Bac Français

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Donc aujourd'hui de 8H à 12H a eu lieu le/bac/de/français.
Personnellement j'ai pas trouvé le sujet (série S-ES je précise) trop trop dur et on pouvait facilement trouver des axes pour le commentaire.
Mes axes
I Evolution du comportement de Jean à l'égard de Bérenger
1) Inquiétude/Pitié
2) Reproches/suspicion
3) Rejet
II Mise en scène
1) Costumes
2) Attitudes
3) Contraste Jean/Bérenger

Comme ouverture j'ai cité .La ferme des animaux d'Orwell

J'aimerais donc connaître vos impression et sur/tout ce que vous avez pris en sujet d'écriture avec le plan.

L'intégralité du sujet se trouve sur le poste du Jujuga ici
Citation :
Provient du message de Sarevok Valygar
De tout façon faut prendre la dissert!

T'aurais pas un lien vers le sujet?


Et faut faire 3 parties de préférence non?
(enfin jsais plus j'ai jamais bossé en Francais et j'ai pris la dissert au bac (=>14))


(mdr khal lol temple lol)
+1
si vous pouviez mettre le sujet a chaque fois

y manque pas intro et conclusion
Citation :
Provient du message de Sarevok Valygar
Faut prendre la disserte
Et faut faire 3 parties de préférence non?
Ben la disserte faut avoir des idées alors si on a la flemme de chercher on prends le commentaire surtout qu'on a plus de chances d'avoir une note satisfaisante avec le commentaire
Sinon pas/forcément 3 parties 2 ça marche bien aussi.
Je cherche le sujet.
Citation :
Provient du message de Khal-ex Demiosien
on a plus de chances d'avoir une note satisfaisante avec le commentaire

Là je suis pas d'accord!!!

L'avantage de la dissert c'est que t'as pas besoin de connaître les figures de style et autres conneries... j'ai eu 14 et 15 au bac FR sans connaitre aucune figure de style (c'est ma grande fierté )

Si tu sais bien argumenter ça passe (suffit de trouver les exemples dans ton corpus et de connaitre 2-3 trucs quand même)... et puis un bon Amigos ayant fréquenté le forum JOL à l'époque de Demios apprenait vite à maîtriser l'art de la dissertation (c'est à T4C que je dois ma réussite en fait lol)


Par contre je crois que j'ai trouvé le sujet de dissert :

Citation :
Dans quelle mesure le costume de théâtre joue-t-il un rôle important dans la représentation d'une pièce et contribue-t-il à l'élaboration de son sens pour le spectateur ?

Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur le corpus (textes et annexe), sur les textes que vous avez étudiés en classe, ceux que vous avez lus ainsi que sur les spectacles que vous avez pu voir.
J'ai connu plus facile...
(mon impression est peut être faussée du fait que j'ai totalement lâché cette matière à la con depuis 1 an)
Texte à commenter

Désolé mais ils mettent pas l'intégralité du sujet pour l'instant apparement ²
Sinon pour un commentaire la prof nous a dit que c'était moins échelonné que pour une disserte, ça peut aller de 4 à 16 mais pour avoir 4 déjà faut soit le vouloir soit etre une déjéction irl, et donc on a plus de chances d'avoir une note correcte si on maitrise à peu près le commentaire.

H.S.
Moi pour ma part, j'ai choisi la dissertation qui avait l'air sympas et présentait beaucoup de liberté et pour ma part j'ai fait :

I) Les costumes permettent d'orienter une pièce vers divers registres.
1-tragique
2-comique

II) Les costumes donnent des indices au lecteur pour la compréhension de la pièce.
1-l'époque/lieu
2-les relations entres les personnages
3-les traits de caractère des personnages
4-changement d'attitude d'un acte à l'autre

J'ai trouvé plutôt bien le sujet de cette année...
Enfin en vacances...
Citation :
Provient du message de Khal-ex Demiosien
Sinon pour un commentaire la prof nous a dit que c'était moins échelonné que pour une disserte, ça peut aller de 4 à 16 mais pour avoir 4 déjà faut soit le vouloir soit etre une déjéction irl, et donc on a plus de chances d'avoir une note correcte si on maitrise à peu près le commentaire.
un conseil, jamais trop ecouter les profs, meme si c'est le prof d'amphi
les conseils du genre
"vous inquietez pas ca, ca tomberas pas vu que je n'ai pas eu le temps de faire le cours, comme il se doit et vous ne l'avez pas vu en td", paf c'est tombe, pouf 5 en meca Q

ok, mes jeunes enfants, jamais se fier aux suppositions d'un prof
que la force soit avec vous
Tout les textes/questions du sujet S-ES sont en ligne, voilà un copier-coller au cas où ça serait saturé:

A - Molière (1622-1673), l'Avare (1668), Acte II, sc.5.
[Harpagon, vieillard d'une avarice extrême, est veuf et veut épouser la jeune Mariane que son fils Cléante aime en secret. Pour réaliser ce mariage, Harpagon a recours à une entremetteuse, Frosine, qui le flatte pour en obtenir de l'argent.]

