Vos Plus Beaux Poèmes D'Amour ....

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Citation :
Provient du message de Aelis
Va pas croire que je parle de toi sur tous les posts (Je pensais effectivement que tu venais plus sur les forums)

Juste que c'est le seul poème potable que j'ai écrit et que voila

Je ne crois pas cela, à vrai dire, cela m'importe peu que tu parles de moi ou pas... tant que je n'apprends pas que tu me casses du sucre sur le dos.

Autrement, je trouvais juste amusant le fait que je ne venais plus sur le forum et que je tombe par hasard sur un poème que tu m'avais écrit à une époque

Pour reparler du poème, je pensais t'avoir dit que les mots "Toujours" et "Jamais" étaient à éviter le plus possible... on voit sur ton poème qu'ils n'ont conduit qu'au contraire de tes pensées.


Indépendemment du post, je t'ai répondu à ton e-mail.

A bientôt
Citation :
Provient du message de Made In Marseyes
J'étais dans mon lit avant heureux
Et oui j'étais très amoureux
Amoureux d'une fille, c'était toi
A vrai dire c'est une des rares fois

Mes sentiments étaient si forts
Malgré cela j'ai peut être eu tort
La chute, m'a paru si inconcevable
J'aurais préféré un départ plus humble

Surement pas tu es lâchement partie
Me laissant chercher d'autres filles
J'ai eu du mal à réaliser
Que plus jamais je pourrais t'embrasser

Tu représentais beaucoup pour moi
J'ai eu du mal à m'en remettre crois moi
Je pensais comme toi que ce serait pour la vie
Mais autrement en avait décidé une fille

Trouver des femmes c'est pas un problème
Pour moi mais j'ai cumulé tant de haine
Etant mêlé dans la confusion et l'illusion
Trouver parmi toutes ces filles le rayon

Qui illuminerait de nouveau mon coeur
Parmi toutes ces aventures dont je me meurs
Et ma foi une chose plus complexe
En est la preuve le nombre de mes ex




Mon unique et seul poème crée pour la seule meuf que j'ai aimé, Noemi.
Tiens.... pour une fois je te comprend....c'est chouette!
Voilà deux poèmes.
Une que j'ai écris, le second est la réponse.


Troisième Eternitié ...


Aujourd'hui, les morts passionnés se sont levés
Pour brutaliser sa carcasse exténuée.
À l'aube d'un crépuscule se devant absolu,
Tu reviens vers celui qui t'était dévolu.

Et il en crève de sentir son coeur s'exhumer
En pensant que ses volutes s'étaient exilés.

Déjà la farandole des coups pleut sur son corps,
Il se croyait rendu dans le gouffre du croque-mort.

Et elle frappe remuant ses cendres inanimées,
Tantot joie peine, ne s'arrêtera plus l'Angélus.
Il coupait la veine, tançant son coeur abîmé,
Mais elle est renée pour prolonger son rictus.

Il ne voit pas son épilogue dans un décès..
Ah ! Troisième Eternité.


Sa réponse.


A nouveau l'aube sanglante s'est levée
Et elle entend la plainte éperdue
De cette âme mutilée, de cet être torturé
Qu'elle avait cru disparus

Dans la froide torpeur qui est sienne
Elle écoute les milles tourments
Les coups, le bruit des chaines
Du prisonnier agonisant

Les cris du silence en font la geôlière
Sifflant leurs murmures oppressant
Et elle se débat sans rien pouvoir faire
Que de se nourrir de son sang

A nouveau l'aube sanglante s'est levée
Et chaque instant un peu plus il pâtit
Mais elle ne possède pas la clef
De la cellule qu'elle lui a bâtie.
__________________

http://membres.lycos.fr/togarth/pisan2.jpg
D'une Fleur, d'un autre temps...

Citation :

Quand l'amour vous prends


Il entre dans votre cœur, s'empare de votre âme,
Vous sentez le bonheur, ressentez cette flamme.
Elle irradie votre corps, enivre votre esprit,
Ce sont des instants forts et d'elle vous êtes épris.

Cet amour qui est vrai, cette bulle de bonheur,
Plus rien ne vous effraie, plus aucune de vos peurs.
Enfin vous êtes heureux, aimez et êtes aimés,
Enfin le ciel est bleu, et les fleurs, [ne sont] plus fanées.

