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Mistledale

Par Vincent Tremere le 24/9/2002 à 23:09:52 (#2226265)

Depuis combien de temps avait il quitté Goldmoon ? Il ne pouvait le dire précisément, marquant le temps en laissant la barbe envahir son menton. Il pensait à ses amis, du moins ceux qu'il considérait comme ses amis, qui sait si eux le considèrent aussi ainsi. Il se promenait aux abords de la demeure familiale, sous un soleil rayonnant d'un après midi sans nuage. Seul, songeur, il marchait sous les feuillages divers de la forêt, cherchant à trompé l'ennui qui chaque jour dansait en lui.

Un choc très léger lui frappa la tête, à ses pieds atterrit une noisette, il la ramassa et leva les yeux sur un écureuil, debout sur la branche d'un noisetier ou il avait élu domicile, l'animal semblait très intéressé par l'amande oléagineuse que Vincent tenait. Quand ce dernier la lui tendit, la créature à la queue rousse s'enfuit dans le creux de l'arbre. Une moue sur ses lèvres, le magus se retourna et partit en direction de son manoir, jetant par-dessus son épaule la noisette.


C'est décidé, demain je repars pour Arrakas.



A suivre...



Et oui, mauvaise nouvelle, i come back

Même jour, trois heures plus tard.

Par Vincent Tremere le 24/9/2002 à 23:24:35 (#2226345)

Vincent dans sa chambre avait presque finit de remplir son sac à dos quand on vint frapper à la porte qui s'ouvrit sur un serviteur. Sur la table trônait un petit ocarina, en terre cuite, une oeuvre sans grande prétention, mais ô combien précieuse, quand il s'agit d'un cadeau de votre soeur, accompagné d'un petit mot écrit sur un vélin : "Entraînes-toi à jouer notre air..."

-Messire votre père désire vous voir dans la salle d'audience.
-*Soupire* ..... J'arrive.

Abandonnant ses préparatifs, il partit dans la salle où son père l'attendait, assit sur son trône.
Alors que le fils s'avançait, le père prit la parole.


- Vincent, j'ai une mission pour .....
- ... un autre.
- Comment cela un autre ?
- Oui, demain je repars pour Arrakas
- En attendant, tu pars ce soir pour Mistledale.
- Mistledale ? Ce trou perdu ?
- Oui, nous venons de reprendre le territoire aux nécromants
- Et en quoi suis-je concerné?
- Tu iras fouiller leur forteresse locale.
- Hum, pourquoi pas Cathia ? Elle se ferait un plaisir de la visiter.
- Cathia a déjà pour mission de m'apporter quelques volailles pour mes recherches.



- *Haussant un sourcil* Des volailles ? A quoi jouer avec les viscères de ces pauvres bestioles va t'il te mener ?

Etrius fit un sourire énigmatique, sans dire un mot de plus.

- Je vois, on préfère garder le silence, bien, bon bon, d'accord, j'irais, j'imagine que je n'ai pas le choix de toutes façons.

Apres avoir rassemblé le reste de ses affaires, Vincent se mit en route pour le village, son destrier galopant à vive allure, sous le regard de Sélène qui ne fermait pas son unique oeil d'une paupière nuageuse. Le son des sabots sur les pavés accompagnait par moment les cris d'animaux nocturnes étaient les seuls bruits que l'on pouvait entendre durant tout le trajet. Alors que les premières lueurs de l'aube chassaient l'astre lunaire du ciel, Vincent, lui, arrivait à Mistedlale.

Mistedlale, village ravagé par une guerre dont il n'avait besoin. Les toits des maisons n'étaient plus que cendres et paille brûlées, le sol était craquelé, ravagé par le feu, les plantations dévasté. C'était à peine l'aube, et pourtant déjà le village commençait à panser les plaies. Combien de temps leur faudrait-il pour réparer les dégâts fait en moins d'une heure ? Vincent soupira, il est tellement facile de détruire .....

Se dirigeant vers le camp précaire de l'armée aux armoiries familiales, il descendit de sa monture et la confia à un garde, avant d'entrer dans la tente du commandant de l'escadron. Un homme, assis, portant une armure de plaques ouvragée, consultait les parchemins où étaient dessinés les territoires alentours. Levant les yeux sur Vincent, il se mit promptement au garde-à-vous.


