L'Histoire d'Atys

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Un nouveau fil est lancé sur le forum. Un grand merci pour l'idée originale à ...........(je tairais le nom suite à sa demande)
Ce sujet sera exclusivement RP, et racontera une histoire que vous pourrez compléter.

En fait la grande originalité est due à :
  • Un résumé des messages qui sera réalisé régulièrement, afin de ne pas perdre le fil du sujet.
  • Le nouveau sujet repartira du résumé et permettra à tous de prendre le fil en route.
  • A la fin de chacune des réponses, de 2 à 4 propositions seront à réaliser par le posteur, afin de définir des options pour continuer le fil (et ne pas finir en sucette au bout de 10 réponses ).
  • Pour reprendre la suite de l'histoire, juste un petit mot "la suite pour moi" que vous éditerez en postant
Toute personne présente sur ce forum peut participer a cette histoire. L'expérience a été volontairement lancée avant que le BG officiel de Ryzom ne soit trop précis pour éviter que vos imaginations ne soient bridées.

Le but est de jouer le rôle de vos personnages. Bien entendu cela ne vous empêchera pas de faire un tout autre BG lors de la sortie du jeu.

Les commentaires HRP devront être limités et mis en italique.
Amis Ryzomiens, à vos plumes et soyez imaginatif.



*******


Un rêve….Mais était-ce un rêve ou une prémonition.
A son réveil, Dag ressentait encore l'étrange présence dans son esprit, et la vision des différents lieux parcourus. La vallée où s'ébattait et fleurissait tant de créatures et de plantes, il allait falloir en franchir la limite, et se mettre à la recherche de compagnons.
Laisser ces territoires amis, pour suivre son destin. Abandonner la douce chaleur de son foyer et du feu qui réchauffe le soir, dans la nuit étoilée.

Il sembla que des noms, des paroles furent prononcées pendant ce voyage de l'esprit, que milles dangers guettaient et se préparaient à voir partir de nombreux aventuriers au travers d'Atys.
Tous convergeraient vers un même lieu, le but ultime n'étant pas connu, mais tous ont fait le même songe, cela ne peut être autrement.
Mais voilà, quand ? Cette question s'imprégna dans son esprit, et même revêtir ses plus beaux atours ne lui sembla pas un réconfort en ce jour.
Quand dois-je partir ? cette question revenait inlassablement…..

Demain !! La réponse vient aussi soudainement que ses forces l'abandonnèrent, en pensant à cette vallée qu'il devait quitter.

La journée fut ensuite vouée aux préparatifs. Des vivres, des vêtements, de quoi se défendre, tout fut rapidement prêt, et une note vite rédigée.
"Je pars, je le dois. J'en reviendrais plus fort, ou je ne Reviendrais pas". Il apposa sa marque étoilée soigneusement en guise de signature et disposa la note sur sa couche, avant de partir.

[Les rêves et les préparatifs]
[Une rencontre]
La hutte de bois était vide ...

Avec lassitude nanoko s'accroupit un instant, des traces de pas étaient encore visibles et se dirigeaient au loin vers cette vallée.

Le desert avait bien failli avoir eu raison de ses dernières forces, mais l'oasis régénérateur trouvé par hazard avait changé la donne.

Quelle idée de naitre en plein desert quand la planète mère pouvait etre avec ces vallées verdoyantes aussi enchanteresse. Elle préférait de loin ces paysages apaisants.

Un bruit de papier froissé l'a fit se retourner, quelques mots avaient été ecrit à la hate,

"Je pars, je le dois. J'en reviendrais plus fort, ou je ne Reviendrais pas"

Ainsi elle ne s'était pas trompée, il faut dire que les traces laissées étaient grossières,

ou bien les sables du desert avaient affutés sa vue,

quelques grains de sable déplacés étaient déja pour elle une evidence,

la différence entre une proie et un prédateur,

entre la vie et la mort.

Décidemment le desert hostile l'effrayait, la seule idée d'y retourner l'angoissait.

Elle se releva et décida de suivre l'inconnu à la trace vers vette vallée.
Un reve plus realiste que les autres l avait mis en route. Lui qui s etait jure de n etre dicte par aucun tyran etait a la merci d un simple songe. Plus il y pensait, plus il se disait que c etait stupide et qu il perdait du temps a faire ce detour. Mais il devait se rendre aux ruines du temple tout au Nord. Il sentait que quelque chose se passer.

Atys est regis par un equilibre subtil : la lune prend la place du soleil, la mort celle de la vie. Mais si par malheur, il arrivait quelque chose aux shaman gardien du temple alors de la partirai sois le jour et la vie assurant famine et affaiblissement d Atys au bout de quelques generations, sois la nuit et la mort qui plongerai ces contrees dans la desolation la plus totale.

Or dans ce reve la noirceur d une nuit sans lune, noire et morte s abattait sur le temple. La jeune shaman tentait desesperement de la reequilibrer grace a sa magie blanche mais sans succes. Elle etait happee dans les limbes du vide et la nuit se propageai sans cesse jusqu a recouvrir toutes les plaines, montagnes, lacs et deserts d Atys.

