[Cinema ] Blueberry , l'expérience secrète

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Citation :
Provient du message de panda
Normal tu n'a aucun gout



T'es le seul a le defendre ici pourtant non ?.... Mon dieu c'est Vincent Cassel ! Enleve ton masque on t'a reconnu !
LoooOOOOooolll
A se rouler par terre de rire ...

M'etonne que ce thread n'est pas encore ete lock puisqu'il est depuis longtemps parti en lynchage du malheureux qui a eu la malchance d'aimer Blueberry ...

Pathétique, vous etes si aigris et blasés que ça RL pour avoir rien d'autre a faire qu'enfoncer un posteur qui a une opinion différente de la votre ?

Serieux, vous faites pitié, enfin venant de certains c'est pas une surprise, visiblement les suspensions de comptes ça calme pas ...

En plus se cacher derrière l'humour pour enfoncer quelqu'un en toute liberté, jolie preuve de lacheté ...
Citation :
Provient du message de Himura Kenshin
A se rouler par terre de rire ...

M'etonne que ce thread n'est pas encore ete lock puisqu'il est depuis longtemps parti en lynchage du malheureux qui a eu la malchance d'aimer Blueberry ...

Pathétique, vous etes si aigris et blasés que ça RL pour avoir rien d'autre a faire qu'enfoncer un posteur qui a une opinion différente de la votre ?

Serieux, vous faites pitié, enfin venant de certains c'est pas une surprise, visiblement les suspensions de comptes ça calme pas ...
nous on se marre juste et j'espère que Obierwan MILKS l'a comprit
...on est pas méchant

par contre toi tu nous agresse ...ou en tout cas tu en donne bien l'impression

(ps: svp ,qu'un modo ferme se truc pour arrêter les conflits inutile)
Citation :
Provient du message de Rhaitz
Faut peut etre pas exagerée non plus :> ya bien pire comme navet oui c'est pas un chef d'oeuvre mais de la a le traiter de navet de l'année...
Pour le moment nous arrivons fin février et je n'ai pas vu pire au ciné alors que j'y vais une à deux fois par semaine. C'est possible de faire plus mauvais mais nous sommes déjà bien bas.

Citation :
Provient du message de Lord Koss Sa Mére
C'etait bien
Pas le film, j'espère.
Citation :
Provient du message de Himura Kenshin
puisqu'il est depuis longtemps parti en lynchage du malheureux qui a eu la malchance d'aimer Blueberry ...

Pathétique, vous etes si aigris et blasés que ça RL pour avoir rien d'autre a faire qu'enfoncer un posteur qui a une opinion différente de la votre ?

Serieux, vous faites pitié, enfin venant de certains c'est pas une surprise, visiblement les suspensions de comptes ça calme pas ...

En plus se cacher derrière l'humour pour enfoncer quelqu'un en toute liberté, jolie preuve de lacheté ...
NON MAIS LOOOOOOOOL

Tu t'es gourre de forum ! y'a que toi qui le prend grotesquement mal meme Obierwan MILKS il s'amuse avec nous.
merci a ragounet
Citation :
Récapitulation