Cette paix arrivée, fait que commence l'envol.
Des étoiles vous croisez, sans même les regarder,
Presque hors de portée, le chant des rossignols,
Votre aimée à vos cotés, aimez, tout entier.

Mais soudain le pire, l'amour de vous s'écarte.
Vous écoutez ses dires, il faut qu'elle parte,
Pour vivre son rêve, laissant aller ses peurs,
Un amour, une trêve, des miettes de votre cœur.

Etoiles et oiseaux, amis intimes et famille,
Tous sont la haut, pour éviter que la vie file.
Mais vous laissez les branches, le cœur trop touché,
Cette dernière chance, ainsi, a filé...



Fleur Wild-Ilsn
__________________
Une pensée écrite est morte. Elle vivait. Elle ne vit plus. Elle était fleur. L'écriture l'a rendue artificielle, c'est-à-dire immuable.
Ecrivain français [ Jules Renard ]
Citation :
Provient du message de Dame-Flo -FCB-
Fleur la Srn?

Très joli poeme en tout cas

- oui, Fleur la Sirène,
mais aussi Fleur le Barde Royal,
Fleur le Barde des Adeptes de la Nature..

Fleur l'inspirée, dont la page de poèmes est citée à la bibliothèque.

Fleur, que je salue au passage.



Patum aka Zeerth.
Smile
*ressort la Fleur pour un salut*
Mais euh

Merci Zeerth mais à ce que je lit, tu n'as rien à m'envier
Ce dont je ne doutait pas, d'ailleurs
En tout cas, c'est toujours un plaisir de te lire en ces lieux


*est retournée faire un tour par nostalgie sur un canal d'irc où les bons souvenirs règnent*

@Dame-Flo (Flora?, sorry si ce n'est pas le cas )
__________________
Poèmes du peuple Althéen (venant tellement de temps immémoriaux que le lien ne fonctionne plus)
De moi déjà posté sur Feyd

Citation :
Rêve d'amour

Le rêve que l’on aimerait être réalité,
L’illusion que l’on ne peut toucher,
Le mirage que jamais l’on atteint,
Celle que l’on aime en vain,

Le fruit de mon imagination...
Oh toi ! belle inspiration !
Tu es tout cela à la fois,
Et j’aimerais être près de toi...

Ce n’est que divagation,
Mais pourtant c’est si bon
De te voir dans mes bras,
De t’imaginer contre moi...
De moi tous les deux.
Citation :
Elowenn


Dis-moi, Lune, Qui était cet ange, cette jeune princesse Elfe qui passait là ? Etait-ce là, comme je le crains, la vision évanescente du plus merveilleux de mes rêves ?

Elle était si jolie que j’oubliai jusque ta présence, toi, Ô Lune, oui toi dont d’ordinaire je ne puis détacher mes yeux amoureux. C’était comme si soudain ta lumière avait été bloquée par ses doux cheveux noirs.

Elle était si parfaite que peu d’êtres, mortels ou immortels, ont du égaler sa ténébreuse beauté.

Elle souriait, Lune, elle souriait aux étoiles, à Aërendil la Reine, vénérée par les miens en la secrète Lothlorien.

Et moi j’étais tombé en esclavage de ce sourire, de ce visage, et j’ai rêvé qu’elle m’appelait.

Sa beauté était plus sauvage que celle d’une mer déchaînée, mais plus calme que celle d’un océan de glace. Plus grande que toutes deux, aussi.

As-tu vu, Ô Soleil des Loups, la magie des reflets iridescents de tes rayons dans ses grands yeux sombres ?

Dis-moi, bel Astre des Nuits, si elle est la troisième de celles que tu m’envoya et si un jour elle m’acceptera pour sien.

Dis-moi, Belle Elfe, si tu seras la troisième de celles qui auront porté l’anneau.

Dis-moi, Belle Elowenn, si un jour je pourrais t’aimer sans avoir à le cacher.
Et un autre, en souvenir de quelqu'un qui ne pourra jamais le lire.
Citation :
Morgane

Quand le ciel sur mon cœur était gris,
Ses pas dans mon esprit résonnèrent.
Avec l’aurore elle arriva,
Pour une tache que jamais elle n’acheva.

