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Déchirure

Par Gandalf Rawls le 2/12/2002 à 19:10:01 (#2695478)

L'autre jour, au temple j'ai vu
Une jeune demoiselle tomber étendue
Son corps dans un éclat de lumière est aparru
Tout de vêtements déchiquetés vétu.
Son corps était couvert de sang
De longues plaies coulant,
Mais au fond de sa poitrine
Résonnait régulierement,
Des bruits venants de cette vitrine,
C'étaient ceux du coeur battant.
Dans mes bras, je l'ai portée,
Et près d'un prêtre l'ai posée.

Celui-ci j'ai supplié,
De ce frêle corps d'avoir pitié.
Et entendant mes plaintes,
De la sienne il la sortit,
L'accompagnant de mon etreinte,
Nous l'avons ramené a la vie.
Ses plaies se sontrefermées,
Et sont Coeur réanimé.
Inconscient était ce corps,
Qui échappait à la mort.
Des soins luii ai-je prodigué.
Des amis sont venus m'aider.
Mais le pire n'était pas,
Je vais vous le conter la!

Un vieil ami m'a contacté,
En danger était sa vie.
A son secours, je suis parti,
La jeune demoiselle ai-je laissée.
Je l'ai confié à un inconnu
Que je vennais de rencontrer,
Et qui m'avait pourtant convaincu,
Qu'il pourrait s'en occuper!

Lorsque je suis revenu,
De mon action bienfaisante,
Le frele corps n'était plus,
Ni la bonne ame complaisante.
Jamais plus je n'ai revu,
Cette belle demoiselle,
Celle que j'ai perdu:
J'étais responsable d'elle!

Je ne connais pas son sort,
Mais si elle est encore en vie
Qu'elle echapa a la Mort,
Pourquoi ne m'a-t-elle écrit?
Mon âme depuis ce jour,
A été profondemment blessée:
Je n'ai jamais accepté,
D'avoir été pris de court.

Si quelqu'un se reconnait,
A ces quelques mots que j'écrit,
Lorsqu'elle me contacterais,
Mon âme retrouverait la vie.


Gand-qui farfouille dans ses vieux textes-alf

Par Gandalf Rawls le 2/12/2002 à 19:12:01 (#2695504)

La lutte finale (non je ne suis pas pro-communiste :D )

L'heure de vérité a sonnée.
Le destin doit être affronte.
Nous partons combattre l'ennemi,
Afin de sauvegarder les vies
De tout ces ignorants,
Qui dans leur petit monde,
Ignore une chose immonde:
Le Mal est devenu grand.
Nous partions donc humble, mais fiers,
Prêt a supporter le fer,
De nos terribles ennemis,
Et a sacrifier nos vies.

L'heure approche,
Les minutes passent.
Que s'allument les torches!
Les gens s'amassent.
Ils viennent de toutes contrées,
Ils viennent pour nous aider.
Pour aider le clergé de Syl,
A accomplir sa tache difficile.

Au loin l'Ombre s'approche,
Et déjà vibrent les roches.
Longue sera cette sombre nuit,
Et peu la verront finie.
Les mains sur les armes se crispent,
Les cordes des arcs sifflent.
On peut entendre les mages incanter,
Et les pas ennemis s'approcher.

Ça y est, la lutte est lancée,
Nos premières lignes sont déjà submergées.
Le sang coule dans cette vaste plaine,
Ou les fervents d'Artherk affrontent la Haine.
La bataille fait rage pendant de nombreuses heures,
Mais le Mal ne tarit pas, ils attaquent tous en coeur.
Sous nos pieds, les cadavres de nos amis,
Recouverts du sang de nos ennemis.
Au coeur de la bataille une silhouette s'approche,
Le ciel a disparu sous sa sombre aura
Le Mal aurait anéantit nos proches,
Si Artherk est venu la.

Artherk mène nos troupes près de ses enfants,
Remontant le moral des combattants abattus.
Déjà dans nos troupes se resserrent les rangs
Et sous nos attaques, l'ennemi n'est plus.
Sous les coups qui pleuvent de toute part,
Les troupes ennemies cherchent quelque part,
Ou ils pourront tous se cacher
Et dans les ténèbres se faire oublier.

Mais notre quête nous poursuivons,
Et après l'ennemi nous courront.
La sombre aura qui s'était présentée,
Dans les ténèbres est vite retournée.
Mais bien qu'étant invisible a nos yeux,
Ce sombre pouvoir nous surveillait.
Et au moment ou la fin approchait,
Elle nous a voler le feu.
Toutes nos torches se sont éteintes,
Et bien que n'ayant plus de crainte,
Notre poursuite dut s'arrêtée
Et l'ennemi s'est échappé.

Nous rentrons donc dans nos logis
Ou nous attendent femmes et fils.
Cette nuit beaucoup de nous sont tombés,
Mais Althéa fut sauvé!
Ainsi s'achève cette histoire,
Bien a vous de vouloir y croire.
Mais ceux qui y ont participé,
Ne pourront jamais l'oublier.
Vous peuples insouciants,
Qui êtes du monde ignorant,
N'oubliez pas de prier
Ceux qui vous permettent d'exister!

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