Des images me reviennent...

Par Louloune-GdA le 24/10/2002 à 11:45:23 (#2395877)

Assise au Cercle, ce Cercle ou elle avait passé une partie de sa vie, ce Cercle ou elle avait failli mourir, ce Cercle si beau, si grand, et pourtant si petit, Louloune regardait les feuilles der Arbres tombaient.
Ces feuilles s'écroulaient comme peuvent s'écrouler des rêves d'enfants, une vie, des amis et des ennemis.
Louloune avait l'impression que dés qu'elle tournait la tête ces Feuilles tombaient, comme pour lui dire que tout tombe un jour, ceux qu'on aime, ce qu'on aime, ceux qu'on n'aiment pas, et ce qu'on n'aime pas. Juste avait un regard, une parole tout peut partir en poussiére. Ce dont on rêve, et ce dont au cauchemarde.
Et pourtant.
Comme beaucoup de choses sa vie avaient été ruinée. Ces parents mort, ces fils disparus, les amazones, sont rêve qui commencaient à se vider, ces amours partis.
Une parole avaient pu tout détruire. Des simples mots. Des rancoeurs. Des choses qu'on à sur le coeur, et qui un jour sortent, faisant plus de mal que si tout était dit en son temps. Des paroles assassines, des paroles qui blessent, des paroles qui font mal, des paroles qu'on gardent toute notre vie.
Loune s'assit contre La Pierre. Une larmes dans les yeux. Des paroles sortirent de sa bouche, chantée avec mélancolie.

Des images me reviennent, Comme un souvenir tendre,
Une ancienne ritournelle, Autrefois en décembre,
Je me souviens il me semble, Des jeux qu'on inventaient ensemble,
Je retrouve dans un sourire, La flamme de mes souvenirs,

Je me souviens il me semble, Des jeux qu'on inventaient sensemble,
Je retrouve dans un sourire la Flamme de mes souvenirs,
Et en loin un écho comme une braise sous la cendre,
Un murmure à mi-mot que mon coeur veut comprendre
Une ancienne ritournelle, Loin du froid de décembre....

Louloune s'arrête et pleura. Combien de fois avaient elle chanté cette chanson avec Darwil, et les Adeptes disparus ? Ca ne se comptait pas. Ils lui manquaient, tous, autant les uns que les autres. A l'autre bout du Cercle Fleur la regardait, pensive. Darwil, le Rossignol leur manquaient à tous.


[P.S: C'est la chanson ''officielle'' des Adeptes.. extrait de la B.O du film Anastacia ;) ]

Par Feat ¤ Zal Team ¤ le 26/10/2002 à 14:54:00 (#2412252)

Bah si c'est pas un flop ca ! tout beau tout chaud

Par Sac à Puces le 27/10/2002 à 1:21:15 (#2414813)

Courage Louloune, meme ceux qui se font rare sont tjrs là.

(Et la terminale S c pas facile pour moi, mais bientot je pourrai ne faire que du rp avec mon perso GB !!!!!!!!!!!!!!!!! comme tu dis :p pq j'aurai fini de le monter)

Par Fleur Wild-Ilsn le 27/10/2002 à 18:54:01 (#2418748)

Une larme coule le long du visage presque impassible de Fleur. Comme elle voudrait que le présent ne soit ce qu'il est...

Par Imris/Noami le 28/10/2002 à 20:22:34 (#2427202)

feuilles DER Arbres tombaient <<<<<< c'est quoi der ? tu ne voualis pas dire des par hasard :p

Par Fleur Wild-Ilsn le 28/10/2002 à 20:46:49 (#2427391)

*...*

Par Shania Adams / Emma le 28/10/2002 à 20:52:00 (#2427418)

Trés jolis ma louloune :)

Par Imris/Noami le 28/10/2002 à 20:59:15 (#2427471)

*sort avent de ce recevoir uen baffe*

Par Sac à Puces le 29/10/2002 à 13:27:47 (#2431388)

*lui met une baffe* c toujours jolie ce qu'elle écrit Louloune !!!
(même si ya encore des fautes :D)

Combien de fois avaient elle chanté cette chanson avec Darwil

Par Un Solitaire le 30/10/2002 à 3:01:06 (#2437365)

Le Cercle était petit. Quatre ou cinq pierres. Un banc de pierre. Il régnait pourtant une impression d'espace. Le ciel peut-être. Ou l'air. Autour des arbres la nuit durait. Elle s'était installée sans que personne ne s'en aperçoive. Le temps pesait si peu. Un souffle à peine. D'autres personnes restaient là. Elles se remémorait des histoires d'enfance et de hasard. De rêve. Elle chantait. J'apprenais. Le nom des choses. Ce qui respire sur un regard. L'émotion.La part humaine de l'homme.

Un instant une envergure

Une certitude au bout des doigts

Qui d'autre à part elle...

Par Louloune-GdA le 1/11/2002 à 13:49:07 (#2455511)

Elle parlait, préférant ne pas savoir ce qu'elle disait. Elle racontait que des belles histoires avec des chevaux dorés et des châteaux d'amour. Des histoires de Lune qui brille comme une pièce d'argent, de soleil, qui brille comme de l'or. De Ciel bleu comme la mer sans fond, d’herbe verte comme on en trouve sur un champ infini un matin de printemps. Des histoires de Miel qui coule dans le Cœur, comme l’eau glisse le long des rochers pour arriver dans un lac reluisant et brillant sous les rayons qui viennent du ciel. Des histoires d’arbres qui vivent des décennies, qui durent encore plus longtemps que l’amour infini. Les histoires de Sélène qui protége les pauvres comme les parents protégent leurs enfants. L’histoire de quelqu’un qui découvre ce que c’est vraiment la Vie, comme il avait découvert des années auparavant comment marcher. Les histoires d’un Rossignol qui chante sans jamais se lasser des chansons d’amour et d’amitié, tel l’oiseau posé sur sa branche qui ne s’arrête jamais de parler. Que des histoires gais. Elle voulait se changer les esprits… Mais pourtant une larme de mélancolie perlait sur son visage, tel une goutte que laisse l'aurore sur l'herbe le matin. Une larme superbe qu’on voyait mais qu’on préférait ignorer. Une larme qu’on ne pouvait pas crever, une larme en forme de goutte d’eau, une larme indésirable qu’on désirait essuyer, mais la main une fois dessus ne pouvait que s’enlever. Une larme remplie de souvenirs. Une larme qu’on voudrait laisser couler toute notre vie, et pourtant on aimerait que l’eau et les souvenirs qui sont dedans glissent pour disparaître le plus vite possible. On aimerait que cette larme disparaisse, que cette mélancolie s’en aille, que la joie soit retrouvée à tout jamais, et en même temps on sait qu’il faut des souvenirs pour pouvoir vivre. On sait qu’il faut le passer pour faire le futur. On sait tout cela. Mais peut être on veut l’ignorer.
Elle était là, à parler de tout et de rien, devant l’œil de quelques personnes, qui écoutait, visiblement captivé, et qui ressentait aussi cette larme de mélancolie. Rien que dans sa voie on sentait un regret. On sentait que c’était des histoires vraies, mais qui était désormais achevée, et qui sûrement ne se passeraient plus.
A quoi servait de pleurer et de regretter ? A rien ... Mieux valait ne penser qu’au joie … et aux tristesses du futur. C’était sûrement la chose la plus importante à savoir. La gaieté n’est pas infini, vient un jour ou on la perd. Mais la tristesse peut durer toute une vie, alors il faut savoir la retenir.

Par Fleur Wild-Ilsn le 1/11/2002 à 14:09:42 (#2455653)

:sanglote:

Par Sac à Puces le 1/11/2002 à 14:16:11 (#2455697)

Ca me rend nostalgique :(
*devient tout triste et ne peut éviter les larmes sous son casque*

Par Louloune / Clara le 1/11/2002 à 14:18:21 (#2455709)

Provient du message de Fleur Wild-Ilsn
:sanglote:

( pleureee pas :'( )

Par Fleur Wild-Ilsn le 1/11/2002 à 14:40:28 (#2455864)

Toujours au cercle des druides, une bise fraiche balayant doucement son visage silloné de larmes, Fleur ferme les yeux et entamme silencieusement une prière à Titania...

Par Darwil le 1/11/2002 à 14:42:11 (#2455873)

Comme le souvenir tendre....
une ancienne Ritournelle...
autrefois en décembre


Je me souviens il me semble
des jeux qu'on inventait ensemble
je retrouve dans un sourire
la flamme de mes souvenirs

Et au loin, un écho
comme une braise sous la cendre
un murmur... à mi-mots
que mon coeur veut comprendre....


Une ancienne ritournelle
Loin du froid de décembre

La silhouette floue glissait vers Louloune doucement, attirée par sa voix, attirée par ce chant.

Je me souviens semblait-elle dire.

Un frisson dans les arbres la fit disparaitre... le charme avait été rompu.

Par Wyn de Strass le 2/11/2002 à 0:44:55 (#2459458)

*erre sans but sur Arakas* (si, ça m'arrive d'avoir un but, mais c'est pratique pour squatter les rp ^^)
*entend la chanson de Louloune et aperçoit une silhouette qu'il attribue à Darwil*

_Mh mh... Il faudra que je parle à Louloune...

*repart en passant à deux doigt de necroter un protecteur de la foret*

_Rha les arbres demoniaques sont vraiment ressemblants !

*s'eloigne en marmonant dans sa barbe qu'il n'a pas* (suis doué hein ^^)


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* Haruspicien * : Mais qui es-tu, impur?
* Wyn * :
Je suis celui qui fût votre cauchemard
Je suis celui qui est votre peur
Je suis celui qui sera vore mort

Par Wyn de Strass le 2/11/2002 à 0:45:39 (#2459462)

(suis pas doué, sorry ^^)

Par Loup/Celandine le 2/11/2002 à 1:18:29 (#2459614)

(mais quel nul ce Wyn :p)

Au passage, moi aussi j'ai confondu un arbre démoniaque d'un protecteur de la foret il y a peut de tps :( je l'ai frappé qu'un seul coup, j'ai vite vue mon erreur.
Que Titania me pardonne !! :sanglote: c'était la première fois que j'en touchais un, comment ai-je pu faire une telle erreur :sanglote: :sanglote: :sanglote:

Par Wyn de Strass le 3/11/2002 à 12:33:35 (#2468102)

(en général, tu te paie quand tu attaque un protect foret ;) )

Par Fleur Wild-Ilsn le 3/11/2002 à 13:55:40 (#2468721)

Juste un moment dans le temps
Une période qui s'étends
Un instant de tourment
Où l'on ne se sent plus, vivant.

Juste une feuille en automne
Une larme qui sillonne
Une vie que l'on donne
Et qui nous rends, aphone.

Oh ! cruelle mélancolie
Qui nous dirige droit vers la folie
Toi qui mon esprit ramollit
Toi que je hais, toi que je maudis.

Puisses ton souvenir me forger
De ta rancœur, mon âme se gorger
Pour que jamais pareille erreur
Ne revienne se produire, dans mon cœur...