Vue sur la ville.

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La nuit en éveil, toujours plus spéciale, m'a inspiré ce petit brouillon que je vous inflige (non ce n'est pas un poème, ni une nouvelle, ni un rien du tout, c'est un texte con ) :

Vue sur la ville (c'est le titre ça, improvisé à 7h du mat et 26 minutes en direct live)

Encore une nuit passée. Une nuit passée à rien, pourtant comblée de tout. Comblé de tous ces riens, qui sont pourtant ma vie, enfin le simulacre qui me sert de vie à défaut d'autre chose. Dépourvu de volonté, j'ai déambulé dans mes pensées et celles de ces inconnus qui font pourtant partie de ma vie. Qu'ils le veuillent ou non ... que je le veuille ou non. Une nuit comme toutes les autres, sans réel évènement, si ce n'est celui du sursaut quand vient le moment de la lucidité, qui n'est jamais un évènement très réjouissant ... Et pourtant, une nuit dont je me souviendrai ... comme de toutes les nuits que j'ai passé à veiller ... Je ne me souviens pas exactement de ce qu'il s'y est dit, mais je me souviens juste que j'y étais ...

Etrange vie que celle de là nuit, qui plus est devant un écran ... un écran pour seul contact avec la réalité virtuelle, qui semble vouloir priver l'être de la réalité si moche à voir, ou alors sont-ce les yeux qui sont encrassés de trop de misère humaine, pas seulement cette misère qui prive les gens de nourriture qu'on nous montre à la télé, non, cette misère humaine qui prive les gens d'émotions simples et pourtant si fortes, cette misère là qui m'a poussé ici.

Une nuit passée à ne rien faire, et pourtant si pleine. Pleine de mots, pleines de notes, pleines de silences et de bruit. Une nuit qu'on partage avec tant de gens, et pourtant une nuit si solitaire. une nuit qu'on est seul à comprendre, qu'on est seul à connaître, et que pourtant beaucoup d'autres vivent. Une nuit que d'autres vivent le jour ...

Détaché du temps et presque de l'espace qui se réduit à une simple pièce, aussi vide qu'un coeur sans vie, aussi pleine qu'une âme en peine. Dans un monde censé être de rêve, dans un monde de rêve éveillé, dans un monde de rêve virtuel.

Une nuit qui prend fin comme tout en ce monde, une nuit avec pour seul lien avec la réalité cette fenêtre ... cette fenêtre qui donne sur là ville, là bas, juste en bas, à un battement de cil, cette ville si lointaine.

Quand la lumière du jour montre le bout de son nez, les lumières de la ville perdent de leur éclat. Cette lumière artificielle fait place à la lumière du jour. Cette même lumière du jour que je fuis comme la peste, que je fuis comme ma vie ...

Je suis maintenant assuré que la ville s'éveillera bien, comme toujours, et sans moi ... de préférence. La lumière du jour révèle trop de choses, des choses que je ne veux pas voir, ou plutôt regarder ... en face.

Cette vue sur la ville, comme une vue sur ma vie, qui se réduit à chaque nuit passée ... Il suffirait d'ouvrir cette fenêtre, mais mon bras semble trop court, ou la fenêtre trop éloignée ... Et puis derrière la fenêtre, la ville, le monde, la vie, je ne sais pas trop s'y j'y tiens vraiment ...

Peut-être demain ... peut-être un autre jour ... peut-être jamais ... C'est aux autres de le dire, mais à moi de le faire ... Un jour peut-être. Peut-être qu'alors ce jour sera la nuit pour vous ... et que vous comprendrez ...

Vue sur la ville ... vue sur la vie ...


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voilà, bon c'est sans prétention, c'est un brouillon de pensées de 7h46 du mat hein ...

Merci de ne pas pleurer ... de rire si possible, meme de moi, tant que vous riez, je dormirai tranquille.

A+ les affreux :baille:
Bon Kinder, ça suffit d'écrire des choses aussi prenantes... je viens de me lever moi....

