S'installer au Québec temporairement ou définitivement

Répondre
Partager Rechercher
Bon je suis aller sur le site du Quebec et du Canada mais je n'ai pas vraiment eut d'infos suffisantes.

Voila je vous expose mon projet, j'ai depuis pas mal de temps envie de migrer vers le Québec mais avant cela je vais essayer des passer mes stages entreprises de licence, maitrise voir DESS la bas.
Mais je n'ai pas vraiment d'idées déja sur la boite a contacter sur les démarches pour un stage scolaire...
Si il y a un québécois dans la salle qui puisse m'aider

Ah oui si qqun est pdg d'une boite et qu'il a des offres de stages au niveau d'une RH ou autre (je prépare un DEUG aes (administration économique et social pour l'instant) ca m'intéresserait dans un an (je sais je m'y prend tôt mais je préfère).

Merci à vous tous pour vos réponses, bien sûr si vous voulez me parler du Québec en pv vous etes les bienvenus
Tiens c'est marrant j'ai en projet d'aller vivre au Quebec ou en Australie
Je me donne un an pour réunir les fonds (2500 Euros le billets aller simple pour Sidney Oô )
Donc postez amis Quebecois (e)
Eventuellement je cherche aussi une place dans le secrétariat ou l'accueil

(bah quoi qui ne tente rien n'a rien ^^ )
J'ai fait toutes mes études études au Québec et y suis maintenant résident permanent.

Si tu désirs faire des études là bas, tu dois aller a l'ambassade canadienne à paris et leurs demander un formulaire pour l'obtention d'un visa étudiant. Tu dois même pouvoir le télécharger sur le net, ce qui est ma foi un brin plus rapide

Mais avant toute chose tu dois être pris dans une université (UQAM ; Concordia ; McGill entre autre.) , dont l'acceptation te permettra d'obtenir ton visa.

Le reste est un brin plus compliqué moindrement que tu demandes un status te permettant d'y bosser, l'idéal étant la résidence permanente, le plus aisé à obtenir étant un visa de travail temporaire et dans ce cas il te faut une attestation de ton employeur. Tu peux faire tous ca au Québec, suivant ta situation, à la seule différence que tes demandes seront traitée à Buffalo aux US (je crois).
petit cours sur l'école au québec
Premièrement, préparez vous mentalement à vivre l'hiver au Québec et à endurer les -30 celcius :-)

Ensuite j'y comprend rien à vos DEUG et tout le reste, c'est équivalent à quoi ? Ici après le secondaire ( votre lycée je crois, environs dans les 12-17 ans ) il y a sois le secondaire professionnel ou bien le Cegep

Secondaire professionnel : c'est un après secondaire, nous appelons ça l'école des métiers, c'est là que les plombiers, mécaniciens, cuisiniers, ébénistes et tout les autres métiers dans la même catégorie apprennent à faire ce qu'ils vont faire pour gagner leurs vie plus tard. Petite particularité, il n'y a plus de cours d'anglais/français/education physique etc etc à cet école, il n'y à que les cours de base dans le programme vers lequel tu te diriges

Les cegeps maintenant : Particularité du Québec les cegep sont l'autre alternative après le secondaire. C'est en quelque-sorte une préparation pour l'université. Les cours au cegep sont divisée en 2 groupe : les techniques, 3 ans d'étude et les DEC (diplôme d'étude collégial ) 2 ans d'étude.

Un dec ne permet pas d'accéder au marcher du travail il est préalable pour entrer à l'université

Exemples de dec : Sciences Humaines, Sciences naturelles, Arts et lettres etc

La technique tant qu'a elle permet d'éviter d'aller à l'Université pour aller sur le marché du travail. Ce sont des cours de 3 ans comme je l'ai cité plus haut ( la dernière année étant un stage )

Exemple de technique : Tecnique Policière, Soins infirmiers, Administration, Loisirs

Evidamment il est possible d'aller quand même à l'université après avoir fait une technique mais la plupart des personne s'en vont directement sur le marché du travail.

