Chroniques d'une Prêtresse de Bogdar

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Em saisit son Marteau en Os-de-bête, pousse un juron connu seul des vieux chamans et donne un violent coup de son arme brisant ainsi la table devant lui

Mais arf heureusement que je ne suis pas cardiaque car là, j'en peux plus , comment Nos va bien pouvoir se tirer de ce pétrin ma tension est montée a 24

Ps: C'est drôle ce bon gros troll m'est très familier <sifflote>
merci Nos tu es génial
Citation :
Provient du message de Nosroth Delving
c'est gentil même si j'ai peur qu'il tombe aux oubliettes la vu le flood de posts ^^ vais peut être arrêter de poster le temps que la rk soit prise, mais les épisodes seront écrits
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! NON on veut la suite didiou !!!!!
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http://perso.wanadoo.fr/dies/vonap.jpg
Dans l’ensemble, Proctor avait passé une bonne journée. La chasse avait été bonne, tant dans les Portes d’Odin que sur le Mur d’Hadrien. Le plaisir de la chasse ne s’était pas éteint malgré les années, si bien que c’est avec un petit sourire suffisant et cruel que le lurikeen quitta la stèle de Druim Ligen, après que Glasny l’ait ramené sain et sauf en Hibernia, comme tous les jours depuis bien longtemps. L’heure se faisait tardive, le lurikeen ranger avait passé plus de temps que d’habitude à chasser sur Hadrien, les troupes Albionaises ayant l’air passablement excitées ces derniers temps. Proctor aurait d’ailleurs pu jurer qu’ils cherchaient quelque chose, ou plutôt quelqu’un… Une chose était sûre, ils lui avaient fournis les cibles qu’il attendait et appréciait tant, et c’était cela qui lui importait finalement le plus.
Il ne fut pas surpris de ne voir aucun de ses compatriotes dans le fort. Ceux qui ne faisaient pas leurs rondes de nuit en groupe devaient dormir paisiblement chez eux, et il allait d’ailleurs faire de même dès son retour chez lui.
Le lurikeen était loin de se douter que son retour chez lui allait justement être retardé.
Depuis les remparts de Druim Ligen, dissimulé dans l’obscurité des boiseries, une Ombre le regarda quitter la pierre, satisfait.
Il n’y aurait pas de témoin.

Nosroth hurla quand le fer chauffé à blanc fit grésiller la chair de son dos. Une fumée âcre s’éleva, mélangée à une odeur de chair brûlée alors que l’Assassin, les yeux brillant de haine, tentait en vain de sublimer la douleur, de l’oublier.
Cela faisait plus de deux heures qu’il endurait pareille souffrance et il sentait ses forces l’abandonner doucement, consumées par la douleur, mais sa rage le maintenait en vie, cette rage sourde qui l’avait toujours animé durant toutes ces années. Il toisa le Gothi Alen entre deux spasmes, prenant la parole pour la première fois depuis le début de l’interrogatoire, et ce furent les mots de Deusirae, son amie de l’Ordre de Loki qui sortirent de sa bouche :
_Alen… Comment as-tu pu imaginer nous contrôler sachant d’où nous venions ?
Le Gothi leva un sourcil :
_Si tu veux parler de l’Ordre de Loki, il est vrai que vous deveniez gênant, vous vous étiez trop approché de nous il y a quelques années, et nous avons du y remédier. Malheureusement, votre réputation vous a sauvé, nous n’avons pas osé vous tuer tous, chose que je regrette à présent…
Malgré la douleur, Nosroth sourit, et Alen comprit en cet instant qu’il n’avait jamais rencontré d’hommes comme cet Assassin. Il n’avait jamais compris ce que signifiait vraiment cette classe, ces hommes et ces femmes étaient à part, et l’espace d’un moment, le Gothi Alen connut le doute et la panique : de quoi cet Assassin était-il capable ? Qu’avait-il fait avant de revenir ?
_Très bien Nosroth, maintenant tu vas parler, ou crois-moi, tu connaîtras les affres de l’agonie la plus noire !
L’Assassin le regarda droit dans les yeux, et Alen lut sa propre mort dans ce regard noire, implacable, avant que Nosroth ne lui réponde, le sourire mauvais :
_Tu as raison de t’inquiéter, tu n’aurais pas dû nous trahir Alen !
Fou de rage, le Gothi s’empara de la barre de fer et la plaça sur le torse de l’Assassin qui hurla de nouveau alors que le métal chauffé à blanc carbonisait sa chair, et il hurla encore quand Alen fit glisser la barre le long de son ventre en hurlant :
_Parles !
Le regard vitreux, Nosroth venait de perdre connaissance. C’était la troisième fois depuis le début, si bien que le Gothi ordonna aux deux viking de le ranimer encore, ce qu’ils s’employèrent à faire. Mais rapidement, Alen se rendit compte que quelque chose n’allait pas :
_Eh bien ? Qu’attendez-vous ? Ranimez le ! Je n’en ai pas encore fini avec lui !
Au bout de quelques instants, le viking guérisseur se tourna vers lui, l’air sombre :
_Gothi, son cœur s’est arrêté de battre, il est mort…
La tête de l’Assassin pendait mollement entre ses épaules, toute tension disparue dans le corps sans vie. Alen n’avait pas le choix :
_Vous savez aussi bien que moi ce qu’il en est alors ! Ramenez-le à la vie !
Le viking disciple de Eir s’exécuta, invoquant le Retour du Valhala. Le corps de l’Assassin fut tout d’un coup entouré d’une lumière vive, et, rejetant brutalement la tête en arrière, il hurla l’agonie de son retour à la vie.
Alen était satisfait :
_Tu vois, même la mort ne te libéreras pas !
Nosroth le regarda avec des yeux encore aveugles, syndrome de la résurrection
Derrière Alen, un garde ouvrit la porte du cachot, l’air hagard. Les deux viking se postèrent devant lui, les armes à la main :
_Que se passe t il ?
Le garde les regarda avec des yeux vides, puis s’écroula, 4 dagues plantées dans le dos. Alen comprit, trop tard, et allait crier ses ordres quand il fut éclabousser d’une gerbe de sang et qu’à sa droite, le viking guérisseur tomba comme une masse, la gorge tranchée. Mais à peine son corps avait-il touché le sol que l’autre viking émit un gargouillis inarticulé, deux haches en arcanium l’ayant quasiment décapité. Tout était allé si vite, et ce fut seulement à ce moment qu’Alen reconnu l’intrus. Derrière lui, Nosroth sourit faiblement alors qu’il reconnaissait la voie de l’Assassin :
_Gothi Alen, vous avez quelques explications à me fournir, dit Oftorn.
UP BOUDIOU


