[THEPP]

Tel le marteau sur l’enclume.
Au travers des brumes
Les cris nous frappaient.
La clameur nous rattrapait.

Quand enfin nous les vîmes.
Dans leur tour, sur les cimes.
Abrités d’une vaste murailles.
Protéges par leurs armures d’écailles.

Ils ne pouvaient ignorer leur sort.
Qui ne pouvait être que la mort.
Nous étions sur de la victoire.
Ils ne devaient y avoir d’espoir.

Les flèches frappaient nos boucliers.
Alors que nous portions le bélier.
Les sorts déferlaient sur les remparts.
Laissant à la faucheuse une sombre part.

Enfin les portes cédèrent avec fracas.
Beaucoup trouvèrent le trépas
Dans le tumulte et la fureur.
Nous combattions sans peur.

Les derniers défenseurs s’étaient repliés.
Face à l’assaut de nos chevaliers
Rassemblant leur dernière force
En haut du donjon féroce.

Et c’est en prouvant notre valeur
Couverts de sang et de sueurs.
L’ennemi découvrant notre bravoure
Que nous parvinrent en haut de la tour.

L’affrontement fut bref mais violent.
Laissant bien peu de survivant.
Mais le fort était notre maintenant.
L’étendard d’Albion y flottant.

Poème épique (Prise de Dun na nGed, il y a de nombreuses semaines)

[Etne]

c'est tres joliment raconté
Dis? c'était quel fort?

[THEPP]

Edité pour donner le lieu