Ensuite c'est l'Université, mais j'y connais pas grand chose car j'ai fait un technique :-)

J'espère vous avoir éclairé sur le sujet des écoles, maintenant si tu veut venir t'installer ici pose tes questions et je tenterai d'y répondre dans la mesure du possible mais plus tard car la je suis déjà en retard au travail

Désolé pour les fautes c'est la même raison je dois partir immédiatement :-)

P.

Ps : Simkim t'es le même qui jouais sur Harn ?
Citation :
Premièrement, préparez vous mentalement à vivre l'hiver au Québec et à endurer les -30 celcius :-)
Erf oui mais bon...même résidente, je m'y habitue pas


Pour les villes de Québec ou Montréal c'est sympa pour les études. Mais bon, tout dépend ou tu en est dans tes études. Lycée terminé ? Collège?

CEGEP, Rimouski, très bonne formation, ville étudiante, résidence d'étudiants. Faut voir pour les grandes villes, mais je crois qu'en contactant les établissements concernés via leurs site web tu auras des infos
Si tu souhaites faire des stages dans une université du Quebec dans ton cursus d'etude, il te faut contacter le directeur des relations internationales de ton université :

voici l'adresse du programme d'echange CREPUQ entre la France et le Quebec :

http://echanges-etudiants.crepuq.qc.ca/Fr/Accueil.html

sur ce site tu pourras trouvé le DRI de ton université, si bien sur elle a des accords avec les universités du Quebec.

Coté depense il faut savoir que les droits d'inscription reste ceux de la fac dont tu depends (en France) que les bourses d'Etat sont valables, et que tu peux avoir des aides de la part du Canada.

Ce systeme d'echange est valable dans la limite des places disponibles et alloués par chaque université Quebecoise et aussi en fonction du nombre de places que permet le departement que tu choisis.

Apres tu peux tres bien partir etudier, a ta charge au Canada.
Via des accords billateraux entre la France et le Quebec, tout Francais peut etudier aux Quebec, les couts d'inscriptions sont les memes que pour un Quebecois, pour un 1er cycle il faut compter $1000 an, il y a 3 rentrées scolaires : été, autonme, hiver. tu peux etre etudiant a temps complet, a temps partiel.
le systeme est basé sur des "credits" que possedent chaque matiere.

Voici l'ensemble des departements que propose (entre autres) l'universite de Montreal :
1er cycle :http://www.progcours.umontreal.ca/pr...prog_cyc1.html
2nd cycle :http://www.progcours.umontreal.ca/pr...prog_cyc2.html
3eme cycle : http://www.progcours.umontreal.ca/pr...prog_cyc3.html

Plus d'informations :
http://www.bei.umontreal.ca/bei/ad_politique.htm
Pour les équivalences de diplômes, pas facile à dire.
En France il y a le BAC (qu'on obtient généralement à 17-18 ans). Le DEUG c'est ce qu'on obtient avec 2 années d'études universitaires au-delà du BAC (soit un BAC +2). Je sais pas comment trop expliqué moi.

P.S. : Nan, c'est pas moi. Y aurait-il un individu s'étant octroyé mon nom ?
Citation :
Provient du message de Lady-VanXzadar
Erf oui mais bon...même résidente, je m'y habitue pas


Pour les villes de Québec ou Montréal c'est sympa pour les études. Mais bon, tout dépend ou tu en est dans tes études. Lycée terminé ? Collège?