Se fut a ce moment qu il se leva en sueur. Son feu de camps etait eteint. Il plia ses affaires rapidement, et se mit en route pour le Nord. Il esperait au fond de lui que ce ne soit au mieux qu un stupide reve au pire qu une premonition.

Apres cinq jours de marche, AsSaSsiN arrivait enfin aux portes du domaine du temple. Quelques aventuriers y etaient deja present. Certains visages ne lui etaient pas etranger mais il l avait toujours eu du mal a mettre des noms sur les tetes. Ils regardaient tous fixement devant eux comme hypnotiser. AsSaSsiN tourna la tete dans la meme direction pour comprendre et stupeur...

[Nom des personnes presentent en ces lieux, recit de leur voyage et peut etre de leur rencontre entre elle]
[Description de ce qu ils regardent]
Luron était là avec les autres.

Lui aussi avait fait ce rêve étrange.
Des paysages inhospitaliers, des homins inconnus, et des images qu'il ne comprenait pas encore comme ces ruines qui semblaient en prise a des forces maléfiques.
Il était parti dès son réveil sachant que la route serait longue et périlleuse. Ne laissant qu'un mot en guise d'au-revoir a ceux qu'il aimait.
Son jeune age ne lui avait pas permis de voyager a travers Atys, il passait son temps à jouer avec ses cousins dans le lagons et a apprendre la chasse sous-marine avec son père.
Cependent, la route lui était familière, il en avait vu chaque étape dans son rêve.
Ce songe n'était décidément pas ordinaire. Il ne s'effaçait pas de ses pensées, au contraire, plus Luron marchait plus les scènes qu'il avait rêvées revenaient avec une clarté inexplicable.
Il anticipait tous les dangers, il savait si les varinxs qu'il rencontrait étaient affamés ou non, il savait quelles plantes il devait éviter, il savait tout, il avait tout vu, ressenti.... vécu !
C'est après 3 jours de marche en direction du nord qu'il était arrivé aux ruines.
Hypnotisé par ce qu'il y voyait, il s'était approché des autres sans être remarqué.
Ou est le guide.

A qui appartient cette voix qui sans cesse résonne dans ma tête depuis ce jour fatidique.

Maintenant que tous ces homins, conduit ici par la puissance des kamis sont fresques tous rassembler en ce lieu Il devrait apparaître ou au moins se faire connaître.

Jetant un lourd regard sur cette assemblée si disparate, mais néanmoins animée d'une même volonté de savoir, je plonge ma main dans ma sacoche puisant une nouvelle poignée d'encens et la jette dans le petit foyer d'os.

Quelques petites étincelles jaillissent, faisant inconsciemment sursauter certains des homins présents, puis un épaisse fumée odorantes s'élève et me replonge à la genèse de cette rencontre.

C'était il y a deux lunes a plus profond de la jungle alors que les chasseurs Matis après avoir déjouer tout mes pièges et fausses pistes était a deux doigt de me rattraper.
Je m'étais alors enfoncé dans ce grand bosquet accueillant, mais aussi, menaçant.
Et la, alors que grâce a quelques exercices je tentais de recouvrer mon calme et mes forces, ils apparurent comme née de la sylve, et encerclèrent aussitôt le bosquet.
Au nombre d'une vingtaine et aider de deux varynx contrôler par des laisses vivantes, ils allaient enfin savourer le succès de leur chasse en me capturant, moi, leur proie.
Mais la n'était pas mon destin.
Maintenant encore je ne comprends toujours pas ce qui ce passa alors.
Toujours est il qu'ils disparurent soudain a mes yeux comme absorber par la forêt.
Et cela juste avant que je ne sois plonger dans un sommeil peuplé de cauchemars et de rêves.
Et les voix vinrent a moi comme des papillons attirer par la lumière.
Au début ce fut comme un murmure puis celui ci devint chant puis vacarme étourdissant avant de refluer puis de revenir dans un mouvement incessant. Comme la mer se brisant sur la côte.
Je me mis alors en route comme un somnambule. Parcourant des centaines de lieux traversants des dizaines de territoires. Me couchant n'importe où, me restaurants sur ce que me donnait la nature et buvant à même le sol ou dans des racines croisées au hasard de ma route.
Mes vêtements partir en lambeau, mes objets disparurent et c'est nu et fiévreux que j'atteignis enfin le but de ce voyage. Une vielle racine noircie par le temps ayant servi de temple a une meilleur époque.
Je ne sais pas qui m'accueillit alors, mais au lendemain matin de mon arrivée j'étais baigné, pensé et dans une litière de fougères fraiche et propre.
Des vêtements m'attendais, rangés sur un vieux coffre au pieds de ma couche. Et dans ce coffre une série d'outil et d'ingrédients prêt a mon office.
Mais j'étais seul pour le moment.
Ecoutant les voix qui toujours résonnaient dans ma tête, j'entrepris de redonner vie a ce vieux temple sachant que très bientôt il accueillerait d'autres homins.
Puis comme me l'avait dit la dernière voix avant quelle me quitte ils arrivèrent de tout Athys.
Maintenat il n'en fallait plus qu'un pour que le grand dessin entr'aperçut parmi les voix ne s'accomplisse.
Je me souviens : L endroit etait luxuriant de faune et de flore. C etait un havre de paix pour toutes personnes souhaitant se plonger dans la priere et le recueillement.