Non, il ne s’agit pas là de revenir en arrière, de rappeler, de ressasser. Il s’agit de Voir. Si mon propos s’ouvre par cette Récapitulation c’est tout simplement parce que Blueberry se veut une plongée dans l’univers non pas de la bande dessinée mais dans celui de l’anthropologue/expérimentaliste/écrivain Carlos Castaneda, LE spécialiste du chamanisme.
Selon les écrits de ce dernier, les chamanes appellent Récapitulation le moment ou un homme, sous l’emprise de puissants psychotropes, voit toute son existence avec la distance nécessaire (obtenue par l’absorption de drogues), détachement qui coïncide avec une nouvelle définition de soi-même en tant qu’homme, un changement radical dans la manière d’appréhender la vie. Une renaissance.
Cette expérience de la Récapitulation est à la fois l’origine du film en tant que projet artistique, mais aussi son enjeu narratif majeur. Blueberry s’ouvre sur un gros plan oblique du visage de Cassel, que surplombe une voix off qui nous signifie cette Récapitulation. Elle est donc toute à la fois le film, la genèse du film et ce vers quoi il tend. Reste que cette approche analytique me parait la seule viable dans l’appréhension de cette œuvre, approche qui inscrit d’emblée Blueberry non pas comme une fiction classique mais comme une expérience. En ce sens, le sous-titre du film, « l’expérience secrète » est beaucoup plus pertinent que le titre lui-même.
Toujours suivant cette idée, Blueberry est clairement anti-dramatique dans sa structure. Celle-ci renvoie à la notion d’expérience. La structure est ici une structure mentale, relevant d’un processus plus sensoriel que causal. Il ne s’agit pas du triptyque classique Exposition/Développement/Conclusion, entrecoupé de nœuds narratifs (ces instants où un récit doit « normalement » rebondir). Ce que Kounen nous propose est plus proche du voyage (ce qui fait afférer des éléments narratifs non conventionnels tels que l’errance, la contemplation, voire la stagnation). L’important est moins le déroulement des événements que l’événement en lui-même, que la manière dont plusieurs niveaux temporels, spatiaux mais surtout mentaux et spirituels vont s’interpénétrer.
Ainsi, Kounen rejoint des conceptions cinématographiques proches du Kubrick de « 2001 » ou des films de Terence Malick. D’ailleurs, le rapport qu’entretiennent le film et ses personnages avec la Nature renvoie immédiatement au réalisateur de « La Ligne Rouge ».

Le survol de l’aigle

On retrouve dans Blueberry une fascination pour la Nature. Mais les considérations, loin d’être écologiques ou bassement animistes portent davantage sur la place de l’homme dans cette Nature (voir les saisissantes prises de vue d’hélicoptère) que sur la confrontation de l’un avec l’autre.

Kounen, en filmant depuis le point de vue d’un loup, d’un aigle ou d’un crotale, ramène le point de vue cinématographique, la focalisation, à la hauteur de la Nature, englobant l’homme dans celle-ci. Le cinéaste représente alors non pas l’homme comme un élément isolé dans une immensité mais comme un des multiples points d’ancrage de l’univers. En faisant communier Nature et humanité, il saisit l’être (Cassel) dans un processus de vectorisation plus que d’identification, filmant de sorte que le spectateur se retrouve non pas en Blueberry mais en ce que vit Blueberry.
C’est à ce niveau que le film divisera : certaines sensibilités (absences de sensibilités ?) n’accepteront pas de « s’investir » dans l’œuvre, d’y apporter son propre regard personnel et unique plutôt que d’attendre que le film ne leur dicte un mode de fonctionnement.

Bienvenue dans l’autre monde

Ce questionnement, plus empirique qu’intellectuel, vaut surtout pour le trip chamanique final. Une succession incroyable de plans, souvent synthétiques, traduction visuelle des visions de Cassel. Loin du trip pour fumeurs de joints, il s’agit là d’une expérience personnelle, passablement inénarrable, qui va extrêmement loin. Débarrassé de toute contrainte narrative, Kounen s’y exprime pleinement, tant visuellement que psychologiquement, traduisant une suite d’états, de sensations que toute tentative théorisante ne saurait que vulgariser. Ces visions nous font accéder à un autre espace/temps sensoriel (tant est que ces notions aient la moindre importance), un autre système cognitif selon Castaneda, où l’homme se confronte à ses peurs n’ont pas pour s’en débarrasser (on est pas dans une logique manichéenne, il ne s’agit pas d’exorciser) mais pour en tirer un savoir existentiel capable de le faire accéder à un degré de conscience épuré de considérations matérielles ou de considérations sur soi. Le détachement de l’expérience autorise d’aller au-delà de ce soi omniprésent et normalisant, pour aller non pas au-delà du réel (donc vers une virtualité, une irréalité), mais au-delà de ce que le réel propose.

