[Texte]Quelques lignes pour espérer...

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Voici quelques temps que je n'arrive plus à écrire, aussi un ami m'a t il demandé d'essayer pour lui.

Mes lignes me semblent fades, elles ne me viennent plus comme avant. Je vais tout de même les laisser ici pour mander les avis, les conseils.

Ces lignes sont celles d'un homme perdu en de tristes souvenirs, qui choisi d'oublier. Je ne sais si elles plairont, navré à ceux qui en seront ennuyés.

Merci à ceux qui les liront.

Citation :
Le geste est simple, simple pas en avant, un choix pour l’éternité. Première joie d’une vie d’enfant, dernier sourire d’un être vivant, tant de joies déplorées, pour enfin se reposer.

Combien de mois sont passés ? Combien d’heures ont été pleurées ? Etrange est le sourire né de la larme, sans saveur, simple reflet des peurs, espoir de sérénité qui meure en un souvenir regretté. Le chemin est long pour celui qui ne sait où aller, les pas se succèdent, à n’en jamais reculer. Touche d’ingratitude envers ceux qui vous ont aimé, c’est seul que l’on décide de se retirer… sans raison, sans réflexion, simplement pour oublier.

Les journées sont vécues au rythme des nuits agitées, où souvenirs se mêlent à l’incertitude. J’aurai aimé dire au revoir, me rendre à leurs cotés, parler. Tant de fois j’ai hésité, à les regarder rire et s’amuser, à les envier. Tant de fois il m’aurait plu à fermer les yeux et simplement écouter. Trop de simplicité, le cœur noyé en de tristes mémoires, il aurait été lâche de te faire mes adieux, même si en moi j’aurai dû je le sais.

Je te l’ai reproché, je n’ai voulu te comprendre. Encore en ce jour il m’arrive de pleurer, de chercher ce que j’ai oublié, de trouver mes erreurs passées. Pourquoi s’être tue ? Pourquoi n’être venue ? Quelle larme ne saurait être séchée ? Je cherche au gré des étoiles les chemins d’un esprit torturé, douceur d’une jeune femme en pleur qui pour seule lumière a trouvé l’obscurité. Mais tu ne m’as rien laissé… nul plaisir, nul désir, simplement le regret.

Quelle vie as tu à présent ? Quelles joies sont les tiennes dorénavant ? Simple repos, sommeil apaisant, couchée sur un lit de satin blanc. Nulle beauté ne saurait être contée, comment alors de toi parler ? Tant de mots pourraient être prononcés, tant d’instants hâtivement oubliés, telle la rivière coule vers l’éternité je pourrai ainsi m’en aller.

Tout était sourire et beauté, nulle ombre n’aurait su nous troubler. Que s’est il passé ? Pourquoi n’avoir hésité ? Jamais larme ne saurait violer douceur, et pourtant c’est bien en cela que tu t’es réfugié, c’est à lui que tu t’es adonné, ce pleur. Je ne saurai expliquer, le manque qui se crée, le vide d’une photo regardée. C’est un doute qui naît, un frisson une chaude nuit d’été. C’est un espoir négligé qui d’une simple larme offre le plus beau des mets. Une lune tant désirée qu’enfin l’on ne saurait s’en déroger.

Encore en mon esprit vogue ton dernier souvenir, nuit de beauté, prêtant tes formes au drap heureux de te caresser. Le sommeil t’était offert, le visage légèrement incliné, couvert de tes cheveux d’un noir sacré. Rien n’avait changé, et rien jamais ne sera touché… tout est intact, tel que tu l’as laissé. Tu aurais dû m’attendre, me demander, je me serai couché à tes cotés. Les yeux fermés je revois ton sourire crispé, tes lèvres appréciant encore la douceur salée des larmes déjà séchées.

Mon chemin se termine ici, loin de toi, loin de ceux que j’ai aimé. Le choix n’est plus, bientôt il en sera terminé. La soirée était douce, sous ce vieil hêtre oublié. C’est perdu dans le passé que j’ai avancé, sans vouloir regarder. Peut-être avais je peur, sans doute ai je hésité… mais ne reste devant moi que l’éternité, dans cette chute déjà commencée. Point de message à offrir, nulle colère à hurler, simplement cette larme à sécher, un plaisir à retrouver.

Le dernier des regrets, le seul qui me tient à cœur désormais, c’est de ne m’être prêt de toi glissé, pour encore te caresser. Le dernier des regrets c’est d’avoir laissé les larmes couler, de ne t’avoir contre moi serré, pour enfin t’accompagner, en ton chemin tout de rouge tissé…
Citation :
Provient du message de Une plume
Mes lignes me semblent fades
C'est surement que ca peut ressemble a nombre de textes traitant du même thême que tu abordes : la déception amoureuse, la mélancolie. Un conseil simple, ce que tu devrais faire c'est "personnifier ton texte" en décrivant, par exemple, plus précisément des lieux, des visages.. et même des noms..
Ca en devient moins ennuyeux pour le lecteur car ca lui permet de mieux se figurer le cadre et les acteurs de tes histoires, et ca amplifie du coup le coté dramatique. Si tu les montres pas, le lecteur perdra de l'interet pour tes lignes.
Ce texte a fait resurgir au fond de moi, nombre de regrets, comme un vent vif ayant balayé curllement heureu souvenirs, empreint d'une fausse legereté, comme des feuilles mortes, pour decouvrir ces lourds regrets, enracinés dans mon coeur, que fracasse le vent d'emotion qu'a fait renaitre ton texte....

Et la tornade se lève, et le brouillard se lève, et cette terrible tempète s'elève en moi, cette terrible force... Je vais passer une triste soirée, c'est très fort ce que tu as écrit, et ca parle à mon histoire comme si cela parlait de mon Histoire...
Thumbs up
Quand les larmes de la lecture viennent..
Tout simplement magnifique...
Tout comme Obierwan MIKS, j'ai rarement ressenti autant d'émotion en lisant un texte.
J'eusse aimé avoir ne serait-ce qu'une once de ton talent pour décrire les sentiments.

Surtout ne te décourage pas, continue.
__________________
Une pensée écrite est morte. Elle vivait. Elle ne vit plus. Elle était fleur. L'écriture l'a rendue artificielle, c'est-à-dire immuable.
Ecrivain français [ Jules Renard ]
Citation :
Provient du message de Phemios de Lys
Ce texte a fait resurgir au fond de moi, nombre de regrets, comme un vent vif ayant balayé curllement heureu souvenirs, empreint d'une fausse legereté, comme des feuilles mortes, pour decouvrir ces lourds regrets, enracinés dans mon coeur, que fracasse le vent d'emotion qu'a fait renaitre ton texte....

Et la tornade se lève, et le brouillard se lève, et cette terrible tempète s'elève en moi, cette terrible force... Je vais passer une triste soirée, c'est très fort ce que tu as écrit, et ca parle à mon histoire comme si cela parlait de mon Histoire...
Exactement pareil. C'est tout simplement superbe. Merci
Citation :
Provient du message de Obierwan MILKS
J'ai rarement ressenti une telle tristesse dans un texte!

J'ai frissonné tout le long et j'en ai les larmes aux yeux!

Et malgré tout c'est beau! J'aime vraiment beaucoup!

Un mot : continue
c'est tout ce que je pense! rien à ajouter...

saucerinette, qui te félicite.
Citation :
Provient du message de Frida
C'est pas mal.... un peu trop de "é" pour moi, la musique du "é " répétitif me gène.
J'en suis désolé. Il est vrai que si je m'étais relu en entier j'aurai pu le corriger... Lorsque j'ai écrit ces lignes je désirai laisser une sorte de résonance pour donner un sentiment d'infinité, mais il est vrai que c'est raté. ^^

Citation :
Provient du message de Dio
C'est surement que ca peut ressemble a nombre de textes traitant du même thême que tu abordes : la déception amoureuse, la mélancolie.
Je trouve mes lignes fades parce que je n'arrive plus à ressentir ces sentiments que j'arrivais à écrire... j'ai l'impression de ne plus savoir offrir les images que j'ai quand je ferme les yeux.
Pour ce qui est du "thème", je reconnais que mes mots sont souvent bordés de mélancolie, mais très rarement de déception amoureuse... disons que mon but est de conter diverses approches de la mort. (que ce soit meurtre, suicide, accident, mort naturelle...)

Citation :
Un conseil simple, ce que tu devrais faire c'est "personnifier ton texte" en décrivant, par exemple, plus précisément des lieux, des visages.. et même des noms..
Ca en devient moins ennuyeux pour le lecteur car ca lui permet de mieux se figurer le cadre et les acteurs de tes histoires, et ca amplifie du coup le coté dramatique. Si tu les montres pas, le lecteur perdra de l'interet pour tes lignes.
Je devrai sans doute m'y attacher un peu plus oui, mais l'exercice est très difficile dans un texte à la première personne. Ici je n'ai réussi à le faire.



Merci aux personnes ayant laissé mot sur ce post, quelque part les encouragements aident toujours... L'une de mes plus grandes peurs reste cette feuille blanche sur laquelle les lignes n'osent se noircir, et même si cela peut sembler idiot, ce texte ne m'offre aucun plaisir de lecture.

Comme dirait un ami, Muse est partie, et j'ai beau chercher j'ai vraiment du mal à la retrouver.
je ne pense pas qu'en décrivant les lieux, le texte y gagnerait...
Le fait de ne rien décrire ou presque est , à mon goût,bon pour l'ambiance du texte...
comme à l'accoutumée je trouve ça très beau et faut que toujours tu continues...
et la page blanche arrive toujours mais on a toujours la force de la battre et elle se tait pour longtemps
Citation :
Provient du message de Une plume
Comme dirait un ami, Muse est partie, et j'ai beau chercher j'ai vraiment du mal à la retrouver.
Elle reviendra. Un tel talent ne saurait rester inexploité. Muse est bien revenue chez moi, qui n'avais, et n'ai toujours pas, le dixième de ton art.
je parlais justement ce soir avec quelqu'un qui est de la meme trempe que toi du fait k'on arrivait plus a acrire comme avant...


il parlait tout a l'heure de Désir d'écrire je crois que tu viens de me rendre ce Désir (Merci Erinan pour cette suberbe expression)

tu demandes un avis... (attention, rien de mechant... juste des remarques qui me viennent, en esperant que ca pourra t'aider a retrouver ton plaisir d'écriture) je trouve tes membres de phrase trop saccadés et chaotiques... le texte manque un peu de fluidité et ca gene a la compréhension globale...

tes phrases seraient parfaites dans un poème, mais en pseudo prose... elles sont un peu trop hachée et les rimes un peu trop constante (ou répétitives je sais pas bien kel adjectif donner) je pense...

ATTENTION, je repete que ce ne sont PAS des reproches !!!!!!!
Ne vous méprenez pas sur ce que je dis...


ce que je ressent en lisant ton texte, c'est que ta plume accroche... que les mots ne coulent pas comme ils le devraient... Il est fort possible que je me trompe, mais tu t'es surement un peu forcé a ecrire ce texte (quelque-part, meme un peu) et ca se sent...

enfin, c'est ce que je ressent quand je lis...
Cependant, on voit bien que tu as l'ecriture dans le sang... tu fais parti de cette catégorie de gens qui voient un arbre aux couleurs d'automne comme une source innepuisable de metaphores et d'adjectifs décrivant toute la beauté de ses couleurs...


On sent une vraie poussée pour l'ecriture, amis je sais pas, je sens comme une retiscence... comme si... ca n'était pas sorti tut seul...

J'arrive pas a dire ce ki me le fait sentir, mais je le sens...

Un ami qui voulais que je lui ecrive m'a dit : Si tu n'y arrives pas... relis un de tes anciens textes... plonge toi dedant, profondément, abandonne toi au souvenir de ce que tu ressentais a ce moment là... et ecris dessuite apres, sans te laisser le temps de perdre l'humeur que la lecture t'aura apporter...


Je n'utiliserais pas le mot : fade... je dirais juste ... sec ... pas assez "ressenti"...
j'ai du mal a cerner ce que tu ressentais en l'ecrivant...

toi, de ton texte, kan tu le relis, tu en pense quoi?
qu'est-ce qu'il t'inspire?