CEGEP, Rimouski, très bonne formation, ville étudiante, résidence d'étudiants. Faut voir pour les grandes villes, mais je crois qu'en contactant les établissements concernés via leurs site web tu auras des infos
Cégep de Limoilou, Québec, offrent bien des programmes de formation et est quand même bien.
Montréal, ya le réputé Collège Lasalle qui a des filiales partout à travers le monde.
J,avais déjà donné un lien à quelqu'un pour les études au Québec, je vais essayer de le retrouver...
Citation :
Provient du message de Kirshtan Ex-Harnien
Premièrement, préparez vous mentalement à vivre l'hiver au Québec et à endurer les -30 celcius :-)
Oh qu'est ce que je donnerai pas pour vivre au Québéc moi !
C'est sur que pour le cégep tout dépend qu'elle étude tu veux faire. Les principaux sont a montréal ou québec mais les noms....le post de Caith ^^

On s'habituera jamais au -30 degrés en ayant vraiment une drôle d'allure avec les vêtements d'hiver.
Citation :
Provient du message de Louis Le Dodu
Moi aussi je viendrais au Quebec, les pauvres canadiens.....
Québécois s'il vous plaît.
Si tu viens au Québec, c'est Québécois, si c'est au canada, c'est canadiens.
Citation :
Provient du message de Elric
Oh qu'est ce que je donnerai pas pour vivre au Québéc moi !
hmm et bien donne dans un metiers où ils recherchent et du pognon pour les frais de dossier et tu y seras....
a propos de Montreal



Montréal n'est pas la ville préférée des Canadiens : Un sondage Angus Reid démontre que seulement 10% des Canadiens souhaiteraient vivre à Montréal. Par ailleurs, 24% des gens ont dit préférer vivre à Vancouver. Toronto arrive au deuxième rang avec 15% suivi de Calgary à 12%. Québec et Ottawa sont ex aequo à 8%.

Montréal, la ville la plus pauvre au Canada : Montréal est la ville au Canada où le taux de pauvreté est le plus élevé. Selon un rapport du Conseil canadien de développement social, le nombre de ménages montréalais vivant sous le seuil de la pauvreté était de 41% en 1995. Il s'est accru de 34% pour l'ensemble du pays.

Pauvreté : La pauvreté a augmenté en flèche chez les jeunes familles. En 1997, 46,1 pour cent des familles dont le chef était âgé de moins de 25 ans vivait sous le seuil de faible revenu établi par Statistique Canada, comparé à 21,7 pour cent en 1981. Pendant la même période, le taux de pauvreté des familles de 25 à 34 ans est passé de 12 pour cent à 18,9 pour cent.

Enfants : Selon une enquête menée par le magazine «Today's Parent», la ville de Montréal, en raison de son taux de criminalité élevé, sa situation économique et du trafic de drogue, serait la pire ville au Canada pour y élever des enfants. La meilleure ? Québec.

J'ai soif ! : L'usine de traitement des eaux usées de la Communauté urbaine de Montréal, est la cinquième source de pollution au Canada. C'est ce que révèle un rapport du "Canadian Institute for Environnemental Law and Policy" L'usine a rejeté dans le fleuve St Laurent 10 tonnes de chrome en 1988 et près de 8 tonnes en 1999. Le chrome est soupçonné d'être cancérigène.

Piquer c'est volé ! Montréal arrive au premier rang au Canada pour les vols dans les résidences, suivie de la ville de Québec.

Sport : Selon le magazine "Sporting News", Montréal se classe au dernier rang des 375 villes sportives nord-américaines. C'est la ville de New York qui est considérée comme la meilleure. Toronto arrive au 20e rang.

Pollution : Le Canada est le plus grand consommateur d'énergie par habitant du monde et le deuxième producteur de gaz à effet de serre, toujours par habitant. En 1995, il produisait 2 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre même si les quelque 29 millions de Canadiens ne représentent que 0,5 % de la population mondiale. Les Canadiens consomment autant d'énergie que tout le continent africain, qui compte quelque 700 millions d'habitants.

La qualité de l'air se détériore à Montréal : Elle est en fait pire que par les années passées. La pollution automobile a atteint des niveaux de concentration très élevée avec le temps chaud. Le service d'environnement de la CUM indique que la qualité de l'air a été mauvaise pendant 15 % du temps cet été. Samedi, on a remarqué un indice de 61,11 points au-dessus de la norme de 50, niveau de pollution atmosphérique considéré comme sérieux.

