[Orcanie] O toi Berserker

 
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Les gémissements de leurs ennemis,
La plus somptueuse des mélodies,
Leur rappelèrent à grands cris,
Combien ils adoraient Modi.

Car il n’y avait rien,
Rien que les clameurs des combats
Et le son de la vie qui s’en va
Qui témoignaient de leur bien,
Le plus cher et le plus précieux,
Celui de tuer comme des furieux.

Car les enfants de Modi,
A jamais sont bénis,
Dans le sang et les cris,
De leurs ennemis.

O toi qui ne connaît pas nos terres,
Sache que notre peuple est impitoyable,
Et que c’est au cœur de l’hiver
Que nous vivons, insatiables.

Car rien ne peut nous nourrir,
Que le cri d’un homme qui se prépare à mourir,
Car nous sommes ce que nous sommes,
Les plus braves et les plus dangereux des hommes.

Nous sommes les fils de Modi,
Les incarnations sauvages de notre déesse,
Et nous semons désespoir et détresse,
Dans le cœur de nos ennemis.

Nous sommes les Berserkers,
Fiers et sans peur,
Et il n’existe d’autres récompenses à nos yeux
Que celle de vous renvoyer a vos aïeux
Et de voir dans vos pleurs,
Une insondable terreur.


Kreick, La Main de Modi,
Berserker pour toujours
RolePlay n'est pas faire des poèmes (fleur bleue ou autres), accessoirement l'introduction d'une histoire plus palpitante ?

Je salue tout de même l'effort le texte était sympa.


<Attend la suite sous forme d'histoire>


Au Plaisir
__________________
"Sans souffrance, n'existe la gloire."
si si c l'intro n'en déplaise a thae mais la suite est pas évidente à péparer mais c pas pour tout de suite et puis de toute facon peut on parler de poeme, il ne s'agit pas de charmer les donzelles avec quelques mots d'amour mais un cadeau a modi, pas aussi beau que le crâne élégant d'un avalonien mais ca fera l'affaire en attendant
Citation :
Provient du message de loulou
T'en feras plus des poemes en 1.62
lol, peut importe le nerf de la 1.62, j'aime ce perso, je le lacherai sous aucun prétexte.
Quant a la 1.62, je suis pas testeur chez mythic, je trouve que ca me parait un peu abusé, pas injustifiée, seulement trop drastique a mon gout. Mais bon qui vivra verra et étant donné la 1.62d et la réhausse de certains style je suis confiant
Par contre je trouve que ce genre de remarque n'a pas vraiment sa place sur ce post si tu veux me dire que mon tit essai est bien tant mieux, si tu le trouves pourri, tant pis mais bon je me demande ce que veut dire ce genre de remarque
Message roleplay
Moi je le trouve très bien ce poème, mais après la version Zerk, je te propose la version Sicaire


Natacha (Sicaire sans âme)

Je suis née sur les flancs d’une colline une nuit d’orage.
Abandonnée au loin sur les routes sauvages.
Je suis née d’un champ de bataille tel un typhon .
De parents depuis disparus dans son tourbillon.

J’ais grandis entourée de forêts seule et sans amis.
Loin de tout, avec les animaux pour seule compagnie
J’ais grandis entourée des arbres et des obscurités.
Loin de tout, le silence est devenu mon unique allié

Puisqu’il me faut vivre et lutter.
Dans la souffrance de mon âme tourmentée.
Puisqu’il me faut toujours aller dans la pénombre.
Dans le dédain, je suis la longue route des ombres.

Chez l’ennemi, la nuit sera rude sous les frondaisons.
Je suis la mort qui en chemin frappe minutieusement.
Leurs corps sans vie au levé du jour en guise d’avertissement.
Chez l’ennemi, par ma lame effilée recouverte de son poison

Leurs doigts crispés sur le sol sanglant.
Leurs cadavres autour de moi.
Craignez la vengeance d’une enfant.
Qui ne respecte que sa Loi..

Je parcours les ruelles sombres,
Me déplaçant dans l’ombre des cités.
Je parcours les forêts sombres,
Me faufilant dans les fourrés.

Et chaque nuit qui passe,
Annonce l’agonie d’un ennemi.
Un crie perçant dans la nuit,
Annonce une mort dans l’instant.

A peine une sensation de frôlement,
Un geste ample et sans bruit
A peine sur la gorge un glissement,
Un contrat bien remplis.

Joie de sentir le sang couler,
Prodigieuse lame effilée.
Plaisir de voir une vie s’étioler,
Merveilleuse lame empoisonnée.

Douce saveur chaude et cuivrée,
Est de voir la vie s’échappant.
Douce euphorie que d’assassiner,
Est de voir le sang s’écoulant.

Une âme de plus délivrée,
Un cadavre de plus gisant.
Une vie de plus supprimée,
Un corps de plus pourrissant.

Pour Moi qui suis damnée sur cette Terre.
Que le Démon m’emporte si m’a vie doit finir.
Pour Moi qui suis blessée par la Guerre.
Que la Mort emporte chacun de mes souvenirs.

Et quand ce jour venu, je ferais mon long voyage.
Que l’on ne me rende aucun hommage.
Et surtout qu’il ne pleure personne.
Que je ne veut pas que l’on me pardonne.

<Quoi de plus délicieux que de trancher une carotide et de sentir le souffle de la victime contre son visage lors de sa mort>


Natacha, jeune sicaire d'Abion Orcanie
 

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