Le temple etait compose de quatre piliers lies entre eux par de longs couloirs. Chacun d entre eux representait un element et une direction : a l ouest se trouvait des ilots ensoleilles, baignes par l ocean. C etait le territoire de l eau, mere de toute vie. A l oppose comme pour equilibrer, le feu siegeait la avec ces deserts d une aridite sans precedent. Au Nord et au Sud s opposaient le vent et la terre avec une plaine de tornade pour l un et des montagnes infranchissables pour l autre.

Au centre de la construction etait place une tour bien plus importante que les piliers qui permettait l equilibre entre la nuit et le jour. Mais aucune lueur ne s echappait a son sommet comme si la source pour une raison quelconque s etait tarie. Mais que faisais donc le shaman responsable de ce lieu ?

Plus j observais la scene, plus je regrettais d avoir eu raison sur la gravite de la situation.

La nuit ne s arretait pas de rependre sa noirceur, tuant tous ce qu elle touchait.

Je brisa le silence quasi religieux de la scene.

" Je suis AsSaSsiN : Matis rejete par les siens pour avoir eu l odace de me soulever contre mon tyran. Durant cette periode, j ai tue femme enfant vieillard et oppresseurs. Si vous etes present c est que vous avez du faire le meme reve que moi. Vous connaissez surement toutes les consequences de ce qui est en train de se passer. Je vais donc penetrer dans ce temple et tenter de resoudre le probleme. J espere que vous me suivrez "

AsSaSsiN posa sa main sur la lame cachait sous sa cape comme pour se preparer a un combat inevitable et avanca lentement d un pas sur vers la premiere des quatres tours celle de la terre...
Les autres homins regardaient le Matis s'avancer avec assurance vers la tour symbolisant la Terre. Certains parlaient à voix basse, d'autres se taisaient, mais tous se demandaient quelle direction prendre et quel sens donner à ce qui ce passait. Après tout ce lieu était pour beaucoup inconnu et les paroles du Matis ne les rassuraient pas vraiment.
Après réflexion la majeure partie d'entre eux se décidèrent à suivre le Matis, la curiosité était définitivement le défaut de leur plupart des habitants d'Atys. Ils se regroupèrent derrière lui et le suivèrent dans l'imposante construction ...

Une dizaine d'homins restèrent, principalement des Trykers.


Je n'aime pas cette histoire, fit un des Trykers présent, je ne vois pas ce que nous aurions à gagner à entrer là dedans.

Ouais exactement ! lança une voix.

Rentrons chez nous. déclara une autre.

Un Zoraï prit la parole d'une voix lente et grave. Ce site est béni par les Kamis, nous nous devons d'en prendre grand soin et le préserver. Je pense que ... Des bruits de tambours se faisaient entendre. Qu'est ce que ...

Nom d'un Varynx en rut ! Le Tryker s'exclama. Aïe aïe aïe, on est super mal là.

Quoi ? Quoi ? Quoi ? fit une Trykette non loin de lui

La dernière fois que j'ai entendu cette musique enchaîna le Tryker, c'était lorsque Jobs, notre chef de Famille, a fait appel à une sorte de clan de malades pour dératiser une partie de la région de créatures infectées par le Goo. Ma mère que ces gars là, ils ne rigolent pas. Si jamais il y a un réellement un problème ici et qu'ils nous y trouvent, on risque de passer une sale semaine dans leur campement !

On fait quoi alors ? lui répondit la Trykette.

Le Tryker se tourna, se retourna, cherchant à savoir d'où venait la musique, lorsqu'il se trouva face à leur porte de sortie.

Tous dans la tour viiite !

Et les Homins restants pénétrèrent dans le lieu sacré ...

[L'avancée du premier groupe]
[Ce que voit le deuxième]
[Les pas-marrants qui se pointent]
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"I've seen things you people wouldn't believe. Attack ships on fire off the shoulder of Orion. I watched sea beams glitter in the darkness at Tan Hauser Gate. All those moments will be lost in time like tears in rain. Time to die."
Aux abords du marais:
Répondant au signal convenu, les rabatteurs des Sentinelles d'Atys se mîrent à battre furieusement leurs peaux de varynx.
Obéissant à son instinct, les trois Kitinagan fuirent le bruit effrayant, et s'engagèrent sur la piste définie par les Sentinelles, mais presque aussitôt, ils rebroussèrent chemin et se dirigèrent droit vers le templs, passant les rabatteurs sans même les regarder. De toutes leurs traques de créatures corrompues, les chasseurs n'avaient jamais vu ca. Les bête étaient comme mûes par une force incontrôlable, une nouvelle forme de goo?
Devant ce comportement inattendu, une forme de peur les gagna, une peur que leur experience leur avait pourtant appris à mettre de côté. Et c'est avec l'inquiètude de la première battue qu'ils se mîrent en chasse de leurs proies.


Sur le seuil de l'entrée de la tour de la terre, le premier groupe de homins se retourna en entendant les battements de tambour, et vis ceux qui étaient restés commencer à courir vers eux.
Reconnaissant le rythme des tambours, un Fyros se mit a rire d'un rire franc.

