Recueil de Poèmes

Répondre
Partager Rechercher

Jamais jamais je n’aurais pu croire
Qu’après le temps passé
A broyer du noir
J’allais à présent , de nouveau voir
Les soirée d’été ,
les jours d’espoir.

Couchés dans l’herbe
Une fleur aux lèvres
Nos idées s’envolent
Nous voilà , sous les étoiles
Lever les voiles
Vers d’autres nuits folles

Encore y croire ,
L’été me berce
Je veux y croire
A ces promesses

Que ça ne s’arrêtera pas
Que ça ne s’arrêtera pas

Après un hiver , après
Des ennuis divers
La terre tremble
Elle respire enfin
Il me semble
Voir plus clair

Venez avec nous
Il y a tout encore à faire
Nous ne sommes qu’ici
Pour laisser le soleil
Réchauffer l’atmosphère

Encore y croire ,
L’été me berce
Je veux y croire
A ces promesses

Que ça ne s’arrêtera pas
Que ça ne s’arrêtera pas

Le soleil se cache
Je suis tellement fatiguée
Je dérive , sans attache
Je sais que je peux

Encore y croire ,
L’été me berce
Je veux y croire
A ces promesses

Que ça ne s’arrêtera pas
Que ça ne s’arrêtera pas

D iaphane forme aux courbes longues
U n regard clair , deux yeux exsangues
N oir comme la pierre sont tes mains
K inslayer ,
E tends-toi , créature , car dès demain
R epose-toi , car tu verras , tu verras bien
K inslayer ,
E tends ici ton corps , et attends demain

,

C 'est une aube d'ébène , ivresse boisée
'
E t dans un coin de lande , tu reposes
S ens-tu cette délectable odeur
T arir les sources de ton ardeur ?

L a fine peau de ton corps toute entière tinte
A ton front blanc perlent quelques gouttes de sueur

N uit après nuit tu écumes les rues , spectre vaporeux
U ne réalité , ta folie , distantes de quelques pintes
I l est temps , le ciel te parle enfin
T es genoux fragiles frappent ce sol si pieux .
C'est le paradis !
Pour moi ,
Fantôme grandiose
Merveilleux
La plus grande métamorphose
De mon coeur malheureux !

Ce monde de couleurs
Me voilà , je n'ai plus peur
Les mains remplies de fleurs
A mon front , à mes tempes
La vie bat , je me campe
Dans les artifices fabuleux
Dans le mensonge devenu pieux
Dans le paradis des songes
Mon plus beau mensonge .

Le paradis est un lac
Qui l'aurait pu croire ?
Une étendue calme
Au souffle langoureux
En son coeur , Ménalque
Tu entendras tous les soirs
Les âmes se parer de feu
Danser le ballet endiablé
Entre deux soubresauts
Eblouillent ton regard
Tu t'y reposeras , ce soir
Avec moi , il sera tard
Nous serons fatigués
Après avoir cherché
De tous côtés , à tous vents
Quelque nourriture
Pour nos désirs oppressants
Et alors nous verrons
Sur les rives du Paradis
Quelques vagues douces
Carresser nos mains
Ca sera parfait , enfin j'espère
Ca sera le début de notre lendemain

Mais le mépris me brûle
Et de ces terres , de cette bulle
Je détourne mes mains
Par la fougueuse tentation
De couvrir mes ailes
D'or et de soie
De ce que je n'ai pas
Voici en mes veines ce poison
Et c'est triste comme la mort
C'est prostré , châtié et banni
Que j'écume le remord


Bievenue au paradis ...
Je l'ai vue , j'ai posé mes bagages
Sa voix pleine de larmes , fatiguée
A présent , la fin de mon voyage ,
Je lui avais apporté une rose
Que j'avais cueilli un jour calme d'été .

Elle m'a regardé , j'ai posé ma main
En feu sur ses joues blanchies
Par les larmes de sang
Qui coulent de ses grands yeux
Ces grands yeux amoureux
Une fille au regard tremblant

Loin d'elle, je n'avais retrouvé
Que la lassitude du temps
Du temps même des aventures
Des sourires devant une devanture
Des voiles rouges carmin
Des amants , de la désinvolture
Je n'étais pas chez moi
Et le sentais bien

Tout était étendu , les cris tus
Parfois dans mes cauchemars
Je te voyais , étendue ,
Ta voix , à jamais tue
Les cris de douleurs
Les rauques terreurs
Ta fière allure , tes yeux brillants
La clarté pure de nos nuits (étions-nous enfants ?)
Et les sanglots , toute la nuit
Me brûlaient , et brûlaient mon lit .

Puis dans le monde , dans le notre
L'éther céleste , nous , les apôtres
Du désordre , tristes et effacés
Retrouvés , ce jour que j'avais
Souhaité et crée de mes mains
J'ai aussi apporté un peu de jasmin
Car j'aimerais te voir sourire
Une dernière fois , avant demain ..
Viens viens à moi
je t'ai rêvé
je t'ai crée
J'ai tant crié
Je t'en prie , et
Si tu refuses
Si tu t'enfuis
Enfouis aussi
Dans ta tête
Les secrets
Les miettes
De mon coeur
De , oh ...
De mon malheur .

Je pleure , je me vide
Pour ces lettres ,
Dans des livres
Je m'observe
Je crève avec ferveur
Je m'entraîne dans la peur
Et je ne crains plus
Non , je ne pleure plus
J'en ai déjà assez fait
Maintenant je réclame
Je m'exclame , j'ordonne
Que les flammes , que l'épée
Divine que j'ai souillé
Que j'ai brisé
Que ton coeur
Piétinné
Prenne en ma poitrine
Les serpents noués
Et les jette dans l'abîme
A jamais , je serai libéré !

"Laisse moi m'approcher ,
Laisse moi te toucher
On me juge malsain
On me chasse ,
Au loin
Je ne veux plus en parler
Plus de moi
Non , je suis mort
Oui , je le suis
Nous le sommes tous
C'est ma déroute
C'est mon sang
Qui luit , ici .

Laisse moi te toucher
Je ne suis pas fou
Montre moi ton cou
Non ...
Juste un peu dérangé"


Rainn , Engence .

Oh , viens chercher le sang
J'ai ôté mes haillons
Démon pernicieux
Viens , je t'attends !

-------------------------------

Et l'on raconte , qu'ils combattirent
Et la terre entière tremblait
Et devant le feu originel
Personne n'osait parler

-------------------------------

Et les larmes fendirent son visage
Avant que l'épée D'Ambre ne la tue
Et son corps transpercé
Laisse échapper le cri d'une triste liberté

-------------------------------

Créature
J'aurais ta peau
Contre mon sabre
Je te ferai crier
Je frapperai ta tête
Contre un arbre
Et après t'avoir fait
Mordre la poussière
Je me trancherai la gorge
Créature ,
Je viendrai te rejoindre
En enfer .

------------------------------

De beaux poèmes que voici
De tous peuples, je m'en réjouis
Pourtant, quelle place a la nature
Dans vos majestueux récits?

Des batailles glorieuses et dures
Aux grandes passions déchirantes,
L'origine de toute vie
N'est-elle pas prépondérante
Dans vos sublimes poésies?

La Terre mérite ce petit hommage
Car de tout l'univers, c'est l'élément
Le plus magnifique, et il serait dommage
De l'oublier, et de la mépriser, étant
La pièce maîtresse de toutes les existences.




Je ne suis point poète, et je m'en excuse, mais prenez en considération ces quelques vers, la nature, croyez-moi, vous le rendra.



Jemilin, un protecteur de la nature

L'esprit des hommes , cher Jemilin
Et j'en suis intimement persuadé
N'est en rien ni tracé ni destiné
Il se trace , s'efface ou se maintient

Mais de vos sages paroles ,
Je tire un sourire
Quelques souvenirs
Modeste parabole
Que mes quelques mots
Leur but , je vous l'avoue
Est celui de l'ermite
Niant même son obole
Et louant , au détour des chemins
A ceux qui l'entendent
A ceux qui le veulent bien
La vie dans sa plénitude
Ce que l'univers et l'histoire
Jamais ne rabiasseront
Ce qui par nous
Que nous favorisons
Humbles fantômes
Spectres défaits
Ivres d'une terre morte
Que l'on aurait oublié .
Qu'elle soit mille fois honorée
A chacune de mes pensées
La Nature , maternelle
Peut puiser en moi
L'amour d'un Architecte
Le calme et l'émoi
Ce qu'elle attend de tout être
Je lui donnerai avec joie .
Merci sir Rainn, ces paroles me font chaud au coeur.
Vous n'aurez point de soucis quand vous traverserez les étendues boisées ou escaladerez les colossales montagnes, les animaux sont vos amis, comme à nous tous. Ils sauront vous être autant utile que les humains le pourraient, et vous inspireront sans doute pour de prochains poétiques récits, maître Rainn.
Allez, les vieux reviennent... Enfin vieux... J'ai encore de beaux jours devant moi. Loviathar, mon cher, parce que ce n'est pas le dieu de la souffrance infligée, mais le dieu de la souffrance, et il y a ici plus de souffrance qu'on ne eut en trouver ailleurs sur les forums... Pour ma part du moins...

@ Rainn : C'est joli... Mais tu devrais peut-être en faire moins et les travailler un peu plus... C'est sauvage, mais un peu désordonné... Et puis surtout, il y en a tellement, on s'y perd.


Bref, je voulais vous donner un poème, puis je me suis rendu compte que j'avais promis de n'en rien faire, donc bon, pour une autre fois
Effectivement , tu as raison ..
Mais malheureusement mon esprit est semblable à mon écriture , spontané , désordonné voire impérieux lorsqu'il veut écrire et violent .
Merci du conseil , j'essayerai d'y faire plus attention même si ça me parait un peu .. hors d'atteinte , hors de méthode .


Ce soir
Le ciel est beau
Je partirai
Je me plongerai
Dans l’eau

L’espoir
M’a fait

Il m’a vu le premier
Tombé dans la rosée
Un matin où j’avais
Tellement de choses à voir

Sous les airs , c’est tes yeux
Qui m’ont brûlé la peau
J’avais voulu calmer tes larmes
Mais Je ne veux pas croire
Qu’il reste un jour en enfer
Le matin des amoureux
Porterait aussi nos adieux

Regarde
Vers le haut
Tout seul
C’est la nuit qui prend l’eau

Ecoute
Les voix s’élèvent
Tu cours vers elles
Je veux des toits
Ou poser mes étoiles
Te voir ,
Que tu n’oublie pas
Ce soir
J’y pense , dans le noir
Si tu n’y crois plus
Je viendrai te revoir
Petits poèmes/pensées....

Qui suis-je ?


Qui suis-je ?
Pour oser poser les yeux sur toi ?
Qui suis-je ?
Pour oser penser a toi ?
Qui suis-je ?
Pour oser ne serait ce que penser que tu me regardes ?
Qui suis-je ?
Pour oser ne serait ce que penser que tu m'as remarqué ?

Oui.... Qui suis-je ?
Tout simplement un homme....
Un homme revant de tes regards
Un homme revant de tes mains dans mes cheveux
Un homme revant de tes tendres caresses
Un homme revant de la douce chaleur de ton corps
Un homme revant de tes douces levres....

Qui suis-je réellement ?
Un homme revant tout simplement ou plus authentiquement Florian, une autre facette d'Elminf et de Mélias, tout trois Âmes en peine....



L'amour...

L'amour est ce que l'on en fait....
Elle peut etre douce et apaisante
Elle peut etre cruelle et destructrice
Tout depend de ce que l'on en fait....

L'amour....
Ce mot regroupe un vaste panel de sentiments qui ne peuvent etre decrit
La joie, la haine, l'envie, l'adoration, le bonheur, le malheur et bien d'autre ....
Ce ne sont que des petits rien dans l'ensemble d'un tout.

Que dire de l'amour ?
Nous ne pouvons rien en dire... Si ce n'est qu'elle fait parti et fera toujours parti de nous
Sans elle nous ne sommes rien....Avec elle nous nous sentons vivre et mourir.
La vie ne vaut d'être vécue que pour ses simples moment d'amour

L'amour....
Si froide et si douce en meme temps...
Si chaude et si cruelle pareillement...
L'amour tout simplement... et rien d'autre...



Fin...

Un seul de tes sourires me faisait entrevoir le paradis....
Une seule de tes caresses sur ma joue me faisait vivre comme un dément emprisonné dans une cellule de pure joie....
Un seul de tes regard tendre me faisait mourir pour renaitre bienheureux....
Un seul de tes tendres baisers me faisait vibrer et me faisait penser à mon importance pour toi...

Mais....

Tout est fini...

En ce funeste soir j'ai perdu gout a la vie...
J'ai perdu ce qui me maintenait à flots sur le chemin chaotique qu'est la vie
J'ai perdu.... une partie de moi que je n'avais jamais soupçonné...
Une partie que tu as comblé en étant juste à mes côtés...
Une partie de mon être qui jusque la n'etait que l'ombre de ce qu'il était à tes côtés...

Mais cette epoque est fini et de cela on ne peut que retenir cette phrase : On ne mesure jamais à sa juste valeur ce que l'on a que lorsque celui ci s'en vient a disparaitre.



Desole si c'est incompréhensible de par la rime/syntaxe/et autre mais ce n'est pas fait pour ce ne sont que des pensées....
__________________
Parti Elmotiste pour un parler jowilien : ministre de la bière à la vodka
Representant qui n'egalera jamais le Maître Astérion et membre de la Troupe des Lions des GdE
Diplomate en second des GDE
DWARVES ROOLAIZE !!!!!!!!!
ELVES AREN'T COOLZ !!!!!!!!
" GO FOR THE BEER DWARVES, GO FOR THE BEER! RAAAASK ! "
" B33R N3KT4RZ OF THE GODZ "
*à un elfe*
I AM THE LAW, ET YOU'RE THE LOW!!!!!
Une nuit noir emplie mon âme,
Et mon coeur se vide de son espoire
Car tu l'as transpersé de ta lame...
Cette douce lame du soir
Si fine et meurtrière en ce jour
La lame de ton amour

Un baisé pour ton réveil
Ma vie pour ton éveil
Mon amour dans ton sommeil
Mon esprit pour tjs, sur toi veil

Je te sens au plus profond de moi,
Car je vie au plus profond de toi
Là où la vie n'est plus
Là où tu es la seul a m'avoir vu

Mon coeur est en manque de te voir
Mon âme soufre de ne plus te sentir
Mais ton amour comble ma vie
Car je te revois dormir chaque soir
Car j'entend malgré la distance tt ce que tu voudrais me dir
Et que je retrouve en toi tt ce qui manque a ma vie

Dans mes rêves plane une ombre
Que chasse la lumière du matin
Tel mes yeux si sombre
Eclairsi par tes yeux bleu marin
D'où coule les larmes de ta tristesse
Car de mes paroles je te blesse

Ton soufle est un baume
Ton esprit et ta vois sont des psaumes
Pour ma vie, mon être et ma pensée
Que plus jamais rien ne poura brisé
Tant qu'au plus profond de moi tu vivera
Et qu'au plus profond de toi tu me gardera...



Je suis dsl, g pas reussi a le terminer correctement... mais vous me pardonnerez... bye

J'ai peur disait l'enfant , les yeux mi-clos
Soutenant ses os et sa chair blême
Appellant ceux qu'il aime ,
Appellant l'aurore
Pour qu'enfin elle vienne
Le tirer de là .

J'ai peur disait le jeune homme
Le mal au corps , le coeur qui tonne
Appellant un dieu
Appellant le sort
Pour qu'enfin ils viennent
Le tirer de là .

J'ai peur disait l'adulte , l'homme Grand
Du haut de sa grande inutilité
Appellant ses aïeux
Morts dans le même efforts
Pour qu'enfin ils viennent
Le tirer de là .

J'ai peur disait le vieillard
Ses cheveux blanchis tombants
Sur un visage , devenu gris
Maudissant le temps
Maudissais les hommes
Appellant , lui , la mort
Pour qu'enfin elle vienne
Le tirer de là .

Et du foyer ,
Du coeur des flammes
Qui dansent et me brûlent
Je les épie , les damne
Que mes mains difformes
Données par un Ciel ennemi
Forgées dans la hargne
De mon ressenti
Dans le feu de mon bagne
Que de l'enfant je crève les yeux
Afin qui lui , ne voie pas
Que du jeune homme je perce la tête
Afin que lui , ne réfléchisse pas
Que de l'adulte
J'arrache le foie
Pour qu'il jeûne et revienne vers moi
Que le vieillard soit près de moi
Car lui
Est bien pire que les trois
Lui qui a vu le monde
Et vu sa vie jadis féconde
Se transformer en enfer
Lui qui crache ses tripes
Au milieu des décombres
Qu'il prenne ma place
Prince de mon monde
Qu'il m'étrangle
Et me donne , à moi , le repos .

Je n'ai personne à louer
Aucun sentiment
Dont , poète aimant
Je pourrais chanter
Une oraison
Un couplet
Une chanson
Et à ces simples mots
Je crève mon coeur
D'un coup de ce stylet
Devenu noir
A force de me saigner .

Et je ne plains pas
Et je ne me plains pas .

Et je ne dirige pas le regard
Pas plus que je ne vois .

Que mon sang serve à maudire
Et que le Prince guide mes mains
Afin que jusqu'au coeur des miens
Il puisse descendre jusqu'au pire
Jusqu'aux strates mortes
Que les hommes cachent
Comme une sorte
De honte ,
Et que je les sorte de là
Et contre leur tête
Comme La Peste
Je fracasse un regard
Ivre de mépris
Ivre de colère
Que je leur montre
De quoi , vraiment
Ils ont l'air .

Pour les laisser , ensuite ,
Hagards et difformes
Errer , créatures en fuite
Puis s'asseoir
Puis pleurer , prier
Puis mourir sous mes coups
Tomber à genoux
Devant mes yeux éclairés
Devant la colère de mes bras
Et dans un dernier souffle
Qu'ils demandent
"pourquoi !?"

L égions que j'ai dressé , de mes mains
E coutez-moi , reconnaissez ma voix !

P araissez à mon regard , levez vous
R ongeurs , démons , vautours , poux
I gnominies que j'ai crée , dans mes travaux
N octurnes , dans les recoins de l'Enfer
C 'est le moment , ce soir , nos Maux
E cumeront la Terre et nous serons chez nous !

,

L 'être que vous croiserez
U ne sorte de fantôme , à la peau blême
I mbécile et qui se traîne , et qui gémit

N e montrez pour lui
'
O mes légions , aucune , aucune pitié !
U n combat s'engagera , car certains
B raves , auront choisir de se cacher
L iés à la foi , ils se battront , contre vous ,
I vres de leurs anges et de leurs séraphins
E crasez-les ! Car l'être humain

P ourrira , et il finira comme je le veux
A ssis sur une chaise , dans le noir
S a tête se balance , rien ne se passe

"
I l meurt ,
Et le soir
Tombe .
"
.
Espérances lointaines:

La solitude m'accable
dans une tempête
où seule la lumière de mon espoir
brillait d'un faible éclat
tu es venu, attiré par cette étoile
et la douce chaleur que répandait
ta lanterne
a apaisé la tempête et m'a ouvert les yeux
ensemble, nous voyagerons dans cette aube nouvelle


L'ombre:
Seul dans les ténèbres
le destin me voue
Serai-je à jamais condamné à errer
dans le noir?
Avec pour seule compagnie
La souffrance d'entrapercevoir
Le bonheur des autres?
J'aimerai tant en profiter
Quand un frisson me glace
Je ne puis hurler, je ne puis pleurer
Je ne puis montrer ma souffrance
Cette apparence de dureté est aussi ma
plus grande faiblesse
Pour échapper à la dure réalité
J'erre dans les rêves
Je suis un lâche qui fuit
Ses tourments
Mais tourments toujours
Me rattrapent
Me trouvez vous cruel,
Mauvais, sombre même?
A moi de hurler aux ténèbres et
De les engloutir à mon tour
Suis je l'ombre, es tu la proie?
Suis-je la proie, es tu l'ombre?
Je sais au plus profond de moi-même,
Que les ténèbres me prendront un jour
Si vous ne m'aidez pas à votre tour

Le Dauphin:

D’après la légende, de tous les animaux, le dauphin est le plus beau,
Autant dire, c’est la huitième merveille du monde.
Unis à la vie, voici une famille de dauphins,
Plongeant gracieusement,dans la mer fêtant ses mystères.
Habitués, depuis la nuit des temps à voir des hommes,
Ils se laissent admirer, étincelants comme jamais.
Nageant à l’infinité, dans la mer et ses secrets.

Marie:

Marie, avec ta beauté
Avoir tant de qualités
Rien qu’à te regarder
Idiot est celui qui ne le remarque pas
Echo même aurait retrouvée sa voix
[seulement grâce à toi…

Sans titre:

Sephi, l’ange la plus jolie
Regarde, les gens sourient
Pourquoi ? Parce que tu les ravies
Habitant du ciel
Infant des merveilles

Ange, dis-nous
Ne mérites tu pas le plus beau des bijoux ?
Grande, tu l’es et rien ne peut te heurter
Ecoute, tout le monde t’appelle
Le peuple s’émerveille

Trouve au fond de ton cœur pur
Ecoute ton âme mûre
Ange gardien, déploie tes ailes
Regarde sur terre, toi qui est si belle
Sur un disque d’argent et une boîte noire
Pour accéder au monde entier et rien ne peut
[t’y empêcher

Un départ
C’est préparer ses affaires
Boucler son sac , et fermer aussi
La petite boîte de fer
Où les souvenirs s’entassent
Aussi , prendre , au matin
Dans la même tasse
Que tous les autres jours
Un café un peu amer
Parce qu’il sent les herbes
La poussière , et tout ce que le temps
Va laisser derrière .
Et tout paraît gris et bleuté
Comme figé dans l’eau
Comme si déjà , c’était fini
Un fantôme vivant dans une photographie
Qui cherche en tapant contre les murs
Une voix , un signe , ou un murmure .
C’est relire ce petit poème ,
Quelques années plus tard
Les jours blêmes et l’air triste
Alors qu’autour de nous la foule s’anime
C’est repensé à ce qu’on a quitté
Se dire « c’était bien .. parfois , morose
Il y a des jours où j’aurais aimé crever
D’autres où je me levais
Et où je n’avais plus rien à faire du parfum des roses
Qu’à présent je regrette
Mais oh .. ce n’était pas grand chose
Comparé à tout ce que j’y ai aimé »
Et regarder les gens autour
Se rendre compte que l’on est seul
Parce qu’aucun de ces vautours
Ne peuvent connaître ce recueil
De petits poèmes comme celui-là
Qu’on garde en secret , dans une petite boîte
Juste en haut de l’armoire , dans une pièce

Déjà
Plus personne ne va

Alors en attendant l’heure grave
Où je prendrai une dernière tasse de thé ,
Je ne suis sûrement pas le plus brave
Mais je peux toujours commencer
Fantôme perdu dans une image
A regarder la maison sage
A rire de moi et du passé
Se noyer dans le paysage
Et vivre , jusqu’à en brûler .


Alors il faut une nouvelle fois
Prendre ce bonheur qui me noie
A bras le corps , le pétrir
Le versifier , sans le faire mentir
Lui arracher un sourire , un instant
Fugace , le faire s'épanouir au dedans
Pour en sortir , par flots continus
Cet amour incroyable dont il fait
Afin qu'il vous saute au cou
Pour vous dire qu'il n'y a plus que l'amour
En fin de compte , qui puisse nous sauver
Sur des airs déjà entendus
Des souvenirs de toujours
Qu'il fasse raisonner , quelque chose de beau
Dans votre esprit , un regard , un écho
L'envie de changer le monde
Un vélo , une fleur , une fronde
Quelque chose pour s'émouvoir
Et danser , oh oui .. danser encore
Comme si personne ne nous voyait
Comme si c'était aujourd'hui ,
La pluie de rosée et d'or
Qu'on a tous un jour rêvé .
La cavalcade , c'est dans les rues
Il court une rumeur de folie
Elle aime et embrasse tout le monde
Se cache sous le trottoir , s'envole aux nues
Derrière les portes , elle écoute
Pour avoir plus chaud , elle se blottit
C'est la fin , c'est la grande marrée
C'est derrière vos fenêtres
C'est la cavalcade , elle court dans les rues
Dansez , comme si personne ne vous voyait .

Répondre

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés