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[MoaYs]

Très jolis vers, le poete solitaire .

Moa Cht'i Scout

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[Amélyse]

Rêve

Bienveillant et affable
Impalpable réconfort
Refuge invisible et intouchable
Où l’on s’engouffre sans efforts

Illusions d’un sommeil éternel
Pourtant agréables et serein
Dérisoire torpeur, éphémère et si frêle
Le réveil est bourreau du matin

Attirant et chaleureux
Amant de chaque nuits
Images flou et tortueuses
Deviennent muses de minuit

Inlassablement tu reviens plus transi
Journée ou courte trêve
Mélancolique et inassouvi
Mon rêve…

[MoaYs]

@Amélyse : C mignon tout plein
Mais c etait que notre Lafamine m'a un peu surpris, qui a dis que la poesie avait une frontiere

Moa Cht'i Scout

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[Amélyse]

Terrible masque grimaçant qui s’impose à vos pensées
Visage hideux et difforme, venant effriter la muraille de la réalité
Peur et trouble, cynisme et malin
Il vous susurre d’une voix au son cristallin

Croire que l’on va mourir demain
Croire que l’on va mourir demain

Terrible masque qui s’éffrondre, venant emporter tous mensonges
Visage pâle d’un mourant, comme la maladie qui vous ronge
Crainte et tourment, ironique et taquin
Il vous susurre d’une voix au son mutin

Croire que l’on va mourir demain
Croire que l’on va mourir demain

Terrible masque qui tombe ! Révélant véritable apparence !
Visage tantôt appeler faucheuse, tantôt appeler ‘la fin’
Accepte ou refuse, tout n’est plus que destin !
Susurre-lui à ton tour, d’une voix suave et intense !

"Si la vie n’est qu’une nuit, et que le jour soit ma guillotine, mon bûcher, je préfère mourir demain.
Si la vie n’est qu’une nuit, alors que la lune soit ma complice, mes Champs Elysées, je préfère mourir demain"

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[Amélyse]

La lune à son paroxysme, je me surprenais à jalouser
Ses rayons nacrés qui dansaient sur ton corps
L'eau te submerger jusqu'à la taille, je ne voyais plus que ce décor
Qui s'offrait à mon regard, je quémandais muettement que le jour n'arrive jamais

J'aurais voulu suspendre la Clepsydre du temps, empêcher le soleil de se lever
Ses rayons lumineux s'abattaient sur moi tel un couperet gelé

Tes mains effleuraient, en des gestes délicats, la surface de l’eau féerique
Tes doigts tentant vainement de happer le reflet d'une étoile
Qui soudainement s'éteignait, troublée par les vagues
Je souriais malgré moi, de te voir maudire le firmament si loin que tu ne puisses le saisir

J'aurais voulu suspendre la Clepsydre du temps, empêcher le soleil de se lever
Car ses rayons lumineux, ont mit fin à ce bain que mes yeux contemplaient

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Ps: le lac d'upland est magnifique la nuit sous la neige
Ps2:Les Champs-elyssees sont le deuxieme endroit des enfers dans la mythologie grecque, associés parfois au paradis,

[MoaYs]

Bon c sur je suis plus que nulle pour ce qui est de faire des rimes de la meme maniere pour ce qui est de la musique mais en je les apprecies fortement .
Dans ce monde de brutes JoLesques, c une bouffee d'oxygene .
Poete de tout bord reunissez vous, faites de cette endroit de desolation sterile un oasis de paix et de ravissement .

Moa Cht'i Scout

[Lili|Piøutte]

Woot Woot les poêtes

[Amélyse]

Persister, avancer, tituber, comme dans une danse je fut entraînée,
Au travers des méandres et des abysses tortueuses
Comme prélude s’offre alors cette route sinueuse
Pour seul musicien mon souffle saccadé

Courir, fuir, gravir, comme dans un combat épique être attiré
Au travers du refrain de cette épopée lyrique
Le fer de mes lames qui s’entrechoquent fait office de ballet symphonique
Et semble chanter un péan de guerre et d’acier

Echapper, s’arrêter, se réfugier, comme dans un doux refuge, être entré
Au travers d’un abri de fortune, une halte bien mérité
De nos efforts enfin récompensés, et la fatigue rassasiée
Je m’étends sur le sol encore humide, et mon corps scintille de ces myriades d’étoiles venues le caresser




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