Votre épitaphe

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Citation :
Provient du message de Aloïsius
Mais je me souviens de ces gens qui disait que leur goût avait changé après l'opération. Une dame qui disait par exemple que depuis sa greffe du coeur, elle appréciait la bière (qu'elle n'aimait pas avant), la viande saignante, et regardait les jeunes filles d'une tout autre manière.
La greffe d'un pacemaker pourrait elle développer chez le patient une attraction d'ordre sexuel envers les aspirateurs?
Lileandra, tu devrais te flageller pendant deux jours avec des orties fraîches pour t'apprendre à piquer les épitaphes que je préfère et que j'aurais mis avec plaisir.

Quelques autres que j'aime bien.

Ci-gît Piron
Qui ne fut rien
Pas même un académicien

On rentre, on crie
Et c'est la vie
On pleure, on sort
Et c'est la mort

Passant, ne fais ici de bruit
Garde que ton pas ne l'éveille
Car voici la première nuit
Que le pauvre Scarron sommeille.

Ci-gît qui fut un franc glouton
Et but tout ce qu'il eut de rente.
Son habit n'avait qu'un bouton,
Son nez en avait plus de trente
Enfin délivrer de ce corp de douleur.

Un ulcéreux.
Moi ca serait :

J'y suis parvenu sans y être arrivé

ou pour citer mon ami H.P. Lovecraft dans Call of Cthulhu, et surtout Abdul Alazrhed dans le Necronomucon :

"N'est pas mort ce qui jamais dort, mais au fil des éons peut mourir même la mort..."
Citation :
Provient du message de Grenouillebleue
Lileandra, tu devrais te flageller pendant deux jours avec des orties fraîches pour t'apprendre à piquer les épitaphes que je préfère et que j'aurais mis avec plaisir.
et c'est pour te venger que tu écorches mon nom ?

Citation :
Provient du message de Grenouillebleue

Ci-gît Piron
Qui ne fut rien
Pas même un académicien


Passant, ne fais ici de bruit
Garde que ton pas ne l'éveille
Car voici la première nuit
Que le pauvre Scarron sommeille.
je connaissais ces deux la, j'aime beaucoup
Citation :
Provient du message de Hunter
La greffe d'un pacemaker pourrait elle développer chez le patient une attraction d'ordre sexuel envers les aspirateurs?
mdr
De Gerard de Nerval :

Il a vécu tantôt gai comme un sansonnet,
Tour à tour amoureux insoucieux et tendre,
Tantôt sombre et rêveur comme un triste Clitandre.
Un jour il entendit qu'à sa porte on sonnait.

C'était la Mort! Alors il la pria d'attendre
Qu'il eût posé le point à son dernier sonnet;
Et puis sans s'émouvoir, il s'en alla s'étendre
Au fond du coffre froid où son corps frissonnait.

Il était paresseux, à ce que dit l'histoire,
Il laissait trop sécher l'encre dans l'écritoire.
Il voulait tout savoir mais il n'a rien connu.

Et quand vint le moment où, las de cette vie,
Un soir d'hiver, enfin l'âme lui fut ravie,
Il s'en alla disant: Pourquoi suis-je venu ?
d'autres en vrac :

Charles Monselet, gastronome et écrivain :

Versez sur ma mémoire chère
Quelques larmes de chambertin
Et sur ma tombe solitaire
Plantez des soles ... au gratin


Marcel Pagnol :

Fontes, Amicos, Uxorem Delixit

Il aima les sources, ses amis et sa femme.

Anonyme, pour la Marquise de Pompadour(favorite de Louis XV) :

Ci-gît qui fut vingt ans pucelle,
Quinze ans catin et sept maquerelle.
.
Citation :
mais bon une arrête faut le vouloir, ou alors c'était une arrête de baleine




Si c' était une arrete de poisson chat, c'est l'équivalent d'une côte flottante





Lady
Ce qui me turlupine, c'est d'être mis en bière sans alcool... Surtout en cas de mort subite !!

A ma mort, je souhaite léguer mon corps à la science fiction
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