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Eowyn et la demande de Cynil

Par inconnu12 le 9/10/2001 à 10:44:00 (#344164)

Moi et mes compagnons atteignirent l'île de Nivaskiés. Nous avions, en ce temps, croisés un homme du nom de Cynil qui avait croisé le fer avec nous lors dune rencontre fortuite avec un terrible Bullywug. Lhomme, voyant notre bravoure et notre respect des règles de combat, nous avais suivi, sa présence était grande et nous aimions ses histoires à propos de ses hommes.

Lîle faisait environ de 7 km de large environ recouvert d'une lande sèche et humecté par la pluie incessante. Le chef de ce village s'appelle
Gilnorus, nous dit un berger au début de la lande. Dans notre précipitation, nous n'avions même pas pensé à nous assurer de ce que nous allions découvrir dans lîle et nous partîmes, épée à la main, bouclier dans lautre.

A force de parler avec Gilnorus, il nous avait appris qu'il y avait une caverne sur le littoral renfermant des êtres maléfiques. Mais à l'intérieur nous ne trouvions qu'une bande de troglodytes couards. Nous décidâmes de capturer les deux chefs pour les ramener au dieu-dragon, et éviter de tuer un innocent ou même deux.

Arrivant à la grotte, le combat fut rude et Cynil, de sa grande bravoure au limite de la féerie, combattit comme un chef à nos cotes. Le combat durait depuis 7 heures sans relâches. A un moment, Cynil pris la lame dhêroisme dun démon dans ses cotes et tomba à genoux. Laidant du mieux que nous pûmes, nous réussîmes à capturer les deux chefs non sans la perte de deux de nos hommes et de la blessure assez grave de sieur Cynil.

Alors que nous étions en train de remonter le moral aux troupes, sieur Cynil vint vers moi, encore tremblant et me tins ces mots.


- "Sieur Noryte, je vais être indisponible pendant un moment le temps que ma blessure guérisse, tenez guerrier, prenez cette bourse et rendez-moi un service."

Je ne pouvais lui refuser, il mavait sauvé la vie lors dun récent combat sur des lions de Némée. Jaccepta son aide. Un petit voyage ne pouvait que me faire du bien.

- "Je vous écoute sieur Cynil."

- "Partez sur les terres de Goldmoon et cherchez mon Clergé et dites leurs que je vais bien. Et si, dans les doutes ou les tourmentes ils sont, faite de votre mieux. Ma récompense nen sera que doublé mon ami."

A ses mots, je fis une révérence et lui promis daller les voir afin de voir ce quil se passait. Je saluais mes compagnons et leurs promirent que jallais revenir sous peu à leurs cotés. Jallais arriver à Arakas dans 9 jours.

[ 09 octobre 2001: Message édité par : Eowyn Noryte ]

Par Kajivette le 9/10/2001 à 11:12:00 (#344165)

La jeune paladine luttait tranquillement aux abords de StoneCrest, tentant une fois de plus de libérer l'entrée de la ville des chapardeurs et autres créatures malfaisantes lorsque elle ressentit une vive douleur sur le coté.

Portant la main vers son ventre, elle s'assura d'abord que l'enfant qu'elle portait ne souffrait pas et décida de rentrer en ville pour se reposer un moment.

Sa pierre étoile se mit à luire doucement.

Hâtant le pas, elle entra à la taverne et s'assit dans un recoin sombre.

Puis, elle sortit délicatement la pierre et plongea le regard dans ses volutes bleutées.

Elle ne distinguait rien que les restes d'une féroce bataille mais un nom lui martelait le crâne.

Cynil, leur guide, l'envoyé de Brehan...

Elle réalisa soudain que cela faisait des lunes qu'il n'était pas revenu au Temple et que personne ne savait où il se trouvait.

Une vive inquiétude lui vrilla l'estomac.

Abandonnant son verre de Lait Fraise, elle jeta négligeamment quelques piécettes d'or sur la table, bien plus que le montant qu'elle devait au tavernier et se précipita vers le Temple de Brehan en murmurant:


- Bardiel, je dois trouver Bardiel et lui parler au plus vite. Quelque chose se prépare...

Portant la main à son sein, elle sentit la cicatrice se mettre à pulser et à chauffer. Il était vraiment temps qu'elle parle à ses frères.

[ 09 octobre 2001: Message édité par : Siana McGregor ]

Par inconnu12 le 9/10/2001 à 11:55:00 (#344166)

La mer s'était peu à peu couverte d'un brouillard blanc très épais qui rampait sur l'eau fort bas à nos pieds, de sorte que, en me dressant debout sur le pont du navire, je ne voyais plus la terre de lîle ou mes compagnons se trouvaient, ni mes pieds couvert de terres, mais j'apercevais au moins le sourire de magiciens portant des enfants dans les bras en direction dArakas.

