Une Epée Bâtarde... bientôt prête !

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- Tiens vous me donnez une idée... Mais pour çà il va me falloir l'aide de Gyphss !

Le mage mit fin à son sort d'invisibilité et le groupe réapparu. Il tourna sur lui même en cherchant vaguement quelque chose du regard puis haussant la voix il s'écria :

- Gyphss ! Montrez-vous !

La silhouette si particulière du nain apparu dans un coin d'ombre et s'avança...

- Comment avez-vous su ? demanda le psionique plus curieux que surpris.

- Simple ! Mon sort de silence n'étais pas assez étendu pour couvrir toute la galerie. Lorsque nous avons tué les gardes, certains mineurs ont eu un sursaut, étrangement inaudible !

- Vous m'étonnez... Peut-être vais-je vous aider en ce cas !
Surprise, Félis se tint sur ses gardes:

-Sieur Frolo, vous le connaissez?

Night, ayant retrouver son apparence de petit dragon, fixait le nain d'un air calme et posé. Il transmit à Félis que Glyphss ne représentait pas un danger et elle se calma de suite. Le dragon émit un faible son musical comme un salut.
Citation :
Provient du message de Rkanjar
Félis prit quelques secondes de réflexion et suggéra:

-Alors, autant jouer sur la ruse non? On pourrait lui faire croire je ne sais quelle terrifiante chose le menace pour l'affaiblir et tourner la situation à notre avantage.
Ecoutant les paroles de la femme, Elminf se mit a rire cruellement

Elminf : " oui dites lui que je le menace de lui faire perdre la tete une bonne fois pour toute...."

Il vit le nain apparaitre peu de temps et lui sourit en attendant la suite

[HRP] Pendant une semaine je touche pas a un pc ^^ alors @+ [/HRP]
Elle répondit à Elminf par son plus beau sourire sadique:

-Et quand vous perdrez la vôtre en tentant de réaliser ce charmant projet, ce ne sera pas faute d'avoir essayer.
- Personne ici ne perdra la tête et certainement pas la vie... du moins tant que je serais vivant !

Le vieux mage était déterminé. Il se retourna vers mineurs qui étaient trop fatigué pour tenter de s'évader par leurs propres moyens. Le plus âgé de ces pauvres aires devait pas dépasser les douze ans ! Quelques lambeaux de tissus pour vêtements, le corps crasseux couvert de cicatrices et de plaies à vifs, les malheureux fixaient maintenant le vieil homme et le nain avec son grande hache, attentif à leur sort...
La colère de Frolo se fit plus forte encore ! Mais c'est le visage serein qu'il s'adressa aux anciens esclaves.


- Nous allons faire ce qu'il faut pour vous sortir de là. Une fois dehors je m'arrangerais pour vous nourrir, vous laver et vous soigner. Lorsque la nouvelle de votre libération parviendra à vos foyer, vos parents viendront vous chercher...

Alors dans un élan d'espoir, des murmures de joie résonnant dans la galerie, les plus faibles furent porté par les plus vaillants ; et c'est une trentaine de jeunes enfants qui se tinrent devant le petit groupe hétéroclite venu les sauver.

Soudain Gyphss s'interposa, regardant fixement Frolo.


- Allez-y ! Moi je vais sauver mes frères...
Elminf regardait sa hache et sourit puis se rangea du cote de Gyphss

Elminf : " Sortez et allez voir les enfants... nous on s'occupe des notres "

Son regard etait flamboyant de colere et de rage contenu
- Mon plan repose sur les capacités de Gyphss et des miennes. Des votre aussi ! ajouta-t-il en regardant Papillon. C'est pourquoi nous devrions accompagner nos amis pour sauver leurs frères avant tout.

Papillon regardait sa cocoon couverte de sang, l'air hagarde quand Frolo lui parla. Elle fut tirée de sa torpeur et eut comme un sursaut d'énergie. Elle essuya sa lame et la remit à son fourreau rejoignant Elminf en souriant.

- Allons sauver les papinous !
- Peut-être vaut-il mieux que vous vous occupiez des enfants pendant que nous cherchons les derniers prisonniers...
Trouvez un endroit où vous pourrez tous les rassemblez, et montez la garde. Si vous avez des ennuis, pensez très fort à Papillon, nous viendront au plus vite...

Sur ses mots, il fit signe à Gyphss qui s'impatientait visiblement. Celui-ci s'engagea dans un tunnel, suivit par le vieux mage et Elminf. Papillon porta un dernier regard vers les enfants, se demandant s'il était sage de les laisser seuls avec ce... Rkanjar...
Finalement, elle secoua la tête et rejoignit Frolo en courant, rappelant vaguement un enfant perdu, qui vient d'apercevoir ses parents dans la foule...

Les enfants étaient muets, comme statufiés par la peur et l'appréhension. Laissés seuls avec Rkanjar, leurs regards convergèrent vers elle. L'un d'eux se risqua :


- Je vais voir ma maman... ?

De sa voix faible et cassée perçait une lueur d'espoir des plus touchante. Mais les marques de fouet et les bleus sur son corps, les lambeaux de vêtements crasseux et la maigreur de l'enfant ne pouvaient qu'insuffler de la colère... de la rage contre les monstres immondes qui avaient osé lui faire çà !
Seule avec les enfants, Félis perdit son masque de dureté habituelle. Elle entreprit de rassembler comme lui avait demander Frolo, tous les enfants avant de se retourner vers le jeune garçon:

-Oui, ne t'inquiète pas, moi vivante, nul ne vous touchera. Entretemps le retour des personnes que vous avez vus tout à l'heure, veuillez rester sages et très silencieux, surtout ne vous dispersez pas, d'accord?

Elle balaya du regard l'assemblée de pauvres petits paquets terrorisés et la haine monta, irrépressible. Cela lui rappelait trop le temps où elle même était livrée à une guilde de pirates comme gladiateur esclave, les chaînes sur les poignets à tenter de survivre. Elle apprit à quelques enfants qui avaient l'air habiles de leur main à faire des bandages et des pommades de fortune afin de les soulager un peu, elle rassembla les quelques vivres que gardaient les geôliers pour les pauses de midi avant d'en améliorer le contenu avec ses talents culinaires.
Tout en restant aux aguets, elle commença la lourde tâche de les soigner avec l'aide de quelques autres avant de leur donner à boire et à manger autant que les provisions le lui permettaient en faisant des réserves toutefois.
Après cela, elle installerait quelques pièges au cas où des geôliers auraient la mauvaise idée de venir nombreux.
La petite troupe de sauveteur suivit plusieurs passages, à la suite de Gyphss. La température augmenta sensiblement alors qu'ils remontaient à la surface.
Ils entendirent bientôt le son des marteaux résonner et le bruit sourd et lancinant des haut-fourneaux.
Gyphss fit signe d'avancer... il avait sûrment camouflé l'équipe comme il l'avait déjà fait. Mais cette fois, eux aussi verraient leurs ennemis.
Ils découvrirent ainsi une grande salle où s'afférait une vingtaine de nains. Des ouvertures dans le plafond étaient fermées par de lourdes grilles et donnaient à la surface. Le tunnel débouchait en surplomb par rapport à la salle et une sorte de chemin de ronde faisait le tour de la salle, les sentinelles y montant la garde. Ils en comptèrent une quinzaine, armés d'arbalètes et d'épées longues, des lances et des halebardes à portée.
Certains étaient assis autour de tables dans un renfoncement, discutant de tout et de rien ou jouant aux cartes. D'autres plus sérieux, mais aussi intéressés, surveillaient attentivement le travaille des nains. La fonte des métaux, la coulée, le travaille sur l'enclume, le polissage et l'affutage... tout était réalisé sur place.
Dans un coin de la salle, Frolo remarqua une table où l'éclat de gemmes attira son attention. Un nain taillait consciencieusement une émeraude tandis qu'un autre enchassait un grenat dans la garde d'une épée...
Elminf regarda ses freres nains et regarda la constitution du terrain ainsi que la disposition des gardes. Dans son esprit ne regnait que la haine et la rage. Ses yeux se poserent sur les gardes et il les voyait deja comme des cadavres. Il grogna interieurement et s'avanca menacant
Frolo évalua la situation. A première vue, la plupart des gardiens étaient des vétérans. Il ne s'agissait certainement pas de l'élite de la garde... mais quelque chose s'en rapprochant.
Aucun lanceur de sorts, ni de soigneur dans les environs... plutôt rare. Peu d'endroits sur Toril ne renferment quelque magie et encore moins la présence d'un dieu ou d'un autre...

- Les thaumaturges doivent rester prêt de leur souverain, se dit-il pour lui-même !

Gyphss marcha comme si de rien n'était parmi les gardes, faisant le tour du chemin de ronde. Papillon resta sagement près de Frolo, fixant son papinou. Elle avait plus peur pour lui que pour elle. Elle n'aimait pas le voir avec tant de haine dans le regard !

Frolo prépara quelques sortilèges de son cru pour protéger ses amis et réfléchit rapidement au meilleurs moyen de neutraliser les gardiens. Mais bientôt Gyphss répondit pour lui...

En un seul cri de souffrance, les gardes tombèrent au sol, les mains appuyés sur les tempes en une pathétique protection. Tout s'agita dans la pièce. Les nains regardaient ébahit, leurs tortionnaires souffrir, n'osant bouger. Aucun des gardes ne pouvait bouger, en proie à d'atroces souffrances. Papillon fut la première à se rendre compte qu'elle était de nouveau visible, les nains lui portant un regard mi-intrigué, mi-inquiet !


- Sortez tous les papinoux ! cria-t-elle. Vite avant que le vieux nains ne faiblisse.

Au même moment, les cris cessèrent. Mais les gardes restèrent au sol... Frolo, affolé vérifia leur état de santé. Il fut soulagé de constater qu'ils étaient seulement évanoui.
*Pendant ce temps, Eléldor, assis tranquillement en tailleur, attendait ses compagnons. Il était resté là où ils l'avaient quitté. Il ne se doutait pas qu'ils pourraient courir de grands dangers, aussi il s'attendait à les revoir très bientôt.*
Eleldor fut avertit par les cris des enfants. Les femmes sortirent des maisons et allèrent à la rencontre des nouveaux venus. Leurs maris revenaient, à pieds faisant cortège à un unique chariot. La tête basse devant les regards implorants des femmes, ils les prirent dans les bras alors que certaines laissaient éclater leurs sanglots.

L'elfe croisa le regard de l'un d'eux. Sa tristesse se mua soudain en colère et il repoussa sa femme ! Invectivant l'étranger :


- Et vous qui êtes vous ! Que faites-vous ici ! N'en avez-vous pas eu assez de nos fils ! Venez-vous prendre nos femmes maintenant !

L'atmosphère s'échauffa rapidement et plusieurs hommes le rejoignirent au devant du rôdeur...
*Le rôdeur se releva doucement, réprimant une soudaine envie de meurtre, et il s'exprima calmement mais il posa lentement ses mains sur les gardes de ses épées.*

- Pas du tout l'humain, je suis arrivé avec le groupe de personne qui sont partis aidés vos enfants et si possible tuer le tyran *puis il ajouta avec un sourire* ... de toute façon vos femmes sont trop laides ...

*Plus tendu que jamais, l'adolescent qu'était Eleldor se tenait prêt à toute éventualité ...*
Elminf regarda les gardes tomber comme des mouches et eut un sourire mauvais et torve. Il alla comme Frolo verifier que les gardes n'etaient pas mort puis il eut un rire a glacer les sang et laissa tomber sa hache sur le cou de l'homme a ses pieds, les lames en avant. La hache s'enfonca dans le cou du garde qui mourut en un instant. Le nain posa sa botte droite sur la figure du cadavre et tira d'un coup sec sa hache et se dirigea vers le suivant. Pour celui ci, il prit un peu d'élan et decapita l'homme proprement. Tout en continuant sa besogne, il garda son petit rire cruel et s'en allait de cadavre en futur cadavre. Son regard etait flambant de haine et d'envie de sang, d'encore plus de sang
- Nooonnn ! hurla Frolo en voyant le massacre !
" Nanay Leventus !

Frolo fit leva sa paume au ciel en direction d'Elminf qui décolla du sol. Le nain, était maintenant à deux mètres de haut, les jambes battant l'air frénétiquement.