Ce post devrait être persistant

et perso je me suis fait un petit fichier txt avec toute l'histoire que je pourrais me relire une fois qu'il l'aura terminée enfin si un jour il l'a termine bien sur


Hmm Allez Oftorn pète lui les dents à ce Gothi
vraiment genial Nos vivement la suiteeeeeeeeeeeeeeee!!!!!!
Mais bon ca manke qd meme un peux de thane ds ton histoire a part ce vieil ivrogne de Doywan ki passe son tempsa ralé ^^
Doywan n’avait pas mis longtemps à cuver sa bière, et c’est le visage sombre et animé d’une sourde colère qu’il écouta le récit de Zytha, avec Lews et Aleiwena à ses côtés. Il apprit comment, trois mois après les événements de Dun Dagda, Zytha était tombée dans un piège et avait été capturée. A cette époque, elle avait été loin de se douter que son propre royaume pouvait conspirer contre ses guerriers, si bien que quand le Gothi Alen l’avait fait demander, elle était allée se fourrer dans la gueule du loup.
La suite avait été une série d’interrogatoires, sur l’ex Ordre de Loki, sur la Garde Noire, mais surtout sur Nosroth, qui était avec elle à Dun Dagda. Oh ils l’avaient torturé pendant longtemps, mais voyant qu’ils n’arriveraient pas à tirer quoi que ce soit d’elle, ils l’avaient enfermée dans un cachot de Caer Hurbury, sûrement en tant que monnaie d’échange.
Doywan ne put s’empêcher de secouer la tête, accablé par l’énormité des implications de ce récit. Comment ? Une conspiration unissant les plus grandes instances des trois royaumes ?
Mais qui pouvait bien être à l’origine de cela ? Zytha secoua la tête, elle n’en savait rien.
Mais elle comptait bien le découvrir.
Le Thane se leva solennellement et parla d’une voix forte :
_Zytha, si ce que tu me dis est vrai, alors nous avons tous été trahis depuis bien longtemps, beaucoup de nos guerriers sont morts en vain dans des attaques prévues par nos ennemis ! Par Thor, je jure que je connaîtrai le fin mot de l’histoire !
Depuis la salle principale de Bledmeer Faste retentit la voix incertaine d’Angus :
_Pas si fort ! Y’en a qui ont mal au crâne !