Des coups de déprimes aux grandes joies,
Par des lieux de savoir et des forêts obscures,
Avec les mortels et les immortels, en leur langue secrète elle parla.

Une mortelle épée, une main guérisseuse,
Une infatigable exploratrice des mers,
Une voix douce, un regard vert d’eau,
La dernière des Hauts Elfes, la dernière des Belles Gens

Mon étoile dans la Nuit, ma flamme dans la Mort,
Celle dont le nom en grec vouait dire perle,
Celle qui en collier portait le diamant de la paix,
Celle qui fut jusqu’à la fin la princesse de mes nuits.

Elle qui savait que la Mort survient parfois.
Quatre cents fois depuis le Soleil des Loups est passé au Zénith
Il y a quinze Lunes périt sa sagesse
Il y a quinze Lunes elle partit rejoindre les immortels.

Belle Dame Morgana, à Jamais on te regrettera.
Ils sont sans doute moins bons que ceux jusqu'ici présentés, mais ce sont mes meilleurs. Désolé de ne pas être un bon poète.
.......
Pas de moi,lu je ne sais plus vraiment où et gardé tant il est beau
Citation :
Infernal chacun de nous est drogué,
Prisonnier mental d'un désir vital :
Combler un degré du vide abyssal
qui s'installe sans la moindre pitié.

La pire drogue a le doux nom d'amour,
Elle assure sans commune mesure,
Sans détour elle bouffe à toute allure
La raison pure de ceux qui sont pour.

Au plus jeune âge naît la dépendance,
La carence s'étire en noir nuage,
Monstre hideux au visage de naufrage
Sur un rivage de désespérance.

Nul besoin d'y goûter pour être accro,
Ardemment voulu, l'amour à l'insu
Dans le cerveau s'insinue comme un flux,
Un reflux jaillissant à fleur de peau.

L'amour ne tue jamais par overdose
Mais le manque étincelant nous déchire,
Cause la douleur impossible à fuir,
Et il n'est d'élixir qu'à l'eau de prose.

Cupidon du ciel décoche ses flèches,
Seringues fraîches, fixs aux effets flashs,
'émotion palpite le coeur se lâche,
Lèche et s'attache au poison sur la brèche.

Quand dans ses bras belle Vénus nous berce,
Que la substance amour hante les sens,
Déverse de l'ivresse en délivrance,
La jouissance des frissons nous transperce.

La passion nous drague dur, quel crack!
Le bon sens bivouaque quand l'amour pique,
Jamais l'être ne se désintoxique
Et l'esprit pratique en devient patraque...

Citation :
Les yeux fermés je l'imagine
Sous mes mains elle se dessine
Je découvre son corps nu
Ce corps encore inconnu

Il n'y a pas un moment
Pas un seul instant
Où je ne pense à toi
Où je ne te vois

Dans mon ciel , pas de nuages
Dans mon jardin , pas de mauvais herbages
Dans ma maison , pas de froid
Dans mon coeur il n'y a que toi

Te sentir , te toucher
T'embrasser , t'aimer
Voilà ma vision du bonheur
Juste près de toi mon coeur
Bon, il parle d'amour, mais l'amour vient de partir


Passage

C’est la faute de l’amour, de l’ennui, de l’oubli.
Jamais je ne m’étais attardé sur ces faits.
Je ne m’en rendis compte, mais ce fut un attrait.
Au fond de moi, c’était la vie, cette folie.

Il était bon et doux, comme à ce premier jour.
D’un vertige, j’étais pris… Soudain, il me brûla.
Paré de ses plus beaux atours, ce fol amour
Me consuma. Il me prit, me lia puis me tua.

Rapidement il fit sa place, cet inconnu.
Il me hantait, m’effrayait. Trop tard, je pleurais.
Après les pleurs, dans le silence je me trouvais.
De tristesse il m’accablait, jamais rien de plus.

C’était un adieu, il s’éloignait, il partait.
Mon être était une cage à la porte ouverte
D’où fuyait le souvenir, cette douloureuse perte.
Je suis là maintenant, seul, mon âme est en paix.





Ha tiens, un truc que j'avais écrit en anglais parce que je voulais me pratiquer. C'est probablement très nul.



The two things that makes me happy
Are far away from me.
I see your eyes. I see your face.
Then I know I don’t deserve this place.

My final destination, my own fate
I don’t want it to be late...
Miss you, in my mind, in my heart.
You haunt my head... it’s dark.

This fatal harrow between me and you
Makes me hatefully regrets you.
You’re too high and me too low.
It’s painful, I need to blow...

A curse on me, impossible !
Your love got to be possible...
If not, then I’m a blur on destiny.
Erase me, please be gently ...

A little bit of poetry, to tell you
That I love you.
Ça rend toute rêveuse de vous lire... Aller, mon tour...

Tu connais l'odeur de l'aube
Le doux parfum du soleil nouveau
Tu m'apprends l'aurore,
La cascade papillonnante de la lumière naissante
Et tu chantes...
"Nous marcherons sur l'arc-en-ciel
Oui, nous y valserons
Notre printemps tout neuf
Éclatera de mille bourgeons!
Nos jours seront
Éclaboussés de soleil!
Nos nuits seront
Éclipsées de sommeil,
Chaudes et douces..."
Mon amour, mon amour
Dansons encore!
Voici une chanson de Massive Attack (Et sa traduction), chanson que j'écoute souvent en ce moment et que j'aime énormément :

"Unfinished Sympathy"

I know that i've been mad in love before
Je sais que j’ai été folle d’amour auparavant

And how it could be with you
Et la manière dont les choses pourraient se passer avec toi

Really hurt me baby, really hurt me baby
Me font du mal, vraiment, cela me fait mal baby,

How can have a day without a night
Comment envisager une journée sans la nuit associée

You're the book that i have opened
Tu es le livre que j’ai ouvert

And now i've got to know much more
Et désormais, j’ai besoin d’en savoir davantage

The curiousness of your potential kiss
La curiosité de tes baisers potentiels

Has got my mind and body aching
a endolori mon esprit et mon corps

Really hurt me baby, really hurt me baby
Cela me fait du mal, vraiment baby, cela me fait mal

How can you have a day without a night
Comment envisager un jour sans la nuit associée

You're the book that i have opened
Tu es le livre que j’ai commencé

And now i've got to know much more
Et désormais, j’ai besoin d’en connaître beaucoup plus

Like a soul without a mind
Comme une âme dépourvue de son esprit

In a body without a heart
Dans un corps sans coeur

I'm missing every part
Cela me manque de toutes part
Bon je vais quand même mettre ma contribution à l'édifice de ce post, sinon ça ne serait pas drôle !

Donc voici ci-dessous deux poèmes, de moi bien sûr, sinon ça ne serait pas drôle :


« Une déclaration »

Je sais que tu désires me connaître pour m’appréhender
Mais puis-je abaisser les lourdes défenses que j’ai forgé ?
Devrais-je bannir les barrières, qui m’ont toujours protégé,
Du malheur et de la douleur, ses bêtes mal attentionnées.

Je serai devant toi une petite proie chétive et désarmée
Moi qui suis l’insondable, l’insaisissable, l’insensible entité
Pris au piège, empêtré, à mon fatal destin, je serais acculé
Quelques pas en arrière, je chercherai vainement à reculer

L’espace d’un instant me perdant dans tes yeux émerveillés,
Sans délai, je devrais me résoudre difficilement à t’affronter
Donnant, lentement, au creux de ta main mon essence égarée
Espérant que tu y déposes un attendrissant regard affectionné

Mais j’ai peur, que tu serres durement ta main pour m’abîmer
Devenant ainsi un spectre qui erre dans un abîme ombragé
Sans but, sans issue, sans espoir, à jamais torturé et abandonné
Maintenant, dois-je prendre ce risque, que d’être bouleversé ?

Pourtant j’ai envie de te murmurer doucement mes pensées
Te laisser découvrir mon cœur et mon âme tellement apeurée
Tout en me délectant de chaque palabre, chaque sourire amusé
Car mon esprit est à chaque instant par toi attiré et envoûté

Peu à peu, les remparts, les barrières s’abaissent craquelées
Je suis entraîné en une vague, un flot, me noyant sans résister
Attiré, balancé, poussé, ballotté, tiraillé, bousculé, mais caressé
Puis-je laisser l’étrange émotion envahir subtilement ma vérité ?

