Recueil de Poèmes

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Comme on oublie de le faire remarquer,
Comme il est doux de recevoir un baiser,
Ou à défaut des compliments,
Alors voici, prenez séant,
Ses quelques mots pour vous dire,
Vous lire est réel plaisir.

Faudra que je prenne des cours !
Mais on ne reçoit jamais assez de compliments... alors voilà !
Merci pour ces moments de lecture.
Un petit poème court et simple, je l'ai fais sans réfléchir, en rentrant chez moi.


Folie

La folie nous prend et nous emporte aux cieux,
Entre enfer et paradis pourvu qu'on soit deux,
Mais peu importe, j'ai trouvé mon petit nid,
Je dit oui à l'Amour, je dis oui à la vie,

Tu n'es pas une autre, tu n'es pas "elle",
Tu es la moitié de ce que nous appelons "nous",
Tu es la plus magnifique, la plus belle,
Des perles rares semées sur la route des fous.

Des fous, exactement ce que nous sommes,
Croquer chaque moment et tenter chaque chose,
Pour ne pas à la fin, quand on fera la somme,
Dire qu'on regrette d'avoir manqué quelque chose.

Je suis heureux avec toi chaque seconde, chaque heure,
Et tu es la première personne à me faire pleurer,
Mais je verse grâce à toi, des larmes de bonheur,
Merci à toi de me dire ce que signifie "Aimer".
Pensée :

Images de l'infini des choses de la vie,
Les mots mes amis me semblent flétris.
Pourquoi chercher, imiter tout leur traits,
Si de leur simple fait, ceux-ci ont montré,
Une infime portion de leur perfection.
*se demande où sont passés Frohnir et Ange Musicien*

Bonne nuit

Toi Ange de mes nuit,
Reine de mes jours,
Toi qui me baigne d'Amour,
Princesse de mes rêves enfuis,

Perle de mon cœur,
Me fait être, me fait Vivre,
Me fait rêver à toutes heures,
Buvant de l'eau, toujours ivre,

Que la brise de cette nuit,
Accompagne tes douces rêveries,
Jusqu'a l'aurore du lendemain,
Rêves jusqu'au matin,

Laisse ton esprit gambader,
Dans les douces prairies inconscientes,
De tes pas si délicats, laisse toi aller,
Frôle l'onde de ta démarche insouciante,

Toi qui m'Aime,
Fais disparaître cette tristesse qui me ronge,
Moi qui t'Aime,
Je t'en supplie, veille sur mes songes.
Sommes toujours là. Un peu occupé (boulot + NWN) mais fidèle au post (joke).

Et quand les ombres s'envoleront,
Et qu'à nouveau je serais libre,
Que mes soucis s'effaceront,
Et qu'à nouveau mon coeur vibre,
Alors ma plume ré-écrira,
Quelques vers aux charmes incertains,
Et nulla dies sine linéa,
Comme cela se dit en latin...


__________________
Les Nitrox et les Trimix, ne sont que des froussards qui ont peur de la narcose !
Je suis là aussi. Un peu occupé (ForumsBGII+NWN)
(Et oui c'est ça de fonctionner sur le horaires de l'éducation nationale). Bon c'est le premier poème que j'écris directement sur PC donc un peu d'indulgence SVP...

Le Pampre pour la Rose a gravit mille treille...

Il passe sans un bruit sous les nuits de lumière
Tourbillonne en hurlant dans les jours de pénombre
Il sème à chaque instant sa marque tâchée d'ombre
C'est la mort, c'est le temps qui pourrit notre chair.

Vient donc faucheur froid trancher la frêle rose
Puisque rien ne t'arrête, des vers ou de la prose
Puisque tu restes droit au toucher des pétales
Arrache sans chaleur les racines du mal

Ses fleurs ont des beautés qui passe tes merveilles

Viens cueillir en ton sein ces larmes de poètes
Ces ennemis des cieux que criaient les prophètes
Prends les de ta main froide, ces catins sans espoir
Mais jusqu'au fond des cieux, tu fuiras nos regards

Tranche ces gorges tendres aux soupirs délassés
Viens cueillir dans leur danse chaque membre lascif
Et plonge dans le Styx nos membres enlacés
Il reste deux couleurs, qui échappent à tes griffes...

L'ambre de son corps nu, et ses senteurs vermeilles
*éclate en un long fou rire*

Un petit poème

Blessure


Tel un enfant assagi par sa première cicatrice,
J'ai mûri de plusieurs année sous ton soleil,
Cette balafre sur mon cœur au goût de délices,
Cette blessure que tu m'a laissé, quelle merveille!

Quelle joie j'ai eu de me frotter au tranchant,
Au piquant de ton caractère surnaturel,
Quel splendeur ! Quelle candeur ! Et pourtant…
Tu reste naturel, âme immatérielle !

Je suis fier de mon cœur balafré,
Tu es ma vie, ma gloire et ma vanité,
Mon orgueil sais-tu quelle est-elle ?
C'est de monter aux cieux, sans échelle !

Tout cela ne fut possible que grâce à toi,
Belle parmi les belles, nymphe parmi les naïades,
Tous les jours, toutes les nuits, je pense à toi,
Et tu me préserve d'une mer déchaînée et de la noyade.

Je t'Aime pourtant aussi fort, aussi chaleureusement,
Que lors de notre première rencontre,
Fraîche, sucrée telle un fruit de printemps,
Je te remercie pour cette blessure que je garde jalousement.
Fin

Tandis que cette lame s'enfonce dans ma chair,
Je comprends combien ma vie me fut chère,
Tout ce temps que j'ai passé à aimer,
Ce temps la je vais le regretter.

Mais ma vie n'est plus, ma gloire est partie,
Tout ce pourquoi j'étais ici est fini,
Je m'en vais la rejoindre, c'est la fin de ma vie,
Je n'ai plus aucune raison d'être ici,

Mon voeu pourtant est exhausser,
Ne m'appelez par Homme lorsque je meurs,
Car je n'en suis pas un, je ne l'ai jamais été,
Je suis Amoureux dans l'âme et dans le coeur.

Adieu monde que je n'ai jamais aimé,
Je jette un dernier regard vers le ciel,
Il est calme, sombre et étoilé,
Je m'en vais, je m'envole vers Elle.
Sentiment...

Ton Amour est le plus beau des sentiments,
Qu'il m'ai été accordé de connaître,
Jamais je ne fus plus heureux qu'en étant ton amant,
Et c'est cette vie d'Amour qui m'a vu naître

Vrai et Heureux !
Aimé et Amoureux !

Mes pensées, mes écrits, sont pour toi,
Tout ce que j'ai dit, tout ce que j'ai vu.
Je suis né pour mourir dans tes bras,
Que la mort vienne, j'ai Vécu !
Trés très jolis... Mais je m'interroge chère Tiana. Vos magnifiques poèmes d'amour s'adresse à une femme. Seriez-vous un homme ? Cela n'est en rien gênant et ne change rien à votre talent, il s'agit juste de l'interrogation d'un esprit peut-être trop inquisiteur que vous ne devez pas hésiter à remettre à sa place...

Pensées d'un hobbit...

J'ai choisi de plein gré, une vie sans histoire,
Humblement occupé, par l'ouvrage du jour,
Faite de petits rien, sans panache et sans gloire,
Qui m'aide sans à-coups, à voir passer les jours.

J'ai chassé loin de moi, ces sentiments funestes,
Qui tiennent sous le joug, le coeur et la pensée,
L'orgueil et l'ambition, l'envie et tout le reste,
Sont face à l'univers, de folles vanités.

Comme le vieux berger, qui du haut de l'alpage,
Embrasse du regard, et la terre et le ciel,
L'homme sans ces passions, peut juger sans ambages,
La folie qui souvent, habite ses pareils.

Pour juger sainement, il faut un esprit libre,
Qui ne soit enchaîné à de fausses valeurs,
Goûter aux humbles joies, savoir apprendre à vivre,
Paraissent à mes yeux, le secret du bonheur.

Celui-ci à mon sens, vaut bien les servitudes,
qui sont les fruits amers, d'une vie agitée,
c'est payer d'un grand prix, toutes les turpitudes,
De ces puissants d'un jour, dès demain oubliés.

A la vie je murmure : "- Je t'aime volupté !"


Le poème est ancien. Le titre est récent. Aurais-je été influencé par un film à gros succès ?
Je plaide coupable... c'est moi qui ai commencé... ...
pardon pardon pardon...

Ange, pourquoi ne pas créer un post pour ta nouvelle, c'est ce que d'autres ont fait. (et c'est ce que je ferais lorsque j'aurais le courage et le temps de finir la mienne...)

Je pense que je le ferais aussi quand j'arreterais de recommencer sans cesse le debut de la mienne mouarf.

Ange les poeme ne viennent pas juste comme ca... attend un peu et tout va revenir comment avant (enfin j'espere sinon on va se faire tuer) :d
La Grève
Litanie et noirceur,
Songes noirs et sanglots,
Un corps au bord des flots
Une peau sans odeur

Le sang écarlate qui recueille la pluie
Mange avec fureur, le sable, cristal gris,
Le regard desséché perdu parmi les landes
Un spectres sans rougeur que les crêtes transcendent

Mutilé. Dévoré. Par les jours sans bruit,
Un oiseau sous son front qui s'étouffe sans bruit
Perdu seul, mourant, soufflé par les bourrasques
Coquillage, vierge, silence parmi les masques.

Blanc et rouge mêlés,
Tableau parmi les anges,
Temps perdu dans l'étrange
Trop court, s'est évasé.
Hrp : Coucou! devinez qui c'est!? Bah.... comment vous le savez? ;D et oui voila je l'annonce, je ne suis pas mort(e) (nan je vous taquine) mon PC a juste été attaqué par un petit virus, mais tout est rentré dans l'ordre sauf le son, qui ne veut pas revenir :/ Je vais mettre fin aux rumeurs je suis..... *roulement de tambour* un homme! et oui! mais tout le monde s'en fout! et oui aussi! fin de ce hrp a la con.

Pour Frohnir : Très joli poème que celui du hobbit, je l'aime bien

Pour Artémis : je fais le gros habitué et je te dis 'bonjour, bienvenue' j'apprécie ton poème
Vous habitez chez vos parents ? ... Bon allez j'arrête...

Artémis

La Treizième revient... C'est encor la première;
Et c'est toujours la seule, - ou c'est le seul moment;
Car es-tu reine, ô toi ! la première ou dernière ?
Es-tu roi, toi le seul ou le dernier amant ?...
Aimez qui vous aima du berceau dans la bière;
Celle que j'aimai seul m'aime encor tendrement
C'est la mort - ou la morte... O délice ! ô tourment !
La rose qu'elle tient, c'est la Rose trémière.
Sainte napolitaine aux mains pleines de feux,
Rose au cœur violet, fleur de sainte Gudule :
As-tu trouvé ta croix dans le désert des cieux ?
Roses blanches, tombez ! vous insultez nos dieux,
Tombez, fantômes blancs, de votre ciel qui brûle ?
La sainte de l'abîme est plus sainte à mes yeux !

G. de Nerval
La prière du Paladin

Ô Helm,
Donnes moi toujours le courage,
D'affronter sans crainte la vie,
Fait de moi un homme sage,
De cela oui je te supplie.

Ô Helm,
Fait que je ne méconnaisse,
La joie dans la simplicité,
Conserves-moi de la jeunesse,
L'espérance et la gaieté.

Ô Helm,
Evites-moi prenant de l'âge,
De devenir triste et grincheux,
Fait toujours que je partage,
Et ne soit point avaricieux.

Ô Helm,
Conserves-moi dans l'ignorance,
De l'orgueil, de la vanité,
N'étouffes-pas dans ma conscience,
La voix de la sincérité.

Ô Helm,
Ne m'ôtes pas toute la confiance,
Dans l'homme et ses destinées,
Gardes-moi de l'indifférence,
Envers petits et opprimés.

Ô Helm,
Accordes-moi force et courage,
Quand il me faudra tout quitter,
Fait aussi que mon image,
Par rien de mal ne soit souillée.


Hum hum... non, pas ça, pas ç...http://e4u.consoleradar.com/crazy/1302.gif
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Les Nitrox et les Trimix, ne sont que des froussards qui ont peur de la narcose !
Salutations à vous très cher, comme vous pouvez le constater, il y a eu un fort ralentissement du postage de poèmes ces derniers temps, et cela est fort dommage, nous comptons donc tous sur toi (ex-Tiana )

Au passage je tiens à signaler la prochaine mise en ligne du module NWN "Le Théâtre des Illusions" : Y est incluse la fameuse Bibliothèque d'Oghma où une cinquantaine des oeuvres de ce fil sont en vente libre pour 1 po symbolique. Le nom des auteurs est bien évidemment repris avec tout le respect qui leur est dû, et j'avoue ne pas avoir demandé la permission à tout le monde...
http://www.smilies.org/basesmilies3/spanking.gif
Par conséquent ceux et ceusses qui préfèrent que leurs oeuvres n'apparaissent pas dans le module peuvent me contacter par MP.

En espérant vous y voir bientôt (aussi loquaces qu'ici), je vous salue bien bas. http://www.smilies.org/basesmilies3/1036838069.gif
Bon c'est mon premier poeme.
Alors soyez pas trop dur mais j'accepte vos critique néanmoins.

Chant du sage.

Deneir,

Toi, le patron de la sagesse.
Empli moi de ta connaissance.
Pour me plonger dans l'allégresse.

Toi, maitre du savoir et de la vérité.
Vénéré par tous les érudits.
Tu es la plus sage des déités.

Toi, le plus harmonieux de tous les immortels.
Je te prie de bénir notre existence.
Pour améliorer la vie de tes humbles fidèles.

Toi, gardien tel que Heaume.
Du savoir et de la connaissance.
Je te prie d'accepter mon âme dans ton paisible royaume.

Voila, qu'en pensez vous?
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