[Ecologie] Océans, et vivants marins (ou Biodiversités marines)

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Bonjour,

Quelqu'un peut essayer d'identifier toutes les poissons ?

https://la1ere.francetvinfo.fr/nouve...u-1218156.html

« L'avenir des écosystèmes des océans tropicaux, tempérés et polaires
Un océan qui se réchauffe et se désoxygène rendra les espèces plus petites et les poussera de la zone tropicale à la zone tempérée, de la zone tempérée à la zone polaire et de la zone polaire à l'extinction, ce qui entraînera une perte de biodiversité dans les tropiques et une plus grande biodiversité dans les latitudes plus élevées. La surexploitation et les autres impacts humains directs ne sont pas pris en compte dans ce modèle conceptuel. »
« Bien que la réalité soit certainement beaucoup plus complexe, des preuves de plus en plus nombreuses à de multiples échelles de temps suggèrent que les grands traits de cette image simplifiée sont corrects. »
Yasuhara&Deutsch, « Paleobiology provides glimpses of future ocean » : https://www.science.org/doi/10.1126/science.abn2384

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Un appel à propager l'interdiction de la senne démersale
(Le Monde) La France doit élever sa voix pour sauver les pêcheurs français des pratiques destructrices des industriels néerlandais
Tribune (signataires)

L’Amazonie meurt et émet plus de CO2 qu’elle n’en absorbe. Il devient urgent préserver l’autre poumon de la planète : l’océan. Il absorbe près d’un tiers de nos émissions de CO2 et est le principal régulateur du climat.

Après une avalanche de catastrophes climatiques cet été, nous n’avons plus une minute à perdre.
La date du 29 septembre 2022 est cruciale : un « trilogue » (la négociation entre la Commission européenne, le Parlement européen et le Conseil de l’Union) à propos de l’article 5 de la politique commune de la pêche scellera le destin de centaines de pêcheurs côtiers français, fragilisés, comme le milieu marin dont ils dépendent, par le passage quotidien de pêcheurs industriels qui viennent jusqu’à la côte concurrencer la petite pêche.

Nous, députés français et européens, maires, sénateurs de tous bords politiques, demandons à la France d’utiliser tout son pouvoir diplomatique le 29 septembre pour gagner à Bruxelles l’interdiction d’un engin destructeur qui transforme nos mers et nos ports de pêche en déserts : la senne démersale.

La senne démersale est une technique de pêche dévastatrice, dérive des pêches industrielles, dépendantes de l’hyper-efficacité technologique pour compenser le déclin des populations de poissons.
Cette course en avant aboutit à la concentration de la pêche entre les mains des navires les plus gourmands en capital, en subventions publiques et en gasoil.

Le schéma est bien connu puisqu’il est similaire à la tragédie de la pêche électrique qui a frappé les Hauts-de-France et a laissé moribond le port de Dunkerque (Nord).

La senne démersale est une méthode de pêche anti-écologique et antisociale qui consiste à capturer les poissons par le biais d’un immense câble déployé très rapidement sur les fonds marins et sur des surfaces équivalentes, en une seule journée de pêche de cinq navires senneurs, à la superficie de Paris.

75 senneurs sont autorisés à pêcher en Manche. Cela signifie qu’on a donné aux industriels néerlandais un blanc-seing pour détruire l’environnement marin autour de notre littoral ainsi que les pêcheurs côtiers des Hauts-de-France et de Normandie.

Les petits pêcheurs ne survivront pas à cette nouvelle attaque des industriels. Il n’existe pas d'argument justifiant de soutenir ces énormes navires néerlandais qui, après avoir vidé la mer du Nord, se sont rabattus sur la Manche Est et sont désormais en train de fondre sur la Manche Ouest.

Ainsi, 98 % des pêcheurs français du Nord et de Normandie demandent l’interdiction de cette méthode de pêche qui vide la mer, émet des tonnes de CO2 et déloge le carbone stocké gratuitement par l’océan dans les sédiments marins.
Cette méthode de pêche doit être interdite de toute urgence.

Le 12 juillet, le Parlement européen a voté l’interdiction de la senne démersale
dans les eaux territoriales françaises
depuis la frontière belge jusqu’aux portes du Cotentin en Normandie.

