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La légende du peintre par Fenrill

Par Ysthar le 26/8/2002 Ă  19:00:38 (#2031760)

OOOOOIl fut une légende, mise au silence par des zélés ecclésiastiques, et pour cause, mais elle n’était point exempte (et encore moins oubliée) chez moi… et je dois dire qu’il était nécessaire pour un conteur de ne faire exception d’un conte aussi répréhensible soit il… néanmoins j’y apposait un avertissement pour les esprits qui serait aisément choqués par ce texte… afin qu’on ne blâme pas par pamphlets récurrents (et surtout par ce manichéisme qui semblait envahir certaines personnes) des textes qui pourrait servir d’avertissements, ou tout simplement de prémices à une méfiance justifiée…

OOOOO J’entrepris donc de retranscrire ce mythe une nouvelle fois, après tout c’était une sorte de défi… et puis le pragmatisme était la vertu des grands artistes…

OOOOO Je commençais… écrivant avec une encre pourpre et sombre

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OOOOO Cette légende colportée par le récit oral vient de lointaines contrées… en voici le texte ainsi tracé par mes mots…

OOOOO La vue de la jeune fille se troubla, du noir elle passa au flou, du flou elle passa au vague puis à la clarté… Elle était dans une salle aux murs nus, entendons par là qu’ils étaient dénués d’ornements ; la couleur cramoisie des murs semblaient être due à l’humidité ambiante qui imprégnait les cloisons de moisissures….

OOOOO Pour seules anicroches à cette entourage simple, une porte et une table en ébène dont la surface était vide…

OOOOO Cette porte, était en fer, noirci par la saleté et rongée par la rouille, de plus, elle était bardée de pointes et munie d’une petite plaque coulissante qui devait servir d’œillère…

OOOOO Une œillère ? … une pièce nue et une porte de métal ? elle s’avisa soudain de sa propre situation…

OOOOO Elle tourna sa tête et fut prise d’une cruelle douleur dans le dos ; ses esprits revenant à une déduction logique, elle put constater qu’elle était en réalité allongée sur une plaque de bois, ou plutôt un chevalet… Elle était attachée….

OOOOO Sa première inspiration fut de hurler mais elle ne put le faire, et pour cause, elle était aussi bâillonnée…

OOOOO Son angoisse augmenta, les muscles se tendant, elle s’infligea elle même les douleurs de multiples contorsions… Elle finit par constater des taches brunâtres sur le sol, elle trembla, elle sanglota, ou était elle ?

OOOOO Alors que ses interrogations ne semblaient pas aboutir, le destin se chargea d’en crier une réponse, des pas lourd résonnèrent dans ce qui devait être un corridor de l’autre coté de la porte de fer, le clapotis régulier des gouttes d’eau tombant sur le sol, sur elle, semblait faire concert d’un requiem inquiétant…. Elle était nue, sa peau satinée et lunaire couverte chastement par sa longue chevelure couleur de jais, selon les standards qu’affectionne les hommes, elle était belle, très belle même, autant par sa finesse que par son visage enchanteur orné d’un nez aquilin et d’yeux sombres.

OOOOO Un bruit métallique, elle tenta de nouveau de hurler mais en vain, des clefs s’entrechoquant et le bruit d’une serrure que l’on déverrouille… elle ouvrit les yeux et un individu entra… reconnaissant la personne, celle qui se nommait Feluryl se débattit de plus belle dans des rets dont elle savait ne point pouvoir échapper….

OOOOO C’etait lui… cet homme, sa peau claire et pale, trop pour en faire quelqu’un d’agréable au regard était en face d’elle, ses yeux laiteux percés de pupilles dilatées… ses traits été taillés au couteau, et sa silhouette respirait une inquiétante force brute…

OOOOO Trois pas, et il fut prés d’elle, passant sa main sur les cuisses ciselées de Fel, qui, se contenta d’un tremblement nerveux…

OOOOO Un sourire se dessina sur les lèvres de l’homme et il fit volte face afin de poser sur la table une sacoche de cuir… il l’ouvrit et devant les yeux de la jeune fille apparurent des instruments qui n’augurait rien de bon sur la suite des événements…

OOOOO Elle cria, et son hurlement de terreur modulé par le bâillon fut semblable à une complainte noyée…

OOOOO La voix doucereuse et captivante de lÂ’homme quÂ’elle avait en face dÂ’elle retentit :

OOOOO - Douce Fel, belle Fel, ne complique pas mon travail, voyons, voyons, ne brise pas le silence… » il se fendit d’une moue inadéquate…

OOOOO Fel retint quelques sanglots tant le ton Ă©tait couverts de menaces, emplie de folie, mais pourquoi ? pourquoi lui ?

OOOOO Son «hôte» avança avec une lame à pointe courbée dans les mains, la faisant danser dans ses doigts avec grâce… une fois proche, il caressa de nouveau de sa main libre le corps de son invitée de circonstance et darda sur elle un regard voilé de tristesse…

OOOOO - Si belle… si seulement cela pouvait être toi… je sais que tu peux l’être… ne me déçois pas…

OOOOO Les quatre derniers mots furent énoncés avec une violence quasi palpable…

OOOOO Fel trembla comme une feuille, mais aucun son ne parvint Ă  sortirÂ… une larme seule coula sur sa joueÂ…

OOOOO L’homme s’offusqua, il retira son bâillon et lui indiqua d’un regard de ne pas crier…

OOOOO - Ne pleure pas ! pas déjà ! tu me déçois ! cesse de faire l’enfant ! tu n’est plus une enfant ! silence !! silence !!.

OOOOO Il lui flanqua une gifle magistrale du revers de la main, ce qui eut pour effet de faire taire ses sanglots dans un cri étouffé…

OOOOO Le plat de sa lame se posa sur la poitrine de Fel, cette poitrine quÂ’enviait maintes femmes du hameauÂ…

OOOOO Son poignet pivotant, l’homme effleura l’épiderme de la pointe aiguisée de la lame, la terrible caressa semblable à un ongle se répartit tel un frisson dans les nerfs de la captive, qui, se retenait de faire le moindre mouvement, elle observa la lame un moment avec une fascination morbide puis ferma les yeux en se mordant la lèvre inférieure lorsque la caresse fut presque plaisante, cette caresse si fine…

OOOOO La danse du couteau sÂ’arrentaÂ…

OOOOO - Ne ferme jamais les yeux Fel… douce Fel… jamais ! les yeux… les yeux… non non non ! ouvre les… ou je devrai sévir… et cela tu le redoute n’est ce pas ?

OOOOO Au prix d’un redoutable effort, la jeune femme ouvrit de nouveau les yeux et les mouvements précis de l’homme se poursuivirent… elle croisa un moment son regard qui reflétait une convoitise mêlé à une fascination morbide…

OOOOO Descendant de la pointe des seins vers leurs bases, le couteau décrivit des virages sensuels, lorsque la pointe atteignit finalement le haut du ventre, elle s’inclina de nouveau pour y déposer le plat… l’homme se pencha… et déposa un baiser sur les lèvres crispées et pincées de Fel…

OOOOO Celle ci vacilla, fermant les yeux nerveusement, les tremblements recommencèrent alors que la sensation de caresse impie avait disparue…

OOOOO Un cri de rage, celui de son tourmenteur, retentitÂ…

OOOOO - Non ! tu es donc sotte ! ne ferme pas les yeux ! à chaque erreur tu paiera… ne gâche pas mon travail… où il t’en cuira… ohhh oui…

OOOOO Il ponctua son geste d’une légère torsion du poignet, la pointe de la lame effilée pénétra le satin de la peau sans heurts, une goutte de sang carmin perla rapidement de la piqûre faisant contraste tel un rubis dans de la neige sur la peau de la belle, le couteau descendit ensuite, pratiquant une légère incision à fleur de corps…

OOOOO Une lancinante brûlure vrilla les nerfs de Fel qui hoqueta, inconsciemment elle poussa un cri qu’elle réprima avant de croiser le regard navré de l’home qui l’avait séduite quelques heures plus tôt à la taverne…

OOOOO Trop tardÂ…

OOOOO Le couteau traça une courbe sibylline et grava de rouge une marque de désaccord… Fel fit silence, se raccrochant au peu d’espoir qui lui restait, se blâmant d’avoir suivi cet homme… et, finalement la torture s’interrompit, resta la brûlure de la peau incisée à chaque respiration, la sensation désagréable du sang coulant sur son ventre, sur ses cuisses et ainsi goûtant sur le sol, lentement…

OOOOO L’homme passa sa main sur le ventre supplicié et porta ensuite sa main aux doigts rougis à ses lèvres…

OOOOO - Ne recommence jamais… non non… ne soit pas stupide ma beauté…

OOOOO Elle se tut, cantonnée dans un stoïcisme enfant de terreur…

OOOOO Après quelques pas feutrés mais résonnant dans la pièce elle sentit une douceur glacée sur son ventre, de l’eau ruissela, lavant la peau et gelant les plaies fines…

OOOOO Elle retint un soupir de soulagement… et reçu un baiser plus langoureux sur les lèvres…

OOOOO - Tu comprends vite ma petite orchidée… tu comprend vite… tu aime cela n’est ce pas ?

OOOOO Fel se contenta d’un mutisme, de peur de subir plus de désagréments… elle tourna dans sa tête les souvenirs qui l’avait conduite ici…

OOOOO Dans la chaleur et l’avenante atmosphère de la taverne, elle avait vu cette inquiétante personne, mais cette terrible attraction qu’elle ne pouvait expliquer, après tout, ce n’était pas la première fois car, depuis qu’elle occupait l’emploi de serveuse, elle rêvait, elle rêvait souvent du mystère et d’un homme l’amenant loin d’ici, de ce cloaque malsain, de ce bouge où pour vivre elle avait du faire assaut de charmes et de coups de reins…

OOOOO Elle n’avait put refuser le nectar de ses belles promesses, la chaude ivresse des liqueurs dont elle n’avait jamais connu le goût… et sa courtoisie, cet homme, il s’appelait Garyk, c’était un peintre, un artiste et un barde… amoureux de la bienséance et du calme…

OOOOO Il l’avait courtisé comme il aurait pu courtiser une reine, elle n’avait pu dire non… elle n’avait pu sentir le piège se refermant sur elle…et allongée dans les draps de soie, alors qu’elle se voyait déjà loin dans un navire d’argent - son échappatoire habituel lorsqu’elle se donnait - son esprit s’embruma, peu à peu elle ferma les yeux et, plus rien, plus rien… son réveil… ici dans cette pièce, Némésis et antithèse de son bonheur imaginaire…

OOOOO Sa réminiscence terminée, elle revint au présent, quelques secondes seulement s’étaient écoulées mais elle réalisa avec horreur que sa méditation l’avait entraînée à fermer les yeux, elle les rouvrit, secouant la tête d’horreur…

OOOOO LÂ’homme fit la moue.

OOOOO - Non ma tendre, ma douce muse, tu ne peux pas… je ne peux être clément… ce serait enfreindre les règles du jeu… non non … tu as failli, si je ne sévit pas … comment comprendras tu ?

OOOOO Le fil de lame cisailla cette fois les cuisses comme l’avait fait la pointe sur le ventre, le sang coula à nouveau et Fel étouffa des sanglots et des cris, puisant dans la peur une volonté désespérée…

OOOOO Longue fut la punition infligée par Garyk, longue fut son exultation en la voyant si placide, si terrorisée, il semblait satisfait… de l’eau nettoya de nouveau le corps de la captive tétanisée, il ne restait des coupures que de fins traits rubiconds, sur sa peau blême, cela semblait être des tatouages…

OOOOO De loin le corps de Fel semblait être une vivante représentation de douleur, d’érotisme et de rituel…

OOOOO Garyk s’avança, s’enivrant du parfum de Fel, un parfum capiteux propre aux séductrice, un parfum musqué de peur et de désespoir… il poussa un petit glapissement extasié…

OOOOO - Ma douce, ma princesse, tu es si parfaiteÂ… tu joue bienÂ… bien mieux que les autresÂ… continuonsÂ…

OOOOO Et de nouveau les lancinantes et piquantes caresses de la lame touchèrent sa peau, partout, la couvrant… des baisers s’y mêlèrent dans une parodie de préliminaires… Fel, brisée, les yeux exprimant une terreur sans borne à défaut de pouvoir la hurler, soupira par moment, c’était plus fort qu’elle, oui plus fort…

OOOOO Et le couteau se posa sur sa gorgeÂ…

OOOOO - Le jeu se finit petite FelÂ… tu es presque parfaite maintenantÂ… presqueÂ… dommageÂ…

OOOOO Il leva sa lame tel un serpent prés à mordre, Fel ne put retenir un cri strident, mêlé un regard terrible dans son expression d’impuissance et de désir réprimé…

OOOOO La lame tomba et une gemme pourpre scintilla sur sa garde, nimbant la scène d’un éclat améthyste…

OOOOO Et… plus de douleur, pour Fel tout sembla figé… elle ne pouvait s’animer d’aucun mouvements, mais elle n’avait point mal, elle semblait étrangement prise dans un doux étau qui apaisait ses blessures et ses meurtrissures…

OOOOO Garyk regarda son œuvre satisfait… la jeune femme figée dans une éternelle expression d’horreur et de désir réprimé… quelle joie… il fallait saisir cet instant… il le fallait…

OOOOO Fel pensa tout d’abord que cette tétanie était la mort… mais elle réalisa finalement qu’elle était tout simplement paralysée, comme si son être était en stase, son existence avec ses maux mis en marge… elle pouvait plus crier, elle ne pouvait pleurer, elle était un décor… elle put fermer les yeux ni changer son regard quand l’homme sortit un chevalet de peintre et des creuset emplis de teintes diverses…

OOOOO Garyk prit son temps, des heures, fanatique, elle ne pouvait encore mourir, il tenait une perfection ou se qui s’en rapprochait le plus… son pinceau arriva à reproduire avec zèle la scène devant ses yeux, celle d’une femme au moment de sa mort, une terrible délivrance après une torture insidieuse sans nom…

OOOOO Il eut finit… et montra la toile avec empressement à son modèle… qui ne pouvait détourner la tête de cette destinée toute tracée, qui ne pouvait nier… c’était elle, son miroir, striée d’arabesques sanglantes sur une peau si convoitée… c’était elle avant sa mort… ce spectacle plongea définitivement dans la folie…

OOOOO Garyk retourna la toile et approcha… caressant la belle, la libérant de son apathie, elle ne bougea même plus… le jeu était fini définitivement cette fois… elle reçu un baiser langoureux…

OOOOO - Quel honneur pour toi ma belle, parfaiteÂ… pense y fortÂ…

OOOOO Sa dague vola en une sèche virgule et il planta la lame dans le bois du chevalet, à l’endroit où fut promptement sectionnés les liens de Fel… qui tomba dans ses bras…

OOOOO Il l’enlaça, ce corps, son œuvre… il la souleva, portant de l’autre main sa toile maintenant séchée…

OOOOO Il sortit de la pièce en portant aisément les deux fardeaux… le grincement métallique de la porte fut le seul accroc au silence ambiant… ils montèrent des marches, la lugubre obscurité fit vite place à la douce lumière de chandelles, au craquement sinistre du vent à l’extérieur… et à la douce chaleur de l’âtre…

OOOOO Fel, catatonique, se sentit néanmoins allongée sur un lit aux draps rouges… peu à peu les sensations retournèrent à la normale... son esprit était balayé… elle éclata d’un rire cristallin et nerveux qui fit sourire Garyk…

OOOOO - J’ai donc réussi… ô douce folie… voit tu cela mon Maître ? accepte cette ode consommée et contemple cette étreinte folle… accepte l’offrande enfin digne de ta grandeur…

OOOOO Fel, ou plutôt une Fel meurtrie enlaça le peintre, une flamme brûlant dans ses yeux, une flamme de démence… une flamme de désir noir…

OOOOO Garyk la tenait et, jetant un dernier coup d’œil à l’œuvre qu’il venait d’accomplir, cette œuvre posé contre le mur, il poussa un cri d’extase… dans trois nuits, au solstice, il serait félicité, apparaissant avec cette divine toile au conclave de l’Unique… apparaissant au conseil avec sa poupée de sang… muse d’un tableau prônant la violence, la vilenie, la souffrance, la terreur et tout cela figé en un requiem de mort et de désir corrompu… une ode pour Lui…

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OOOOO Ainsi se terminait la légende du peintre, je ponctuais le texte de subtiles enluminures et d’une gracieuse signature…

Fenrill, humble pourvoyeur de légendes lointaines…

Le parchemin fut rapidement copié et déposé à la bibliothèque…

Par Ysthar le 26/8/2002 Ă  19:01:50 (#2031772)

Ecrit en écoutant (entre autre) les Cranberries, Nightwish, la BO de Braveheart tout cela entrecoupé de « Who wants to live forever » de Queen, « May it be » d’Enya et des musiques harmoniques de Final Fantasy…

J’espère que cela plaira ;) (d’ailleurs si des gens souhaitent lire le texte mis en page sur un support plus agréable (Word dans le cas présent) et bien ---> MP :) )

Par Aina HarLeaQuin le 27/8/2002 Ă  0:24:42 (#2034406)

Talentueux dans tous types de récits. Celui ci laisse une légère chair de poule au bas du dos. Il y en aura d'autres j'espère.

Par Azulynn Tvar le 27/8/2002 Ă  22:55:46 (#2041476)

DĂ©licieux (Ă  lire) ;)

Par Ysthar le 28/8/2002 Ă  12:57:51 (#2044788)

Le livret n'était pas parfaitement rangé, preuve qu'il avait été lu, satisfaction... je le déposais une nouvelle fois en évidence pour ceux qui n'aurait pas eu le temps de le voir...

Merci pour les compliments :) *remonte le post*

Par Sombre Lune le 29/8/2002 Ă  0:46:46 (#2049764)

Sensations troublantes, malaises excitants, Ă©moi qui grandit...
Voila un homme comme il doit etre doux de connaitre ... sourire

Par Khaelon Lloth le 29/8/2002 Ă  12:22:42 (#2052057)

*Lis ce tres interressant post un peu tardivement*.
Superbe!
:lit: :merci:

Par Ibuki Tribal le 29/8/2002 Ă  15:58:31 (#2053916)

*lit la 1ere partie a l'instant, en reste coite* :merci:

Par Kyriane Feals le 29/8/2002 Ă  16:03:29 (#2053951)

Une pointe de sadisme perdue au milieu d'un océan d'amour... recette miraculeuse qui a fait ses preuves tout au long des siècles.

Par Ysthar le 29/8/2002 Ă  21:53:06 (#2056414)

La recette n'est rien sans ceux qui la goute *sourire* Merci

....

Par Nienna Fayree le 29/8/2002 Ă  22:09:03 (#2056552)

Que ça n'empeche pas l'ecrivain de continuer son travail....*sourire jusqu'aux oreilles*

Par Fenrill le 28/10/2002 Ă  21:51:21 (#2427827)

Je le remonte un petit coup pour voir na ! ;) puisque j'en ai eu de bons Ă©chos de celui-ci.

Par Alanis Lyn le 29/10/2002 Ă  3:48:57 (#2429200)

Je l'avais pas dit a l'epoque, que c'etait effectivement un texte superbe et intense ?
bah voila c'est dit... :)


:rolleyes:

Par Aina HarLeaQuin le 29/10/2002 Ă  12:33:24 (#2430980)

Toujours la mĂŞme impression en le lisant. Alors ben hop quoi. :rolleyes:

Par Sombre Lune le 29/10/2002 Ă  23:56:02 (#2436696)

C'est mon favori, celui lĂ , on se demande pourquoi ... :rolleyes: :amour: :amour:

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