Poèmes

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Ohé matelots trykers ,
Soyez fiers ,
De votre navire ,
n'ayez crainte qu'il ne chavire ,
Moi la marchande fyros des quatre saisons ,
Suis prête à chasser le ton ,
A vos cotés ,
Pour être plus près ,
De vos baies ,
Ensoleillées .


Berçé par les flots ,
Le vieux rafiot ,
Etait toujours à flot ,
La trykette Aeya à ses commandes ,
collectionnait les amendes ,
Devant son instructeur les yeux en amandes ,
Subjugué par sa beauté ,
En oubliait ,
Toute méchanceté ,
Et repartait ,
les amendes déchirées ,
Et le coeur serré .


La truffe au vent ,
Et la patte en avant ,
poilu le félin ,
D'un geste malin ,
tentait d'attraper l'écume ,
légère comme une plume ,
Sa maitresse gouttait le doux repos ,
Des navires de plaisance locaux ,
Jouant les pieds dans l'eau ,
Couchée sur le dos ,
Pendant que sur le ponton ,
Levant le ton ,
Gozmoth la fyros ,
Tentait de faire la féroce .


Ohé matelots trykers ,
Soyez fiers ,
De votre navire ,
n'ayez crainte qu'il ne chavire ,
Moi la marchande fyros des quatre saisons ,
Suis prête à chasser le ton ,
A vos cotés ,
Pour être plus près ,
De vos baies ,
Ensoleillées .



http://www.ryzom.com/downloads/artwork/640/br-ob-tr-pi-2000-07-28-3a.jpg
Message roleplay
" Chant guerrier fyros "
Ecoute mon chant fyros toi l' étranger ,
Qui vient dans mon désert poser les pieds ,
Je suis le gardien de ces dunes ,
Il serait dangereux de te frotter à mon armure ,
Fidèle à mon poste je suis le gardien de la flamme ,
Si tu es un ennemi tu verras de pres ma lame .

Je suis un guerrier fyros ,
On dit de moi que je suis féroce ,
Moi l' aventurier du désert ardent ,
J' erre d' oasis en oasis suivant les vents ,
Moi la sentinelle des sciures chaudes ,
J' interdis que l' on me regarde de haut .

Tapis dans sa tanière le varynx m' attend ,
Je le dompterai ce n' est qu' une question de temps ,
Mes ennemis ne portent jamais deux fois la main sur moi ,
Si tu n' es pas mon ami tu es mon ennemi c'est ma loi ,
Tel un troubadour je chante souvent ,
Les airs de ma tribu doivent danser dans le vent .

Armé de mon épée je protège mon oasis ,
Car sans lui cette terre ne serait plus Atys ,
L' eau fraiche salvatrice s' offre à toi ,
Ne la gaspille pas bêtement tu le dois ,
Nonchalamment les palmiers se balancent dans le vent ,
Et je me délecte de leurs fruits d'un coup de dent .

Protégée par ses remparts notre cité ne craint rien ,
Si tu tentes de l'envahir tu n'es pas bien malin ,
Dans les fours les plus belles armes sont forgées ,
On vient de toute part se les disputer ,
Notre culture guerrière est à ta portée ,
Mais tu dois nous montrer que tu la mérités .

Ecoute mon chant fyros toi l' étranger ,
Qui vient dans mon désert poser les pieds ,
Je suis le gardien de ces dunes ,
Il serait dangereux de te frotter à mon armure ,
Fidèle à mon poste je suis le gardien de la flamme ,
Si tu es un ennemi tu verras de pres ma lame .
http://www.ryzom.com/img/itf/un_fyr_02.png
Une trykette, sous une nuit étoilée, s'éloigne doucement de la plage laissant à la mer le pouvoir d'effacer ou non ces quelques vers...

A toi le vent si recherché...

Une douce brise sur une baie étoilée,
Murmures galopants au dessus des marais.
Parfois, si proche que l'on pourrait te toucher
Souvent si lointain qu'on ne peut qu'y penser.

Errant bien seul dans ce monde d'Homins,
Source de la vie lors du premier matin,
Etincelles éphémères aux mains du profane,
Feu éternel absent de nos âmes.

Souvenir égaré du tréfonds des âges,
Trop longtemps disparu de nos doux rivages,
Comment te retenir au creux de mes mains
Alors qu'en ce lieu je ne suis que témoin.

Usulla
Rencontre sous la Lune
Dans la chaleur de l'été, deux silhouettes se dressent.
Sur le désert, l'obscurité à déjà jeté sa teinte bleutée.
Sur la dune, la lune baigne les homins dans une faible clarté.
Dans le silence, sous les pas des homins, la sciure crisse.

Timide, le souffle tendu, le regard sonde le coeur.
Instant figé, minute volée, tout s'immobilise.
Enfin la main se tend, le contact met fin à la torpeur.
Un soupir, un sourire, un cri étouffé, le silence se brise.

L'espace est une frontière: immobile entre eux, l'air!
Le mouvement lent, prend confiance et s'accélère.
Témoin discret, le désert prend la marque du moment:
L'excitation, la chaleur gagnante, le rapprochement.

Le ballet des corps est ponctué d'exclamations.
Sous les déhanchements, les mains cherchent et tâtent.
Miroitant, reflétant la lune et son regard bienveillant,
La sueur perle le long des courbes... Action!


Aux homins de coeur
Arriès - AsSaSsiN - Djyrkan - Gilthoniel



Aëya, romantique dans un monde de brutes
Petite Trykette,
avec ton joli serre tete,
tu n aurais pas du dire tant de sornettes,
a ce Matis en salopette.

Tu gis au milieu des paquerettes,
une alouette bequetant ta tete,
une belette jouant avec tes couettes,
et tout ca pour quoi saperlipopette ?

Juste pour une pirouette,
mal faite...
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