Mais cette victoire est fragile et menacée. D’abord par les Pays-Bas, qui défendent bec et ongles [...] de sillonner tous azimuts les eaux de l’Union européenne [...]

Mais la victoire des petits métiers et de nos économies littorales est surtout menacée à Bruxelles par la passivité de la France qui, en tant que première puissance maritime de l’Union européenne, peut, en matière de pêche, faire la pluie et le beau temps. Or la France ne dit mot.

La France doit élever sa voix pour sauver les pêcheurs français des pratiques destructrices des industriels néerlandais.
Personne n’osera remettre en cause sa volonté dans le cadre d’une négociation concernant les pêcheurs français.

Il suffit pour cela que notre diplomatie se mobilise. Il suffit pour cela que nos représentants à Bruxelles reçoivent « les instructions » de Paris. Il suffit pour cela de résister aux pressions des lobbies et d’être à la hauteur des enjeux écologiques.

Le 29 septembre, la France doit gagner l’interdiction de la senne démersale. Nous vous le demandons. Le climat, la biodiversité et 98 % des pêcheurs côtiers l’exigent.


Que pensez-vous de cet appel ?
Il est politique, bien sûr. Le premiers signataires sont :
Manon Aubry, députée européenne (LFI) ; Julien Bayou, député (EELV) ; Manuel Bompard, député (LFI) ; Karima Delli, députée européenne (EELV) ; Philippe Fait, député (Renaissance) ; Olivier Faure, député (PS) ; Pierre-Henri Dumont, député (LR) ; Raphaël Glucksmann, député européen (Place publique) ; Yannick Jadot, député européen (EELV) ; Sébastien Jumel, député (PCF) ; Aurore Lalucq, députée européenne (Place publique) ; Younous Omarjee, député européen (LFI) ; Caroline Roose, députée européenne (Verts-ALE).

mais il n'en reste pas moins que le sujet est là (et que je bookmark la négociation tripartite du 29 Septembre).
J’avoue ne pas avoir les éléments pour faire une réponse élaborée. Par contre, la question n’est pas que politique. C’est une vraie revendication d’une part du secteur. Au niveau français c’est aussi un sujet transpartisan vu le vote au Parlement européen de juillet (ce que ne laisse pas transparaître la liste des signataires de l’appel). Par contre, au niveau européen le clivage semble plus classique. Enfin, peut-être que je me trompe dans mon analyse.

Il est probable qu’accoucher de quelque chose en trilogue soit plus complexe.

À suivre.
Je ne sais plus ou j'avais entendus ça, que si on ne bouffer pas du poissons pendant 7ans (c'étais il y as quelques années, ça à peut-être empirer) aux niveaux mondiale, c'étais le temps qu'il fallait pour que l'océan ce refasse à neuf pour la plus part de ces créatures.

Et une interview instérressante que j'avais vus
(vidéo que je vous conseil de voir entièrement) , qui n'as pas de rapport directement avec le sujet (c'est majoritairement focus sur l'énergie) crée mais extension à ce que je vais écrire oui, "Vas falloir stop d'acheter du poisons et bouffer de l'algues" https://www.francetvinfo.fr/culture/...s_4705067.html > J'ai pas chercher à vérifier les faits <, il n'y as pas de sélections d'algues consommable par l'humain aux à mesure des siècles pour la bouffe, comme ce fus le cas avec le Maîs, ce légumineuse boursouflé par la sélections de ces gros grains.
Il parle souvent de la spiruline qui est célébrer dans le monde la Low-Tech https://wiki.lowtechlab.org/wiki/Cul...e_la_spiruline fait que ça bouffe de la flotte

Autres, il y as le Ph de l'eau à prendre en compte : https://bonpote.com/acidification-de...nt-climatique/ En suppléments :
Cliquez ce bouton ou survolez le contenu pour afficher le spoiler
https://bonpote.com/la-6e-limite-pla...de-leau-douce/ https://bonpote.com/la-guerre-de-leau-aura-t-elle-lieu/


Et donc l'appel : Oui de tout manière on ne peut allez que vers quelques choses d'alternant if et qui sauvegarde un max la biodiversité, durable, pérenne, tous ces mots à la con, faut comprendre un truc, les bestioles de la biodiversité (plus communément appeler aujourd'hui le "VIVANTs") ceux sont des ouvriers qui continue de bosser pour le climat (via des micro actions faites en masses, "les vivants" permettre des réductions de CO2 assez énorme) malgré que leurs habitats-de-survie ce fasse éclater de plus en plus.

Et faut savoir un truc, il y as dans l'océan quelques rares zone de morts https://www.wikiwand.com/en/Dead%20zone%20(ecology) et en gros, plus il y as de cadavres qui s'entasses et plus la zone grandie, comme un rats de marrés de zombies version crabes et autres gastéropodes genre petit visuel dans cette article https://www.ouest-france.fr/sciences...nomene-4740056 et la c'est le nord donc on s'en fous, mais les crabes et les pieuvres ça repeuple facilement avec le dérèglement climatique, (je crois avoir vus quelques choses dessus, mais mon avis est plus proche de la superstition qu'autres choses.)

Et la suite, ça demande de plus de rechercher pour trouver des corélations cons, puis answer/trouver des scientifique spécialiser dans le domaine pour demander si il y as des causalités à la con ? bref je me suis étaler, c'étais pour tenter d'explique une perception des problèmes éco -ystémique, ce que Arthur Keller expliqueras certainement mieux que moi.
Il y a quelques minutes le traité sur la haute mer aurait été finalisé à New York lors de l’IGC5bis. Le processus aura duré des années. L’adoption interviendra une fois revu par les juristes linguistes, etc. Le texte vise à mieux protéger les ressources/écosystèmes en haute mer (2/3 des espaces maritimes) pour, notamment, atteindre les objectifs de développement durable de l’agenda 2030 (dont l’ODD 14).

J’ajoute le lien de la dépêche AFP tombée pendant que j’écrivais : https://www.lalibre.be/dernieres-dep...JF65S5ZCVTMNMI
Citation :
Publié par Caniveau Royal
(Le Monde) Les pêcheurs français obtiennent à Bruxelles le maintien du chalutage de fond dans les aires marines protégées

Il aurait dû être interdit en 2030, mais arguant que cette interdiction détruirait un tiers de la flotte de pêche, la France a obtenu de Bruxelles que ce ne soit qu'une recommandation.
On entre dans la période délicate du choix entre l’écologie et le maintiens de l’économie dans de nombreux domaines.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Jenmir
On entre dans la période délicate du choix entre l’écologie et le maintiens de l’économie dans de nombreux domaines.
Jusqu'au jour où les ressources auront disparu. Ce qui est dommage venant de nos politiques, c'est encore une fois plutôt que d'accompagner la transition de ces filières, ils choisissent la facilité en laisser à d'autres les conséquences.
Citation :
Bruxelles dénonçait une pêche très gourmande en carburant et forte émettrice de CO2, qui, en raclant les fonds, détruit des écosystèmes constituant eux-mêmes des puits de carbone, fragilise les populations de poissons qui s’y abritent et s’y reproduisent, et favorise des prises accidentelles « disproportionnées » faute de sélectivité. La Commission demandait alors aux Etats membres de prévoir d’adopter des mesures pour « éliminer progressivement » cette pêche controversée.
Citation :
Publié par Aedean
Jusqu'au jour où les ressources auront disparu. Ce qui est dommage venant de nos politiques, c'est encore une fois plutôt que d'accompagner la transition de ces filières, ils choisissent la facilité en laisser à d'autres les conséquences.
Oui parce que nos politiques ont peur de la gronde du peuple qui ne voit que la sécurité de leur confort et veulent éviter à tout prix leur déclassement.
Il ne faut absolument pas risquer des futurs élections.

Pour ça que tout les discours bien faisant sur l’écologie est balayé par les faits quand les individus se rendent comptent qu’il va falloir renoncé à beaucoup de choses et de confort si l’ont veut sauvegarder le climat.
Message supprimé par son auteur.
Même les truites d'élevage de supermarché atteignent les 40 € le kilo contre 20 il y a dix ans.

Il y a un effet pervers : plus le poisson est rare, plus il est cher. Plus il est cher, plus les pêcheurs sont incités à racler tout ce qui reste. La loi de l'offre et la demande non régulée sur une planète aux ressources limitées, c'est la certitude d'une catastrophe.

Ma solution à ce problème serait de défoncer la main invisible du marché, en établissant une taxe exponentielle fonction de la menace pesant sur les stocks. On pourrait ainsi taxer à 10 000% les poissons en voie d'extinction, ça calmerait la demande sans pousser les pêcheurs à "augmenter" l'offre.
Encore une fois, une taxe.
Sauf que cette taxe franco française ne pénalisera que nos industries et pêcheurs (voire européenne si celle ci est appliquée au niveau européen)
Les Chinois (par ex.) eux continuerons a ratisser et racler les fonds de mer ou d océan sans distinction avec l aide de leurs bateaux usines gigantesques.
Moi je me demande si il y a des projections sérieuses sur la fin des ressources alimentaires marine, comme pour celle de nos énergies fossiles ?
On (nous, humains) consomme plus que ce que la mer produit, en plus a jamais été aussi nombreux sur terre avec tjrs plus de consommation ça promet (et ça a déjà commencé) des guerres futures sur les ressources alimentaires.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par leNabo
Encore une fois, une taxe.
Sauf que cette taxe franco française ne pénalisera que nos industries et pêcheurs (voire européenne si celle ci est appliquée au niveau européen)
Non. Pour information, c'est comme la TVA, ça pèse sur tous ceux qui vendent chez nous. Chinois ou pas.

Chinois qui de toute manière ne sont pas autorisés dans nos ZEE. Bref, si, "encore une taxe", c'est la seule solution valable à la surpêche, en dehors de l'interdiction.
Citation :
Publié par Caniveau Royal
(Le Monde) Les pêcheurs français obtiennent à Bruxelles le maintien du chalutage de fond dans les aires marines protégées

Il aurait dû être interdit en 2030, mais arguant que cette interdiction détruirait un tiers de la flotte de pêche, la France a obtenu de Bruxelles que ce ne soit qu'une recommandation.
La France n’a strictement rien obtenu du tout. C’était un plan d’action, une feuille de route en quelque sorte et ça l’est toujours. C’est du reste ce que le Commissaire a rappelé ce dimanche au Ministre qui « vend » une version quelque peu romancée des faits…

C’est ce que dénonce plusieurs MEPs et organisations, et je dois bien dire qu’ils ont raison.

La réalité est que je crains qu’on fasse une fois de plus la politique de l’autruche en disant à nos pêcheurs que « tout ira bien, vous inquiétez pas » pour acheter la paix sociale (après des manifestations d’ampleur noyé pour le quidam dans la masse de celles des retraites et de la méga-bassine… mais bien entendues des autorités) et se retrouve, in fine, en 2030 face à un mur et sommes contraints de casser (littéralement ! (quand on pense à l’absurdité de la façon avec laquelle on a géré le Brexit)) sans se donner guère de chance de construire une voie leur offrant une alternative crédible.

Je suis en ce sens entièrement d’accord avec @Aedean. Il faut lire ce qu’écrit à ce sujet une partie du secteur (artisanale surtout) : https://associationpleinemer.com/202...it-quun-debut/.

L’UE et la France se sont clairement engagées vis-à-vis de l’objectif « 30x30 », il faudra bien l’atteindre de façon crédible.

Plusieurs autres facteurs pèsent sur la filière. On ne peut pas de permettre une nouvelle fois de faire la politique de l’autruche. C’est le fond de mon propos.

On peut aussi se poser la question de comment est-il possible de croire que les concepts de chalutage et d’aire marine protégée. Mais on s’épargnera le débat technique ici.

@leNabo Non, il n’y a pas de projections globales sérieuses (elles auraient peu de sens amha, cf. le 2047 brandit n’importe comment) mais tu as des indices de status des stocks par régions.
Excellent reportage hier soir sur France 5 que l’épisode 3 de la série Planet Killers. Le sujet ? Comme deux groupes criminels (au Mexique et en Chine) collaborent pour braconner le totoaba et en extraire sa vessie natatoire pour finir comme met en Chine ou ingrédient de cette médecine traditionnelle qui détruit tant les écosystèmes et n’a plus rien de traditionnel. 50 000€/kg, pas mal non ? Faut + de moyens pour lutter contre la criminalité environnementale (à fortiori quand elle est organisée et mafieuse). Les trois autres épisodes valent le coup aussi.
L'agriculture et la pêche mêmes combats. On va droit dans le mur en investissant l'argent public pour soutenir le modèle actuel, que l'on sait intenable. Alors qu'il faudrait investir pour soutenir une transition coûteuse.

Même si certains se battent comme ils peuvent pour redresser le cap.

https://associationpleinemer.com/202...sans-durables/
https://terredeliens.org/
Citation :
Publié par leNabo
Intéressant ton lien
Je ne savais pas, par ex., que les quotas de pêche étaient attribués par bateau.
Et le système pervers qui en découle...
En soi, l’article 17 de la politique commune de la pêche (PCP) offre de réelles possibilités de favoriser certaines pêcheries plus vertueuses (cf. l’image).

Sauf que comme le soulignait une résolution du Parlement européen (2022), la mise en œuvre de cet article par les États membres laisse vraisemblablement à désirer.

J’avoue que je sais pas si la Commission a pris le problème à bras le corps depuis (que ce soit par des procédures d’infraction ou dans le cadre d’une récente communication sur la PCP (qui compte le problème parmi ceux à traiter)). C’est pas vraiment mon domaine !
Miniatures attachées
Cliquez sur l'image pour la voir en taille réelle

Nom : CB265A1B-5147-4D0C-87F6-E306EA2B748E.jpg
Taille : 1029x805
Poids : 259,4 Ko
ID : 711394  

Dernière modification par DK ; 04/04/2023 à 17h38. Motif: Oublier l’image, c’est comme partir en mer sans son gilet
Mesures contre la surpêche
(Le Monde) Contre la surpêche, l’UE va durcir les contrôles et mieux surveiller les navires
Conseil de l’UE et eurodéputés sont parvenus à un compromis, pour contrôler plus drastiquement les activités de pêche.

Tous les bateaux de pêche, peu importe leur taille, devront être dotés de systèmes permettant aux États de contrôler leur position et de suivre leurs mouvements
ils devront enregistrer leurs captures sur des carnets de bord électroniques.

Les navires de 18 mètres ou plus devront s’équiper de caméras embarquées.

L’objectif est de « garantir le respect de l’obligation de débarquement » : les pêcheurs sont déjà tenus de débarquer à terre l’ensemble des captures au lieu de rejeter en mer les prises accidentelles ou indésirées.

La marge d’erreur maximale tolérée entre les quantités évaluées par les patrons pêcheurs dans leur carnet de bord et les quantités effectivement débarquées sera de 10 % par espèce est maintenue, mais pourra être relevée à 20 % pour les espèces dont le total des prises n’excède pas 100 kilos.

Des aménagements sont prévus pour les « petits [poissons] pélagiques » (harengs, sardines, anchois…), la pêche industrielle et les thons tropicaux (que navires français et espagnols vont pêcher jusque dans l’océan Indien), avec une marge de tolérance de 10 % calculée sur la quantité totale enregistrée, et non par espèce, en contrepartie de « contrôles plus stricts » dans des ports dont Bruxelles établira la liste.
Le système de ports désignés a vraiment été traité à la dernière minute. On a évité le pire grâce à un gros travail. Mais franchement, comme la COM va établir cette liste reste un mystère et s’ils déléguent y’a potentiellement des risques (pas sûr cela dit qu’ils aient la capacité vu que les ressources sont en baisse).
« certificats de capture numériques »
ça fonctionne comment ce truc là ? Genre un token non fongible ? Qui est gérer par une Api en Rust ? https://roadmap.sh/cyber-security Si on as un spécialiste en cyber sécuriter qui peut m'expliquer le niveau de blindage du truc ? Car quand je vois le nombre de failles zerodays qui est trouver sur window10/11 depuis la fin de l'année dernière, j'ai mal à percevoir le truc ?
ça me paraît difficile "les certificats de capture numérique"
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