Après avoir détaché Nosroth et placé le Gothi Alen à sa place, Oftorn alla fermer la porte du cachot. Le Gothi, voyant le regard des deux assassins, comprit qu’il allait souffrir grandement à moins de leur dire ce qu’ils voulaient entendre. Son plus gros problème était qu’il ne pouvait pas lui répondre. Il avait appris cinq heures auparavant l’évasion de la femme Assassin, ainsi que de l’elfe Ombre…
Oftorn avait trouvé l’armure de son ami et il s’occupa d’Alen pendant qu’il s’habillait :
_J’attend des explications, Gothi.
_Je n’ai pas à te donner d’explication, Assassin ! Juste des ordres ! Tu viens de trahir Midgard !
Oftorn regarda Nosroth qui sourit :
_Alen, la comédie a assez duré, c’est à ton tour de parler, mais dis moi, arriveras-tu à soutenir la douleur comme je l’ai fait ?
Alen le regarda droit dans les yeux :
_Mais es-tu prêt à entendre ce que j’ai à te dire ? Mon pauvre ami, tu ne sais toujours pas dans quoi tu t’es engagé !
_Eh bien je ne doute pas une seconde que tu vas me l’apprendre. Où est Zytha ?
Tout en posant sa question, Nosroth avait approché le fer chauffé à blanc du visage du Gothi qui commença à transpirer à grosse goutte :
_Si…si tu me tues, tu ne sauras jamais où elle se trouve !
Avec un sourire inhumain, Nosroth lui murmura à l’oreille :
_Mais qui a dit que j’allais te tuer ?
Et se faisant, il plaça le fer incandescent au niveau des yeux d’Alen qui hurla sa souffrance alors que sa vue le quitta à jamais.
Quand ses cris s’atténuèrent et devinrent des sanglots étouffés, Nosroth reposa sa question :
_Où est Zytha, Alen ?
_Je…je ne sais pas ! Elle était détenue à Caer Hurbury comme monnaie d’échange contre toi, mais elle s’est échappée !
_Contre moi ?
_Tout le monde n’était pas convaincu de ta mort, moi le premier…
Nosroth poussa un soupire de soulagement, Zytha était vivante. Il pouvait passer à autre chose :
_Bien, je te crois Alen, tu n’as rien à y gagner en me mentant. Maintenant, tu vas me dire en quoi consiste votre organisation, jusqu’où cela remonte, tu vas tout me dire.
Se sachant perdu, le Gothi Alen ricana :
_Je ne vois pas pourquoi je te rendrais la chose plus facile Assassin !
A ce moment, les deux Assassins entendirent des bruits de pas derrière la porte du cachot, puis des voix. On cherchait le Gothi Alen. Bientôt, des coups retentirent à la porte, les Jarls avaient donné l’alerte.
_J’ai du assommer deux gardes pour passer, ils les ont trouvé, dit Oftorn.
Nosroth regarda le Gothi Alen :
_Nous nous retrouverons, Alen.
Le Gothi éclata d’un rire quasi dément :
_Tu n’auras pas toujours cette chance mon ami, crois moi ! Et quand tu sauras, tu prieras pour être resté en dehors de tout cela ! Maudit sois-tu, toi et tous les furtifs ! Vous êtes tellement incontrôlables !
_Je me ferai une joie de te décevoir encore plus, Alen.
Oftorn lui montra une porte, à l’arrière du cachot, et ils s’y dirigèrent, laissant le Gothi qui continuait à rire, mais alors qu’ils passaient la porte, la dernière phrase d’Alen glaça le sang de l’ex Assassin de Loki :
_Nosroth ! Tu as toutes les raisons de nous haïr ! Tu as toujours été une plaie pour nous, depuis le départ ! Quand tu mourras, passe le bonjour de ma part à Zekintha !