Gala qui se réveille...

Et puis faut que j'aille faire des courses....j'ai des gamines à nourrir, moi...bises
Tiens c'est la première fois que je me relis le lendemain et que j'ai pas envie de m'auto-effacer ...

Ha Dame Frida, tant de promesses, une jeu dangereux s'il en est à notre époque de promesses à foison ... à la télé, dans les assemblées, dans les supermachés, et mêmes dans nos foyers ...

Je m'attendais à ce que des gens de la nuit pointent leur nez ici, mais je semble le seul à me faire à ma condition de solitaire de la belle.

Bon, ben j'vais déjeune moi et prendre un ptit café pour me réveiller
Re: Vue sur la ville.
Citation :
Provient du message de KINDER
Une nuit passée à ne rien faire, et pourtant si pleine. Pleine de mots, pleines de notes, pleines de silences et de bruit. Une nuit qu'on partage avec tant de gens, et pourtant une nuit si solitaire. une nuit qu'on est seul à comprendre, qu'on est seul à connaître, et que pourtant beaucoup d'autres vivent. Une nuit que d'autres vivent le jour ...
J'étais passé complètement à côté de ton post mais c'est vachement joli, Lancy.

J'adore ce passage. Et le pire, dans mon cas, c'est que mon autre est juste de l'autre côté du mur, à peut-être 30 ou 40cm de moi.

C'est tout le paradoxe de mon existence. Une vie quotidienne intense et remplie de joie pour des heures d'insomnie nocturne, solitaire et désabusée.

Merci mon Lancy pour ce petit bout de nous tous.
Re: Re: Vue sur la ville.
Citation :
Provient du message de Loonna
J'étais passé complètement à côté de ton post mais c'est vachement joli, Lancy.

J'adore ce passage. Et le pire, dans mon cas, c'est que mon autre est juste de l'autre côté du mur, à peut-être 30 ou 40cm de moi.

C'est tout le paradoxe de mon existence. Une vie quotidienne intense et remplie de joie pour des heures d'insomnie nocturne, solitaire et désabusée.

Merci mon Lancy pour ce petit bout de nous tous.
Tu sais bien que t'as toujours ta place dans mon lit ... heu dans ma nuit ! (une ptite photo sans le haut pour m'encourager à continuer ... ? non ? )
Re: Re: Re: Vue sur la ville.
Citation :
Provient du message de KINDER
une ptite photo sans le haut pour m'encourager à continuer ... ? non ?
Va t'secouer la nouille avec Cartier.

T'as déjà eu beaucoup trop
Re: Re: Re: Re: Vue sur la ville.
Citation :
Provient du message de Loonna
Va t'secouer la nouille avec Cartier.

T'as déjà eu beaucoup trop
Là tu m'a coupé l'envie d'écrire pour les 10 prochaines années ...

J'entends d'ici le soupir de soulagement de milliers d'utilisateurs JOL ... bizarre ..
Re: Re: Re: Re: Re: Vue sur la ville.
Citation :
Provient du message de KINDER
Là tu m'a coupé l'envie d'écrire pour les 10 prochaines années ...

J'entends d'ici le soupir de soulagement de milliers d'utilisateurs JOL ... bizarre ..
On avait passé un marché à ce sujet.

Vive JOLICQ.
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Vue sur la ville.
Citation :
Provient du message de Loonna
On avait passé un marché à ce sujet.

Vive JOLICQ.
Arrêtes de flooder caramail, on va fermer le post pour flood .. je préfères qu'il sombre dans l'oubli comme tous mes sujets ...
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Vue sur la ville.
Citation :
Provient du message de KINDER
Arrêtes de flooder caramail, on va fermer le post pour flood .. je préfères qu'il sombre dans l'oubli comme tous mes sujets ...
Moi non, ton texte est trop beau et j'attends la suite.
Bon, ben 4h06 du mat, j'arrive encore toujours pas à dormir, donc je crois que je vais encore un peu vous emmerder avec un texte à la mord moi le noeud qui à mon avis n'aura pas plus de sens que le précédent ....

