[ATTENTION !!!!] texte totalement déjanté...

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Une venue à laquelle je ne m'attendais pas. Ils étaient une bonne centaine ce soir là, je ne saurais pas vous dire ce qu'ils étaient venu chercher exactement. Ils déambulaient dans le jardin atmosphérique d'une plaine lointaine et orageuse. Ils avaient dû faire des milliers de km pour atterrir devant mon humble demeure du XIXème siècle. Plusieurs étaient repartit vers leur ailleurs où peut-être se sentaient-ils mieux.
Trois de ces petits êtres étaient comme même resté, Ils étaient recroquevillés et une lumière jaune-orangée émanait de leur petit corps. De mon côté, j'allais chercher un de mes collègues de soirée qui était resté devant la télévision. Quand il vit ces trois petits êtres, il s'écria:
_Des méxicains!! Ils ont passé la frontière et ne sont même pas mouillés!!
Je le secouais par l'épaule de plus en plus fort et lui disais que les méxicains portaient des sombreros, ceux-ci n'en avaient pas. Il me regarda et me dit que certain méxicain avait perdu leur sombrero dans le Rio Grande mais que leurs habits étaient secs grace à une intelligence venue d'une part insondable du cerveau humain. Il ne me resta que 2 solution:
.Soit je le croyais...
.Soit je devais le secouer une seconde et dernière fois par l'épaule.
J'optais pour cette deuxième solution et le secoua jusqu'a ce qu'il reprenne ses esprits. Au bout d'une minute qui m'a semblé durer des heures, il reprit ses esprits et vit bien la même chose que moi.
Pour une plus grande confirmation je lui demandais donc ce qu'il vit; et il me répondit que trois petits êtres inconnus de notre législation comtemporaine et humaine se trouvaient au fond de mon jardin. Je préfèrais cette version à celle des méxicains. Après avoir ôté mon revolver de sa tempe, je lui demandais s'il voyait la lumière, et d'un commun accord avec sa personne il me répondit que non, mais que les lapins dévallaient des montagnes enneigées de l'autre côté de la rivière. Il m'a semblé bien attaqué du cerveau mon collègue de soirée, mais je voyais aussi ces montagnes, à la seule différence qu'elles étaient creuses pour moi.
Et tout deux nous admirions la nature passagère de ce paysage glorieux mais non moins éphémère derrière la fenêtre de la cuisine qui ne recellait aucune particule de lumière, jusqu'à cette terrible épreuve que nous fit subir Zoé-Maria en allumant donc cette fameuse lumière de la cuisine, qui tout à coup sans que l'on ne sache vraiment pourquoi s'était transformée en une fraction de seconde en une chambre. Ce que je croyais être la gazinière était en fait la commode.

Zoé-Maria était venu nous apporter des bières et un petit comprimé; je ne saurais vous dire ce que ce comprimé recellait, nous avions pris auparavent tellement de truc que je ne savais plus où j'en étais. Avec mon collègue nous avons donc bu et pris le petit comprimé, Zoé-Maria partit en éteignant la lumière. Son intelligence supérieure pour une fille avait dénoté que la lumière nous gênait. Tout en partant sur la route du salon elle me disait de m'occuper de la pizza qui était au micro-onde, mais bien sûr, étant donné mon incapacité notoire à retrouver la cuisine qui j'en suis sûr ne s'était pas envolée, j'en déduisais que la pizza que tout le monde attendait depuis au moins 1 heure se trouvait dans un placard de la chambre où nous nous trouvions.
Je dit donc à mon collègue de ne pas lacher des yeux les trois petits êtres qui n'étaient pas encore naturalisés méxicains, pendant que je cherchais la pizza parmis les pulls et les mites.
A peine avais-je mis la main sur la pizza que Funny-Sidoïne me la prit des mains pour aller la faire cuire.
Funny-Sidoïne n'avait pas mangé depuis plusieurs jours et cela fut bien compréhensible de sa part; mais plus que sa part, ce fut toutes les parts dont-elles ne nous avait pas fait part qui disparurent aussi mystérieusement qu'était apparut les êtres venus d'ailleurs.

Mon collègue qui ne les avait pas laché des yeux m'interpella dans ma conscience et m'éclaira l'esprit intermédiaire qui situait la frontière du rêve et de l'irréalité, il me racontait que les méxicains allait reprendre leur vaisseau. Je courru vers lui et regardait, mais ma déception fut bien grande car en fait il n'y eu qu'un seul de ces petits êtres qui partait. Ils étaient passés chez les voisins, mais mon collègue m'assura qu'ils n'avaient pas bougé d'une semelle. Tout à coup deux grosses lumières apparaissaient à ce qui me semblait être l'avant du vaisseau, une autre lumière clignotait en orange à côté d'une de ses deux grosses lumières blanches; et le vaisseau partit en volant à une quarantaine de centimètres du sol. Les deux autres petits êtres éteignaient la lumière jaune-orangée qui maintenant n'émanait plus de leur corps mais d'un petit meuble métallique, et s'introduisaient chez nos voisins. mon collègue et moi-même, nous nous regardâmes, nous savions que la scène à laquelle nous venions d'assister n'arrive que très rarement dans la vie d'un homme; nous décidions donc de ne rien révéler sur les phénomènes étranges dont nous avons été témoin ce soir là. Tout ce que je peux dire c'est que c'est l'évenement le plus inexplicable et le plus incroyable auquel la patrie, sinon nos voisins, ne serons plus jamais confronté dans un délai de quelques jours.

Et si je vous laisse cette, ou plutot ce témoignage encore à chaud, c'est parce que la conscience des hommes est encore bien trop piètre pour esperer convoiter une once de roublardise dans un foyer où des gens biens vivaient, mais à l'heure où j'écris ces mots, peut-être que ces êtres les ont dédouané de leur intelligence sugestive et peut-être, je dis bien peut-être, ce qui serait un grand désastre pour l'humanité, ces gens ne nous dirons plus bonjour quand nous les croiserons le matin.

J'vous avait prévenu
Etrange...
Plaisant a lire mais etrange...

J'avais pensé que tes personnages étaient sous l'emprise de drogues, mais ca serait trop simple...

Quand je lis ce texte, quelque chose me titille, mais j'sais pas quoi... Tres bien...


*Aoshi, qui adore le style du texte*
Citation :
Provient du message de Telefoneur OdO
ah ouais déjanté
vous aviez pris quoi ?pour qu'on comprenne tout
Non je ne dirais rien...
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