- Nanay imobili !

Frolo fit retomber sa main, mais Elminf resta immobilisé dans les airs...

- Ces hommes ne sont en rien responsable ! Celui qui leur donne les ordres si ! Qui êtes vous pour juger ainsi de la vie ou de la mort des autres... Ils ne peuvent se défendre ! Apprenez à respecter la vie au lieu de chérir ainsi la vie ! Le regard du mage était loup et agneaux. Donnant conseil et sermon, en cet instant, une chose était sûr pourtant, il donnerait sa vie pour protéger celle des gardes.

* * * * *

- Mais il a envi de mourir l'elfe ! Putain les gars je crois que ce morveux nous cherche !

Hésitant devant les lames du rôdeur, les hommes grognèrent une suite sans fin d'insulte, alors quelques uns revenaient des maisons avec des bâtons, des masses ou des fourches...
Le nain, immobilisé dans les airs, eut un rire meprisant et parla d'une voix sourde et chargé de ressentiment

Elminf : " Mage reveillez vous.... vous n'etes pas dans un monde d'utopie où tout le monde est selon vos desirs les plus profond....
Ces hommes en tant que guerriers sont responsables de leur actes et de leur bassesses ! Ce sont eux, qui ecoutant les ordres qui leur avaient ete donné, se sont rendu coupable et responsable ! Si ils ne l'etaient pas, ils auraient desobei a cet ordre. Ils avaient le devoir de se rebeller si cet ordre etait contraire a ce qu'ils croyaient etre bien. Mais leur cruauté, leur cupidité et leur bassesse les ont fait accepter de jouer les gardes. Si ce n'avait ete que des jeunes gardes, il y put avoir un doute mais ce sont des guerriers aguerris, des veterans ! Ils ont demontres qu'ils etaient tout aussi responsable que celui qui leur avait donné des ordres ! "

Son regard etait sombre et malveillant

Elminf : " Qui suis je pour decider qui doit vivre ou mourir ? Je suis moi meme un chef et si ceux qui sont sous mon commandement ne se mutiner pas contre des ordres indignes d'eux, je ne les considererai pas mieux qu'un ramassis de raclures et de dechets et je les eliminerai pour les purifier !
Pour le fait qu'ils ne puissent pas se defendre, en cela ils ont failli dans leur missions aussi vil qu'elle soit : celle de garder les nains et meritent la mort pour ce manquement de discipline et de maitrise de soi.

Maintenant, Mage, relachez moi ou je m'en sortirai moi meme et cela ne sera pas beau a voir apres..."

Sa voix etait descendu presque au niveau d'un murmure mais elle etait audible par tous et semblait chargé de quelque chose de terrible. Pendant sa derniere phrase, on aurait pu voir qu'il luttait contre le sortilege qui le maintenait immobile et qu'il commencais a bouger sa hache par saccades
- Ils ont faillit ?!? Vous écoutez-vous des fois ? Ai-je une chance d'affronter la toute puissante reine de l'Aglarond ? Ces hommes n'avaient pas plus de chance de résister aux pouvoirs de Gyphss qu'un daim aux crocs d'un dragon rouge affâmé !
" Alors laissez moi rire, votre morale est celle d'un tyran qui ne vaut pas mieux que l'homme que nous chassons ! La mort n'est pas une solution... La vie est trop préciseuse pour la gâcher ainsi...

Gyphss écouta avec attention les deux vis-à-vis. Sentant la situation s'envenimer il avança vers Elminf et celui-ci rejoignit doucement le sol. Il posa sa main sur l'épaule du guerrier et lui parla d'une voix douce, qu'on ne connaissait pas au maître psyonique.

- Calme toi mon frère... Le sang n'a que trop coulé ! Ces hommes ont payé leurs crimes à l'instant où je suis entré dans la salle. Ils se réveilleront avec un esprit neuf et il n'appartiendra qu'à eux de suivre la voie de la sagesse ou de la barbarie...

