Recueil de Poèmes

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Les couleurs d'une vie.
A l’aube de ma vie, dans la blancheur éclatante du jour nouveau, voici ce que je vis : un monde neuf et beau. Pourtant, tout aussi immaculé que fut ce printemps, je ne ressenti aucune félicité. Que de blanc, mais que de blanc !

Aujourd’hui tout est fini. Telle une flamme soufflée par le vent, je m’éteint dans la nuit. L’obscurité m’envahit, la douleur et la peur aussi. Cet hiver qui n’en fini pas, ce calvaire qui précède mes derniers pas sont peut-être le reflet de ma vie. Noire. Oui, tout est noir, si noir…

Mais il faut que je me souvienne. Les jours d’avant me reviennent, comme des vagues sur la grève, venant s’échouer inlassablement telles les réminiscences d’anciens rêves. Rêves du passé, car à l’automne tout est terminé. Une existence
d ‘ennuis, une existence de gris. Oui, tout était gris.

Des jours heureux me direz-vous ? Des jours d’été peut-être. Mais la chaleur suffocante, et la sueur par trop collante, ne firent qu’attiser le feu, qui en moi brûlait. Ces flammes de l’enfer qui ont consumé ma chair étaient rouges. Rouges sang. Rouge vif. Rouge vie.

Qui s’enfuit.



Complainte crépusculaire d’un disciple d’Illmater.
je ne saurais dir a kel point c paroles sont belle et a kel point elle m'ont emu, si je le pouvais je tenterais de faire aussi bien, mais je pense que personne ne poura jamais faire mieu, alors je rend hommage à Fröhnir...
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Tes baisers,

Etaient comme des rêves éveillés, à peine des fantasmes, tout juste des idées.
Je les souhaitais doux, tendres ou violents, puis passionnés et affriolants.

Tes baisers,

Furent tout cela et plus encore, bien plus qu’il n’est imaginable,
Frottements de lèvres, fusion des corps, une histoire dont j’aime être affable.

Tes baisers,

Jamais je ne m’en serais lassé, et pourtant aujourd’hui je désespère,
Si soudain ils n’étaient devenus glacés, froids et rapides comme l’éclair.

Tes baisers,

Demain me manqueront. Ma bouche et mon âme sont orphelins,
J’ignore d’où te viens cette décision, de prendre cet étrange chemin.

Vos bisous,

Mes enfants sont tout ce qu’il me reste, Souvenirs de l’époque ou unis nous étions.
Avant que votre mère ne retourne sa veste, et ne s’en aille frayer avec les démons…

Cela m’apprendra à aimer une succube !


Extrait des mémoires d’Essëphe de Sartaine, Paladin de Tyr.
Tout au passé, sans courir, ni faillir
Mais il est déjà terminé, déjà conjugué
Nous devons faire face, à des choses qui nous dépassent
Volonté et courage, valent mieux que force et rage
Nous ne pouvons et ne devons nous retourner
et songer surtout au verbe
[pardonner
Personne ne vaut la peine
d'autant de souffrances et de haine
Notions substantielles, artificielles
Retournent à l'oubli, sitôt omis
Néant de la mémoire et du coeur
Je le dis... personne ne mérite autant de
[rancœur


*allez, vais essayer d'en faire plus huf huf huf*
Un petit, pour la route, fais sur un coup de tête

Cassure:

C’est dans les plaines que se joue ce drame
Traversant le ciel tel un torrent de flammes
Finissent de consumer mon âme.
Humiliation, haine et rage,
Ne pourront détruire ma force et mon courage.

Voyageur, toi qui n’étais que de passage,
Daigne prêter une oreille à mon histoire
Par trois fois, comme dans les contes noirs
Je combattis… quoi donc ? Toutes les lumières du soir.

Chimères et illusions,
Anciennes clés de mes évasions,
Où, des fenêtres brisées de ma prison,
J’observais le ciel d’azur,
Mais ne pouvant briser mon cœur dur.
Las ! Je ne suis pas de ceux, qui, d’une simple cassure,
Restent à terre comme l’ange déchu des cieux
Moi, je leur dis –Debout, déploie tes ailes, ange ténébreux,
Viens à mes côtés et rouvre tes yeux bleus.

O Talion,
Combien avais tu raison !
Désormais, vengeance sera mon mot de salvation.
De ma plume tremblante,
Je fais vœu de faire trembler de ma voix tranchante
Jusqu’à la tombe d’Anne Bonny la Sanglante !

A boire ce calice jusqu’à la lie,
Un jour, mourant dans mon lit,
J’espère pouvoir être fier de dire,
Combien fut aventureuse ma vie,
Aux autres, le soin de l’anoblir…. Ou bien
[De la maudire !
Pourquoi ai-je telement envie de ne plus etre en vie... comment ce fait-il que la seul a m'avoir apporter reconfort m'ai en meme temps donner le pouvoir de me donner la mort...

Tu méritais pourtant tout mon amour
Il me faut croire que je ne le méritais pas en retour
Comment pourrais-je un jour t'oublier?
Comment vais-je réussir a te pardonner

J'aurais aimé t'aimer
Te cherire et te protéger
Et voir tout les jours ton sourire
Mais je ne veux plus que mourir

Parceque tu m'as offert le plus beau
Et je serais toujours reconnaissant
L'amour et sa force en mon sang
Je quitterais enfin cette peau
Cette terre et cette vie
Et pour cela je te remercie
Toi qui m'en as redonner l'envie
Maintenant je sais que tout est fini

Parceque tu me retire ton coeur
Et les sombres et vague lueur
Souvenir torturant de ma peine
Parcourent à jamais le sang de mes vaines

Alors voici à present
Que la mort s'approchant
Me sourit enfin
Car je mérite maintenant cette fin
Et que je trouve le courage
De fuir, de m'évader, de mourire
Alors que je revois cette image
De ton cruel sourire
Mon petit dernier

Ode au Lit
Sur cette nappe d’argent,
On se repose,
On s’allonge délicatement,
La tête sur un moelleux nuage on pose
Ramenant sur son corps fourbu
Celle qui bercera nos rêves futurs
Douce et chaleureuse comme une mère
Seul le réveil est une torture
Qui nous arrache à ce sommeil cher
Mais las ! Fidèle à son nom
Le travail nous appelle à sa tâche
Nous qui dormions
On nous coupe chaque matin avec une hache
Ce bonheur privilégié
Mais peut-être pour mieux le retrouver après…
Je ne vous connais pas beaucoup et vous ne me connaissez pas du tout.Parcontre j adore( lorsque je puis me le permettre )venir me divertir et lire vos formidables poemes.Je ne possède pas autant de talent que plusieurs d entre vous et lorsque j écris c est pour mon usage personnel.quoiqu il en soit,j ose partager avec vous celui-ci: Je vole sur un nuage a la conquête de l espace a petit pas de vent j avance lentement ne me reste que le rêve et la pensée pour fuir cette dure société laissez-moi vivre cette folie et gardez pour vous la vérité entre le ciel et la terre j ai trouvé mon essentiel sur mon lit blanc je demeure Géant. amicalement Lia
Au loin, où mes sentiments hardi ce sont perdus, je ressens ta peine, ô ma douce âme jumelle. Et la douleur m'envahis pendant que de tes yeux, coulent des larmes de tristesse, et qu'en ton coeur je perçois toute ta détresse. Je voudrais t'envelopper de mes ailles noir, te faire sentir la chaleur de mon amour, pour que les larmes qui brûle mon coeur, cesse de serpenter sur ton doux visage. Je voudrais te prendre dans mes bras, pour ne plus jamais laisser ton esprit s'égarer loin de mes pensées et ainsi guider tes pas loin du tourment de la solitude et du désespoir. Je voudrais t'offrir un baisé, un baisé d'amour, pour étouffer tes sanglots, et sortir ma tendre âme jumelle de la brume d'incertitude qui t'a capturé loin de mon coeur. Je t'aime ma tendre âme jumelle...

Folken de Fanelia.




Lia 12 demeur géant si tes pensées restent comme tu les décris
Croissant de Lune

Croissant de lune dans le ciel,
Ô doux sourire qui me surveille,
Croissant de lune, que je regarde,
Tous les matins, quand le jour tarde,

Tantôt du blanc nacré des cieux,
La couleur des pêchés interdits,
A l’auror, tu t’habille de feu,
Infernal miroir des cœurs maudits.

Croissant de lune, tu es comme elle,
Une douce lueur au creux de la nuit,
Une douce flamme éternelle
Qui éclaire et réchauffe ma vie.

Croissant de lune dans le ciel,
Ô doux sourire qui me surveille,
Quand son visage s’enfuit au loin,
Ton regard éloigne mon chagrin.
Haine :

A cette déclaration, je répond non
En ton regard de jade poète
Je vais te dire ce que je garde au fond de mon être

Ces femmes que vous avez la bêtise de les révérer comme des idoles
Puis, les jugeant allégrement frivoles
Dans vos écrits, s’écorchent finalement les mots folles

Misanthropode ? Oui je le suis
Et de ce ton jovial, je vous maudis
Poètes, romanciers, scientifiques
De Rimbaud à Moreau

Ah, sottise des hommes
Vanité qui se perd
Prolifique goût amer
Que vous ne puissiez vous étouffer avec cette pomme



Deux plus deux font :

La Faiblesse et la Peur font la Haine
La Haine et la Solitude font le Sadisme
Le Sadisme et les Traîtrises font le Bouclier
Le Bouclier engendre l’Apparence
L’Apparence fait les Remords
Les Remords mène au Désespoir
Le Désespoir aide l’Infamie
L’Infamie permet la Misanthropie
La Misanthropie engendre l’Egoïsme
Et ainsi va la vie et tel un tourbillon d’ennuis
Je vais ainsi
Je suis comme je suis
De tous ces défauts, je vous y convie
De mon Bouclier d’Apparence
De mon Epée de Damoclès
Je marche ainsi
Sur une longue route solitaire
Sans espoir de retour
Sans une main pour rassurer
Je vais ainsi…


A trop respecter:

Notre amour, aussi fragile que les brins d'herbe
Las! Je ne sais, je ne puis, te retenir
Cruel doute, tu m'as tourné le dos sans me sourire
Las, comment, oui, comment as tu osé m'ensorceler?
J'ai encore le goût amer de tes baisers
Je n'ose, je ne peux mais je désire au fond
Te revoir, être certain que ces moments n'étaient
Oui, illusion, je ne suis Pénélope, tu es moins Ulysse
Tel que je suis, je continue seul ma vie
Mais... malgré ce qui nous sépare, pour ces moments d'infini
Je te dis merci...
Ce n'est pas encore le cimetière, ici ? Si vous aimez la poésie moderne, j'ai un petit kekchose qui sort de mes habitudes à vous proposer... Je n'écris plus beaucoup par manque de temps, donc les 10 pages qui se sont écoulées depuis mon dernier poème sont presque égales au temps qui s'est écoulé depuis celui-ci
Bande de chiens jaunes Bref, comme je suis très bon, je vous offre ces deux p'tits bouts, écrits en 3 minutes chacun, mais qui ne rendent pas si mal au final. En hommage à Perdigan Foxglove, morte il y a, oulà, longtemps, et qui continue de tenter de me planter ses canines dans le bras à chaque fois que mes mains de vieux pervers se baladent... Ou de me donner un coup de griffe.


Vampire

Plonge l'ombre de la nuit,
Griffes, crocs, courbes qui délassent,
Murmures dans le bruit
Cille sans butte, le chat trépasse
Nuit sang lune, les morts parlent
Et leur cris me pleurent le coeur,
Retiens, retiens l'heure...
Reviens, reviens sans bruit,
Et achève le rêve qui vit
Griffes, crocs, courbes qui délassent
Pas un pli dans la nuit.

(sans titre)

Nuits des sombres roses,
Où l'ombre porte sa croix sans deuil,
Suit des yeux, feux des maisons closes
Les hontes qui s'effeuillent
Et pue la haine et la mélancolie
Mort, mort le sang qui coule encore
Penchée sur le fleuve gris
Enlaçant l'ombre de son corps
Odeurs, parfums qui sentent encore
Brumes, toujours, toujours enfuies
Caresses invisibles froissent tes pleurs
Crie, le ciel s'effondre,
Crie tes pleurs sous la pluie
Non loin des maisons closes et sombres
Merci à tous ceux qui permettent à ce fil de continuer à vivre. Je vous encourage vivement à y écrire encore et encore. Il y aurait bien là de quoi remplir un livre, ou du moins quelques pages plantées d'un somptueux décor...
Boh, ce n'est pas encore les 215 pages du post des BISOUS, mais bon... Depuis les temps, seulement 20 pages, snest pas assez rapide.

Bon, j'ai recommencé un brin le chant du barde, mais comme le début a été archivé depuis le temps, zaurez pas la suite quand elle sortira.
Voyage dans la brume

Perçant les ténèbres de la fumée
Et traversant un océan d'alcool
La musique, cet aigle déplumé,
M'emporte et alors je décolle.

Plongé dans cet épais brouillard d'opium
Et sous une pluie acide de delirium
Je vole, je plane, je plonge et je tombe,
Quand les ombres dessinent ma tombe.

Pourquoi commencer ce long voyage ?
Je ne sais plus, était-ce là mon but ?
Je me souviens juste qu'au décollage
Je fuyais ce doux visage qui m'ampute.

J'ai donc pris un aller pour l'enfer,
Pour un séjour au bord du léthé
Boire tout mon saoul l'eau enchantée,
Ecluser, jusqu'à ne plus pouvoir le faire.

Une ombre se dessine sur le chemin
Une barrière que l'on ne peut éviter,
Le point non-retour au petit matin
Où seule la mort t'empêche d'arrêter.

De la mort ou bien du réveil,
Quel est vraiment le plus dur ?
J'ai choisit de revoir le soleil,
Maso, j'endurerai ses brûlures.

Mais l'avion n'est jamais bien loin,
Et le billet simple pour l'Hadès
Se trouve dans le sourire d'une déesse,
Juste au creux d'un regard en coin.
Bonjour à tous,

Je débarque sur ce forum qui a l'air très animé. C'est mon tout premier post (y en faut bien un ). J'ai 2 poèmes sans prétention à mon actif qui ont tous deux un rapport avec mes persos sur NWN. Barde est ma classe préférée, c'est pourquoi je m'y amuse de temps en temps.



Doux souvenir d’Erathia.

Je me souviens encore de cette belle forêt d’Erathia,
Des longs moments enchanteresques que j’y ai passé,
Des longues soirées d’apprentissage autour d’un feu de bois,
De mes amis, la plupart aujourd’hui mort en guerriers.

Sous son épais feuillage sombre et vert,
Arborée de diverses variétés s’élevant à des hauteurs impressionnantes,
La lumière du soleil filtrait tout juste au travers,
L’ambiance ainsi rendue, était des plus plaisantes.

A plusieurs pieds du sol où il n’y avait de place pour la peur,
La ville se pénétrait de par un unique escalier central.
Par de longues passerelles fabriquées de bois et de lianes,
Les résidents s’y déplaçaient de demeure en demeure.

Inoubliables, mes souvenirs demeurent gravés à jamais,
Aujourd’hui, ma mémoire reste emplie de ces images,
De cette profusion de beauté, je ne désire que le partage,
A Diganhwy ma voix enchantera, à Erathia plus rien ne me retenait

Vvarwick




Rêves d'un guerrier

Elle est si belle
Dans sa robe de dentelle,
Elle est si fraîche,
Ensoleillée de sa peau de pêche.

Un joli visage rose et rayonnant,
De longs cheveux fins et sombres s’en détachent,
Lorsque ses deux grands yeux verts vous figent,
Vous vous apercevez que vous êtes au firmament.

Sa façon de me parler, douce et sensuelle,
Tel un ange à qui elle adresse une prière,
Admirée par sa démarche souple et légère,
Je fonds de tout mon être quand je suis auprès d’elle.

Comment est-il possible de résister à tant de charme,
Faible et humain, je ne peux m’en défaire,
Mes principales tâches me semblent vite secondaires,
Seule ma conscience protectrice parvient à me ramener vers les armes.

Vvarwick
Bonjour bonjour...
Je me contenterais de poster mes poèmes ayant trait à un univers de D&D.

Sylfaën

Triste vagabond,
Voyageur oublié.
Explorant les vallons,
De contrées reculées.

Bretteur au cœur pur.
Adepte de l’épée.
Mais sous son armure,
Est une âme déchirée.

En blessant son parent,
Il tua sa moitié.
Pas à un seul instant,
Il ne peut l’oublier.

Sa vie de rédemption,
De vengeances ponctuée,
A pour toile de fond,
La mort d’une femme aimée.

De l’histoire méconnu,
Il ne cesse de marcher,
Vers un but inconnu,
Par son cœur dirigé.

Justice et honneur,
Ses principes premiers,
Par une folle fureur,
Se voient contrastés.

Triste vagabond,
Voyageur oublié.
Ses pas le mèneront,
Là où se cache la Vérité.




Lyonesse

Dans les souterrains méconnus de Faerûn
Là où règnent les ténèbres les plus obscures
Sont les elfes noirs, loin de l’éclat de la Lune.
A Menzoberranzan, le Bien a la vie dure.

Oui, c’est un fait. Mais malgré tout ce que l’on dit,
On trouve en ces lieux une beauté magnifique.
Même dans le noir, cette barde resplendit,
Sa pureté lui donne une aura féerique.

Elle évolue dans cet univers malveillant
Sans que la bonté de son âme soit altérée.
Artiste et poétesse, elle est pleine de talents.

Belle par-dessus tout, chacun rêve de ses caresses,
Oh oui parfois on aimerait être un drow
Pour pouvoir côtoyer une elfe telle que Lyonesse.
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