Berceuse

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Dors, petit ange aux nuits troublées.
Dors, d’un doux sommeil, apaisée.
Ne crains pas les ténèbres car
ton cœur est un soleil d’espoir.

Dans les murmures de l’automne,
entend la berceuse des faunes,
ou le chant lointain des sirènes,
mais que la nuit te soit sereine.

Loin des doutes, ferme tes yeux.
Sur les routes qui mènent aux cieux,
avance sans peur vers ces rêves,
qui d’Yggdrasil sont la sève.

Au beau royaume de Morphée,
reprend tes forces, petite fée.
Là où les songes sont empires,
que sonnent les éclats de ton rire.

Le temps d’une nuit de fortune,
Je me ferais rayon de lune.
Laisse ouverte une fenêtre,
que je veille à ton bien-être.

Puis, l’aube chantant ton retour,
tu t’éveilleras en ce jour,
des douces étoiles ton âme,
nous ayant rapporté la flamme.
Je crois que c'est mieux comme ça, plus proche de ce que je voulais faire :

Citation :
Dors, petit ange aux nuits troublées.
Ne crains pas les ombres dans le noir.
Dors, d’un doux sommeil, apaisée
car ton cœur est un soleil d’espoir.

Entend les murmures de l’automne
ou le chant lointain des sirènes.
Ecoute la berceuse des faunes
mais que la nuit te soit sereine.

Oublie les doutes, ferme tes yeux.
Avance sans peur dans tes rêves,
et, sur les routes qui mènent aux cieux,
d’Ygddrasil retrouve la sève.

Au beau royaume de Morphée,
là où les songes deviennent empires,
reprend tes forces petite fée
et que sonnent tes éclats de rire.

Le temps d’une nuit de fortune,
laisse ouverte une fenêtre.
Je me ferais rayon de lune,
pour veiller sur toi sans apparaître.

Puis, l’aube chantant ton retour
du pays des étoiles, ton âme
s’éveillera au nouveau jour,
à qui tu amèneras la flamme.
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