Provient du message de Niaa
Le genre de mode très limite en plus:
-j'en ai marre de grouper avec des gens (je suis un Gen)
-Moi aussi je veux fraguer
-Je veux être solo, marre des autres
-je veux plus suivre de lead, c'est tous des cons (mais je ferais pas d'efforts pour lead moi-même)
Bref, a part quelques personnes non - buffbotés qui recherchent des sensation Pure du solo et de la chasse le reste c plutôt moyen.
De plus, quand on voie l'espérance de vie du sicaire a présent ou tout le monde zerg a 2/3 Fg, franchement ça me fait marrer.
Mais bon, c'est comme ça.
Avant on avait une masse de paladin, bientôt un masse de sicaires mais toujours sans speed/mezz/bulle
Très peu arrivent 50. La mode du reroll, contrairement à ce que certains pensent, ne va jamais jusqu'au bout, sauf ceux qui sont réellement motivés.
C'est sûr que les fufus ont toujours eu un côté attirant ; la perspective d'échaper à un bus de mids / hibs rien qu'en cliquant sur une macro est assez grisante, celle de passer juste à côté d'un ennemi sans qu'il ne vous voit également.
Donc, plutôt que la mode du sicaire, je dirais plutôt que c'est la mode des furtifs en règle générale. Ce n'est pas un domaine réservé aux albionais.
Pour les Abysses, ça fait toujours du bien de souffler un peu. La pression sur notre Zone Frontière a disparue, on peut sans arrières pensées se consacrer aux sorties PvE / RvR Escarmouche. Bien sûr, lorsque des hiberniens ont commencé à prendre Beno puis Era et enfin Surs, il n'y avait aucun doute que c'était pour ouvrir les Abysses. Vu le temps qu'ils ont pris, ils ne devaient pas être fort nombreux.
Certes, du point de vue d'en face, Albion est toujours aussi mou. Certes, il est indéniable que les albionais manquent d'organisation. Mais on ne peut comprendre réellement le point de vue albionais que lorsqu'on est albionais depuis le début, avec toutes ses attaques, toutes ces Persecution Time, toutes ces prises de forts incessantes, toutes ces piques permanentes sur JoL...
Je ne dis pas que nous sommes totalement blancs, simplement qu'il est facile de critiquer lorsqu'on se pose du point des vue des adversaires sans chercher un instant à réaliser ce que peut être le quotidien du royaume d'en face.
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