Crosstopic depuis le covid :
"Je ne suis pas antimasque, je suis anticonnerie"
https://www.lemonde.fr/m-le-mag/arti...0_4500055.html
Difficile d’incarner cette voix dissonante, celle d’un M. Tout-le-Monde qui estime simplement
« s’interroger ».
« La liberté y en a plus. Tu fais ce qu’on te dit et, si t’es pas d’accord, tu es un complotiste », résume-t-il.
...
Parce qu’il y a forcément
« un truc » derrière toute cette affaire.
Quoi ? « Si je savais ce serait plus simple ! »
Il ose tout de même évoquer
« le pouvoir de l’argent », sa femme, Laurence, celui des lobbys pharmaceutiques.
...
Le port du masque obligatoire n’est finalement qu’un élément d’un tout pour Fred. Un moyen de plus pour un gouvernement qui est allé
« tellement loin dans le contrôle, que c’est dur de reculer. Surtout quand ça a marché ». L’artisan énumère les crises sociales qui se sont multipliées ces dernières années, et pas qu’en France :
« Alors tout ça, ça peut aussi être utile pour fermer la gueule à tout le monde. »
Quoi ? La réponse me parait tellement simple pourtant...
Un virus nouveau apparait dans un contexte où une crise financière était en train de pointer son nez :
https://www.lesechos.fr/idees-debats...-vient-1137201
La crise est gérée dans l'urgence, avec son lot de mensonges (notamment sur les masques, ce qui nous mène au point actuel), probablement sans arrière pensée à ce stade.
Pendant la crise, des aides sont votées pour tous les secteurs en difficulté. Enième épisode de "privatisation des bénéfices, mutualisation des pertes".
Juste après la première vague, les entreprises se voient obligés de réduire la voilure, et c'est l'occasion rêvée de détruire un tas d'acquis sociaux, par nécessité certes, mais très rarement avec une clause de retour à bonne fortune.
Réduction des avantages, des salaires, dégraissage de personnel.. si l'activité repart après la crise, certains éléments pourraient repartir à la hausse mais sans atteindre le niveau précédent la crise.
Rien à voir avec big pharma, c'est juste big money.
J'ajouterais au passage que big money connait très bien les deux tendances lourdes qui façonnent aujourd'hui notre économie, le réchauffement climatique et la décroissances des ressources en pétrole. Ces deux choses vont mener à une perte de richesse lente puis de plus en plus rapide.
S'ils veulent maintenir leur position sociale et leur niveau de vie, ils doivent augmenter toujours plus les inégalités, et contrôler au maximum les mouvements sociaux qui se font entendre de plus en plus.