FROSINE. — Voilà de belles drogues(1) que des jeunes gens, pour les aimer ! Ce sont de beaux morveux, de beaux godelureaux(2) , pour donner envie de leur peau ! et je voudrais bien savoir quel ragoût(3) il y a à eux !
HARPAGON. — Pour moi, je n'y en comprends point, et je ne sais pas comment il y a des femmes qui les aiment tant.
FROSINE. — II faut être folle fieffée. Trouver la jeunesse aimable ! est-ce avoir le sens commun ? Sont-ce des hommes que de jeunes blondins ? et peut-on s'attacher à ces animaux-là ?
HARPAGON. — C'est ce que je dis tous les jours, avec leur ton de poule laitée et leurs trois petits brins de barbe relevés en barbe de chat, leurs perruques d'étoupe(4), leurs hauts-de-chausses(5) tout tombants et leurs estomacs débraillés.
FROSINE. — Eh ! cela est bien bâti auprès d'une personne comme vous ! Voilà un homme cela ! Il y a là de quoi satisfaire à la vue, et c'est ainsi qu'il faut être fait et vêtu pour donner de l'amour.
HARPAGON. — Tu me trouves bien ?
FROSINE. — Comment ! vous êtes à ravir, et votre figure est à peindre. Tournez-vous un peu, s'il vous plaît. Il ne se peut pas mieux. Que je vous voie marcher. Voilà un corps taillé, libre et dégagé comme il faut, et qui ne marque aucune incommodité.
HARPAGON. — Je n'en ai pas de grandes, Dieu merci : II n'y a que ma fluxion(6) qui me prend de temps en temps.
FROSINE. — Cela n'est rien. Votre fluxion ne vous sied point mal, et vous avez grâce à tousser.
HARPAGON. — Dis-moi un peu : Mariane ne m'a-t-elle point encore vu ? n'a-t-elle point pris garde à moi en passant ?
FROSINE. — Non. Mais nous nous sommes fort entretenues de vous. Je lui ai fait un portrait de votre personne, et je n'ai pas manqué de lui vanter votre mérite et l'avantage que ce lui serait d'avoir un mari comme vous.
HARPAGON. — Tu as bien fait, et je t'en remercie.
FROSINE. — J'aurais, Monsieur, une petite prière à vous faire. (il prend un air sévère.) J'ai un procès que je suis sur le point de perdre, faute d'un peu d'argent, et vous pourriez facilement me procurer le gain de ce procès si vous aviez quelque bonté pour moi. Vous ne sauriez croire le plaisir qu'elle aura de vous voir. (Il reprend un air gai.) Ah ! que vous lui plairez ! et que votre fraise(7) à l'antique fera sur son esprit un effet admirable ! Mais surtout elle sera charmée de votre haut-de-chausses, attaché au pourpoint(8) avec des aiguillettes(9). C'est pour la rendre folle de vous ; et un amant aiguilleté sera pour elle un ragoût merveilleux.
HARPAGON. — Certes, tu me ravis de me dire cela.

(1) drogues : remèdes désagréables.
(2) godelureaux : élégants prétentieux.
(3) ragoût : goût.
(4) étoupe : résidu tiré du chanvre ou du lin.
(5) hauts-de-chausses : pantalons.
(6) fluxion : bronchite chronique.
(7) fraise : collerette amidonnée et tuyautée qui se portait autour du cou, sous Henri IV.
(8) pourpoint : veste.
(9) aiguillettes : sorte de lacets.

B - Samuel Beckett (1906-1989), En attendant Godot (1953), Acte 1.