Rien ne vas plus : Des enquêtes épidémiologiques ont démontré que chaque année, plus de 1900 jeunes asthmatiques ou personnes âgées meurent prématurément des séquelles de la pollution atmosphérique, principalement du smog, dans la région de Montréal, 4000 à l'échelle du Québec et 16 000 dans l'ensemble du Canada.

Cadavres en plus : Selon la fondation David Suzuki, la pollution atmosphérique serait responsable de 1900 décès prématurés à Montréal chaque année. La fondation arrive à cette conclusion en se basant sur des études gouvernementales. Principales victimes : les enfants et les personnes âgées. La ville de Montréal n'a pas nié...

Baise-moi…Quatre nouvelles personnes contractent le sida chaque jour à Montréal. 24% des nouveaux cas d'infection sont des femmes.

Harcèle moi...Statistiques Canada, révèle que Montréal est la deuxième ville au Canada pour les cas de harcèlement sexuel, derrière Saskatoon. Quelque 75% des victimes de harcèlement sont des femmes, et la plupart des victimes connaissent leur agresseur.

Soif dangereuse ! La chambre de commerce du Montréal métropolitain dénonce la qualité de l'eau potable mise à la disposition des Québécois. Les dirigeants de la Chambre ont souligné que les Québécois "boivent une eau potable produite selon des normes considérablement inférieure aux normes américaines ou aux normes suggérées par le gouvernement du Canada"

Fuites : Les réseaux d’aqueduc et d’égout de la ville de Montréal sont dans un état de désuétude alarmant. Ce n’est pas pour rien que les tuyaux pètent de partout dans les vieux quartiers de la ville. Actuellement, 33% du réseau d’aqueduc est périmé et exige une réhabilitation à court terme. Les chiffres ne trompent pas: Montréal produit en moyenne 1400 litres d’eau par jour par personne, contre 600 à Toronto. La différence réside en grande partie dans les fuites.

Criminalité dans le Métro : Une étude universitaire révèle qu'il se produit environ deux agressions ou vols par 100 000 usagers chaque heure dans et aux abords des stations de métro. Le nombre de crimes y est en hausse de 46% depuis 1995.

Chacun son tour : La police affirme que des gangs de rue, notamment les « Black Latinos » et les « Red Blood », contrôlent la vente de stupéfiants dans le métro. Ils se seraient même entendus pour opérer à tour de rôle, sans heurt, durant différentes heures pour vendre la drogue.

Marche ou crève : Selon la Direction de santé publique de Montréal Centre, les résidents des quartiers pauvres de l'île de Montréal ont une espérance de vie de quatre ans et demi plus basse que ceux qui demeurent dans les quartiers plus riches. Le sida touche davantage ces résidants. L'écart n'a pas changé depuis 86. On remarque aussi plus de suicides dans ces quartiers moins favorisés

Risque maximum de pauvreté : Une étude révèle que les risques d'être pauvre sont plus grands si vous êtes jeune et si vous habitez à Montréal. L'enquête du Conseil canadien de développement social rapporte que le taux de pauvreté aurait fait un bond de 34 % chez les jeunes de Montréal entre 1990 et 1995. L'auteur de la recherche fait remarquer que non seulement les pauvres sont plus nombreux, mais qu'ils sont plus que jamais enlisés dans leur misère.

Les maîtres de la cité : C'est au Québec que les Hells Angels sont les plus violents de la planète. Ces motards sont à l'origine d'une guerre de gangs qui a fait 150 morts depuis six ans à Montréal et Québec. Avant l'entrée en scène des Hells Angels, les Rock Machine et leurs alliés contrôlaient une bonne partie du trafic de drogue dans l'île de Montréal. Dans le centre-ville, on estime le seul marché de la cocaïne à cinq millions de dollars. C'est sans compter la vente de haschisch et de marijuana, de PCP et autres drogues dures, ainsi que les activités illicites périphériques comme la prostitution, l'alcool et le jeu.

