Justifier une coupure dans les études pour raison médicale lors d'un entretien d'embauche.

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Publié par Blanquette
Hm perso je ne conseille pas d'évoquer une problématique psy à un entretien d'embauche ou plus globalement sur son lieu de travail, ce n'est pas le lieu et surtout ça risque de pourrir la vie professionnelle de la personne.
Je ne conseille pas de l'aborder mais à choisir entre les deux, le burn out passera mieux que la dépression (sauf si c'est le même secteur / environnement).

Si c'est des raisons psy provoquées par un événement de vie extérieur, ça passera mieux également.

@Blanquette : J'oublie toujours que le sport national sur jol, c'est d'enculer les mouches.

Dernière modification par Belzebuk ; 09/09/2018 à 19h22.
Message supprimé par son auteur.
Euh pourquoi tu veux en parler ?

Comme certains te l'ont conseillé ici, tu dis simplement que t'as fait autre chose durant ces deux années, comme faire un break à l'étranger mais en aucun cas tu parles de burn out, problème psy, dépression ou autre raison médicale, tu vas te faire refouler cash. Déjà que réussir un entretien d'embauche en ayant pas eu ce genre de problème, c'est pas facile alors en se tirant une balle dans le pied dès le début, oublie.

J'en connais beaucoup qui ont mis un stop à leurs études pour voyager à l'étranger et les ont reprises en rentrant en France, et puis tu seras pas le premier à mentir sur ton background. C'est devenu monnaie courante.

Dernière modification par Piksi Stojkovic ; 11/09/2018 à 17h08.
http://www.lefigaro.fr/emploi/2018/0...-sur-un-cv.php


Citation :
Autre point sujet à la dissimulation: les périodes d'inactivités (sans emploi). «C'est le mensonge le plus fréquemment rencontré», assure Alban Gilardoni, consultant en recrutement chez Michael Page, qui fait passer plusieurs entretiens par jour. Mal perçues dans le monde professionnel, les périodes d'inactivités sont «généralement masquées par des formations en langues étrangères ou autre» afin de faciliter l'entretien et de prouver son dynamisme. Les candidats peuvent enfin jouer sur le flou entretenu par les dates, «expert comptable de 2012 à 2016» par exemple, sans préciser les mois de commencement et de fin de leurs contrats.
Et oui.
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