C’est en touchant à l’univers et en y incluant l’homme de façon mystique et intuitive que Kounen réalise une œuvre sidérante, une véritable expérience de vie qui dépasse ses imperfections pour n’être qu’une création vivante, un voyage qui défie l’analyse, la théorisation, qui interpelle les sens.
On peut facilement passer à côté. Mais si vous y entrez…Vous pénétrez dans une réalité filmique qui ne vaut que pour la pertinence du regard qui se pose dessus.
Blueberry est donc le film de chaque spectateur.
Et le spectateur que je suis n’est pas prêt d’oublier ce qu’il a vécu.
pour panda forever
C'est joyeusement verbeux, pas de fond donc soignons la forme hein:

Citation :
Provient du message de moimeme
Non, il ne s’agit pas là de revenir en arrière, de rappeler, de ressasser. Il s’agit de Voir. Si mon propos s’ouvre par cette Récapitulation c’est tout simplement parce que Blueberry se veut une plongée dans l’univers non pas de la bande dessinée mais dans celui de l’anthropologue/expérimentaliste/écrivain Carlos Castaneda, LE spécialiste du chamanisme.
Si c'est une plongee dans l'univers de C Castaneda pourquoi l'avoir appele Blueberry si ce n'est pour des raisons bassement commerciales ?

Citation :
Provient du message de moimeme
elon les écrits de ce dernier, les chamanes appellent Récapitulation le moment ou un homme, sous l’emprise de puissants psychotropes, voit toute son existence avec la distance nécessaire (obtenue par l’absorption de drogues), détachement qui coïncide avec une nouvelle définition de soi-même en tant qu’homme, un changement radical dans la manière d’appréhender la vie. Une renaissance.
Certes mais dans le film je vois plus la renaissance dans le premier sejour chez les indiens, dans ses trips chamaniques il finit juste par se rappeler son geste et par l'accepter, par calmer sa colere, point de renaissance plutot l'acquisition d'une paix /sagesse.

Citation :
Provient du message de moimeme
Cette expérience de la Récapitulation est à la fois l’origine du film en tant que projet artistique, mais aussi son enjeu narratif majeur. Blueberry s’ouvre sur un gros plan oblique du visage de Cassel, que surplombe une voix off qui nous signifie cette Récapitulation. Elle est donc toute à la fois le film, la genèse du film et ce vers quoi il tend. Reste que cette approche analytique me parait la seule viable dans l’appréhension de cette œuvre, approche qui inscrit d’emblée Blueberry non pas comme une fiction classique mais comme une expérience. En ce sens, le sous-titre du film, « l’expérience secrète » est beaucoup plus pertinent que le titre lui-même.
On avait compris, joli blabla

Citation :
Provient du message de moimeme
Toujours suivant cette idée, Blueberry est clairement anti-dramatique dans sa structure. Celle-ci renvoie à la notion d’expérience.
On se repete

Citation :
Provient du message de moimeme
La structure est ici une structure mentale, relevant d’un processus plus sensoriel que causal.
d'autres moins indulgents diront que le film est bancal et incoherent, donc qu'il ne peux avoir un interet que dans le domaine sensoriel *peu convaincu*

Citation :
Provient du message de moimeme
Il ne s’agit pas du triptyque classique Exposition/Développement/Conclusion, entrecoupé de nœuds narratifs (ces instants où un récit doit « normalement » rebondir). Ce que Kounen nous propose est plus proche du voyage (ce qui fait afférer des éléments narratifs non conventionnels tels que l’errance, la contemplation, voire la stagnation). L’important est moins le déroulement des événements que l’événement en lui-même, que la manière dont plusieurs niveaux temporels, spatiaux mais surtout mentaux et spirituels vont s’interpénétrer.
Ba je suis desole mais on voit quand meme bien dans ce film le " triptyque classique" le cheminement. Pr le reste son opinion que je ne partage pas.

Citation :
Provient du message de moimeme
Ainsi, Kounen rejoint des conceptions cinématographiques proches du Kubrick de « 2001 » ou des films de Terence Malick. D’ailleurs, le rapport qu’entretiennent le film et ses personnages avec la Nature renvoie immédiatement au réalisateur de « La Ligne Rouge ».
Si il a tente ca on peux dire qu'il s'est plante on est a mille lieux d'un 2001 odyssee de l'esp, pas la sensation, pas le voyage, pas le resentit, rien quoi.