"Typiquement Tryker, ce revirement aussi oportuniste qu'irréflechi" Fis remarquer un Matis semblant ne pas remarquer les autres homins qui courraient.
Adossé contre la porte, Uruuck, un Tryker dont le visage portait les marques de longs voyages laissa son regard parcourir le paysage. Reconnaissant un symbole sur la tour du vent qui leur faisait face, une certaine fébfilité le gagna et il alla à la rencontre des premiers Tryckers acourant.


"La Luriah"

Comme une trainée de poudre, ce mot fut répété de Tryker à Tryker, dans un murmure continu.

Soudain le Fyros cessa de rire et son visage trahit sa stupéfaction.
Suivant son regard les homins vîrent débouler dans l'enceinte du temple les Kitinagans, et charger dans leur direction.
Se montrant les meilleurs sprinters, les Trykers furent rapidement tous réunis dans la tour, complotant sous l'oeil agacés des Matis présents.
Dehors, dans sa précipitation un Zoraï perdit l'équilibre et chû!
Derrière eux, l'écho d'une litanie leur parvenais d'un sombre couloir...


[Que va-t-il advenir du Zoraï?]
[Que vont faire les homins dans la tour?]
[Que peuvent bien se murmurer les Trykers?]
[Qu'y a-t-il dans la tour?]
[ ... ]
(je continue sur [Que va-t-il advenir du Zoraï?])

A l'extérieur ...

Que se passe t'il ? fit la Fyros jonchée sur son Mektoub.

Les Kitinagans sont repartis en direction du temple malgré toute l'habilité de nos rabatteurs. Leur revirement a été soudain, ils sont peut-être liés d'une manière ou d'une autre à cet endroit. répondit le Fyros.

Ces Kitinagans ne surviveront pas à une charge de Mektoubs. Nous avons un devoir envers Atys et envers tous les peuples qui nous ont déjà demandé leur aide. Ces créatures finiront leurs jours transpercés par nos lances. déclara un autre Fyros monté sur un Mektoub. Gozmoth, qu'en penses tu ?

Excellente idée Khalzaam*, l'enceinte du temple a l'air dégagé, une charge sera la façon la plus aisée de nous en débarasser. lui répondit Gozmoth. Allons voir où ils sont passés.

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Le Zörai reprit conscience. Où était il tombé ? Oui le temple, la tour. Il se releva doucement, se massant la nuque. Il ne fut pas trop étonné de voir les Trykers disparaître dans la tour avec célérité, ces petits êtres étaient définitivement pleins de ressources quand il le fallait.

Il se penchait pour reprendre à terre son bâton, quand il entendit un grincement sinistre derrière lui. Son sang ne fit qu'un tour, le cri caractéristique des Kitinagans lui était familier et il savait qu'il devait se mettre à l'abri rapidement des chrysalides voraces que les Kitinagans pouvaient projeter. Il prit ses jambes à son cou, courant en zig-zag pour éviter les projections des créatures, cherchant un endroit pour pouvoir se défendre efficacement.

Le Zoraï sauta prestement derrière une grosse écorce d'arbre et en sortit juste la tête pour observer la scène. Ce n'était pas un, ni deux mais trois Kitinagans qui l'avait repéré. Il ne courrait pas aussi vite que les Trykers, il aurait dû mal à rejoindre la tour sans se faire toucher par une larve.


Hhhyaaaaaa !!! Une voix stridente, un cri de guerre Fyros !

Gozmoth, Khalzaam et d'autres Homins montés sur Mektoub, chargèrent à travers l'espace du temple en direction des Kitinagans. Armés de leur longues lances et portés par leurs montures, ils ne laissèrent guère le temps aux Kitinagans de se retourner. Les pointes acérées de leurs armes les transpercèrent entièrement, les tuant sur le coup.


Brûlez les corps ! Pas une seule larve de ces vermines ne doit encore bouger. cria la leader Fyros.

Le Zoraï ne bougea pas de suite, il préféra sagement attendre que la troupe se disperse et s'en aille. Toutefois son plan tomba rapidement à l'eau, des étendards représentant un clan bien connu sur Atys furent dressés dans l'enceinte du temple.

"Est ce alors une aide providentielle des Kamis ?" se demanda le Zoraï. Il se leva alors et marcha vers les deux leaders qui étaient en pleine discussion.


* : <tire Khalzaam par l'oreille> allez toi aussi tu t'y mets !

Note : je préfère prendre mon temps pour ramener des personnages dans l'histoire, ça évitera de trop partir dans toutes les directions. Donc je vais essayer de me focaliser sur ce qu'il se passe dans la tour maintenant, on reprendra avec les autres une fois tout le monde sorti !


[Que découvrent les Homins dans la tour ? (qu'est ce que la litanie)]
[Que complotent les Trykers ?]
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"I've seen things you people wouldn't believe. Attack ships on fire off the shoulder of Orion. I watched sea beams glitter in the darkness at Tan Hauser Gate. All those moments will be lost in time like tears in rain. Time to die."
(l'épisode où on fait un peu le point sur les personnes présentes)

Iluk observait les homins autour de lui. Ils lui étaient tous plus jeunes.

Son regard se tourna d'abord vers les autres Zoraï, comme lui, la plupart était venus suite à un rêve étrange, les autres étaient envoyés par les Kamis. Il enviait ceux-ci: il aurait tant aimé se rendre utile aux gardiens Kamis. Cinq Zoraïs (dont Bhalou), en comptant celui qui se dirigeait vers les chasseurs Fyros, s'étaient rendus au temple.

Puis il compta six Fyros, dont Ragar, avec qui il voyageait maintenant depuis 5 ans. Cinq ans.. depuis ce jour où ils avaient failli tombé sous le goo.
Il y avait aussi celle qui avait suivi les traces de Dag, et finalement le guerrier dont le rire résonnait fort il y a peu.

Dans un coin, le blanc des armures de six Matis se détachait de l'oscurité de la pièce, et à l'écart, se dirigeant déjà vers le couloir duquel la litanie se faisait entendre, celui qui s'était nommé AsSaSsin, la main toujours prête sous sa cape.

A l'opposé, les Trykers se montraient plus volubiles et sérieux que jamais. Ils montraient une rare agitation, scrutant les murs et le plafond. Mais leur attention semblait surtout attirée au dehors car il regardaient souvent par la porte. Ils bougeaient sans cesse, mais Iluk réussit finalement à en dénombrer sept (dont Luron).


Rejoignant le Zoraï encore dehors, deux Fyros abandonnèrent le groupe pour aller voir le groupe de chasseurs Fyros


De l'entrée du couloir, AsSaSsin leur cria, comme pour leur rappeler la raison de leur présence dans cette tour:


Je vais voir d'où viennent ces chants! Sa voix était ferme et décidée, comme pour se convaincre lui-même

Attend! Quand on avance dans l'inconnu, il est plus prudent de ne pas se séparer, laisse nous le temps de nous préparer. lui répondit un Fyros.

Vexé de se faire montrer le chemin par un rénégat, les autres Matis actionnèrent leurs amures qui illuminèrent la pièce d'un halo bleuté.
Les Zoraïs se regroupèrent autour des Fyros qui enflammaient des torches, comme pour chercher leur protection.
Dans leur coin, les Trykers ne semblaient pas très disposés à entrer dans ce couloir, mais après une rapide concertation, ils s'y résignèrent.


* * *


Le bruit de leurs pas résonne contre la pierre, et couvre partiellement les chants, dont le son se fait pourtant de plus en plus proche.


Ce lieu est étrange commente un Zoraï, comme pour dissiper son malaise, cette matière... posant la main contre un mur ce n'est pas naturel, ce n'est pas d'ici...
... comme la Karavan reprend une voix.

Inspectant chaque mètre carré avec minutie, et d'autant plus de méfiance envers les autres homins, les Trykers bousculent tout le monde, passant entre les jambes des Zoraïs,marchant sur les pieds des Matis, agacant les Fyros par le bruit qu'ils font.
Le couloir est circulaire et monte doucement.

Après une cinquantaine de mètres, les Trykers se font soudainnement plus silencieux et commencent à trainer pour enfin laisser les autres homins continuer seuls dans le couloir. Alors que la lumière du groupe ne leur parvient plus, l'un d'entre eux sort de son sac un objet Matis, qui éclaire la section de couloir.
Tous accroupis, ils examine leur découverte.

Pendant ce temps, le reste du groupe continue sa marche, et la disparition des Tryker, bien que soulageante n'est repérée que lorsqu'ils arrivent enfin au bout du couloir:
Ils débouchent sur une grande salle. Sans fenêtres, l'éclairage vient de crystaux incrustés dans les murs. Au centre de la pièce, suspendue, une graine de trois mêtres de diamètre émet une lumière propre. Les murs sont couverts de signes inconnus. Mais ce qui les surprend le plus, c'est que le son est au plus fort mais ils ne voient personne.


C'est étonnament calme, malgré la présence de Try.. ah, un sourire s'affiche sur les lévres du Matis ben ils ont finalement compris que ce n'était pas un jeu et ont rebroussé chemin.

Comment? cette disparition inexpliquée ne semble pas rassurer le guerrier Fyros Soyons sur nos gardes, on ne sait jamais.

Pendant ce temps, prenant son masque à la main, un Zoraï s'approche de la graine, dans un état second:

Ecoutez.. le chant d'Atys, il approche sa main de la graine et la caresse
Atys qui rit sa voix se fait très triste
Atys qui pleure...
Atys qui souffre il tombe à genoux, devant lui, sous la graine, s'ouvre un puit sans fond, duquel monte la litanie qui les a guidé jusqu'ici.
Atys qui lutte contre elle-même, le goo...


[qu'ont bien pu découvrir les Trykers?]
[comment vont réagir les homins à la scène du Zoraï?]
[quelqu'un pourra-t-il comprendre ce que signifient les incsriptions sur les murs, où du moins leur origine?]
comment vont réagir les homins à la scène du Zoraï
Le Zoraï, au contact de la graine, semblait perdre toute son énergie vitale. Ses yeux étaient révulsés, blancs comme les victimes de mort violente. Les principales veines de son corps paraissaient gonflées comme lorsque l on s amuse à serrer son bras. Sa respiration se faisait de plus en plus difficile. Un fyros le projeta violemment pour que le contact entre sa main et la graine ne se fasse plus. Le Zoraï s écroula sur le sol, au bord de l asphyxie.