- Mes respects monseigneur.
- Repos Général.
- Nous avons été mis au courant de votre arrivée, notre meilleure tente a été mise à votre disposition.
- Bien bien, dites-moi, Général, j'ai vu la ville, un carnage pareil était-il nécessaire ?
- Inévitable monseigneur.
- Inévitable .....
- Les Giovanni avaient une horde de squelettes qu'il a fallu broyer jusqu'aux derniers, avant que les nécromants ne prennent la fuite.
- Hum, pensez-vous qu'ils reviennent de si tôt ?
- J'en doute monseigneur, il faudrait une véritable armada pour nous mettre en déroute.
- De combien d'hommes disposez-vous environ ?
- Cent cinquante hommes en comptant les blessés.
- Je vois, vous allez réunir tous les hommes valides, et faire trois groupes. Le premier sera de garde, le deuxième aidera les villageois a reconstruire ce qui a été saccagé , et le troisième prendra du repos, et cela, jusqu'au crépuscule, après quoi vous faites ce que bon vous semble. Je vous laisse juger du temps pour chaque groupe. Je vais me reposer dans ma tente.
- A vos ordres monseigneur.

Apres s'être saluer, les deux hommes quittèrent la maison de toile, tandis que le guerrier faisait sonner le rassemblement pour donner les instructions, le mage partait se reposer dans sa tente privée ayant prit soin de prendre de puissants somnifères pour se réveiller le lendemain matin.

A l'aube du 2e jour

Par Vincent Tremere le 24/9/2002 à 23:33:23 (#2226386)

Vincent arriva le lendemain matin devant les portes du château, il entendait les croassements de corbeaux accompagner les bruits de pas sur le pont-levis, traversant le jardin, il observait la cascade artificielle, faites par la main de l'homme avec des pierres de tailles différentes. Elle devait mesurait au moins deux mètres de haut, sur deux mètres de large. Une bien belle oeuvre que voila. Gravissant les marches, il espérait que les anciens occupants n'avaient pas trouvé le pourquoi de sa présence.

A la fin de la journée, Vincent avait parcourut vaguement chaque pièce du château, il se trouvait dans l'une d'elle qui semblait avoir été l'objet de beaucoup d'intrigues pour les Giovanni. Dans le mur opposé à la seule issue, se trouvaient quatre orifices. La première en forme de goutte d'eau, la deuxième semblait être un coquillage, une lune pour la troisième, et enfin un soleil en dernier. Quatre inscriptions dans une langue incompréhensible pour Vincent se trouvaient non loin des "serrures". Mais heureusement, dans leur grande bonté, les anciens occupants avaient eu la courtoisie de laisser le fruit de leur recherche dans un livre sur un piédestal situé à hauteur des quatre cavités.

"Passe la porte de la Lune et adresse toi à Ondine".
"Là où le sable ne s'écoule plus"
"Va sur la cime et apporte musique à la noirceur"
"La lumière la révèlera dans le cristal, et sa blessure te montrera son apparence"

Maigre indice mais toujours bon à prendre, apparemment les nécromants n'avaient eu le temps de chercher les pierres, à croire que tout ceci était calculé par Père.

Ondine, gardienne du premier cristal, donc il faut chercher la ou se trouve l'élément aquatique ...

Torche à la main, Vincent sortit du château, se rendant à la cascade, il faisait nuit noire, la lune était cachée. Mais peu importe, il franchit le rideau d'eau, et au lieu de se heurter à un mur, il se tenait dans un passage, la torche était éteinte, mais la magie avait prit le relais, il s'avança dans le tunnel. Au bout de ce dernier se trouvait une statue d'Ondine qui souriait la bouche ouverte. "Adresse toi a Ondine" Plongeant sa main libre dedans, Vincent en ressortit un cristal ...

3e jour, le soleil au zénith.

Par Vincent Tremere le 24/9/2002 à 23:38:44 (#2226414)

"Là où le sable ne s'écoule plus" Donc la ou se trouve le deuxième cristal, il s'y écoulait du sable. Il visita à nouveau le château, espérant que le sable était resté dans la dites pièce Et en effet dans l'une des pièces dans le sous-sol, la base était sableuse. La pièce était immense, et des travaux pour trouver la pierre semblaient avoir débutés.

Allumant les torches sur les murs, il commença ses recherches.

Si seulement j'étais Vas

pensa t'il, alors qu'il remuait le sable à la recherche de la deuxième partie de la clef. Il aurait en un rien de temps trouver le cristal, d'une incantation, le sable aurait volé dehors, mais peu importe le temps qu'une tache prend, seul compte les résultats. Se relevant, il examina la salle, le vieux mage avait du faire installer un dispositif pour faire évacuer le sable, mais ou avait-il mis le levier ?

Vincent avait beau chercher, il ne trouvait pas, l'oeil de Sélène avait à présent passé le zénith, et l'homme se sentait faiblir, pas tellement étonnant, à courir dans le château durant toute la journée. Se dirigeant vers la torche la plus proche de la porte, il la prit mal sans s'en rendre compte, et trouva sans savoir en tirant la torche à lui, le mécanisme qui vida la salle dans un grand tremblement et pas moins de bruit. D'abord surpris, puis heureux de sa découverte, Vincent se dirigea vers le coquillage qui était le seul survivant, car trop grand pour le système d'évacuation de sable. Il se dirigea vers une chambre au hasard, entra, et s'allongea sur le lit. Encore deux cristaux, pensait-il alors que les paupières se fermaient.

4e jour

Par Vincent Tremere le 24/9/2002 à 23:41:25 (#2226427)

Lendemain matin, 2ème jour de recherche dans le château du mage. Quel était l'énigme suivante ?
Ah oui "Va sur la cime et apporte musique à la noirceur". La cime, l'endroit le plus d'un château ? La tour, et c'est la qu'il se rendit, sans courir. Une fois la haut, on pouvait voir à milles lieux a la ronde. D'ailleurs on voyait parfaitement le village en contrebas, qui ressemblait à un nid de fourmis tant l'activité était déjà forte. A l'opposé de la tour, on pouvait voir le toit du château, ou de nombreux corbeaux croassaient une cacophonie pour le moins horrible pour les oreilles sensibles. Il sortit de sa poche le cadeau de sa soeur, et tout en le portant a ses lèvres, il inspira à pleins poumons. D'une note aiguë, il ramena le silence auprès des volatiles, a présent attentifs. Puis il se mit à jouer l'air que Cathia lui avait apprit, l'air qu'elle aimait entendre, une douce sérénade. A la dernière note, l'un des corbeaux s'envola, rejoignant celui qui avait offert la musique a la noirceur, il atterrit sur l'une des pierres de la tour, devant Vincent. Une chose étrange se passa alors, le corbeau commença à irradier de la lumière, une lumière tellement forte qu'il dût mettre son bras sur ses yeux.

Quand il tenta un regard, peu après, le corbeau avait disparaît, gardien éthéré qui avait finit sa tache, garder ce qui trôner à présent a sa place, une étoile en cristal ....

"La lumière la révèlera dans le cristal, et sa blessure te montrera son apparence".

Descendant la tour, Vincent se demandait ou trouver les fameux cristaux. Il avait fait tout le château, et pourtant, dans aucune salle il n'en avait vu. Alors qu'il errait dans les couloirs, un gargouillement se fit entendre. Pas étonnant, il n'avait pas mangé depuis une journée. Il repartit donc vers le village en quête d'une chose plus essentielle que le cristal manquant, de la nourriture. Une fois sur place, il entra dans l'auberge locale. Il mangea, pas a sa faim, mais peu valait mieux que rien.

Il sortit du bâtiment, et déambula dans la ville, laissant ses yeux vagabondaient sur l'environnement. Il aperçut une église, et s'y dirigea pour se recueillir un instant. S'agenouillant devant l'autel, il pria Sélène de venir en aide aux villageois pour que le village retrouve ses couleurs d'avant guerre. Les rayons du soleil traversa un vitrail et Vincent eut pendant comme un moment une aura lumineuse. Eblouit, il se recula et observa la provenance de cette luminosité, il eut un doute et repartit aussitôt pour le château

A nouveau sur place, il parcourut le jardin et aperçut une chapelle. Pénétrant à l'intérieur, Il pût voir des vitraux sur le mur au fond de la salle, trois pour être plus précis, représentant un soleil. Sur les cotés de l' autel, se trouvaient deux bougeoirs, Vincent les alluma, et observa les vitraux d'un peu plus prés. Sur le vitrail du milieu, un carreau s'illumina. Ne cherchant pas plus loin, Vincent brisa le morceau de verre coloré lumineux et en saisit au vol le plus gros des éclats qui tombèrent ont terre. Quand il rouvrit la main, le dernier cristal baignait dans le sang.