Entrée libre : Selon le Comité permanent de lutte aux drogues du Québec, Montréal est avec Toronto et Vancouver, l'un des trois principaux points d'entrée de l'héroïne et de la cocaïne destinées à être consommées au Canada ainsi que l'un des premiers points de transit pour les stupéfiants destinés aux États-Unis.

Allo ! Montréal, capitale nord-américaine de la fraude par téléphone. L'appétit des fraudeurs montréalais a mérité à la ville la réputation de capitale de ce genre de crime en Amérique. Un titre que ne conteste pas la Gendarmerie Royale du Canada. Montréal abriterait jusqu'à 400 installations temporaires servant à la sollicitation frauduleuse téléphonique.

Initiation ? Un jeune homme, a été attaqué à coup de machette dans l’autobus qui le transportait. Il serait l’innocente victime d’un gang de rues qui aurait procédé à l’initiation de l’un des leurs, en lui ordonnant de poser un geste criminel. Le jeune homme a le foie et les poumons perforés.

Au voleur ! L'aéroport de Montréal (Dorval) est une véritable passoire qui profite aux voleurs de véhicules, pire encore que Miami, New York et Los Angeles. L'an dernier, 222 véhicules ont été volés dans ses stationnements. L'aéroport international de Dorval remporte haut la main le triste championnat des vols de voiture dans les aéroports d'Amérique du Nord.

Mon auto ! Montréal demeure la ville canadienne où il se vole le plus d'automobiles, dans une année. Il s'est volé 27 000 autos en 2001 dans la métropole

Livraison à domicile : La livraison de drogue à domicile prend un essor considérable dans l'île de Montréal. Depuis cinq ans, pas moins de 75% de la vente de cocaïne se fait directement chez le consommateur. Selon les secteurs de la ville, tout est disponible: héroïne, haschisch, marijuana, drogues chimiques. "Mais le gros de ce marché repose sur la cocaïne, très populaire et surtout plus rentable".

Des coins dangereux à Montréal : Selon une enquête du Journal de Montréal, il est très risqué de circuler la nuit dans certains endroits de Montréal. Cinq endroits sont particulièrement dangereux. Il s'agit de la rue Ontario est, de l'intersection Saint-Laurent/Ste Catherine, de la ville de Montréal Nord, de la rue Ste Catherine est et du centre-ville. C'est en tout cas l'avis de policiers, d'ambulanciers et de chauffeurs de taxis interrogés. La présence accrue des gangs de rues constitue une part importante de la criminalité urbaine.

Bande à part : Montréal compterait une douzaine de gangs de rues bien structurés avec environ 700 membres actifs.

Le danger augmente ! Le nombre d'agression physique a augmenté de 6% à Montréal l'an dernier. Le centre-ville reste l'endroit le plus dangereux. Suivent les quartiers Hochelaga Maisonneuve, le sud du plateau Mont-Royal et le district Pointe St Charles, St Henri, Petite Bourgogne. Les agressions sexuelles sont plus fréquentent dans les quartiers plus pauvres, Hochelaga Maisonneuve et St Henri. Les crimes reliés à la drogue et à la prostitution se concentrent dans le centre sud et le centre-ville.

Peur du crime : Plus de 40 % de la population à Montréal ne se sent pas en sécurité le soir dans les transports en commun et les lieux publics. C'est ce que révèle une étude des dirigeants de la santé publique de Montréal sur la peur du crime.

Dégradation : Le nombre de crimes contre la personne aussi appelé « criminalité de violence » a augmenté de 12,8 % depuis 1997, année d'implantation de la Police De Quartier. Idem pour les « incivilités » le bruit, le vandalisme et la mendicité, si l'on se fie à la perception des Montréalais. De 1997 à 2001, la proportion de citoyens jugeant qu'il y a des problèmes d'incivilité est passée de 47 % à 54 %. Et la proportion de Montréalais qui déplorent des problèmes de gangs dans leur voisinage a grimpé de 29 % à 34 %.

Et pan ! Dans la gueule ! En 2000, à Montréal, les crimes contre la personne ont augmenté de 14 %, les cas de voies de fait ont augmenté de 24 %.

Re-pan ! Dans la gueule ! En 2001, à Montréal, les homicides ont connu une augmentation de 34 % par rapport à l'année précédente. Il y a eu 66 assassinats sur l'île en 2001.

Les jeunes de la rue : Le taux de mortalité des jeunes de la rue à Montréal est douze fois plus élevé que celui de l'ensemble des jeunes Québécois. C'est ce que révèle une étude de la direction de la santé publique de Montréal Centre sur la propagation du sida chez les jeunes de la rue. Des 500 jeunes suivis pendant deux ans, dix sont morts. Les principales causes de décès sont le suicide et les surdoses de drogues. 15.000 jeunes au Québec sont abandonnés dans la rue. 25 % ont moins de 13 ans.

Hausse du nombre de jeunes dans la rue : Le nombre de jeunes qui errent dans les rues à Montréal va en s'accroissant...L'organisme "Le Bon Dieu dans la rue" estime que ce nombre a doublé depuis l'hiver dernier, passant de 2 500 à 5 000. Selon l'organisme, la plupart de ces jeunes sans-abri proviennent de l'extérieur de Montréal.

Métier à très haut risque ! Un enseignant est agressé tous les deux jours dans les écoles de Montréal. Dans 30 % des cas la police a dû intervenir. On ne parle plus ici d'impolitesse et de vulgarités. Les jeunes sont passés aux agressions physiques. Bousculades, cheveux arrachés, morsures, gifles au visage, frappés à coups de pied et coups de poing et même avec des objets, comme des dictionnaires ou des chaises. Certains enseignants voient même leur tête mise à prix.

Port dangereux : Selon le Comité sénatorial sur la défense, le port de Montréal est infesté de criminels et constitue une véritable passoire. Le rapport accablant du comité précise que les organisations du crime organisé sont présentes dans les Ports de Montréal, d'Halifax et de Vancouver et sont très actives dans les domaines de la drogue, des véhicules volés, du tabac, de l'alcool, du vol de conteneurs et du trafic d'êtres humains. À Montréal, les membres du comité ont découvert que 15% des travailleurs et 36 % des inspecteurs du Port de Montréal possèdent un casier judiciaire…

De plus en plus à risque : L'alliance des professeurs de Montréal soutient qu'un nouveau cas d'agression sur un de ses membres survient chaque jour dans une école de la Commission scolaire de Montréal. En 1998-99, l'Alliance avait comptabilisé 119 cas d'agression, ce qui représentait le double du total de l'année précédente. Environ 66 % de ces cas comportent une forme d'agression physique.

Déclin du français à Montréal : Le français est moins parlé à Montréal depuis 25 ans. C'est ce que révèle une étude de l'Institut national de recherche scientifique. Le nombre de foyers où on parle français, sur l'île de Montréal, a chuté de 67 à 55 % entre 1971 et 1996.

Crash... Vancouver et Calgary ont maintenant devancé Montréal comme ville aéroportuaire canadienne. Selon un classement de l'Association du transport aérien international, les voyageurs internationaux préfèrent Toronto, Vancouver et Calgary. Les aéroports de Montréal sont passés du 75e au 90e rang mondial entre 1992 et l'an 2000. En comparaison, Toronto se classe au 27e rang. Si on enlève l'aéroport de Mirabel, Dorval sa classe au 106e rang, soit derrière Saint-Denis Gillot à l'île de la réunion ou Myrtle Beach en Caroline du Nord...

Malaaaade ! La ville de Montréal arrive 13e sur une liste de 16 villes canadiennes classées par le magazine MacLean's quant à la quantité et la qualité des services de santé à la population. C'est la ville d'Edmonton, en Alberta, qui s'est classée première alors que la ville de Québec apparaît au 4e rang.

Vraiment malaaaade : Les troubles mentaux tel que la phobie, l'anxiété et la dépression nerveuse sont en nette progression à Montréal et près d'une personne sur 5 en souffre quotidiennement. C’est ce qui ressort d'une vaste enquête menée auprès de 4 700 adultes montréalais par la direction de la santé publique de Montréal.

De plus en plus malaaaade ! : Les Montréalais présentent un bien triste état de santé. Ils sont malades, gravement malades. Il y a, à Montréal, plus de suicides, de fumeurs, de mortalité due au cancer et de mortalité évitable que dans les autres grandes villes canadiennes. C'est ce que révèle le rapport annuel de la régie régionale de la santé (2002). En santé mentale, la situation est aussi alarmante. Le taux de mortalité par suicide était de 14,6 personnes par 100 mil habitants en 1996, contre 9,8 à Ottawa. Les Montréalais sont aussi plus stressés. 30 pour cent des habitants de l'île disent souffrir de stress, comparativement à 24 pour cent pour les Torontois.

Record de fumée : Montréal détient le triste record des cancers du poumon au Canada. 24 % des Montréalais fume. Le taux le plus élevé de toutes les villes au pays. Pratiquement, un Montréalais sur quatre meurt chaque jour du cancer du poumon.

Je suis mort ! D’après l'Association des hôpitaux du Québec, les erreurs médicales tuent plus de 2000 personnes chaque année au Québec, soit l'équivalent de cinq écrasements de Boeing 747. Les erreurs de médicaments se trouvent au sommet de la liste des accidents, alors que la négligence des médecins ne serait en cause que dans deux pour cent des cas.

Clandestins : Il y aurait au moins 5 000 immigrés illégaux à Montréal. 3 500 réfugiés clandestins ont été retrouvés l'an dernier dans la région métropolitaine puis expulsés. Les procédures d'expulsion ont coûté plus de deux millions de dollars aux contribuables en 1998.

Mourir à Montréal : Par une température de -25 degré, un itinérant est mort de froid dans l'indifférence la plus totale des passants au métro Place d'Armes à Montréal. Madame Anne Lavictoire a tenté de lui porter secours mais, Gino Laplante, 38 ans, était trop faible et il est décédé dans ses bras. À plusieurs reprises, elle a demandé l'aide de passants pour signaler le 911 mais ils n'ont rien fait. Selon le service de police, une douzaine d'itinérants meurent de froid chaque hiver à Montréal.

Les frustrés du volant : Montréal est la ville au Canada où les automobilistes sont les plus violents. L'enquête de la compagnie H.B. Gestion révèle que 37% des automobilistes de la région de Montréal démontreraient des signes de rage au volant, comparativement à 23% à Calgary et 22% à Toronto. À Montréal, les accidents automobiles tuent chaque année 36 piétons et 5 cyclistes. Il se tue 25% plus de piétons à Montréal que dans le reste du Canada. Au Québec, 77% des automobilistes ont également perdu leur sang-froid au moins une fois en 2003.

Heureux de vivre au Québec : Avec plus de 1300 personnes qui s’enlèvent la vie chaque année dans la province, le taux de suicide du Québec est l’un des plus élevés au monde. Il s'agit d'ailleurs de la première cause de décès chez les moins de 25 ans. Ainsi, 186 jeunes Québécois ont mis fin à leurs jours en 2001. Selon les statistiques, cinq personnes se suicident chaque jour au Québec, soit quatre hommes et une femme. Les derniers chiffres font état de 1323 suicides en 2001. Depuis 1975, le nombre de suicides chez les enfants de 14 ans et moins a triplé au Québec. Chez les 11-12 ans, le nombre de suicides a triplé en trois ans seulement, de 1995 à 1998. Au Québec, le suicide est la première cause de mortalité chez les hommes de 20 à 40 ans. De 1989 à 1998, le suicide a fait plus de victimes chez les Québécois de cette tranche d'âge, que les accidents de la route, le sida, le cancer ou les autres maladies. Chaque jour, cinq Québécois se suicident. Chez les moins de quarante ans, le suicide est devenu la première cause de mortalité. Loin devant les accidents de la route, le cancer et le sida. Au cours des 25 dernières années, 30 000 personnes se sont suicidées au Québec Les Montréalais se suicident dans une proportion deux fois plus élevée que les Torontois...Heureux de vivre à Montréal ?

Hécatombe : Le taux de suicide chez les jeunes est toujours inquiétant. Les plus récentes données de Statistique Canada font état de 200 cas de suicide par année chez les jeunes de 15 à 19 ans, au Québec seulement.

Trop taxé ? : Le nombre de suicides au Canada a augmenté de 10% en 1999

Québécois en voie de disparition : Le nombre de nouveau-nés au Québec n'a jamais été aussi bas depuis le début des années 1900. Selon l'Institut de la statistique, l'indice québécois de fécondité n'est que de 1,4 enfant par femme, alors qu'il devrait être de 2,1 pour assurer le renouvellement des générations.

Méchante Nana : Au Canada, de 1989 à 1999, selon un profil sur les femmes réalisé par le Centre canadien de la statistique juridique, le taux de crimes de violence commis par les femmes a augmenté de 41 % comparativement à une diminution de 7 % chez les hommes.

Love-moi : Selon un récent sondage national, le quart des femmes canadiennes consacrent autant de temps à se sécher les cheveux qu'à faire des câlins à leurs partenaires. En fait, une femme sur quatre a répondu qu'elle est autant "attachée" à son séchoir qu'à son partenaire…

Baignade meurtrière : Le Québec détient le record du plus grand nombre de décès dans les piscines résidentielles au pays. (La Croix Rouge)

Tous des ripoux : Selon un sondage Léger Marketing/Presse canadienne, seulement 18% des Canadiens font confiance aux politiciens.

Je me tire : Le suicide est en hausse chez les filles au Québec, révèle une étude réalisée parmi les 10 à 19 ans. Alors que le ratio de suicide était de 1 fille pour 5,7 garçons entre 89 et 92, il est passé à une fille pour 2 garçons en 1998. Les spécialistes n'arrivent pas à expliquer ce phénomène, si ce n'est pour dire que les filles imitent de plus en plus les garçons...

Adieu monsieur le professeur ! Le décrochage scolaire atteint des proportions stupéfiantes au Québec: Une école secondaire sur cinq comptait 50% de décrocheurs parmi ses élèves sortants en 2000-2001.
Oui, bien sûr.

J'y vis et c'est vraiment terrible. La pollution me donne envie de me suicider, les défaites terribles des Canadiens et des Expos me dépriment et me donne le goût de quitter l'école (où je battais mes profs) pour aller vendre de la drogue et de me prostituer pour attraper le sida. Pour ensuite en infecter le plus possible en moins de deux jours. Pour pouvoir manger, je pose des bombes pour le compte des Hell's Angels, je vole des automobiles et bien sûr je bois de l'eau tellement sale que je vomis tout les soirs. Et puis bon, chaque fois que je prends le métro, je me fais voler mon argent. Alors maintenant je le fais aussi. Spécialement les personnes âgées.


Et, bien sûr, comme tout Montréalais, je me déguise en séchoir à chaque Halloween, pour pouvoir flirter plus facilement.











Y'a des cons...
Heu moi je dis ne fait pas ça !

C'est le Pays Interdit ! Là où la LIE de l'univers s'est implantée!

Mais bon, c'est ta santé, mentale et physique... Mais j'aurai prévenu. Par contre, le site est tout simplement formidable. Mais il est pas désert...
J'y suis resté 6 mois (et je ne PEUX PLUS y aller). Mais bon, en ville vous êtes sûrement différent qu'à la campagne (Trois-Rivières pour être exacts).

J'espère grandement pour vous hein...

Je sais que mettre tout le monde dans le même panier, c'est pas bien, mais là... Partout où on tournait la tête, ça rivalisait en connerie humaine. Et encore, humain c'est pas sûr là.
Répondre

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés