Les chevaliers de la table ronde [L'histoire]

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Bonsoir à tous ! Je pensais que faire un sujet sur l'histoire
<<Des Chevaliers De La Table Ronde>> serait intéressant.
J'ai décidé de recopier mon petit livre Et vous faire par de l'histoire, je vous en pris assayez-vous

La naissance D'arthur.

Il y a très longtemps de cela, vivait au royaume de Bretagne un homme étrange nommé Melin, On l'appelait <<L'enchanteur>>
car il possédait cent pouvoirs plus extraordinaires les uns que les autres. Il savait le passé, prédisait l'avenir, pouvait
prendre n'importe quelle apparence, soulever une tour, si haut soit-elle marcher sur un étang sans se mouiller les pieds, faire naître
une rivière, un chateau, un payge.. Bref Merlin l'enchanteur était un Magicien.
Il aimait beaucoup le roi de Grande-Bretagne, Uter Pendragon.Il l'avait aidé à reconqérir son trône après que le traître Voltiger l'en eut chassé.
Or, un jour, le roi décida de se marrier. Il donne une grande fête dans son château de Carduel, au pays de Galles. Tout les seigneurs
des environs vinrent avec leurs épouses et leurs filles.
Parmis eux, il y avait le duc de Tintagel et sa femme, la belle Ygerne, Dès que le roi la vit, il en devint follement amoureux.
Mais la belle Ygerne aimait son mari et le roi se désespérait à en mourir. Il appela Merlin à son secours et lui exposa son tourment.
-Sire, dit Merlin, si je vous aide, me donnerez-vous ce que je vous demanderai maintenant ou plus tard, quel que soit ce que je vous demande ?
Le roi promit.
Merlin fit alors préparer les chevaux et partit avec lui pour le château de Tintagel.
Lorsq'uils arrivèrent en vue de l'enceinte fortifiée, il etait déjà tard. La nuit était venue, sombre, sans étoiles ni lune.
Merlin cueuillit une touffe d'herbe et ordonna au roi de s'en frotter le visage. Il obéit et vit avec stupeur que ses traits et son corps étaient devenus
absolument semblables à deux du duc de Tintagel !
Tous s'y trompèrent : les guetteurs qui, croyant reconnaître leur seigneur, abaissèrent le pont-levis, les valets d'armes, les serviteurs etc.. la belle Ygerne
qui, le prenant pour son mari, passa la nuit avec lui.
Le roi repartir au matin, plus amoureux que jamais. Or, la semaine n'etait pas achevée qu'on apprenait la mort du duc. Il avait été tué au combat cette même nuit ou la belle Ygerne l'avait cru de
retour.
Elle en fut très toublés mais n'osa parler à personne. Elle était désormais veuve, le roi demande sa main. Elle accepta. Toutefois, par honnêteté, elle lui conta comment, une certaine nuit très
sombre. Elle avait cru voir son mari. Le roi sourit. Mais elle ajouta que, de cette étrange nuit, un enfant allait naître. Là, le roi soupira car ile ne pouvait lui révéler sa supercherie, Ils décidérent de garder cette
naissance secrète.
Merlin, alors, se présenta devant le roi et lui rappela sa promesse. Il voulait l'enfant. Le roi le lui donne. Melin le confia à l'un des plus nobles chevaliers du royaume, Antor. Sa femme elle même le nourrit de son lait aux cotés de leur propre fils, Keu.
L'enfant avait été appelé Arthur. Et nul ne se doutait du fabuleux destin qui l'attendait


La suite demain, dans la journée ! @+
Suite.

Arthur devient roi

Arthur avait seize ans et vivait toujours auprès d'Antor qui l'élevait comme son propre fils - Lorsque mouru le roi Uter Pendragon. Le Royaume restait héritier, et une terre sans maitre ne vaut guère ! Les grands barons, ne pouvant se mettre d'accord sur le choix d'un nouveau roi, allèrent demander conseil à Merlin.
-Dit nous qui choisir ! Nous te faisaons confiance.
Merlin répondit après avoir réflèchi.
- Ce sera bientot Noel. Reunissez pour cette fete tout les nobles du royaume et attendez le signe que dieu vous enverra.
Tout se réunirent donc, la veille de Noel, à Logres, autour de l'archevêque. Antor était venu avec Arthur et son fils Keu.
Chacun attendait le signe que Merlin avait annoncé. Or, le matin de Noel, en sortant de l'église, tous virent, devant le porche une pierre carrée. Venu d'ou ? Nul ne le savait ! Les uns disaient, <<du ciel>>, les autres, <<du diable!>>
L'archeveque s'en approcha. Une épée etait enfoncée dans la pierre jusqu'à la (1) garde -, et le (2)pommeau - portait, gravé en lettre d'or : <<Celui qui pourra retirer l'épée sera roi.>>
Tous les nobles commencèrent à se disputer pour savoir qui serait le premier à tenter l'entreprise, tant elle semblait facile !
Ils déchantèrent vite : aucun ne put enlever l'épée.
Les adolescent regardaient, moqueurs, leurs aînés.
- Pourquoi ne pas essayer moi aussi ?
Demanda Arthur.
On le leur permet. Arthur s'avanca vers la pierre, saisit l'épée, tira. Elle vint aussi aisément que si elle avait été plantée dans du beurre !
Tous regardaient, stupéfaits. La lame de l'épée étincelait comme une poignée de cierges allumés. Elle portait gravé son nom : Excalibur.
Les grands barons, revenus de leur étonement, gronèrent : Etait-il possible que ce jeune homme, qui n'etait pas encore chevalier et dont la naissance était obscure, fût le roi désigné par le ciel ?
L'archevêque les apaisa.
- Attendons la fête de la Chandeleur, dit il avec sagesse. Nous renouvellerons l'épreuve et, après seulement, nous déciderons.
Mais, quand vint la chandeleur, il fallut se rendre à l'évidence : Arthur, et lui seul, pouvait retirer l'épée fichée dans la pierre.
Le signe du ciel etait clair. Mais les nobles se désarmaient pas encore !
Ils demanderent à Arthur de repousser jusqu'à la Pentecote, la cérémonie du sacre qui le ferait roi. Ainsi, pensaient-ils, ils auraient le temps de le juger.
Conseillé par Melin - qui était resté auprès de lui-, Arhur accepta. Et il se conduisit si généreusement et si loyalement qu'il s'attira l'estime de tous les grands barons. Ils ne purent trouver en lui le moindre defaut et durent s'incliner.
Merlin leur révéla alors le secret de sa naissance et comment ils avaient élu, sans le savoir, le fils de leur roi défunt. La satisfaction fut grande chez tou.
Arthur fut couronné roi le matin de la Pentecôte.
Tenant l'épée Excalibur entre ses mains jointes, il l'éleva et jura de faire règner sur la terre, dans la mesure de ses forces, la paix, la loyauté et la justice.


(1) Garde - Rebord placé entre la lame et la poignée, et servant à proteger la main.

(2) Pommeau -Tête arrondie de la poignée d'une épée.


La suite très prochainement @+

P.S : Vous voulez la suite ?
Je continu ou pas ?
Re: Les chevaliers de la table ronde [L'histoire]
Citation :
Provient du message de Messire Elaydith
J'ai décidé de recopier mon petit livre
Lequel justement ? Parce que des histoires d' Arthur, y' en a un paquet
J'écris l'histoire ce soir, désolé j'ai cours aujourd'hui il faudra pacienter.
Citation :
Provient du message de Fenrhyl Wulfson
Sûrement pas une version ancienne. Dans ces versions les noms sont gaéliques et presque imprononçables
D'ailleurs ici on a droit à une version très "chrétienne" du mythe ...
Citation :
Sûrement pas une version ancienne. Dans ces versions les noms sont gaéliques et presque imprononçables
Tout a fait, c'est pas une vieille version

Bon la suite de l'histoire est pour ce soir désolé je dois filer en cours, a ce soir !
Le Mariage D'arthur

Le serment fait au jour du sacre fut bien vite mis à l'épreuve. Le roi de Carmélide, Léodagan, fut attqué traitreusement par son voisin, le routable Claudias de la Déserte. Léodagan était vieux, les forces des deux armées inégales. Il etait à craindre qu'il ne fut vaincu.
Pourtant, Arthur hésitait à quitter sa terre pour secourir Léodagan. Mais Merlin - dont il ne pouvait plus se passer tant il appréciait ses conseils - le convainquit de lui prêter main-forte.
Arthur partit donc, accompagné de Merlin et de quarante Chevaliers. Ils arrivèrent en Carmélide au début du combat. On apercevait les premiers 1-coureurs- ennemis et la fumée des incendies. Merlin déploya sa 2bannière- brodée d'une tortue et d'un dragon qui semblait cracher des flammes. Arthur et ses compagnons s'élancèrent dans la bataille.
Les lances se heurtaient, les épées frappaient les heaumes et écus. On aurait cru entendre le tonerre !
Les hommes de Léodagan furent vite en mauvaise posture. Le roi lui-même tomba à terre, son cheval tué d'un coup de javelot. Les ennemis l'entouraient il était perdu ! Mais Merlin veilait. Il donna un coup de sifflet. Un vent violent se leva, fit tourbillonner des flots de poussière qui aveuglèrent les soldats de Claudias. Ils s'enfuirent et, pour achever leur déroute, le dragon peint sur la bannière de Merlin se mit à cracher de vraies flammes sur les tentes ennemies qui s'ambrassèrent aussitôt. Après cette victoire, le roi Léodagan conduisit Arthur, ses quarante chevaliers et Merlin jusqu'à son palais. Sa fille, la belle Guenièvre, était là pour les acceuillir. Dès le premier instant ou elle vit Arthur, il lui plut. Et lui, de son côté, ne pouvait détourner le regard de ses tresses blondes et de ses yeux rieus. Merlin, qui conaissait l'avenir, eut un sourire amusé. Il savait que ces deux là allaient bientôt se fiancer et que la belle Guenièvre serait reine aux cotes D'arthur. Ce qui se fit un peu plus tard.
Par un beau jour d'été, devant tous les barons des deux royaumes assemblés, les nobles, les bourgeois et le peuple, Guenièvre épousa Arthur. On dansa au son des violons, des flûtes et des chalumeaux, on fit bombance. Le vin coula à flots. Ce fut un beau mariage dont les gens se souvinrent longtemps.


1Coureurs- Eclaireur
2Bannière- Drapeau d'un seigneur à la guerre

A bientôt, la suite très prochainement..
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