4e jour, au crepuscule.

Par Vincent Tremere le 24/9/2002 à 23:48:55 (#2226456)

Il était de retour dans la pièce aux quatre orifices, qui furent chacun à leur tour comblés par le cristal correspondant. Peu après que le dernier soit placé, une porte magique apparut sur le même mur, sur sa droite. Il l'avait trouvé, le passage s'ouvrait devant lui, sur l'antre secrète du vieux magicien, lui tendant les bras pour offrir ses trésors.

Vincent entra sans perdre une seconde de plus, torche en main, dans la ténébreuse pièce il s'avança jusqu'au promontoire où se trouvait le grimoire tant convoité par son père, les Giovanni, il détenait enfin une connaissance nouvelle, que nul ne possédait à part lui. La joie lui avait fait baisser la garde, et sans s'en rendre compte, une ombre se dressait dans son dos. Il ne sentit la présence que trop tard, quand un choc lui éclata quelques cotes et l'envoya se fracasser contre le mur. Se relevant la main gauche la où son torse lui faisait à présent horriblement mal, Vincent put voir son agresseur.

Une créature à la forme reptilienne bien en chair, le crâne et les épaules hérissés, la langue pendouillant sur le coté de sa gueule béante de satisfaction à voir souffrir celui qui a osé profaner le sanctuaire de son maître. Armé d'une massue, simple morceaux de bois, mais tellement efficace dans les pattes de ce démon. Vincent l'attaqua avec un sort qui n'eut pas sa puissance habituelle, comment correctement incanter un sort quand on sent les os de sa cage thoracique caresser sinon écrasé ses poumons? Le démon chargea à nouveau Vincent qui alla encore se rétamer contre un mur de la pièce, avant d'atterrir sur le sol, son ocarina brisé non loin de lui, tournant sur elle-même. Vincent eut alors une dernière image précise, avant que la brume ne l'envahisse suivi de l'inconscience :

.... Un démon, qui, armes aux poings, s'avançait vers lui pour achever son travail



Je tenais a remercier Lord indalecio pour m'avoir donné l'idée des enigmes, et Vasounet pour avoir traduit le texte une fois qu'il fut fini, c'est a dire ya a peine 1 heure :mdr:

Par Arken le 24/9/2002 à 23:57:45 (#2226492)

*trop long pour lire avant de se coucher, remonte pour qu'il soit en premiere page demain et penser a le lire a ce moment la*

Par Balkis Legend le 25/9/2002 à 0:23:32 (#2226568)

*aime bien*

:lit:

Par Gabriel Thylin MSF le 25/9/2002 à 22:20:26 (#2232534)

:lit: :) zut il est de retour :p

Ou suis je ?

Par Vincent Tremere le 29/9/2002 à 21:03:19 (#2256140)

Vincent se réveilla, au milieu de nulle part, dans un décor dont le noir était usé à outrance, on ne pouvait faire la différence entre le ciel et la terre, ni même voir l'horizon, ou la fin de la pièce.

Ou suis-je ? Il fait si sombre autour de moi. Pourquoi suis-je ici ? Ah oui, la mission confiée par Père, le château, j'avais trouvé la salle secrète, le gardien m'avait attaqué dans le dos alors que je feuilletais le livre, tout s'est passé si vite, je n'ai pas pu contre-attaquer.
Suis-je mort ? Est-ce donc cela la mort ? Des ténèbres sans fin, un sol sans relief, un ciel sans nuage, sans soleil, sans étoiles ? Ou es-tu Déesse, as-tu également été engloutie dans ce décor sans vie, sans âme ?

Il se mit alors à marcher, pour comprendre où il était, et comment y était-il arrivé. Il marcha, mais durant combien d'heures, de jours ? Au bout du compte, il était fatigué, et toujours dans l'obscurité la plus totale. Avait-il réellement avancé ou n'avait-il seulement fait que du sur place. Reprenant son souffle il regardait à nouveau alentour, aucun changement notable.

Vincent baissa la tête, comme abandonnant tout espoir de trouver la sortie, comment s'orienter, sans astre diurne ou nocturne. Suite à un soupir, son nez frémit, une odeur lui chatouillait les narines, une odeur trop connu pour être oublier, du sang. D'abord léger, puis incontestablement présente, elle devint étouffante. Le sol se déroba sans crier gare, pour devenir une mer carmin déchaîné.

Tentant de garder la tête hors de cette eau inhabituelle, une vague s'engouffra dans la bouche de Vincent qui cherchait à reprendre son souffle, désorienté qu'il était. Du sang, une mer de sang, comment se pouvait-il, alors qu'il était sur la terre ferme il y a un instant. Il lutta pour survivre, restant tant que possible à la surface, mais la tempête, peu à peu, léchait ses forces pour finalement avoir raison de lui.

Il sombrait dans cet océan de vitae. Toujours conscient, il sentait ses poumons se remplir de liquide, pourtant, il ne suffoquait pas, il ne mourrait pas. Au fur et à mesure qu'il s'enfonçait, le froid l'enveloppait, quand il toucha le fond, il perdit alors connaissance.

Epilogue

Par Vincent Tremere le 29/9/2002 à 21:27:37 (#2256226)

Il se réveilla, le corps parcourut par un choc électrique. La tête baignait dans une flaque de sang. Se relevant, non sans difficulté, des douleurs à la poitrine, il parcourut des yeux la pièce où il était, la chambre secrète du vieux mage. Le démon était la, allongé sur le ventre, mort, une dague profondément implantée dans la nuque. Le sang avait coulé de là jusqu'à lui.

Trop faible pour bouger plus avant, il se mit sur le dos, et levant sa main droite, il incanta un sort de boule de feu, qui eu pour résultat de faire un trou dans la toiture de tuiles. Son geste fut remarqué par plusieurs des soldats qui étaient en train d'aider à la reconstruction du village.

Dix minutes plus tard, le général et un groupe de soldats arrivaient dans la pièce après avoir demandé à ce qu'on ne touche à rien, Vincent fut rapidement emmené au campement et fut soigner. Son torse était couvert de bandages, on lui avait diagnostiqué plusieurs cotes fêlées et quelques-unes brisées des deux cotés. Durant les soins, il remarqua qu'il lui manquait sa bourse, et quelques artefacts, plutôt étrange, mais secondaire.

Quelques jours plus tard, après avoir repris des forces, il retourna au château, accompagné d'un soldat portant d'un sac a dos. Sur la place du village, se dressaient des roulottes, dans lesquelles se trouvaient moult fournitures et provisions. Voyant son étonnement, le soldat lui expliqua que les villageois avaient achetés ce que contenaient les roulottes et quelques poules, cochons et vaches, dans les villages voisins. Vincent n'osa pas demandé où ils avaient trouvé l'argent, il avait son idée sur la réponse.

Une fois sur les lieux, Vincent mit quelques bouquins intéressant dans le sac. Puis, il prit la dague encore dans la nuque du monstre, La dague était de belle facture, la lame était faites d'un alliage de métaux, la garde était d'ivoire, et gravé sur le pommeau, se trouvait un croissant de lune.....

Sur son cheval, Vincent faisait le chemin du retour à sa demeure, il avait à sa ceinture la dague, et en bagages sur la selle les précieux livres. Il réfléchissait à ce qu'il allait faire, les livres représentaient un pouvoir que nul ne possédait pour l'instant, confier ses livres à Père revenait à lui sauvegarder sa place de chef de famille pour plusieurs années. Il s'arrêta à une bifurcation. A gauche, on pouvait voir au loin la demeure sur une colline, à droite, on voyait le port de la région. après un instant de réflexion, il opta pour la droite......


The End ..... ? No, it's just the beginnig

Par Ehr Treïn Lhin le 30/9/2002 à 18:03:51 (#2260588)

:lit:

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