A toi ?
__________________
http://site.voila.fr/images_pawa/gifs/fifilles/brune.gif "Il faut rire avant d'être heureux... De peur de mourir sans avoir ri"
Citation :
Provient du message de Syss
tu demandes un avis... (attention, rien de mechant... juste des remarques qui me viennent, en esperant que ca pourra t'aider a retrouver ton plaisir d'écriture) je trouve tes membres de phrase trop saccadés et chaotiques... le texte manque un peu de fluidité et ca gene a la compréhension globale...

tes phrases seraient parfaites dans un poème, mais en pseudo prose... elles sont un peu trop hachée et les rimes un peu trop constante (ou répétitives je sais pas bien kel adjectif donner) je pense...

ATTENTION, je repete que ce ne sont PAS des reproches !!!!!!!
Ne vous méprenez pas sur ce que je dis...
Je ne le prends aucunement mal, car personnellement, cet écrit je ne l'aime pas. Et je préfère une réponse franche qui m'aidera peut-être, car sans cela il est difficile de comprendre que l'on n'arrive plus à avancer.

Citation :
ce que je ressent en lisant ton texte, c'est que ta plume accroche... que les mots ne coulent pas comme ils le devraient... Il est fort possible que je me trompe, mais tu t'es surement un peu forcé a ecrire ce texte (quelque-part, meme un peu) et ca se sent...
Cette phrase est celle qui m'a le plus troublé en tes remarques, car ce n'est pas qu'un peu que j'ai forcé les mots. Voilà plusieurs semaines que je n'arrive à écrire, trop de temps que mes mots n'ont plus cette facilité que j'aime. Je me suis forcé à les écrire oui, j'ai essayé de faire venir l'inspiration, en imaginant une scène et m'attachant à forcer les sentiments...

Citation :
enfin, c'est ce que je ressent quand je lis...
Cependant, on voit bien que tu as l'ecriture dans le sang... tu fais parti de cette catégorie de gens qui voient un arbre aux couleurs d'automne comme une source innepuisable de metaphores et d'adjectifs décrivant toute la beauté de ses couleurs...
Je n'aurai telle prétention, l'écriture est un passe temps. Il me plairait à pouvoir faire mieux, mais c'est chose très difficile, et je n'en ai le talent. Pourtant, il est vrai que les feuilles volant aux vents sont des lignes très facile.

Citation :
On sent une vraie poussée pour l'ecriture, amis je sais pas, je sens comme une retiscence... comme si... ca n'était pas sorti tut seul...

J'arrive pas a dire ce ki me le fait sentir, mais je le sens...
Je ne saurai dire ce qui en ces lignes trahit la volonté qui y était, mais comme déjà dit plus haut, l'écriture était forcée, comme si l'encre refusait de se déverser.

Citation :
Un ami qui voulais que je lui ecrive m'a dit : Si tu n'y arrives pas... relis un de tes anciens textes... plonge toi dedant, profondément, abandonne toi au souvenir de ce que tu ressentais a ce moment là... et ecris dessuite apres, sans te laisser le temps de perdre l'humeur que la lecture t'aura apporter...
Mon plaisir lors de l'écriture est de vivre le sentiment, le sentir en moi, le poser et l'offrir à celui qui me lira. J'ai lu et relu mes textes passés, du moins ceux que je n'ai détruit, mais rien n'est venu.

Citation :
Je n'utiliserais pas le mot : fade... je dirais juste ... sec ... pas assez "ressenti"...
j'ai du mal a cerner ce que tu ressentais en l'ecrivant...
Je ne ressentais rien... rien de ce qui est écrit. Mon désir était d'écrire, simplement d'écrire, mais je n'en ai plus le savoir. Les mots sont fades si, car ils n'ont de réelle valeur, juste un agencement qui peut les rendre agréables...

Citation :
toi, de ton texte, kan tu le relis, tu en pense quoi?
qu'est-ce qu'il t'inspire?

A toi ?
Rien... je n'y trouve rien. Il m'est parfois arrivé d'avoir les larmes sur les joues en fin d'écriture, mais là je n'avais rien.

Lorsque je lis ces lignes je m'ennuie, elles me lassent, ne m'inspirent aucune émotion. J'ai les images en mon esprit car je les avais d'avant, mais autrement il n'y a rien.


Je ne prétends avoir quelque talent, ni en ce jour ni jamais. L'écriture est une passion qui pour moi ne peut se faire sans émotion. En laissant ce texte j'espérai je crois voir la facilité revenir, j'espérai que l'on me dise que c'était beau, mais en fait je n'en retire rien.