Citation :
Provient du message de moimeme
Le survol de l’aigle

On retrouve dans Blueberry une fascination pour la Nature. Mais les considérations, loin d’être écologiques ou bassement animistes portent davantage sur la place de l’homme dans cette Nature (voir les saisissantes prises de vue d’hélicoptère) que sur la confrontation de l’un avec l’autre.
Kounen, en filmant depuis le point de vue d’un loup, d’un aigle ou d’un crotale, ramène le point de vue cinématographique, la focalisation, à la hauteur de la Nature, englobant l’homme dans celle-ci. Le cinéaste représente alors non pas l’homme comme un élément isolé dans une immensité mais comme un des multiples points d’ancrage de l’univers.
Oui classique non ?

Citation :
Provient du message de moimeme
En faisant communier Nature et humanité, il saisit l’être (Cassel) dans un processus de vectorisation plus que d’identification, filmant de sorte que le spectateur se retrouve non pas en Blueberry mais en ce que vit Blueberry.
Que le spectateur se retrouve en ce que vit blueberry ? j'ai bien lu la ? Alle on va dire que c'est rate alors, pas assez en phase avec mon environnement probablement.

Citation :
Provient du message de moimeme
C’est à ce niveau que le film divisera : certaines sensibilités (absences de sensibilités ?) n’accepteront pas de « s’investir » dans l’œuvre, d’y apporter son propre regard personnel et unique plutôt que d’attendre que le film ne leur dicte un mode de fonctionnement.
Je trouve ca terriblement conceptuel et desincarne, exactement la remarque que j'avait fait sur les artistes fous qui voient dans une pile d'ordure dans une decharge l'aboutissement parfait de leur reflextion personnelle: d'une ca meriterait qu'on nous devoile cette reflexion pour qu'on puisse la comprendre, deux un tas d'ordure ca reste un tas d'ordure...

Citation :
Provient du message de moimeme
C’est en touchant à l’univers et en y incluant l’homme de façon mystique et intuitive que Kounen réalise une œuvre sidérante, une véritable expérience de vie qui dépasse ses imperfections pour n’être qu’une création vivante, un voyage qui défie l’analyse, la théorisation, qui interpelle les sens.
Qui defie l'analyse, et la theorisation on est d'accord ! Comme tous les trucs mal fais ca defie l'analyse !
Qui interpelle les sens, meme pas, de mauvaises images de syntheses ca n'a rien d'un spectacle contemplatif qui interpelle les sens.

A titre de comparaison Fantasya 2000, la il y a une recherche artistique indeniable dans les formes les couleurs le tout soutenu par des oeuvres musicales appropriees, la ca te scotch, la tu sens l'artiste derriere tout ca, l'artiste qui arrive a communiquer la nature, la puissance de son oeuvre -meme si on comprend pas tout- ca se sent.

La difference entre le talent et la mediocrite, entre un vrai artiste et qqn sans capacite.

Regarde des images de la bande annonce d'enki bilal et compare la a qq images du trip chamanique de Blue berry.
J'ai l'impression que ce qui trouvent que blueberry est un film qui eveille les sens c'est justement des gens sans grand gout artistique, admiratifs devant un imprime de daims oranges sur fond bleu, blases devant un shagal "bof mes gamins font pareil".
Message hors-roleplay
Panda a partir du moment ou le createur du personnage s'estime plus que satisfait du resultat du film qui va la ou lui même aurait voulu selon ses propres dire amener le personnage je ne vois pas quelle est ta légitimité pour proclamer que le film est irrespectueux de la bd. Je vois venir evidement le contre argument du fait qu'il ai été payé pour ca mais ca serait mettre en question l'intégrité de moebius et puis des auteurs qui ont critiqués l'oeuvre ciné même après avoir recu leur droits d'auteurs y'en a eu qui plus es.

Après que le film ne te plaise pas , et ne plaise visiblement pas non plus a pas mal de personne c'est tout naturel et c'est ton droit. (je note quand même que la plupart des gens qui ont détéestés s'attendait quand meme a un bon vieux western qui pete en allant le voir la c'est sur il y a deception c'est comme aller voir un film de david lynch en pensant aller voir le dernier steven seagal ). Le film selon l'article quoté par "moimême" (c'est celle de monsieur cinéma?) montre clairement que ce n'est pas un film tout public de par le fait qu'il tente quelquechose d'expérimental.