Il planait une atmosphère excessivement tendue. Que faire devant cette situation qu aucun n avait rencontre ?

Un Fyros s approcha d une partie des inscriptions pour tenter de les comprendre grâce a ses connaissances ancestrales.

Il cria alors :
Regarder tous !!!! Les inscriptions changent sur les murs.

Tous se rapprochèrent des parois. Le mouvement était lent, imperceptible pour celui qui n y fait pas attention mais en effet le texte écrit sur les murs changeaient.

Le Zoraï commençait a retrouver ses esprits. Il se fit aider pour se remettre sur pied et lança d'une voix tremblante :
Les litanies... Les litanies que l'on entend s'écrivent sur... sur les murs... Je l'ai vu en touchant cette graine... Ce lieu est vivant... Il a une conscience... Il souffre... Il semble malade... J ai entendu ses cris de douleur au travers de mon corps...

A cet instant, un halo lumineux d'une éclatante pureté jahit du puit. Tous firent un pas en arrière comme pour reculer devant l'inévitable. Les inscriptions se mirent à s'illuminer d'un rouge flamboyant, puis des rayons meurtriers se mirent a balayer la salle. Un Matis ne put éviter l un d entre eux...

Le Zoraï lança dans un cri strident :
Sauter dans le puit !!!! Ceci est notre seule chance !

Tous se précipitèrent sans aucune hésitation dans le halo lumineux salvateur du puit.

[Les Trykers jouent ils au lancer de branche dans le couloir ?]
[Qu il y a t il au fond de ce puit ?]
Luron, le débrouillard petit tryker, courait comme un fou a travers le couloir lorsqu'une délicate bise lui souleva les cheveux.
D'une brève pousser de ses jambes il fit une pirouette qui l'amena près du mur de matière morte.
Et la creuser dans la paroi il vit un petit trou d'où soufflait cette bise qui portait en elle bien des secrets.
En effet avec cette bise venait des voix comme les échos de chants lointains.
On aurait dit comme une chorale de Tryker. Sauf que l'intonation était triste et emprunt d'une ancienne sagesse.
Aussitot son coeur fit un bon : un signe de la Luria peut être.
Il informa aussitôt ses camarade par une légère trille propre au Tryker. Et ceux si répondirent aussitôt à son appel en arrêtant leur jeux et en s'approchant de lui.

Une fois le reste du groupe éloigné et que l'un d'eux est fait de la lumière ils se mirent à observer et à écouter l'étrange phénomène.

C'est alors qu'Aëya se souvint de cet étrange objet "récupérer" dans l'un des bazars de BlancheBaie la petite cité de la lagune.
Sortant de son corsage ce collier qui l'avait tant attiré à l'époque, elle mis en pleine lumière cet artefact fabriqué dans une matière morte, elle aussi et si froide au toucher.

Les voix jusque alors presque inaudible se firent plus forte et avec elles vint la révélation.
Elle devait introduire la partie la plus fine et la plus longue de l'objet dans le trou.

Ce qu'elle fit avec cette vivacité propre à sa race
Mais au même moment le dessus du couloir explosa d'une lumière éblouissante ponctuée des cris des autres membres de ce groupes si disparate.


[que vont faire les Trykers ?]
[qu'y a t'il au fond du puits ? ]
A peine eurent-ils tous disparu dans le rayon de lumière, que celle ci s'arrêta tout net.
Plus de bruit, plus de lumière... Les hiéroglyphes sur les paroies de la graine s'effacèrent au même instant.

***

"Oula...mais qu'est ce qu'il c'est passé ?" fit Gozmoth.
Elle se retrouvait perchée sur un monticule de pierre...De pierre ?

"Mais mais .... Mais où sommes nous ?"
Les membres de notre groupe se réveillaient les uns après les autres.
Beaucoup portaient de multiples échymoses sur tout le corps, mis à part les fiers Zoraïs, protégés par leur épaisse armure. Matis, Fyros, et Zoraïs formaient à présent un bien pietre groupe.
Les Matis furent les premiers à se remttre de leurs émotions. S'époussetant les uns les autres pour faire briller leurs vêtements précieux, ils n'accordaient plus aucune importance aux autres Homins encore à terre. Les Fyros restaient prostrés sur le sol, présentant sur leur visage des sentiments de peur, et surtout de colère de ne pas comprendre ce qu'il se passait. Les Zoraïs eux, restaient fidèles à eux-mêmes. Ils s'étaient réunis en cercle, assis à même le sol, se tenant par les épaules et récitant d'étranges phrases à voix basse. Leurs chants s'arrêtèrent tout net quand une voix se fit entendre, terriblement profonde dans cet endroit qu'ils ne connaissaient pas...


"Qui êtes vous !" Tonna la voix.
L'effet de ce message fut direct. Tout le monde se remit en groupe derrière les Fyros, qui, reprennant d'un coup leurs esprits, avaient ramassé leurs lances tombées à terre lors de leur chute.
Des murmures fusèrent dans la petite troupe
"Qui est-ce ?....D'où vient cette voix ?...
On pouvait lire de la peur sur tous les visages, la peur de l'inconnu, la peur de découvrir qui se cache derrière cette voix si grave qu'elle ne peut appartenir à un Homin... La peur d'avoir dérangé quelque esprit puissant d'Atys...