Les rues de Jordheim connaissaient une animation inhabituelle, des Jarls et gardes nains patrouillaient, les portes donnant sur Vasudheim et Mularn étaient momentanément bloquée. Déjà des rumeurs courraient, des Assassins ayant joué un rôle dans le meurtre des Gothis, quelque jours auparavant, seraient pris au piège dans la capitale ! Mais comment capturer ce que l’on ne peut voir ?
Invisibles, les deux Assassins observaient les allers et venues des Jarls depuis l’ombre du temple des Jotuns. Mais Oftorn se faisait de plus en plus de soucis pour son ami dont les blessures dues à la torture allaient mettre du temps à guérir. Mais plus encore, il n’aimait pas du tout le regard vide que Nosroth portait sur toute chose depuis la dernière phrase du Gothi Alen, si bien que, n’y tenant plus, il demanda :
_Nos, qu’est-ce qu’Alen a voulu dire ? Qui est Zekintha ?
Nosroth le regarda alors, et il vit des larmes couler le long de ses joues :
_Avant de rentrer dans l’Ordre de Loki… j’étais marié, Zekintha était ma femme.
Toglog en salivait presque. Voir ce lurikeen de malheur se dandiner tranquillement jusqu’au palefrenier, inconscient du danger, le faisait jubiler. Prenant toutes les précautions pour ne pas se faire repérer, Toglog suivit le ranger jusqu’à la sortie de Druim Ligen, et c’est quand celui-ci allait s’approcher du palefrenier celte que l’elfe Ombre passa à l’action.
Proctor se figea quand la lame glacée glissa sur sa gorge et qu’il entendit ses quelques mots susurrés avec cynisme et malice :
_Proctor mon ami, comme je suis heureux de te revoir ! Nous avons plein de choses à nous dire…
Le lurikeen commença à suer, croyant à peine ce qui lui arrivait :
_Toglog ?
_Qui d’autre ? Oh, je ne suis pas aussi mort ou disparu que ça, malheureusement pour toi… Maintenant tu vas venir avec moi.
Ils marchèrent pendant trente bonne minutes, et quand ils atteignirent un endroit suffisamment reculé, Toglog désarma le ranger avant de l’attacher à un arbre. Quand il eut fini, l’elfe parut satisfait, et la l’interrogatoire commença :
_Mon cher Proctor, racontes moi tout, je t’écoute.
_Beh moi je sais rien du tout Toglog ! Rien du tout rien du tout !
L’Ombre sourit, mais ce sourire n’avait rien de chaleureux :
_Au fait, j’avais presque oublié dis donc, je te dois un petit quelque chose depuis notre dernière rencontre, tu dois t’en souvenir non ?
Et, à peine sa phrase achevée, Toglog enfonça son poignard dans l’épaule du lurikeen qui couina de douleur. Tout d’un coup, le lurikeen devint plus enclin à parler :
_Tout ce que je sais, c’est que c’est une histoire de reliques ! Et c’est tout bonus pour Hibernia !
_Qui est impliqué ?
_Plusieurs généraux, et des conseillés de Dame Brigitte, aie aie aie !
_Brigitte n’est pas au courant ?
_Mais t’es bête ou quoi l’elfe ? Bien sûr qu’elle est pas au courant ! Tu crois qu’elle accepterait de marchander avec l’ennemi ? Pfff, elle est trop brave et trop fière pour ça !
_Ce qui n’est pas ton cas. Je vois. Donne moi les noms des généraux impliqués maintenant.
C’est à ce moment que le lurikeen se mit à ricaner malgré la douleur, et Toglog comprit pourquoi quand il sentit la présence d’autres Ombres derrière lui. Ils les avaient suivi depuis Druim Ligen sans qu’il s’en rende compte.
Il s’était fait avoir. En tout cas c’est qu’il avait voulu faire croire au ranger.
_Hin hin hin, crétin d’elfe, t’es bon pour retourner dans un trou hin hin hin !
Toglog lâcha ses armes en maugréant, mais il créa la surprise en parlant à voix haute :
_Tu as entendu ça Daarkyel ?
Et une voix surgit de l’obscurité des arbres :
_J’ai entendu. Ainsi tu ne nous avais pas menti.
Et le groupe de Daarkyel sortit de la pénombre, alors que les furtifs se mettaient en garde, prêt à attaquer.
L’elfe les regarda, terrible :
_Vous n’allez tout de même pas oser tenter de porter la main sur nous n’est-ce pas ? Vous n’êtes pas suicidaires à ce point ?
Les Ombres se regardèrent l’espace d’un instant, puis disparurent, laissant Proctor seul, attaché à son arbre. Toglog constata avec satisfaction que le lurikeen ne faisait plus du tout le malin :
_Très bien, où en étions nous ? Ah oui ! Qui d’autre est impliqué dans cette histoire ?
_J’ai pas tous les détails, mais la dernière consigne était de trouver un Assassin de Midgard et de le capturer mort ou vif à tout prix !
Tout d’un coup, une intuition germa en l’elfe, il avait vu Zytha sur Albion, il savait avec qui elle avait l’habitude d’opérer. Néanmoins, il voulait l’entendre de la bouche de Proctor :
_Son nom !
Le lurikeen grommela, puis répondit :
_Son nom est Nosroth Delving !