Ce ne sont que quelques lignes, je les trouve grossières, sans rien d'autre.

Ce que j'aurai aimé, avant que le plaisir d'écrire ne se retire, c'est de laisser des mots qui vraiment seraient beaux. Une histoire, un instant à conter, qui réellement resteraient en ceux qui les liraient. C'est un espoir bien grand, mais pour cela je n'ai le talent.

Dommage...
On dirait que tu as voulu écrire pour justement essayer de te remémorer certains sentiments, pour revenir à une époque où tout était mieux et ça se sent. Ta plume n'est pas inspirée, tout est beaucoup trop chaotique (désordonné, dispersé, paraît que j'ai pas le droit d'utiliser chaotique d'après Mlle Syss parce qu'elle a trouvé le terme avant ) et en devient lassant à la fin.
On croit attraper un bout de ce que tu essayes de faire passer pour finalement partir dans une autre direction où l'on se perd dans quelque chose de très (trop même) vague...

Avais-tu vraiment envie d'écrire lorsque tu as couché ce texte sur le papier ? Ou t'es-tu dit qu'en te forçant, tu reverrais surgir cette passion dévorante et enivrante que peut être l'écriture et que les mots viendraient d'eux-mêmes, comme avant ?

J'avoue n'avoir rien ressenti en lisant ce texte, je ne le trouve pas naturel, on dirait que tu es parti d'un thème : la déception, le chagrin et que tu l'as étiré en faisant de belles phrases (qui veulent se montrer tristes mais que je trouve horriblement creuses...) malheureusement sans substance, asentimentales (néologisme quand tu nous tiens)...

Ce n'est que mon avis, bien sûr

4ème ou 5ème edit, comme d'hab : après rererererelecture, j'apprécie énormément ton style, sauf cette sonorité en "é" :/
maieeeeuuuh !!!! le chaotique c'est mon analyse !!!!

pffff.....


Je dois t'avouer que comme Eri... j'ai eu beaucoup de mal a te suivre...


en fait, je vais te donner un conseil...
c'est le moyen que moi j'ai trouvé pour renouer avec ce Désir d'écrire (terme avec un copyright, Eri je te dois 1centime)


Je suis sur qu'il y a une chose qui t'evoque une nostalgie profonde... Moi, c'est le canada...

prend une image... une photo de cette chose... ecoute la musique en question...

a un moment ou, de base, tu es triste...
et laisse toi aller a n'ecrire que quelques mots.... un simple : comme j'aimerai retrouver.... et laisse ta plume glisser sur cette simple phrase.


Pour recommencer, je pense que le meilleur sentiment a traduire est TA nostalgie.

je suis CERTAINE qu'il y a une musique qui te rapelle un moment que tu voudrais revivre...
Certaine qu'il y a un lieu que tu voudrais retrouver...


Ne te force pas a ecrire au moment ou tu le choisit...
attend d'etre dans un etat naturellement nostalgique.... et réfugie toi dans cete chose que tu voudrais retrouver...
décris la.... pour toi meme... sans vouloir ecrire beaucoup... quand je m'y suis remise j'ai écris 7 lignes...
puis j'ai floodé un pauvre cobaye Le Pauvre Erinan (qui n'aime pas etre comparé a un cochon d'inde) sur msn en regadant les larmes dans les yeux une photo d'un lac a montreal... un lac ke je me suis mise a décrire avec les yeux de mon coeur, avec toute la force de mes souvenirs...

je pense que vu l'etat qui est le tien... pour repartir... il te faut une petite dose de nostalgie.... un une grosse dose de souvenir...

je sais pas... un slow dansé avec qqn, une soirée passée a regarder les étoiles... un paysage de vacances ... qui dévierai sur un amour de vacance... simplement une musique qui te fais vibrer... amuse toi a fermer les yeux et a imaginer une scene qui se passerait sur cette musik (le classik c top pour faire ca, c super fun, moi j'adore)

si tu n'y arrive pas... au début, ne fait pas ca pour les autres.... fait ca pour TOI, pour TE liberer de quelque chose...
Tu verras... ca viendra....
__________________
http://site.voila.fr/images_pawa/gifs/fifilles/brune.gif "Il faut rire avant d'être heureux... De peur de mourir sans avoir ri"
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