[que vont faire les Trykers ?]
[a qui appartient cette voix ?]
[que chantaient les Zoraïs ?]
~ Dans une caverne très sombre, au fond du puit ~

La peur naturelle qu'avait d'abord éprouvée les homins face à l'inconnu faisait maintenant place à une peur qu'il comprenait moins, mais pas moins forte... une peur surnaturelle.
Chacun sentait l'atmshphère s'appesentir, l'air autour de lui devenir plus froid, les battements de son coeurs resonner dans toute la caverne.
Alors la voix se fit entendre à nouveau, chargée de haine et de mépris:


Des homins.. créatures des Kamis.. Que pensez vous venir faire ici? Que pensez vous pouvoir faire contre moi? Croyez vous réussir là où vos créateurs ont echoué?

La voix menacante fit place à un rire terrifiant, et les homins qui eurent le courage de tourner leur regard vers la source du bruit virent que dans l'obscurité se détachait une forme...
Plus sombre que le noir total dans lequel ils étaient plongés, la forme semblait rayonner une chaleur intense, éclairant et à la fois obscucissant l'air autour d'elle.

Les homins étaient encore surpris par leur chutte, et cette présence effrayante les ramena vite à la réalité:
Déjà, chacun cherchait reffuge en se tournant vers ce qu'il connaissait bien.
Assassin et les autres Matis activait leurs armures: plus une partie de leur corp était visible et une lumière bleuté s'echapait de bulbes sur leurs épaules.
De leur côté, les Zoraïs sentait un désespoir encore plus grand les gagner en essayant d'invoquer la puissance des Kamis tant leur appel resonnait dans le vide. Cet endroit semblait abandonné par les Kamis, même pire...
Enfin, les Fyros empoignaient leurs armes et se mettaient en position pour combattre. Gozmoth pris en main sa longue lance et avec un claquement sec, le fil de la lame si mit à s'auréoler de flammes blanches.
Nanoko sorti d'un sac qui ne la quittait jamais un "tenkpo", un lance flamme Fyros, son intérieur s'alluma quand elle le pris en main.


Cette chose me semble plus dangeureuse que les brigands auquel je reserve cette surprise, mais ca ne pourra toujours que lui faire du mal.. marmona-t'elle, comme pour retrouver son courage de Fyros.

Les yeux des homins avaient à présent suffisament de lumière pour distinguer la forme, et ils n'en furent pas plus rassurés.
Noire et brulante, visqueuse aussi, son corp était recouvert d'une substance qui semblait se déplacer, mû par une volonté propre (pour faire rapide, pensez au sanglier corrompu de princesse Mononnké ).

La haine et la colère se percevaient nettement dans sa voix quand Gozmoth jura:


Le Goo! Mais par le grand incendiaire, je n'avais jamais vu de créature aussi corrompue...

Aux yeux des homins, la peur l'avait complètement abandonnée, et sa fureur leur était rassurante, aussi chacun s'en remit à elle pour affronter leur enemi.
Les Fyros l'aurait suivie de toute façon, se fiant à sa réputation de chasseuse...

*

La tension monte, la bête a compris que les homins sont prêts à se battre et sont maintenant maîtres de leur peur. Sentant chez les Zoraïs un lien fort avec les Kamis, elle décide d'en faire ses premières proies.
Elle charge vers Iluk, mais sa charge est intercéptée par Ragar, le compagnon Fyros du vieux Zoraï et un autre guerrier du désert.
Les deux Fyros tombent mais la charge qui aurait tué les cinq Zoraïs réunis ne prend la vie que d'Iluk.

La bête a fait le premier pas, elle a lancé son attaque sans se méfier des autres homins.
Gozmoth saisi l'occasion et crie ses directives:


Sur les côtés! Il faut l'encercler! Visez ses pattes, son coup!

Elle voit deux Matis charger la bête par derrière, l'épée brandie, accompagnant leur action d'un cri farouche et n'a pas le temps de les mettre en garde que le monstre rue et le double craquement sourd que font les armures vivante ne laisse pas de doute sur le sort des deux homins. Elle ne peut s'empecher de penser avec une forme de mépris:

Soit on attaque par surprise soit on intimide.. pas les deux à la fois. Quels piètres chasseurs!

Mais elle n'a guère le temps de penser plus car la créature l'a identifié comme meneuse de la resistance et la prend pour nouvelle cible.
Prenant appui sur sa lance, elle esquive l'assaut, et a juste le temps de se relever pour voir son enemi charger à nouveau.
Elle n'a pas eu le temps de changer sa prise sur sa lance et se croit perdu...


Par ici, monstre!

La Fyros voit une lame courbée venir se planter dans l'oeil droit de la bête.
D'un cri rageur celle ci fonce sur le guerrier Fyros, qui n'a plus pour lui faire face qu'un couteau de chasse.
Le sourire aux lèvre, il attend la mort, mais il sait qu'il vendra chèrement sa vie. Il est déjà sorti vivant de tant de combat, mais celui-ci, il le sait est son dernier: il n'a pas peur, il est fier, fier de de tomber devant un tel adversaire, fier d'avoir pu le blesser, fier d'avoir laissé une chance à des compagnons avant de défaillir...