Pour mon avis ben j'en ai toujours pas vu que j'ai toujours pas trouvé le temps d'aller le voir, peut etre que je serais super déçu au final mais bon j'avoue pas comprendre ton acharnement sur ce film. Je vais pas de mon coté faire 36 reponses parceque j'ai trouvé les dernieres productions luc besson a chier, je le dis une fois et point barre c'est mon avis je peux essayer de l'exprimer mais il faudrait aussi pour ca argumenter un peu sans etre forcement grossier.
Exclamation
J'essaie de savoir si le film a été tourné en français (comme le dit Allocine.fr ) ou s'il a été tourné en anglais (comme le dit un copain). Le but du jeux étant d'éviter de regarder une version doublée.

Quelqu'un a une réponse dont il serait certain ?
Citation :
Provient du message de moimeme
...
/agree


Citation :
Provient du message de Gabriel Thylin MSF
Après que le film ne te plaise pas , et ne plaise visiblement pas non plus a pas mal de personne c'est tout naturel et c'est ton droit. (je note quand même que la plupart des gens qui ont détéestés s'attendait quand meme a un bon vieux western qui pete en allant le voir la c'est sur il y a deception c'est comme aller voir un film de david lynch en pensant aller voir le dernier steven seagal ). Le film selon l'article quoté par "moimême" (c'est celle de monsieur cinéma?) montre clairement que ce n'est pas un film tout public de par le fait qu'il tente quelquechose d'expérimental.
/agree
Citation :
Provient du message de Aloïsius
J'essaie de savoir si le film a été tourné en français (comme le dit Allocine.fr ) ou s'il a été tourné en anglais (comme le dit un copain). Le but du jeux étant d'éviter de regarder une version doublée.

Quelqu'un a une réponse dont il serait certain ?
C'est en Anglais à la base (c'est la caissière UGC qui me l'as dit le jour où j'y suis allé) =).
Citation :
Provient du message de Aloïsius
J'essaie de savoir si le film a été tourné en français (comme le dit Allocine.fr ) ou s'il a été tourné en anglais (comme le dit un copain). Le but du jeux étant d'éviter de regarder une version doublée.

Quelqu'un a une réponse dont il serait certain ?
Et bien nous attendrons n'est-ce pas monsieur Aloïsius ?! Mademoiselle Charlotte n'a pas réussi à me dire si les bouches des acteurs s'accordaient avec leurs paroles.. elle était déconcentrée par son voisin !
Citation :
Provient du message de pooka
Et bien nous attendrons n'est-ce pas monsieur Aloïsius ?! Mademoiselle Charlotte n'a pas réussi à me dire si les bouches des acteurs s'accordaient avec leurs paroles.. elle était déconcentrée par son voisin !
Promis je retourne le voir et je te dis si les voix s'accordent Mais bon il y a beaucoup de paroles indiennes donc là je pourrais pas te dire
J'y étais hier soir et le mot qui résume le film selon moi, c'est "experimental".

Jan Kouen, fait des experiences, visuelle, filmiques, psychiques assez diverses.

Je ne trouve pas que ça s'accorde avec l'univers Bluberry, donc, je pense que le choix est bancal.

Je n'ai pas accroché au film, et je trouve qu'il n'avait aucun rythme, donc en gros, je n'ai pas aimé.

Et pour finir sur un semi troll : si on passe à la vitesse normale toutes les scène au ralenti, et qu'on ne passe qu'une fois, toutes les scène qu'on voit et revoit, le film doit avoir une durée de 45 minutes environs
Citation :
Provient du message de Gabriel Thylin MSF
Panda a partir du moment ou le createur du personnage s'estime plus que satisfait du resultat du film qui va la ou lui même aurait voulu selon ses propres dire amener le personnage je ne vois pas quelle est ta légitimité pour proclamer que le film est irrespectueux de la bd.
Source ? Castaneda est le createur de blue berry (doute )?
Moi je retiens surtout cette phrase de l'interview de Jan Kouen "Pendant le tournage, j'ai parfois totalement oublié que c'était Blueberry que j'adaptais". Ben ca se voit, c'est pleinement reussit on ferait jamais le rapprochement ....

