Le soir sur les collines endormis
J'admire les villes éclairées la nuit
Par les lumières rougissantes
De nos activités déclinantes
Le jour se lève alors
Eclatant des l'aurore
La journée m'appelle
Et je vis pour elle
Mes jours ne sont pareils
Depuis cette merveille
Qui m'a bercé tendrement
De ces bras délicatement
Pour moi elle a ouvert
Un livre tout de vers
Que je feuillette haletant
Des mes doigts légèrement
Je n'ai pu resister
et je suis entrainer
Par la douce poésie
Qu'elle me conte la nuit
Peut etre etait-ce un reve
Ou alors juste une treve
Qui nous sépare désormais
Mais s-il vous plait
Dites lui mes malheurs
Apporter lui ma terreur
De ne pouvoir la retrouver
D'avoir à l'oublier
Ce n'est pourtant pas ma mie
Mais elle occupe dans ma vie
Une place à part parmis celle
Avec lesquelles je m'entremelle
Elle est femme d'un homme
Et n'appartient à personne
Libre comme un oiseau
Dans les cieux vole haut
Bientot elle sera perdu
Mon ame sera dechue
D'avoir à rechercher
Ce que j'avais trouvé
J'irai m'asseoir sur ls collines
Attendant que la nut s'anime
Pour partir en quete
D'une autre conquete
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