Insomnie et souvenirs (mouais, j'ai pas full idée pour le titre ce soir ... enfin bon c comme ça)

Il est des choses dans la vie qu'on n'explique pas ... il est surtout des choses que je ne m'explique pas ... L'insomnie en fait partie. Mon corps, fatigué d'être fatigué, a beau lutter pour que je sombre dans le sommeil, mes souvenirs ne voient pas les choses de la même façon ...

Comme toujours, ces salauds, parcourent mon esprit afin de focaliser mon attention sur autre chose que le sommeil. Comme si le jour où je les avait vécu ne suffisait pas à mon fardeau, il faut en plus qu'ils viennent me torturer chaque nuit, chaque fois que je me retrouve seul avec moi même.

Bien sur la raison tente de faire remonter les bons moments, me fait même sourire l'espace d'un instant ... mais celui d'après, le mal qui me ronge, chaque jour un peu plus, revient à la charge ... J'essaye de me raisonner, de me dire que tout ça c'est du passé, et déjà le présent s'en mêle ... pour me rappeler qu'il n'est guerre mieux ... Me tourner vers le futur ? Et y voir quoi ? Un projection de mes échecs passés se répéter sans fin, comme un soleil qui semble ne jamais se lasser de se lever tous les matins ?

Je cherche une position confortable, mais mon corps semble ne trouver sa place nulle part ... et me donne l'impression que s'il le pouvait, lui aussi, me fuirait, pour aller trouver mieux ailleurs. Mais pour le moment, lui et moi sommes obligés de rester soudés, un peu de mauvais coeur, sans vraiment de bonne volonté. Je me retourne dans une danse tortueuse, pendant que mon esprit joue la musique de l'amertume.

Et cette musique ... toujours plus mélancolique, toujours plus profonde. Comme une auto-mutilation, un support au bien-être de ma complaisance dans se monde de douleur. Cette musique que je voudrais salvatrice, et que mon esprit transforme en mélancolie. Paranoïa du désespoir ou désir de souffrir pour seule émotion à défaut de mieux. Je n'en sais rien. Une chose est sûre, mon esprit le sait, mais ne me le dira jamais, et préfères me laisser me tourmenter.

Qu'est-ce qui peut bien pousser l'humain à tant réfléchir, pour en fin de compte, si peu agir ? Je vois ces autres que je ne suis pas ... ces autres qui ne me voient pas, car il ont mieux à faire. Je ne leur en veux pas, mais par contre, je les envie ... j'envie leur insouciance, la facilité avec laquelle ils ont laissé la vie les guider, au lieu de vouloir la diriger de leurs propres mains. Pourquoi ne suis-je pas capable d'écouter mon coeur, alors qu'il est pourtant si simple de le faire parler ? La fierté sans doute ... le regard intransigeant des autres sûrement ...

En sommes-nous donc là ? A vivre pour les autres, paraître pour se faire accepter, commencer par des concessions, pour finir dans un abandon de sois et adopter la vie des autres ... Perdre son individualité, au bénéfice d'un communauté ? Parfois j'ai l'impression de pouvoir, mais chaque fois j'ai la certitude de ne pas en vouloir. Car si je me trompais, et que le problème ne venait pas des autres, cela remettrait beaucoup de choses en question ... trop de choses. D'ailleurs, je me conforte en sachant que personne ne le fait, préférant se mentir à sois-même et reporter la faute à son prochain ... ou à son prédécesseur.

A trop réfléchir on se perd en sois. A ne pas réfléchir du tout, on se perd de sois. Existe-t-il un juste milieu à cela, je me le demande vraiment ... mais une chose est sûre, ce n'est pas ce soir que j'y répondrai, car là vraiment ... chuis trop crevé !

---------

Bon, rien qu'en l'écrivant, je sais moi même que ce texte est à chier, et à vrai dire, je vous demande pas votre avis, j'avais juste envie d'écrire, et comme chaque chose, on le fait pas toujours bien, mais bon, on essaye de faire au mieux ...