L’étau se resserrait sur eux, les gardes avaient reçu pour ordre de ne laisser passer personne, des Assassins pouvant profiter de n’importe quel passage pour se faufiler, invisibles, et Alen n’allait pas prendre ce risque. De plus, Nosroth souffrait toujours grandement, là où le fer chauffé à blanc l’avait cruellement marqué.
Ils allaient devoir passer la nuit à Jordheim.
Soudain Oftorn eut une idée. Il y avait au moins une personne dans Jordheim qui accepterait d’aider des Assassins, et cette personne était un nain forgeron du nom de Morliin !
Ils se dirigèrent donc vers la forge du nain qui ne fut guère surpris quand ils apparurent dans son dos :
_Eh bien, je m’étonne qu’il vous ait fallu si longtemps pour venir me voir !
_Morliin, cela fait bien longtemps, depuis nos aventures avec vous, heureux de voir que nous pouvons compter sur vous.
_Bien entendu, après ce que nous avons vécu, je sais que vous êtes dignes de confiance, malgré tout ce qui se dit sur votre classe. De quoi avez vous besoin ? Tout de même pas d’une nouvelle armure épique ?
_Refuge pour la nuit, et un moyen de sortir d’ici, en priorité.
_Alen veut votre peau n’est-ce pas ?
Les deux Assassins se regardèrent, interloqués :
_Morliin, comment savez vous cela ?
Le vieux nain haussa les épaules et partit d’un rire gras :
_Vous avez donc oublié que je suis nain qui se tient au courant de ce qui se passe autour de lui ? Bien sûr, je sais pourquoi Nosroth a tué ces Gothis, tout comme j’ai appris une partie de l’histoire ! Nosroth ! Laisse moi te dire une chose : retourne à Dun Dagda, la bas tu trouveras les réponses à tes dernières questions, j’en suis persuadé !
Nosroth réfléchit quelques secondes :
_C’est Hibernia qui se trouve derrière tout cela n’est-ce pas ?
_Pas tout à fait, mais il se trouve qu’Hibernia est le royaume qui profite le plus de ce bazar. Il suffit de voir ce qui se passe : depuis ton exploit il y a plusieurs années, les trois reliques mana sont revenues à Dagda et n’ont plus jamais bougé !
_Morliin, savez vous qui tire les ficelles ?
_Non, mais je sais qu’Alen n’est pas cet homme. Toutefois, j’ai entendu parler d’un certain Arloch, mais je ne sais pas qui c’est. Au fait, comment va Zytha ? Elle qui venait souvent me voir, cela fait bien longtemps que je n’ai plus de nouvelles.
Le regard de Nosroth se mit à briller :
_Ils l’ont prise, mais je viens d’apprendre qu’elle leur a échappé, bientôt nous serons de nouveau ensemble, bientôt.
Le nain sourit chaudement :
_Dans ce cas, mon ami Nosroth, je ne vois pas ce qui pourrait vous arrêter !
Dehors, des bruits de pas se firent entendre alors que les Jarls fouillaient l’auberge jouxtant la forge de Morliin. Ils cherchaient les deux Assassins dans les moindres recoins.
Voyant ceci, Morliin se retourna vers eux :
_Je suis désolé, mais je n’ai pas les moyens de vous cacher, vous devez sortir de la ville, trouvez un moyen et vite !
Nosroth et Oftorn se levèrent et embrassèrent leur vieil ami :
_Morliin, nous étions venu vers vous pour un moment de calme, nous en repartons avec une mine d’information, merci pour tout, que Loki vous garde !
Le vieux nain renifla bruyamment :
_Bah ! Un dieu bien terrifiant que le votre mes amis ! Maintenant allez vous en, restez en vie !
Sur quoi les deux Assassins disparurent dans la nuit de Jordheim.

Revenus devant la porte Nord, Oftorn reconnu cette lueur dans les yeux de son ami :
_Un plan peut-être ?
Le sourire qu’il reçut en réponse était froid, calculateur. C’était celui d’un Assassin prêt à passer à l’action :
_Suis moi Oftorn.
Silencieux comme la nuit elle-même, les deux Assassins s’élancèrent vers la porte Nord.


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/HRP:
les assassins mid se souviendront surement de Morliin, ce vieux nain de malheur qui nous a tant fait courir dans tout Midgard avant de finalement nous donner cette armure épique qui a toujours fait notre fierté depuis notre ding 50
Depeche de mettre la suite !
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Doywan - GF lvl 42, MJ dans la Foundry.
Doywan - Thane 11L - Mid Bro. GM de La Garde Noire.
Doywan/Kaïnis - Voleur 90 semi légendaire - chaman 90 - Focus.

"Han nous traiter de Tempest ! Cet affront se réglera en duel ! Amène ton bus à HW dimanche 15h !"
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