Papillon restée en arrière était effrayé par le regard venimeux de son papinou et elle n'osait rien dire ou faire qui pourrait l'énerver encore plus.
*Eleldor vit les fourches et autres armes et cette fois il sortit ses lames. Puis il se cala bien au sol, prêt à attaquer et c'est avec le sourire aux lèvres qu'il s'exprima.*

- Ecoutez bande de porcs, moi j'veux bien m'battre avec vous et je sais que j'en sortirez pas indemne mais réfléchissez un peu avant. Vous avez retrouvez vos gosses, c'est pas ce que vous cherchiez ? J'pourrai en tuer 2 ou 3 voire même 4 si vous êtes des lourdaux, ceux-là n'ont pas envie de passer des moments tranquilles avec leur famille au lieu de se battre ?

*Il fit tournoyer ses lames tout en regardant les paysans dans les yeux.*
Les lames de l'elfe parurent bien effilée aux hommes qui l'entouraient, mais les esprits échauffés n'ont plus le sens des réalités... Aussi quand résonna le cri d'une femme, c'est à deux doigts de la boucherie qu'il intervint !

- Arrêtez ! Etes-vous tous devenu fou ? Les amis de cet elfes sont partit chercher nos fils... Yvan, ton fils est là-bas depuis deux ans... ne crois-tu pas que s'il y a un espoir de le revoir enfin, il faut le saisir ? Ne crois-tu pas qu'enfin les dieux ai entendus nos appels ?

- Mais c'est folie ! hurla un des hommes. Notre seigneur est tout puissant ! Il ne peut être vaincu ! Si ces amis s'en prennent à lui il saura qu'ils venaient d'ici et il lancera des représailles !

Plusieurs hommes crièrent à leur tour, suivant l'autre dans son raisonnement...

- Non ! reprit la femme. Ils sont venus du chemin des géants ! Je suis sûr qu'ils peuvent sauver nos enfants...

Des murmures craintifs résonnèrent alentour.

- Tu es folle Yohnna ! continua le dénommé Yvan. Personne ne peut revenir du chemin des géants !

La désapprobation des femmes alentours, lui prouva vite le contraire. Mais l'homme ne se laissa pas démonter.

- Et alors ! Ca ne prouve rien ! Ce sont peut-être des serviteurs des dieux des ténèbres ! Ils vont prendre nos enfants pour les emmener dans les abysses !
" Tuons ce démon avant qu'il ne soit trop tard !

Des hourras de mauvaise augure résonnèrent alentour... Et le rôdeur se prépara à vendre chèrement sa peau.

Mais avant qu'il ne puisse agir un bruit de fronde le fit se retourner... pour se recevoir en pleine face, un énorme galet, le noir l'environna et il tomba au sol inconscient...
Du côté de Félis, tout semblait se passer un peu mieux. Les enfants reprenaient un peu de force et semblaient moins terrifiés qu'avant, même, des lueurs d'espoirs brillaient dans leurs yeux maintenant. Félis continuait sa lourde tâche quand soudain des gardes firent éruption dans la caverne. Plusieurs succombèrent aux pièges qu'elle avait sournoisement dressés devant l'unique sortie mais néanmoins il en restait quelques uns. La demie-démone avisa un gong non loin de là et se dit que si l'un d'eux le faisait sonner, c'était la fin. Sans hésiter, elle fondit sur le groupe, cimeterre à la main et l'aura maléfique oppressante. En revanche, la panique que les hommes avaient mis en arrivant n'allait pas aider car si les cris apeurés des enfants continuaient, l'alarme serait vite sonnée:

-Par les Ténèbres, Dame Papillon, que dois je faire?! parla t'elle à l'âme de celle-ci
Une brûlure au front réveilla lentement le rôdeur. Mais il sentait également un contact doux et réconfortant sur sa blessure. Il ouvrit les yeux pour ne voir que des formes indistincts. Doucement elles se précisèrent avec sa vue et il reconnut la femme qui avait prit sa défense un peu plus tôt. Elle passait un tissu mouillé sur une vilaine plaie sur son front.
Elle lui sourit... Derrière elle il aperçu un vieil homme qui s'avança et le salua.


- Bienvenu parmi les vivants jeune Eleldor !


[HRP]P.S. J'attends la réponse d'Elminf pour faire faire celle de Papillon...[/HRP]
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