Enfin, bon, même si personne ne me lit, ça change pas grand chose, je vous remercie quand même d'être là pour me permettre de me parler à moi même, sans avoir trop l'impression d'être un gros cinglé marginal !

A mes 2 fans, je souhaite la bonne journée, et je vais me coucher ! Et toi ! Oui toi là ! Je te dédie mon dodo !

Gné.
Bon sang kiki je te savais pas si...Enfin tu m'as compris Je suis restée figée sur tes écris lol , j'étais passée dessus ton post tout à l'heure mais tu sais j'ai du mal a lire les post trop long enfin c'est juste une flemme car j'adore lire

Bref sinon je trouve ça bien et surtout continue a te défouler si t'en a envie Moi j'ai pas réussi a dormir et pour te dire la vérité je pense que c'est une partie de nous même que tu as écris, je pense que bcp de monde se reconnaitront dans tes écris ...

Bisous
Il eusse fallut qu'il le refasse...son monde; il eusse fallut qu'il les ressasses....les pensées.

Hum, bon je ne vais pas encore flooder sur ton texte....mais....

tu sais, je ne sais pas si qui que ce soit, ici, soit à envier. De ceux qui t'impressionnent le plus, imagine la vie qui transpire parfois, sur un écrit (une preuve) de leur mal être... et au fond, on s'en fout, pas vrai! Pourquoi nous faudrait il une "preuve" de la souffrance des autres pour accepter la notre?...Et puis, il y a le coté clair,celui qu'il faut chercher ou pour lequel, il faut juste essayer d'ouvrir un peu les yeux... parfois faire un infime effort pour se l'approprier.

Oui, oui, j'ai dis que je ne floodais pas....
Bon, pour éviter de créer un nouveau thread inutile, je continue à vous imposer mes textes dans le présent sujet ... toujours écrits avant le lever du soleil ...

Solitude (erf, de moins en moins recherchés mes titres .. )

Un, jour, tu es sortie de nulle part. Par temps calme, rien ne présageait une telle apparition. J'étais comme à mon habitude ... seul. Assis devant ce qui me sert à cet instant même pour te parler. Je me suis retourné, et tu étais là. Silencieuse, paisible, presque belle. Après quelques secondes, je me suis surpris à ne plus respirer. Tu ne m'avais pas saisis par ta présence ... non ... mais je fus surpris de me rendre compte à ce moment précis, qu'en fait, tu avais toujours été là. Veillant sur moi, comme un ange gardien, qui aurait faillit à sa mission. Un ange déchu me couvrant de son aura et me privant du droit d'aimer et d'être aimé.

Depuis ce jour, rien n'a plus changé, mais le passé lui, semble se répéter, à chaque fois, avec pour seule différence, un point de vue. Est-ce moi qui me sers de toi, ou est-ce toi qui manipule mes sentiments pour m'empêcher de voir la réalité ... m'empêcher de voir mes réalités ? Suis-je lâche au point de me servir de toi, où es-tu servile au point de me le faire croire ? Je t'aime comme je me hais, je te ressemble par ce que je fais, je t'ai créé par ce que j'ai dit. Je ne suis pas certain de vouloir ta mort, comme je ne suis pas certain de vouloir la mienne, mais je suis visiblement certain de t'avoir définitivement adoptée.

Tu sembles ne jamais me juger, seule à m'accepter tel que je suis, alors que même moi je ne le peux. Blôtit dans tes bras, je vois le monde par tes yeux. Détournant du regard ce que je refuse, acceptant une fatalité que je suis seul à m'imposer. Pourquoi alors ais-je le sentiment que tu es seule responsable ? Es-tu moi pour que se sentiment soit si présent dans mon esprit ... es-tu ces autres pour que j'en ressente une telle certitude ? Es-tu réelle comme le mal qui m'habite ou n'est tu qu'une matérialisation de ce que je veux réellement, sans le savoir ... sans l'admettre ?

Je me prend à rêver qu'un jour, je te regarderai de loin, m'éloignant lentement de ton emprise, mais déjà tu brandis ton miroir sans teint pour qu'au travers de toi, je ne vois que moi, seul, comme toujours, car tu es moi, et je suis toi. Etroite fusion qui nous lie, je ne rêve pourtant que d'une chose, te voir de loin ... loin de moi. Mais perdrais-je une partie de moi si tu venais à disparaître ? Récupèrerais-je quelque chose en échange, ou ton absence ne crée-t-elle aucun vide à combler, hormis celui qui est là depuis toujours, avant toi ... avant même moi ?

Es-tu pareille à toi même, pareille aux autres âmes en peines qui t'implorent, existes-tu seulement ? Non, ne me répond pas tout de suite, laisses en moi planer le doute ... laisses moi seul, un peu ... rien qu'un peu ... Non, reviens, tu as raison, sans toi, je ne suis rien. Je ne sais plus. A quel jeu diabolique joues-tu pour prendre autant d'importance alors que tu es aussi belle que détestable ? Serais-tu femme pour me faire subir ça ? J'ai envie de te traiter de garce ... belle garce que tu es. Dois-je m'avouer vaincu pour que tu me quittes ? Dois-je continuer à lutter pour que tu restes ? Dois-je seulement faire quelque chose, ou n'as-tu tout simplement aucun but précis, si ce n'est me faire souffrir comme je voudrais les faire souffrir ? Pour ce qu'ils m'ont fait ... ou plutôt pour ce qu'ils n'ont pas fait.

Je dois te laisser à présent, ta puissance est telle que je ne peux te consacrer plus de temps sous peine de sombrer dans la totale folie ... l'abandon total de sois, des autres. Ne leur en veut pas, ils ne peuvent pas te comprendre, ils ne me comprennent déjà pas. Je voudrais les convaincre que tu es belle, mais eux ne te voient même pas. Pardonnes-leur, comme moi je t'ai pardonné, ma solitude ... je te dis adieu et à bientôt.

La solitude a ceci de vénérable, c'est qu'elle est pareille pour tout le monde, tout en étant unique à chacun. Ca ne la rend pas plus belle, mais ça ne la rend pas non plus, plus laide. Accordez-lui au moins ça.
Je ne sais pas quoi te dire, Lancy. Quand je lis une texte aussi désespérément beau, je ne suis que plus persuadée de ce que j'ai pu te dire et que tu ne veux pourtant accepter. Je ne sais quoi te dire si ce n'est que la solitude est une vieille compagne qui nous accompagne parfois toute notre vie mais qui, curieusement, ne nous empêche pas d'être heureux. C'est aussi l'ultra-moderne solitude de Souchon.

Ca s' passe partout dans l' monde chaque seconde
Des visages tout d'un coup s'inondent
Un revers de la main efface
Des fois on sait pas bien c' qui s' passe

On a les panoplies les hangars
Les tempos les harmonies les guitares
On danse des étés entiers au soleil
Mais la musique est mouillée, pareil

Tout plein de gros bisous, mon Lancy. Garde ta vieille compagne solitude bien au chaud pour les nuits d'insomnie mais ne refuse pas de vivre.

Luna
Citation :
Provient du message de Jio / Vani
De nombreux artistes - écrivains, paroliers - ont écris sur la solitude. Et honnêtement tu es un de ceux que j'ai préféré lire.
Bon Jio, tu m'vires Vani et on s'arrange après ?

Rhooooo ça va ça va ! Vani peut rester !

Elle fera mon manger et mon ménage
Citation :
Provient du message de Lancy :/
Bon Jio, tu m'vires Vani et on s'arrange après ?

Rhooooo ça va ça va ! Vani peut rester !

Elle fera mon manger et mon ménage
Mouhahahaah P...

Arf non, on est sur JOL là, on va encore m'accuser de choquer le lecteur Lambda machin bidule. Pffff.
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