VLADIMIR. — Quand j'y pense... depuis le temps... je me demande... ce que tu serais devenu... sans moi... (Avec décision.) Tu ne serais plus qu'un petit tas d'ossements à l'heure qu'il est, pas d'erreur.
ESTRAGON (piqué au vif). — Et après ?
VLADIMIR (accablé). — C'est trop pour un seul homme. (Un temps. Avec vivacité.) D'un autre côté, à quoi bon se décourager à présent, voilà ce que je me dis. Il fallait y penser il y a une éternité, vers 1900.
ESTRAGON. — Assez. Aide-moi à enlever cette saloperie.
VLADIMIR. — La main dans la main on se serait jeté en bas de la tour Eiffel, parmi les premiers. On portait beau alors. Maintenant il est trop tard. On ne nous laisserait même pas monter. (Estragon s'acharne sur sa chaussure.) Qu'est-ce que tu fais ?
ESTRAGON. — Je me déchausse. Ça ne t'est jamais arrivé, à toi ?
VLADIMIR. — Depuis le temps que je te dis qu'il faut les enlever tous les jours. Tu ferais mieux de m'écouter.
ESTRAGON (faiblement). — Aide-moi !
Vladimir. — Tu as mal ?
ESTRAGON. — Mal ! II me demande si j'ai mal !
VLADIMIR (avec emportement). — Il n'y a jamais que toi qui souffres ! Moi je ne compte pas. Je voudrais pourtant te voir à ma place. Tu m'en dirais des nouvelles.
ESTRAGON. — Tu as eu mal ?
VLADIMIR. — Mal ! Il me demande si j'ai eu mal !
ESTRAGON (pointant l'index). — Ce n'est pas une raison pour ne pas te boutonner.
VLADIMIR (se penchant). — C'est vrai. (Il se boutonne.) Pas de laisser-aller dans les petites choses.
ESTRAGON. — Qu'est-ce que tu veux que je te dise, tu attends toujours le dernier moment.
VLADIMIR (rêveusement). — Le dernier moment... (Il médite.) C'est long, mais ce sera bon. Qui disait ça ?
ESTRAGON. — Tu ne veux pas m'aider ?
VLADIMIR. — Des fois je me dis que ça vient quand même. Alors je me sens tout drôle. (Il ôte son chapeau, regarde dedans, y promène sa main, le secoue, le remet.) Comment dire ? Soulagé et en même temps... (il cherche) ...épouvanté. (Avec emphase.) É-POU-VAN-TÉ. (Il ôte à nouveau son chapeau, regarde dedans.) Ça alors ! (Il tape dessus comme pour en faire tomber quelque chose, regarde à nouveau dedans, le remet.) Enfin... (Estragon, au prix d'un suprême effort, parvient à enlever sa chaussure. Il regarde dedans, y promène sa main, la retourne, la secoue, cherche par terre s'il n'en est pas tombé quelque chose, ne trouve rien, passe sa main à nouveau dans la chaussure, les yeux vagues.) — Alors ?
ESTRAGON. — Rien.
VLADIMIR, — Fais voir.
ESTRAGON, — Il n'y a rien à voir.
VLADIMIR. — Essaie de la remettre.
ESTRAGON (ayant examiné son pied). —- Je vais le laisser respirer un peu.
VLADIMIR. — Voilà l'homme tout entier, s'en prenant à sa chaussure alors que c'est son pied le coupable. (Il enlève encore une fois son chapeau, regarde dedans, y passe la main, le secoue, tape dessus, souffle dedans, le remet.) Ça devient inquiétant. (Silence. Estragon agite son pied, en faisant jouer les orteils, afin que l'air y circule mieux.)

C - Eugène Ionesco (1912-1994), Rhinocéros (1959).
[Au début de la pièce, deux amis se retrouvent, dans une ville où une étrange maladie, "la rhinocérite", transformera peu à peu les habitants, sauf Bérenger, en rhinocéros. Cette transformation constitue une image de la montée du nazisme ou d'autres formes de totalitarisme.]

