Il faut que je me decide
J'ai si froid, et si peur
Je tremble, je ne peux pas m'arreter
J'aimerai tant un peu de chaleur
Mais il n'y a personne pour m'enlasser
Je sens mes yeux s'affoler
Cherchant desesperement un reconfort
Quelque chose a quoi se rattacher
Tout tourne autour, j'en perd le nord
Je me tourne vers mes volet fermer
Un rayon de lumiere, y est rentré
Je pense a Dieu et a la Vie
Je serre les dents, et j'appuie!
Tel le froid de la melancolie
Qui dans mon coeur a fait son nid
Le froid de cette lame d'acier
Au coeur de ma chair a penetré
Je vois mon sang s'echapper
je ressens ma vie s'en aller
Je sens mes pieds se derobé
J'etend la mort s'approcher!
Au contact de son souffle, mon sang est glacé
J'essaye desesperement de hurler
Mais ma voix est completement bloquer
Je la sens m'enlacer, sa main est gelé!
J'essaie de bouger, je suis paralysé
J'essaye de crier, je suis muet
Ses doigts passent au travers de ma chair
Et vient ebranler mon ame toute entiere!
J'ai tellement peur et il fait si froid
Ma vue se brouille, je n'y vois plus rien
Je sens ma tete me tourner, et mon corps tomber
Mon corps et mon ame commence a se separer
Cette douleur me dechire, j'aimerai pourvoir en finir
Une larme coulant sur ma joue, voila mon dernier souvenir
J'entre dans un monde remplie de tenebre
Marchant au rythme d'une marche funebre
De ce sombre monde jailli une lumiere sacrée
Perforant ma chair, comme un vulgaire papier
J'y croise le regarde de Dieu, il m'a jugé
J'entend sa sentence, je suis condamné
Nul ne dois defier dieu, ni ses loi
Chacun dois mourir quand il le doit
J'ai pêcher, la sentence je la savais
Pour l'eternité en enfer je dois bruler
Pas de cause a plaider, il ne veut pas m'ecouter
Juste sous mes pieds, je sens le sol se derober
Et dans un abime je suis en train de tomber
Je sais ce qui m'attend, je suis en train de regretter
M'y voila, des colonnes de flammes, des rocher brulant et le lac de feu
Des visages tordu de douleur, des milliards de pauvre erre, voila ce que voyent mes yeux
Des pleurs, des gemissement et des cris d'agonie sans pareil
Voila le seul chant qu'entendent mes oreilles
Le voila, il est venu m'acceuillir
Il va maintenant m'emmener
Je n'aurai jamais du en finir...
Je sens sur ma joue une larme couler...
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