Heu tu te moques de moi la? Ce sont des FAITS, c'est-à-dire que ça arrive en VRAI!! Incroyable non?
Pour les bourses je peux citer mon cas, en restant sur le même échelon, il y a 5 ans je touchais 12 000 F par an de bourse, cette année je ne touche plus que 8 000 F....
Pour les postes de surviellant va faire un tour sur le site de l'éducation nationale.
Pour les budgets régionaux et locaux en hausse:
"La fièvre n’est pas retombée. Pour la seconde année consécutive, 72 départements et non des moindres, ont été contraints d’accroître leurs taux d’imposition. Au point que l’augmentation moyenne s’élève à 4,57 % sur l’ensemble du territoire. Phénomène d’autant plus préoccupant que les assemblées locales ont majoritairement orienté leur budget primitif à la hausse (+ 1,1 %). A un rythme deux fois plus élevé que celui observé en 2002 (+ 0,4 %).
Plus encore qu’en 2002, cette croissance spectaculaire devrait rejaillir sur la fiscalité locale. Au risque de faire apparaître les baisses d’impôt promises par le chef de l’Etat et son Premier ministre comme des mesures en trompe-l’œil.
Fièvre fiscale
La potion est amère. S’il est encore trop tôt pour connaître l’évolution des taux de l’ensemble des collectivités territoriales, les élus ne se privent pas de fustiger une politique qui s’emploie à transférer, aux instances locales, des charges sans financement équivalent.
Cette position explique les réticences qu’a fait naître, dans leurs rangs, l’annonce de la « deuxième étape » de la décentralisation.
Dernier témoignage en date : un communiqué de l’Association des maires de France (AMF) qui s’en prend au transfert de charges opéré par l’Etat « sans réelle compensation financière ». Conséquence : une progression moyenne du taux cumulé de la taxe d’habitation de 1,4 % (+ 0,9 % pour les villes et leurs groupements, + 2,7 % pour les départements).
En outre, cette inflation devrait se traduire par une progression moyenne de 1 % dans les municipalités et de près de 4 % dans les départements. Dans le dernier cas de figure, la situation est d’autant plus préoccupante qu’une majorité d’entre eux frôle les + 10 %. La palme revient au Gers (+ 20,50 %), devant la Creuse (+ 16,91 %) et les Alpes-de-Haute-Provence (+ 15,01 %) qui ont pour caractéristique commune d’être faiblement peuplés, avec des capacités fiscales peu élevées."
Pour les frais d'inscription différents selon la fac: à Paris I quelqu'un du forum a dit avoir payé 900 F sans etre boursier, à Lille2 c'est 2000 F...
Pour les diplômes n'ayant pas la meme valeur: essaie de postuler pour une fac parisienne quand tu viens d'une fac de Picardie, même avec 14 de moyenne on te rit au nez....
La prochaine fois que tu parleras d'affabulations grotesques, vérifie d'abord que ce n'est pas vrai, ça t'évitera de te couvrir de ridicule en niant l'évidence.
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