[punisher]

Belle journee pour mourir voila ce qu'il pensait etendudans l'herbe de ce debut de printemps
Fin d'une journee qui avait pourtant commence d'une maniere des plus banale:un appel au arme pour boute les envahisseur de nos frontiere
Par habitude il avait repondu present,preparent son arme,verifiant son armure.Au moment du depart il regarde ses compagnons de bataille,tres peu de visage connut,il s'en moque,la plupart de ses amis ou connaissance ont posez les armes ou son mort.Il s'en moque il est parti fair la seul qu'il sache fair maintenant,frappe les gens ou les choses jusqu'a ce quel se casse.
Apres le trajet,toujours le meme habituel et previsble,parseme de si de la de quelque eclaireur adverse qui verseront le premier sang de cet journee de bataille.
Arrive a la tour de Dakon,il guette l'ouvertur de la porte qui donnera le depart a un flot d'ennemi,aussi redoutable,infatigable,qu'ininterompu.
Quelque chef de guerre essai de galvanise les troupes hiberniennes.Il s'en moque,il est la pour fair mal casser quelque chose de beau,sa ration quotidienne de barbari et de douleur.
Au loin les portes de la muraille s'ouvre,donnant le depart de la charge.Il n'est pas en premiere ligne,certainement pas en derniere,il cherche sa cible,le plus faible,la brebis egaree du troupeau,il la trouve un jeune breton en tenu de plate rutilante qui s'elance fougueusement en tete des troupe albionnaise,profitant de sa jeunesse et de son manque d'experience,apres quelque coup de marteau bien place,il l'abat froidement,nouvelle victime d'une guerre d'on beaucoup lui comprit on oublier le but et les origines
et la il la voie une jeune sicaire,non une enfant,tenant ces lames tache du sang de l'enchanteur qui git a ses pieds.
Il la regarde si jeune et en meme temps pleine de rage,deja detruit par cet guerre dont elle ne vera probablement jamais la fin,tombe elle aussi comme beaucoup d'autre sous les coups de ses compatriotes ou sous ceux des barbares midgardien.
Elle s'approche de lui,le combat n'est plus la pour lui,il ne reste que cet jeune sicaire et lui,il ne bouge pas terrasse par la prise de conscience de se qu'il est devenu.Elle est toute proche,belle et sauvage.....douleur,il tombe un poignarg enfonce dans son flanc.
Terrasse par sa prise de conscience,il entend de nouveau le choc des armes et les cris d'agonie,il est calme serein,presque heureux.Il se demande combien de ses anciens compagnons d'armes,ses amis sont tombe sous le poids de ce qu'il vient de comprendre.Un corps tombe a son cote,c'est elle son assassin abatu d'un coup d'epee dans le dos,elle n'a pas sa chance,la vie la deja quitte.
Il use de ses dernieres forces pour une derniere fois voir le ciel.
Il est detendu,heureux meme semble t'il d'etre enfin debarasse de ces luttes inutiles.
Le ciel est bleu,le soleil est a son zenit.
Une belle journee,une tres belle journee pour mourir.
Il sourit et sombre dans le neant.




P.S:vala vala,je voulais essaye le rp pour ne pas mourir idiot,je remercie ceux qui seront arrive au bout,cela etant probablement tres (trop??)long,m'enfin voila c dit

P.S bis:s'il vous plait pitie essaye de ne pas etre trop mechant dans vos commentair (en plus g du me gave en orthographe):ange

[Inv-]

Va mourir koi :/

[Dhole]

c po trop long ...
c po assez aéré ... quel pavasse

[| Ak3LA |]

Le fracas des armes s’était depuis longtemps stoppé, et celles-ci traînaient, éparses autour de la muraille, lieu saint de la guerre.
Du sol jonché de cadavres se levait une puanteur pesante, mélange de crasse, de boue et de sang a moitie coagulé.
Voila le sort que les hiberniens réservait à leur ennemis, voici l’avenir de la belle Albion si ceux-ci persévéraient à entrer en nos territoires.
Une fin logique pour tous ces guerriers tombés pour une fausse cause, pour suivre un homme ou une idée viciée a la base.
La guerre ne fait pas de nous des héros, mais des assassins, et nulle gloire ne peut en être retirée.
Mes problèmes ne sont plus ici, ma tristesse est déjà grande et mon cœur meurtri a l’extrême ne peu qu’être insensible à cette vison de boucherie.
Le soleil se reflète rouge, comme le sang qui a couler sur ces armures trop belles, trop neuves.
Je le vois trop bien
Je le sens trop bien
Je suis louve, et ma démarche hésitante peu paraître trompeuse, mais je suis a la recherche de nourriture et ce champ de cadavre ennemis n’est rien d autre pour moi qu’une vaste réserve de nourriture que les corbeaux on déjà commencer a entamer.

Une odeur familière
La bas, un corps que je semble reconnaître, ma truffe hume, mon sang bat a mes oreilles si fort que je n’entend même plus le bruit sec des becs des charognards déchirant les chairs, ma salive dégouline le long de ma gueule car la faim me rend folle mais je crois ressentir un……..ami ?
Il est la allongé
Mon poil se hérisse, des frissons me parcourent l’échine, la faim me tenaille et a portée de mes crocs se trouve ce qui fut un beau guerrier, un celte fier mais maintenant un morceau de viande sur le sol…
On dirait…j’ai l impression….qu’il tendait la main vers cette petite, comme s’ils étaient mort en même temps mais que dans un dernier élan il avait voulut lui caresser le visage…

La bête prend le dessus sur moi, j’ai faim et le soleil abîme la nourriture.
Ce soir ma meute aura à manger…
Et mon ami ne me quittera plus jamais, car à présent, il est en moi…

Ennemis, vous ne connaissez pas notre sauvagerie, pour ne pouvez apprendre notre mode de vie et de toute façon, nous somme les plus barbares de tous…
Sous ma forme animale, louve solitaire…
Non
Je ne ressent a présent plus rien.
Tu es en Moi guerrier, dorénavant ta rage sera la mienne….