Je pensais les portes de mon cœur à jamais closent et fermées
Erreur de ma part, ton charme, ta présence j’ai sous-estimé
Tu as grand ouvert les portes impénétrables, j’en suis affecté
Je ne voudrais de toi être séparé, juste dans le jour t’être lié

Tu as marqué de ton essence mon chemin, j’en suis touché
Mes larmes coulent, une passion trop contenue, trop étouffée
Je souhaiterais te dire tous ces mots et en mes bras te serrer
Mais je ne peux faire autre chose que te pleurer et t’aimer.



« Adieu »

C’était une fille différente qui avait trop souffert
Elle était mon amie souriante, ma seule amie...
Je me souviens encore de nos moments partagés,
A plonger mon regard dans le sien, à présent sans vie.

C’était une fille différente accablée par sa destinée
Rongée en profondeur par son propre corps de malheur
Comment espérer, quand de l’intérieur on meurt ?
Pourtant je lui tendis ma main dans sa morne fatalité

Ensemble, de nouveau elle prit un soudain espoir
Depuis, nous n’avions jamais baissé les bras, luttant...
Mais elle avait trop souffert, son être ne pouvait croire
Et un soir de décembre elle partit, toute seule, me laissant

Dans la poussière éphémère, mes larmes, j’ai versé
Poussant un râle d’injustice, le cri d’un pauvre désespéré
Je voulais t’enchaîner à moi, mon cœur avait besoin de toi
Je suis maintenant sans âme, dans ce monde sans foi ni loi

Touchant sa joue une dernière fois, lui fermant les yeux,
Mon amie, inerte, froide, vide de tout son merveilleux
La mort prit ma seule belle dans son linceul de minuit
Pourquoi cette peine ? Pourquoi cette haine contre la nuit ?

Voilà, dans les ténèbres tu es plongée pour ne plus revenir
Hélas pour toi et moi, la grande faucheuse a gagné
Elle a fermé cette porte pour ne jamais la rouvrir
A chaque murmure du vent, j’entends nos échos du passé

Et l'Obscurité ce soir ne m'amène nullement de réconfort,
Car ta présence ma mie le jour m’a privé, encore.
Puisque à l’heure où j’écris ce message, tout est fini,
Il me reste que cruelle souffrance de la mort et de l’oubli

Pourtant je te promets de te garder une place dans mon cœur
Pour ne jamais t’oublier ma compagne, ma douce splendeur
Je voudrais que la mort me prenne à mon tour dans son ballet,
Mais je ne peux faire autre chose que t’aimer et te pleurer.
j'ai dans mon coeur.....
je vois dans tes yeux.....
je n'ai pas les mots.....
je t'aime tout simplement.


Comment ça j'me suis pas foulé mais si, mais si.
Voici quelques poèmes que j'avais écrit il y a quelques temps:*

Attente éternelle

Douce nuit sous les étoiles,
Bercé par le son de la mer,
A l'horizon disparaissent les voiles,
Temps mélancolique, beauté éphémère.

Les vagues viennent lécher les pieds
De celui que l'on dit fou à lié,
Il espère que sur l'une d'entre elle
Apparaîtra le navire de sa belle.

Il espère, et il attend nuit et jour,
Que sa douce honore leurs promesses,
Celle de revenir à son amour,
Et lui d'attendre sa belle déesse.

Mais le temps n'est pas leur allié,
Eux attendent, mais lui ruisselle,
Marquant leur chair sans pitié,
Assassin dans l'ombre du ménestrel.

Et toujours, il reste assis là,
Jouant de la harpe sur la plage,
Pensant à sa douce, partie là bas,
Prisonnière de cet autre rivage.

Beaucoup de sable a coulé depuis son départ,
Et la faucheuse étend toujours son ombre,
Sinistre tableau, froid, cruel et noir,
Qui emporte l'éternel vers le sombre.

Peut on honorer au paradis
Les accords perdus d'une vie ?
Question qu'elle se pose en attendant
Devant la porte de l'intendant.

Puis son salut arrive enfin,
Mais de fin, ce n'est que le début,
Car son tendre l'a enfin rejoint;
L'éternité n'est pas encore perdue.




Douce joaillière

Dame des pierres, superbe créatrice,
Toi qui sait sculpter les étoiles de la terre
Tu as gagné leur éclat et leur lumière,
A la vue apaisante et inspiratrice.

Femme des joyaux, je vois sur ton visage
Deux feuilles de nacres parées de deux saphirs,
L'éclat de diamant qui orne ton sourire,
Et les longs fils d'or de tes cheveux sauvages.

Brillante demoiselle, de platine est ta peau;
Elle est sertie des mille pierres de ta grâce,
Etincelant d'un feu que n'expriment mes mots,
Charme immortel que même le temps n'efface.

Telle est cette femme, ma douce joaillière,
Qui d'un rire d'argent a enchaîné mon coeur,
Elle est devenue ma belle geôlière,
Pour toute ma vie, et pour autant de bonheur




L’amour

Si l'amour était un joyau,
Il serait dans tes yeux,
Faisant de moi un héros
Lorsque je plonge en eux.

Si l'amour était une mélodie,
Il serait ton doux rire,
Illuminant ma pauvre vie,
Lorsqu'il franchit ton sourire.

Si l'amour n'était que mots,
Je le mettrais dans mes vers,
Le chantant de villages en hameaux,
Pour le répandre sur terre.

Mais l'amour n'est que silence,
Il est dans tes gestes, ton regard,
Qui me réduisent à l'impuissance;
Abandonnant ma vie à ton égard.





Ma perle rare

Perle de nacre née de l'océan,
Gemme issue des grandes profondeurs,
Je te contemple depuis bien longtemps,
Joyau sublime, lumière de mon coeur.

Diamant, tu es si parfait et si pur,
Te contempler brûle mes pauvres yeux,
Toi le chef-d'oeuvre de Mère-Nature,
Beauté perdue des dieux orgueilleux.

Joaillier, je pose mes instruments,
Fasciné par une telle merveille,
Je ne la toucherai point cependant,
De peur d'abîmer ce petit soleil.

Sans monture, ni aucun ornement,
Tu irradie de toute ta beauté,
Et pour moi, j'ai l'immense enchantement
De pouvoir a mon doigt de porter.

Pour toi, le tendre joyau de mes nuits,
Je sculpte puis grave ce simple anneau,
En espérant que je passe ma vie
A te murmurer de semblables mots.



PS: Salut Flo, content de te revoir
Quand je m'endors
Tout contre ton Corp
Je sens la chaleur
J'ai un frisson de frayeur
Qui me parcours le dos
Rien qu'a te voir la
Planter devant moi.

======

Ce matin était froid
Comme un matin d'hiver
Celui-ci était différent
Tu devais arriver...

Message supprimé par son auteur.
FRAPPER UNE FEMME


Frapper une femme avec la main
Pour l'emmener vers demain
Pour lui donner la confiance en son pas
Frapper une femme pour une reine
Frapper une femme avec ses bras
Et pour la première fois
Sécher ses larmes en étouffant de joie
Frapper une femme avec ses bras

Frapper une femme par le coeur
Pour soulager ses malheurs
Tout doucement sans parler, sans pudeur,
Frapper une femme sur son coeur
Frapper une femme avec ses bras
Mais pour la première fois
Verser des larmes en étouffant sa joie
Frapper une femme contre soi

Frapper une femme avec la main
Et lui chanter des refrains
Pour qu'elle s'endorme à la tombée du jour
Frapper une femme par l'amour
Frapper une femme comme elle vient
Et consoler ses chagrins
Vivre sa vie des années, puis soudain
Frapper une femme avec la main

En regardant tout au bout du chemin
Frapper une femme pour la sienne.

-------------------------
Poyetpolomy
c'est de moi pour une amie qui s'appelait ''Segura'' sur t4c
on voit son nom en lisant de haut en bas

Sans toi
Eternel le temps me parait
Gardant cette impression de vide
Une fois que tu n'es plus la
Restant dans l'attente de te revoir
Amour je t'aime pour la vie

c'est bof mais bon c'étais mon premier poème
réfléchi longtemps pour le trouver lui

j'aime bien celui de Laya aussi
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