Avenir en -age-

Par Arilys S./Ginza B. le 25/11/2002 à 21:06:33 (#2642953)

J’ouvre ma fenêtre sur ce merveilleux paysage,
Le jour se levant et se faisant tourner une page
De la longue vie d’une âme se devant d’être sage
Et qui se doit de respecter autrui, quelque soit son âge.
...
Pour toi je traverserais mers et océans à la nage,
Je te défendrai à jamais tel un animal ayant la rage
Et te fait le serment de t’aimer par ce petit message
Jusqu’à la fin de ma vie, même si durs sont les passages.
...
Grâce à toi et à ta joie, j’ai enfin trouvé le courage
Et j’ai appris, avec l’échange de tes sentiments le partage.
...
Tes paroles et ton allure sont devenus mon breuvage
Et tu me rassures dans ce monde devenu si brute de décoffrage,
Plus je te regarde et plus je t’admire, tu es ma plus belle image.

Par Tirésias le 25/11/2002 à 21:11:34 (#2642993)

L'image que tu nous donnes à travers ce poème à l'air bien jolie ;)
B'zoux :)
:)

Par Floloa Terrae OD le 25/11/2002 à 21:18:02 (#2643048)

tes mots sont ceux que mon coeur désirerait ardemment savoir dire a celui que je chérit.
C vraiment magnifique. Merci.
ljd

Par Zeed Mithror le 25/11/2002 à 21:48:51 (#2643278)

Joli poème :)

Par Hunk Scorn le 25/11/2002 à 22:34:27 (#2643555)

Trop, trop, trop, trop, trop beau ma Ginza. :)

Par Le Pacifiste le 25/11/2002 à 22:35:21 (#2643558)

Alors la je tire mon chapeau bien bas. Bravo pour ce poème. J'admire la prouesse de mettre que des rimes en -ages tout en gardant un vrai sens à la poesie. Bravo.

Par Korg O-DMares le 25/11/2002 à 22:36:05 (#2643565)

Le soleil de la vie glissant doucement tel un amant volage
Ne pourra jamais de mon cœur faire un astucieux collage
Sans pour autant t’inclure au sein de mon naufrage
Et d’un mur d’Amour faire un grand barrage
...
Toi véritable déesse aux milles visages
Qui me fais rêver d’une idylle sans nuages
Et qui ne m’apparaîtras à jamais que comme un mirage
Pardonne moi sans tarder ce sentimental déballage
...
Comme le dit l’adage,
L’Amour se doit d’être vécu sans ambages
...
Permets moi, tendre sauvage
D’être ton prétendant même les jours d’orage
En espérant un jour qui sait le mariage