|
[même remarque que pour avant.]
|
01/08/2003, 15h54 |
|
Aller à la page... |
[Fusion] Chanteur de Noir Désir qui bat sa compagne
Suivre Fil fermé |
|
Partager | Rechercher |
|
[trop d'agressivité nuit à la santé.]
|
01/08/2003, 16h56 |
|
|
autant laisser le vent emporter tout.
|
01/08/2003, 17h23 |
|
Messire Moustache |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par Messire Moustache |
|
Pour ce qui est de l'état de cantat, c'était "proche de la mort".
Mélanger de l'alcool et des médocs, on peut facilement résumer ça à "être drogué". Les symptomes sont les mêmes. |
01/08/2003, 17h33 |
|
|
Voilà, elle est décédée
|
01/08/2003, 18h31 |
|
|
La mort de Marie Trintignant ou la fin de Noir Désir
Œdème cérébral
Marie Trintignant s'est éteinte vendredi matin dans une clinique de Paris. L'actrice qui était dans un coma profond depuis six jours, a subi un œdème cérébral, et, conformément à la volonté de la famille, elle a rendu l'âme dans son pays natal. Femme sombre et lumineuse Marie Trintignant était âgée de 41 ans et avait quatre fils de pères différents. Née en 1962 à Paris, elle était la fille de Nadine et Jean-Louis Trintignant, respectivement réalisatrice et acteur français. Elle a joué dans plus d'une quarantaine de films dont l'inoubliable Betty de Claude Chabrol en 1992, rôle qui l'aidera à devenir femme, à s'accomplir dans la maturité : «Jusqu'à lui, j'avais l'impression d'être malhonnête si je n'étais pas engagée jusqu'à l'extrême douleur dans mes rôles. Il m'a appris la légèreté, il m'a appris à grandir sans tragédie.» Marie Trintignant était une femme de contrastes, entière, sombre certes, mais habitée d'une fougue lumineuse. Une actrice avec une vulnérabilité de fillette dissimulée derrière cette voix qui n'appartenait qu'à elle, un timbre de velours et grave à la fois, une voix de femme. Belle et touchante, elle a séduit plus d'un homme dans sa vie, mais quatre resteront à jamais liés à la femme et la mère en elle : l'acteur François Cluzet, le batteur du groupe Téléphone Richard Kolinka et Samuel Benchetrit, auteur et metteur en scène, qui sont les trois pères de ses enfants et le dernier mais non le moindre, Bertrand Cantat, l'amoureux tourmenté, fragile et obscur, dont le triste sort sera à jamais hanté par cette tragédie aux allures cauchemardesques. Un lendemain de veille qu'il n'oubliera jamais, une gueule de bois pour le restant de sa vie. La suite des choses Cantat, soupçonné de l'avoir frappée dans la nuit de samedi à dimanche alors qu'il avait consommé un dangereux cocktail d'alcool et de médicaments, a été placé en garde à vue en Lituanie jusqu'au 14 août. Vendredi matin, nous apprenions qu'il a été hospitalisé à nouveau en raison de sa santé mentale. Le chanteur de Noir Désir avait été admis au département de toxicologie de l'hôpital universitaire de Vilnius en même temps que sa conjointe, dans un état proche du coma. Il devra faire face à la justice pour «coups et blessures volontaires» et «non assistance à personne en péril». La mère de la victime, interrogée par les nombreux médias présents dans la minuscule salle d'audience, en a profité pour remercier les soignants lituaniens après avoir déclaré, sur ses sentiments à l'égard de Cantat : «J'essaye de ne pas avoir de haine en moi, car la haine est destructrice. Je l'éprouve malgré tout, quand je vois mon enfant dans son coma profond, après des coups portés d'une violence extrême. (…) Des coups, pas un seul, plusieurs», insiste-t-elle, alors que Cantat, tout près d'elle, sur le banc des accusés, pleure, la tête entre les mains. «Il est essentiel que ses enfants de Marie sachent que quelqu'un a tué leur mère et qu'il est en prison» ajoute-t-elle finalement. En guise de réponse, Cantat a déclaré: «J'ai entendu ce qu'a dit la maman de Marie, je comprends sa position. Je sais le dérisoire des paroles que je vais dire, mais je leur demande pardon, à Nadine, à Roman, à ma famille aussi», dit-il, avant de répéter que «cela reste un accident, pas un crime». Celui qui devra peut-être se soumettre à la loi locale à moins d'un refus de traiter l'affaire de la part de la Lituanie, a ajouté : «Je n'ai rien à faire en Lituanie. Je veux bien être arrêté en France, et payer tout ce que je peux payer». Une pluie de témoignages Depuis quelques jours, les sites Internet et forums divers consacrés à la triste histoire des amoureux fous explosent littéralement sous les témoignages de sympathie, de colère ou d'incompréhension. Le site officiel de Noir Désir (www.noirdez.com) n'est plus en ligne alors que d'autres naissent, facilitant ainsi le diffusion de milliers de commentaires empreints d'un mélange étrange d'admiration, de trahison et de deuil. Le site Internet de Libération (www.liberation.com) cite un internaute dont l'émotion résume sans doute l'essentiel de cette tragédie : «Je me suis déjà posé la question de savoir si je continuerais à aimer un ami qui a fait une faute grave. Et je me suis souvent dit qu'un ami devait rester un ami jusqu'au bout. Et que, dans la faute, on est bien seul, désespérément seul.» Source : http://new.tqs.ca/showbiz/200308/1.4...0308.6278.html |
01/08/2003, 18h56 |
|
|
C'est la mort de Marie Trintignant ET la mort de Noir Désir.
|
01/08/2003, 18h59 |
|
|
|
01/08/2003, 18h59 |
|
|
Paix à son âme.
En espérant sincèrement que tout ceci ne devienne pas médiatiser et atteigne un voyeurisme mal sein. |
01/08/2003, 19h03 |
|
|
Sujets fusionnés.
|
01/08/2003, 19h04 |
|
Suivre Fil fermé |
Fil d'ariane
Connectés sur ce fil1 connecté (0 membre et 1 invité)
Afficher la liste détaillée des connectés
|