JEAN, l'interrompant. — Vous êtes dans un triste état, mon ami.
BERENGER. — Dans un triste état, vous trouvez ?
JEAN. — Je ne suis pas aveugle. Vous tombez de fatigue, vous avez encore perdu la nuit, vous bâillez, vous êtes mort de sommeil...
BERENGER. — J'ai un peu mal aux cheveux...
JEAN. — Vous puez l'alcool !
BERENGER. — J'ai un petit peu la gueule de bois, c'est vrai !
JEAN. — Tous les dimanches matin, c'est pareil, sans compter les jours de la semaine.
BERENGER. — Ah non, en semaine c'est moins fréquent, à cause du bureau...
JEAN. — Et votre cravate, où est-elle ? Vous l'avez perdue dans vos ébats !
BERENGER, mettant la main à son cou. — Tiens, c'est vrai, c'est drôle, qu'est-ce que j'ai bien pu en faire ?
JEAN, sortant une cravate de la poche de son veston. — Tenez, mettez celle-ci.
BERENGER. — Oh, merci, vous êtes bien obligeant. (il noue la cravate à son cou.)
JEAN, pendant que Bérenger noue sa cravate au petit bonheur. — Vous êtes tout décoiffé ! (Bérenger passe les doigts dans ses cheveux.) Tenez, voici un peigne ! (Il sort un peigne de l'autre poche de son veston.)
BERENGER, prenant le peigne. —Merci. (Il se peigne vaguement.)
JEAN. — Vous ne vous êtes pas rasé ! Regardez la tête que vous avez. (Il sort une petite glace de la poche intérieure de son veston, la tend à Bérenger qui s'y examine ; en se regardant dans la glace, il tire la langue.)
BERENGER. — J'ai la langue bien chargée.
JEAN, reprenant la glace et la remettant dans sa poche. — Ce n'est pas étonnant !... (Il reprend aussi le peigne que lui tend Bérenger, et le remet dans sa poche.) La cirrhose(1) vous menace, mon ami.
BERENGER, inquiet. — Vous croyez ?...
JEAN, à Bérenger qui veut lui rendre la cravate. — Gardez la cravate, j'en ai en réserve.
BERENGER, admiratif. — Vous êtes soigneux, vous.
JEAN, continuant d'inspecter Bérenger. — Vos vêtements sont tout chiffonnés, c'est lamentable, votre chemise est d'une saleté repoussante, vos souliers... (Bérenger essaye de cacher ses pieds sous la table.) Vos souliers ne sont pas cirés... Quel désordre !... Vos épaules...
BERENGER. —Qu'est-ce qu'elles ont, mes épaules ?...
JEAN. — Tournez-vous. Allez, tournez-vous. Vous vous êtes appuyé contre un mur... (Bérenger étend mollement sa main vers Jean.) Non, je n'ai pas de brosse sur moi, cela gonflerait les poches. (Toujours mollement, Bérenger donne des tapes sur ses épaules pour en faire sortir la poussière blanche ; Jean écarte la tête.) Oh là là... Où donc avez-vous pris cela ?
BERENGER. — Je ne m'en souviens pas.
JEAN. — C'est lamentable, lamentable ! J'ai honte d'être votre ami.
BERENGER. — Vous êtes bien sévère...

(1) cirrhose : maladie du foie.

Question:
Quelles fonctions peut-on attribuer au costume de théâtre d'après les textes A, B, C du corpus ?

Ecriture
I/ Commentaire sur le texte C

II/ Dissertation: Dans quelle mesure le costume de théâtre joue-t-il un rôle important dans la représentation d'une pièce et contribue-t-il à l'élaboration de son sens pour le spectateur ?
Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur le corpus (textes et annexe), sur les textes que vous avez étudiés en classe, ceux que vous avez lus ainsi que sur les spectacles que vous avez pu voir.

III/ Invention: La comédie de l'Avare a été écrite et représentée en 1668. Il est question, dans la scène proposée, de costumes à la mode et d'autres qui sont démodés.
Un comédien et son metteur en scène s'opposent sur le choix des costumes à faire porter aujourd'hui aux personnages ; faut-il, pour donner à la scène tout son comique, garder les habits suggérés par le texte de Molière ou leur préférer des vêtements plus modernes ?
Vous rédigerez leur dialogue.

(Il y avait aussi une annexe mais je la trouve pas ²)
Citation :
Provient du message de !Mars+3!
Moi pour ma part, j'ai choisi la dissertation qui avait l'air sympas et présentait beaucoup de liberté et pour ma part j'ai fait :

I) Les costumes permettent d'orienter une pièce vers divers registres.
1-tragique
2-comique

II) Les costumes donnent des indices au lecteur pour la compréhension de la pièce.
1-l'époque/lieu
2-les relations entres les personnages
3-les traits de caractère des personnages
4-changement d'attitude d'un acte à l'autre

J'ai trouvé plutôt bien le sujet de cette année...
Enfin en vacances...
J ai pas fais comme toi :

J ai fait première partie Relation Comédien-costume

Pacte avec le dramaturge
Continuité Dramaturgique
Comédien--> perso

Puis Spectateur-costume
Stéréotypes avec les costumes
Relation entre les perso
Deféinr le cadre
Le sujet de L c'était quatre lettres tirées de la correspondance de Flaubert.

