[VN board] Poème à l'intention des français

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Citation :
Eleven thousand soldiers
lay beneath the dirt and stone,
all buried on a distant land
so far away from home.

For just a strip of dismal beach
they paid a hero's price,
to save a foreign nation
they all made the sacrifice.

And now the shores of Normandy
are lined with blocks of white
Americans who didn't turn
from someone else's plight.

Eleven thousand reasons
for the French to take our side,
but in the moment of our need,
they chose to run and hide.

Chirac said every war means loss,
perhaps for France that's true,
for they've lost every battle
since the days of Waterloo.

Without a soldier worth a damn
to be found in the region,
the French became the only land
to need a Foreign Legion.

You French all say we're arrogant.
Well hell, we've earned the right--
We saved your sorry nation
when you lacked the guts to fight.

But now you've made a big mistake,
and one that you'll regret;
you took sides with our enemies,
and that we won't forget.

It wasn't just our citizens
you spit on when you turned,
but every one of ours who fell
the day the towers burned.

You spit upon our soldiers,
on our pilots and Marines,
and now you'll get a little sense
of just what payback means.

So keep your Paris fashions
and your wine and your champagne,
and find some other market
that will buy your aeroplanes.
And try to find somebody else
to wear your French cologne,
for you're about to find out
what it means to stand alone.

You see, you need us far more
than we ever needed you.
America has better friends
who know how to be true.

I'd rather stand with warriors
who have the will and might,
than huddle in the dark with those
whose only flag is white.

I'll take the Brits, the Aussies,
the Israelis and the rest,
for when it comes to valor
we have seen that they're the best.

We'll count on one another
as we face a moment dire,
while you sit on the sideline
with a sign "friendship for hire."

We'll win this war without you
and we'll total up the cost,
and take it from your foreign aid,
and then you'll feel the loss.

And when your nation starts to fall,
well Frenchie, you can spare us,
just call the Germans for a hand,
they know the way to Paris.

Don Fichthorn, Major USMC (Retired)
Et voici le débat de ces chers joueurs américains qui n'a pas été locké encore.
ouch !!

Meme si je ne suis pas d'accord avec les US sur le coup de l'Irak... je dois avouer que c'est extremement bien envoyé ... meme si c'est pas tout vrai ... oh je vais me faire flammer, tant pis, moi j'aime le poeme (mais je dis pas qu'il a raison hein ? )
Citation :
Provient du message de Katsuko

two words : remember Lafayette you short memories donkey !
Un posteur a fait cette remarque et il c'est vu répondre que si on avait aider les Américain à l'époque c'était juste pour pouvoir enfin gagner une bataille contre les anglais car c'est bien connus à l'époque on était déjà des looser qui mangent du fromage qui puent. ^^

Devant de tels arguments j'hésite entre et , bon je crois que ça sera
C'est con il y en a pas un pour rappeler que les américains ont aussi pilonnés la France de bombe avant d'intervenir au sol durant la seconde guerre mondiale.
En gros ce sont des mâcons, ils détruisent pour relancer l'économie au travers la reconstruction.
Enjoy.

Il y a quand même des remarques pertinentes sur les pages de ce site VNBoards.
Si les americains comprenaient le francais (malheureusement, ils sont rares) je leur repondrais bien par :
Citation :
J'vous préviens qu'si y'a la guerre,
arrêtez-moi tout de suite,
venez voir dans mes affaires
dans mon logement dans ma suite,
y'aura deux trois déserteurs,
des polissons réformés,
qui chanteront la main au cœur
des chants d'ukrainiens bourrés.
Et si y'a révolution arrêtez-moi tout de suite,
venez-voir l'habitation qui entoure ma suite,
y'aura de bonnes préparations,
des cocktails façon maison,
des tire-flemme et des lance-cœur
et des pistolets porte-bonheur.
Mais faudra pas venir pleurer
si après vous êtes tous tués
et que nous, même emprisonnés
on soit tous en train de chanter.

Et j'vous préviens qu'si y'a combat,
arrêtez-moi tout de suite,
venez-voir en bas d'chez moi,
dans le jardin de ma suite.
Les ch'veux longs pour armement,
des slogans à tout bras l'vent :
faites l'amour le plus souvent
et pas la guerre évidemment !
Mais faudra pas venir pleurer
si après vous êtes tous tués et que nous,
même emprisonnés,
on soit tous en train de fumer la ganja.

Et j'vous préviens qu'si y'a manif,
arrêtez-moi tout de suite,
venez-voir là où j'habite,
dans ma maison sans calife.
Où il fait bon préparer
des chants pour manifester,
avec des paroles anarchistes
et des refrains je-m'enfoutistes.
Mais faudra pas venir pleurer
si c'est bien ensoleillé
et qu'on préfère picoler
à la terrasse d'un café.
Et si y'a une trahison,

cherchez pas plus loin qu'ma suite,
prenez l'adresse de ma maison
et rendez-y vous très vite,
moi et mon frère on est espions
et mes sœurs c'est des bouffonnes,
les secrets d'état mon fion
contre un coup à boire on t'les donne.
Mais faudra pas venir pleurer,
si on vous ment à volonté
et qu'pour fausse information,
vous soyez tous dégradés.

Et même si on r'monte le temps,
arrêtez-moi tout de suite,
venez voir l'appartement qu'était là avant ma suite,
y'aura bien sûr toutes les sorcières,
les crânes tondus, les juifs allemands,
Jésus, Judas et mon grand-père,
celui qu'a déserté lâchement.
Mais faudra pas venir pleurer,
si votre époque elle est ruinée
et qu'on puisse lire
notre vie dans toutes vos encyclopédies.
Et j'vous préviens qu'si y'a la paix,

arrêtez-moi tout de suite,
venez-voir dans le palais qui orne ma suite,
y'aura tous les clandestins,
les zonards et les cousins,
les matelots anarchistes
et les pédés trapézistes.
Mais faudra pas venir pleurer,
si on est tous en bonne santé
et qu'dans votre dictocratie,
on y foute l'anarchie.

"Grand Mere", Les Ogres de Barback
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