J'étais comme enseveli jusqu'à la ceinture dans une nappe de coton, et il me venait des imaginations fantastiques, la joie de naviguer que je navais plus pensé.

J'éprouvais un malaise horrible, j'avais les tempes serrées, mon cur battait à m'étouffer, et, perdant la tête, je pensai à me sauver à la nage et revenir vers mes frères de combat; puis aussitôt cette idée me fit frissonner, javais une mission et un manuscrit dans la main ou je pouvais lire les mots sur le haut de la page enroulée
.Tempores Hierarchita. Je ne permit point de le lire mais à la vision du temps que mit sieur Cynil à lâcher ce manuscrit, je savais quil était dune grande importance à ses yeux

Par Bardiel le 9/10/2001 à 13:12:00 (#344167)

Cela faisait bien longtemps que Cynil, l'envoyé de Bréhan était parti, suivant l'appel de Bréhan en d'autres terres.Il s'était brièvement entretenu avec le paladin, lui dire qu'il partait, mais secret devait être gardé pour éviter que les Bréhanites se posent des questions.

Mais cela faisait bien longtemps qu'il était parti.Légèrement troublé, le paladin arpentait les couloirs du temple de Bréhan; mû par une impulsion subite, il se dirigea vers la statue de son Dieu, devant laquelle il s'agenouilla, posant heaume et arme au sol.

Un souffle, une parole, le sentiment que son Dieu lui parlait.

"Cynil reviendra...Des nouvelles bientôt vous aurez, fidèles parmi les fidèles...Ne vous fourvoyez point...Ce temple abrite votre Dieu..."

Il releva lentement la tête, voyant la statue légèrement s'illuminer brièvement, et se retourna pour voir Siana entrer, le visage inquiet.

Il se dirigea vers elle,et la rassura.


Ne t'inquiètes pas Siana, tu as dû entendre comme tous les véritables fidèles de Bréhan, la parole de notre Dieu.Nous devrions bientôt avoir des nouvelles.

Par Chevalier Helix le 9/10/2001 à 16:51:00 (#344168)

J'étais comme à mon habitude depuis mon "récent" retour dans mon office travaillant sur diverses affaires concernant le clergé...

La nuit était tombée, je comtemplais à travers la fenêtre du temple, l'obscurité de la nuit, illuminée par la Lune. Il se faisait tard, j'étais fatigué, et beaucoup de travaux n'ont pas encore été terminés. Je me décidai à continuer malgré la nuit.

Puis, cette nuit, cette obscurité, cette noirceur, toujours aussi troublante... je me levai puis allai devant la fenêtre, pensif... Cynil, depuis combien de temps est-il parti ? Les jours ne se comptent plus. Et Aldan ? Humble Guerrier centaure, je n'en ai plus eu d'échos depuis des lustres.

La nuit ténèbreuse semblait infinie, quand soudain, je serrai le poing, restai crispé, la sueur coulait sur mon visage, comme si j'avais combattu après plusieurs heures... puis après un court instant, je me rassis à mon bureau, éclairé par une bougie semblant combattre l'obscurité de la nuit, et repris mon travail.


[ 09 octobre 2001: Message édité par : Chevalier Helix ]

Par ham ark le 9/10/2001 à 17:09:00 (#344169)

* les regardes un peu hesitant *
* se raproche d'eux *
je vous suivrais mes freres brehanite
:ange:

Par Gun d'Heltham le 9/10/2001 à 17:18:00 (#344170)

*Entend un appel de son Dieu*
*Se dirige aussitot vers le clerge*
*Pousse l'enorme porte du clerge et vois Bardiel inquiet*
*Ne sais ke faire*
Bardiel ke pouvons nous faire? N'ai crainte il enverra un messager si besoin..
*Crois se rappeler d'une formule pour communiquer avec les personnes mais ne maitrise plus bien la telepathie*
*incante...*

Par Conrad McLeod le 9/10/2001 à 17:55:00 (#344171)

Conrad bailla et fit négligemment un pas de coté. La lance du diablotin le manqua de près d'un mètre. La petite créature, emportée par son élan, vint s'écraser sur le plastron de plaques massives en poussant un rugissement où se mélaient colère et surprise.

Le guerrier releva soudain la tête, comme si quelqu'un lui murmurait quelques mots à l'oreille. Instinctivement, d'une main, il repoussa le diablotin, le tint à distance respectable, comme s'il avait peur de se salir. Les pieds du cousin des gremlins brassaient l'air, tandis que que son visage prenait un teint violacé.

Puis l'écossais sourit.


Ainsi Cynil donnait des nouvelles aux fidèles bréhanites, ses frères d'armes. Excellente nouvelle.

Puis il lacha la petite créature qui chut lourdement sur le sol. Il regarda le diablotin au sol qui avalait l'air à grandes goulées.

Toutes mes excuses, l'ami. Je suis attendu. Que Bréhan te garde, et à bientôt.

Le grand guerrier murmura quelques paroles mystiques et, tandis que les blessures du diablotin se refermaient doucement, il s'éloigna à grandes enjambées vers la sortie des grottes.

[ 09 octobre 2001: Message édité par : Conrad McLeod ]

Par Sir Arhymann le 9/10/2001 à 18:51:00 (#344172)

*Aux prises avec une dizaine de tarentules, Arhymann fut soudain frappé par le Mal etrange: des suées froides parcourerent son long corps, atteignant son esprit et le faisant chanceler...

Semblant ignorer ses dangereuses assaillantes, l'apprenti Paladin se retrouva violement a genoux, une grimace lui parcourut le visage sous la violence du choc dont ses rotules patirent, a peine protegées par la fine couche de maille de son armure.

Il n'en fallait pas plus pour exciter le temperement deja belliqueux de ces arachnides geants: deja l'un d'eux, une creature agée, semble t'il, marquée par de nombreuses cicatrices, et d'une taille impressionnante, se dressait devant lui elevant triomphalement deux pattes posterieures armées de griffes acerées et mortelles...

Arhymann releva la tête pour voir le spectacle repugant des cheliceres denudés de l'araignée d'où pendait miserablement les restes sanguinolant et putrefiés d'anciennes et malchanceuses victimes...

Les huit yeux vitreux de la créature semblaient le regarder fixement, impassibles, luisant sous la faible lueur du crepuscule naissant, quand ayant repris un peu ses esprits le jeune homme se mit a incanter rapidement un Mot de Rappel salvateur.

Arhymann eut juste le temps de voir les deux membres velus s'abattre sur lui avant de se retrouver dans l'enceinte rassurante du Temple de Silversky...

La fatigue et le stress de la teletransportation finie, il se mit en route vers le Sanctuaire de son Dieu, tenayé par ce qu'il allait y apprendre...*

Par inconnu12 le 9/10/2001 à 21:24:00 (#344173)

Le capitaine, apres une nuit complête depuis le départ, brassa en pointe. Les brisants du navire se multipliaient sous l'étrave, et il fut nécessaire de virer vent devant pour reprendre le large car la tempête faisait rage. Cette manoeuvre réussirait-elle avec un bâtiment mal équilibré, sous une voilure réduite ? C'était incertain, mais il fallait le tenter. Je metais décider à essayer de m'endormir dans la cale du navire afin de me mettre à labris. Décidement, je netais vraiment pas fait pour la mer.

"La barre dessus, toute !" cria le marinier au capitaine.

Le navire commença alors à se rapprocher dangereusement de la nouvelle ligne de récifs pendant que je serrais de toute ma force le manuscrit de sire Cynil. Bientôt, la mer écuma au choc des roches immergées. Ce fut un inexprimable moment d'angoisse. L'écume rendait les lames lumineuses. Soudain, la mere se calma brusquement sans raison. Le navire se mit alors à reprendre une route plus calme pendant que moi, malade, je me decidais à dormir enfin un peu. La peur et le froid me fit mendormir quapres de terribles angoisses.

Pendant mon sommeil, des nuages gris s'amoncelèrent dans le firmament dune côte que je ne connaissais point. Soudain, un éclair déchira le ciel, suivi d'un coup de tonnerre, la pluie se mit à tomber et jetais nu, nu comme un vers, debout sur une lande inconnu. Je me retrouvai alors en un instant dans un endroit où le soleil brillait, les oiseaux chantaient, le ciel etait bleu et les fleurs semblaient sentir bon. Soudain, je tomba à genoux et entendit alors des chants. Oui des chants ou des appels plutot qui semblaient lointain. Je me mis à marcher doucement, essayant de mapprocher de ces voix. Alors que soudain je compris les paroles répétitives:


"Ils attendent, le Clergé attend, Bréhan est en eux..."

Je me reveilla alors en sursaut, en sueur, ma main serrant encore le precieux manuscrit.

[ 09 octobre 2001: Message édité par : Eowyn Noryte ]

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