Ah mon cher EtAprès... Je ne saurais dire plus sur ce cas précis, n'étant pas brodeur, hein
Cette exception telle que donnée dans ton dernier lien, un coup je m'y fie sans pudeur, un coup j'évite au profit d'une tournure ennemie.
On lui trouvera pour avantage d'être justifiée (lien synapse), et pour désavantage d'avoir des justifications et donc usages divergents (la dimension d'absolu). Comment trancher, à qui se fier ?
Peut-être sommes-nous à l'un des ces carrefours du bout du monde où à force de paramètres c'est à nos instincts personnels et à notre "habitus" de trancher ?
Faut avouer qu'il y a des moments où un terrible relativisme sort de l'ombre quand on ne l'attendait plus. Je songe à certains cas d'accord/désaccord de participes passés qui me laisseront dans un doute insondable jusqu'à la fin des temps. Exemple :
"Lorsque "en" est associé à un adverbe de quantité tel que "combien, tant, plus, moins, beaucoup, etc." les règles sont si byzantines et si contestées que le parti le plus sage est de laisser le participe toujours invariable. Ex : J'en ai tant vu, des rois. (Hugo)". (Bescherelle).
Comme c'est croustillant cette tournure, alambiquée comme un aveu honteux, venant du bescherelle himself
Bon, il faudra ouvrir un fil grammaire un des jours - qu'on s'y vautre dans un fange fossilisée, à l'abri des hs.
Ravi d'avoir eu de tes nouvelles
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