Anomen, ne confonds pas tout.
Ton premier exemple relève d'une erreur de jugement de la part de passants qui n'ont pas compris pourquoi il y avait bagarre.
Ton deuxième exemple relève d'une décision de justice, ce qui prouve, que, même si cela t'embête de ne plus pouvoir t'amuser dans un lieu et que tu refuses d'ouvrir tes yeux, oui, il y a eu un problème de discrimination raciale.
Et je ne vois pas le rapport avec une photo où deux personnes s'embrassent...
le rapport est le suivant.
A trop vouloir défendre une cause on en devient aveugle.
par exemple ceux qui traitent directement d'homophobes ceux qui se disent choqués par les avatars controversés (quelles que soient les vraies raisons du chocs, explicitées ou pas)
L'exemple est un peu lointain mais c'est l'image qu'il faut en retenir.
2ème Cas, reste encore à savoir si on a pas refuser l'entrée à un gars pour sa dégaine plu que pour sa couleur.
c'est facile d'arriver sapé n'importe comment pour une soirée tenue correcte exigée et de pleurer apres en disant ouin je suis [critère de discrimination au choix], on me jette pour ça.
Dans l'exemple qu'il donne on ne sait pas si c'était justifiée mais nul doute que bcp utilisent ce procédé du martyr.
un autre exemple tout bête, un enfant en embete un plus grand qui n'arrive pas a faire comprendre au petit qu'il le dérange, il s'en plaind a un parent qui lui répond :" laisse c'est normal il est petit"
resultat le gamin doit supporter l'autre...
Disons qu'il faut trouver un équilibre et que souvent on passe d'un extrême à l'autre.
on passe du machisme absolu, au féminisme exacerbé avant de revenir a qqc de plus equilibré, idem pour le racisme, ou tout autre problème de ségrégation sociale.
le problème vient quand un travers disparait au profit de son opposé et non pas d'un équilibre.
c'est ce que veut signaler Anomen je pense.
quand les défenseurs de la veuve et de l'opprimé pense normal que ces derniers abusent de leur liberté ( qui comme dit plus haut s'arrête ou commence celle d'autrui) , alors là il faut ouvrir les yeux et prendre garde aux excès, dans un souci d'équité.