Citation :
Provient du message de Gabriel Thylin MSF
Après que le film ne te plaise pas , et ne plaise visiblement pas non plus a pas mal de personne
On va dire a peu pres tout le monde

Citation :
Provient du message de Gabriel Thylin MSF
c'est tout naturel et c'est ton droit. (je note quand même que la plupart des gens qui ont détéestés s'attendait quand meme a un bon vieux western qui pete en allant le voir
Raccourci grotesque

Citation :
Provient du message de Gabriel Thylin MSF
Pour mon avis ben j'en ai toujours pas vu que j'ai toujours pas trouvé le temps d'aller le voir, peut etre que je serais super déçu au final mais bon j'avoue pas comprendre ton acharnement sur ce film.
Voila tout s'explique tu l'a pas vu ! vas le voir on en reparle
Vu les commentaires (non pas sur JoL mais sur Allocine par exemple), je pense que la premiere adaptation de Blueberry avec Terence Hill et Bud Spencer etait mieux ... comment ca cela n'a aucun lien avec Blueberry? Meme en mettant l'experience rigolote en sous titre?
Citation :
Provient du message de Laen
Vu les commentaires (non pas sur JoL mais sur Allocine par exemple), je pense que la premiere adaptation de Blueberry avec Terence Hill et Bud Spencer etait mieux ... comment ca cela n'a aucun lien avec Blueberry? Meme en mettant l'experience rigolote en sous titre?
Aucune pitie, rien
Citation :
Provient du message de Dalou
Pour le moment nous arrivons fin février et je n'ai pas vu pire au ciné alors que j'y vais une à deux fois par semaine. C'est possible de faire plus mauvais mais nous sommes déjà bien bas.
RRRrrrr ? :>
La Chasse ?
Mona Lisa ?

Ils mon largement plus fait chier que Blueberry question de gouts
Première fois que je me suis demandé si j'allais sortir du cinéma avant la fin.
On m'avait prévenu que c t un western spécial et c'est pour ca que je suis allé voir parce que je suis pas un fan de Western. Je pensais que le côté shamanique pouvait ma plaire mais je m'attendais pas à voir 30 mins de plugin Winamp à l'écran pour tout effet shamanique.
Très déçu je le déconseille
Citation :
Provient du message de moimeme
citation d'une critique
Ou comment expliquer un truc incompréhensible avec des mots complexes (ne voulant souvent rien dire dans le contexte) parcequ'on est pas capable de le faire avec des phrases simples...

Rien contre toi moimeme, hein... Je suis juste fatigué de voir des critiques de ciné jouer les pseudo philosophes sans connaitre le sens du quart des mots qu'ils emploient dans le seul but de noyer le poisson qui représente leur incompétence et leur incompréhension.


"un processus de vectorisation plus que d’identification" ... Tain, j'en pleure de rire rien qu'a la relire celle ci. Tssss... Pitoyable.
bluberry est pour moi un film spécial,fantasmé a l origine comme un blockbuster français.son arrivé cristallise le symptôme du cinéma français.
bluberry est un accident industriel(ex:barrage en couilles du réalisateur durant la préparation du film,aspect cheap malgré un kolossal budget,etc).

aujourd'hui on cherche a faire un coup sur a 100%(vaillant,bon voyage),le film des ça conception doit être bankable(avec des stars sorties tout droit de la télévision c est encore mieux),et par chance ou par inconscience des producteurs,kounen n ira pas dans ce sens.(kassovitiz est obliger de tourner gothika(silver production) pour avoir la main mise sur babylon babies).un type de cinéma français emerge.besson production avec une volonté de copier les productions amériçaines


tout ca pour ca,et oui car de nos jours,le publique du cinéma ne fait plus recette.un film fait de l argent d abord grâce a la vente en dvd et preachats internationaux,passage télé.on arrive se contrefoutre des entées en salle.comme disait l autre on fait peuple et on lui crache a la gueule une fois le dos tourné.

de ce faites face aux grosses machines bien huilées,ce film ne peut qu attirer ma sympathie.il n est pas sur(voir certain) que ce film trouve son public,mais au moins il aura essayer de faire passer son trip chamanique.aujourdhui tout le monde est rentré dans les rangs.dahan lui nous fait la rivière pourpres2.
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