J'ai pris le commentaire qui demandait de comparer les deux lettres rédigées le 8 octobre 1859:
- celle adressée à Mademoiselle Leroyer de Chantepie (une admiratrice devenue confidente)
- celle rédigée à l'attention de Jeanne de Tourbey (une femme mondaine aux nombreuses relations amoureuses)

Mon petit plan (en brouillon, en sachant que j'ai des idées qui me viennent au cour de la rédaction):

I Les ressemblances
- Il s'agit de deux lettres (donc première personne, présent, même structure de construction etc)
- Les lettres ont une fonction informative (dans les deux cas, Flaubert demande des nouvelles de ses correspondantes et donne des siennes)

II Les différences
- Flaubert est paternaliste envers Leroyer de Chantepie (il lui conseille des livres, un comportement à adopter, utilise l'impératif etc etc) mais se confie à elle (il lui avoue la difficulté qu'il a à écrire son roman actuel)
- Il est plus enjoué et séducteur avec Tourbey (se place en position inférieure vis à vis d'elle, lui montre qu'elle est entourée par des hommes qui ne la méritent pas, qu'elle est belle et intelligente, essaie de l'apitoyer, etc)

En conclusion j'ai rappelé juste les différents tons que prenait Flaubert pour s'adresser aux deux femmes (je n'ai jamais été bon pour les conclusions ^^ ) et en ouverture j'ai rappelé qu'il aimait visiblement prendre des gens sous son aile, comme il le fait avec Leroyer de Chantepie, puisqu'il lui conseille d'en faire autant dans sa lettre, et recommencera avec Maupassant.

Valaaaa

Ca rend moins bien comme ça, mais j'en suis très content, et j'espère que la note ne me décevra pas trop.
Re: Bac Français
Citation :
Provient du message de Khal-ex Demiosien
Donc aujourd'hui de 8H à 12H a eu lieu le/bac/de/français.
Personnellement j'ai pas trouvé le sujet (série S-ES je précise) trop trop dur et on pouvait facilement trouver des axes pour le commentaire.
Mes axes
I Evolution du comportement de Jean à l'égard de Bérenger
1) Inquiétude/Pitié
2) Reproches/suspicion
3) Rejet
II Mise en scène
1) Costumes
2) Attitudes
3) Contraste Jean/Bérenger

J'aimerais donc connaître vos impression et sur/tout ce que vous avez pris en sujet d'écriture avec le plan.
Je suis aller un peu plus loin, en partant de plus pres, je m'explique:

I. Cadre
on insiste sur la banalité pour que l'incongruité de l'absurde contraste mieux avec la situation de depart.
II. Opposition des personnages
oui, j'ai fait tout un axe, car Ionesco fait passer enormement d'idee à travers les nombreuses confrontations jean/beranger (sans compter que l'un prend le pas sur l'autre...)
III. Le theme de l'identité
ca vient tout seul ca, on voit que Ionesco prefere les comportements marginaux que ceux fondu dans la société.

C'est bizzare, resumer ce que j'ai fais me parait horriblement enervant (surement parceque j'ai plus envie d'en parler)
Rahhhhhh comment il etait trop facile votre sujetttttt p'tinnnnn pourquoi on a pas eu ça en L ouinnnnnn !

En L c'etait :

Commentaire comparé de deux lettres de Flaubert.

Dissertation c'etait a la fois sur l'epistolaire et la biographie ( mais je l'ai meme pas lu )

Et le sujet d'invention il fallait ecrire une lettre a un ecrivain moderne pour lui decclarer notre admiration. Ca devait surtout porter sur le dernier ouvrage qu'on avait lu de cet auteur.
+ ecrire un petit billet a un ami pour commenter notre lettre.

Bonne chance pour ceux qui vont chercher les sujets ^^
Le sujet d'invention ^^ sur JK Rowling huhu !

N'empeche je comprend pas pourquoi le sujet d'invention a si mauvaise reputation il est aussi dur que les autres.
Enfin je pense que le sujet d'invention est mal vu car bcp d'eleveurs glandeurs le prennent en sujet poubelle et font ça a l'arrache.
Mais bon si c'est bien fait je trouve que c'est tres dur comme le disait un celebre ecrivain dont je ne sais plus le nom :
"N'est pas ecrivain qui veut"
Citation :
Provient du message de Niji
Le sujet d'invention ^^ sur JK Rowling huhu !

N'empeche je comprend pas pourquoi le sujet d'invention a si mauvaise reputation il est aussi dur que les autres.
Enfin je pense que le sujet d'invention est mal vu car bcp d'eleveurs glandeurs le prennent en sujet poubelle et font ça a l'arrache.
Mais bon si c'est bien fait je trouve que c'est tres dur comme le disait un celebre ecrivain dont je ne sais plus le nom :
"N'est pas ecrivain qui veut"
Oui il parait que ça note sévère et que ça peut être tout ou rien (de 0 à 16 donc).Il faut un certain talent littéraire et une quantité plus que substancielle vu que c'est un travail de 3H
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