Ne reste pas là, bouge! entend-il Gozmoth crier d'une voix qui n'y croit pas trop, empreinte d'un soupçon de regrets.

C'est trop tard de toute façon se murmure-t-il.

La bête bondit sur lui.
La chaleur intense d'une flamme caresse son épaule: derrière lui, Nanoko asperge furieusement le monstre du feu de son arme.
Plogeant sous le monstre, Gozmoth plante sa lance dans ses entrailles.
Dans un hurlement d'agonie, il finit son saut dans les bras du Fyros, qui lui plante son couteau de chasse dans la gorge.

Dans le silence les yeux de tous les homins sont fixés sur la masse des trois corps...

*

Soufflant bruyament sous l'effort, Gozmoth emerge de dessous le monstre. Le sang de la bête a rongé le cuir de son armure par endroit.
Elle regarde le corps de la bête et du guerrier Fyros, puis crie aux homins:


Aidez-moi!

Ensembles, ils dégagents le corps du Fyros: Les griffes de la bête ont, par trois endroits, traversé sa poitrine. Il est mort et son visage exprime sa fierté, et sa joie d'avoir pu protéger une Fyros avec qu'il avait toujours admirée.

Avec la mort de la bête, les Zoraïs ont senti un changement dans l'atmosphère, une sensation plus familière faire son retour.
Bhalou se dirige vers le centre de la caverne et se penche vers un petit trou. Il y colle son oreille et entend la sève remonter.


Le sang d'Atys! Atys va soigner sa plaie..

Il affiche un sourire radieux, et tous les Zoraïs présents partagent sa grande joie. Ils entamment un chant pour stimuler la montée de la sève.

~ Pendant ce temps, les Trykers ~

Alors qu'Aëya enfonce le pendantif de son collier dans l'orifice, une légère musique emplit le couloir, et une lumière verte perce entre les interstices de certaines pierres.
La lumière délimite une forme sur le mur, et la matière à l'intérieur de cette forme perd peu à peu en consistence, pour ne devenir que le reflet ethéré du mur qui occupait l'espace quelques instants auparavant.

Les Trykers se regardent les uns les autres, et sont étonnés:


Je n'ai jamais entendu parler de telles choses dans aucun récit sur la Luriah..
Moi non plus..
Nous ne savons pas tout de la Luriah, et nous sommes justement là pour en savoir plus!

Finalement les Trykers décident de s'engager dans le passage qui s'enfonce assez rapidement dans le sol.
Certains sont toujours un peu méfiant, c'est en apprenant la méfiance que les Trykers ont pu survivre à une époque, mais dans l'ensemble l'humeur est joyeuse, et aucun ne se doute de ce sur quoi il vont tomber...


~ De retour dans la caverne ~

Les homins en sont à se demander comment ils vont sortir de ce trou quand ils voient une horde de Trykers jaillir de derrière un gros bloc. Ils reconnaissent leur anciens compagnons de route, et même les Matis ne peuvent s'empêcher de se rejouir de leur vue.

Les Trykers sont en revanches moins satisfaits, ils étaient débarrassés des autres homins, à la recherche de la Luriah, et les voilà qui retombe sur ces mêmes homins...

Après quelques explications, le groupe remonte par le chemin des Trykers pour rejoindre le campement des Sentinelles d'Atys.



[ouf.... désolée pour la longueur.. j'avais mes *quelques* idées à placer ]
[pour la suite: tout le monde remonte au camp, puis on decide sur place: ]
[ - il reste 4 tours a explorer. ]
[ - changement notable à la surface? ]
[ - trop dangeureux cet endroit, on rentre à la maison! ]
La petite troupe remonte doucement les couloirs sombres, éclairés par quelques objets aux lumières colores et diffuses. Tous sont silencieux. Dans ces aventures, certains ont perdu des amis proches.

Enfin, le bout du tunnel est en vue. Quelques uns poussent la lourde porte de cette tour maudite pour sortir de cet enfer. Dehors, le ciel a énormément change. Le fait d avoir agit sur la tour de la terre a apparemment modifie la situation. La nuit a arrête de se propager mais dorénavant les trois autres tours crachent une sorte de fumée au couleur de leur élément.

De retour a leur campement, ils se réunissent afin de décider de la nouvelle marche a prendre :

Le Zoraï, qui avait été hypnotise, prend alors la parole :
En tuant ce monstre on n a permis de guérir un peu ce temple. On a libéré la tour de la Terre de l emprise du Goo. Mais il souffre encore... Je peux le sentir depuis mon contact avec cette graine... Je l entend m appeler a l aide... Nous devons poursuivre !
Un Fyros rétorque dans l instant : Nous avons perdu beaucoup de personnes dans ces affrontements. Nous pourrions y rester tous...
Un Matis un peu a l écart du groupe demande aux fyros avec un léger sourire en coin : Tu as peur ?
Le Fyros fou de rage que l on égratigne son courage plaque violemment le Matis contre un arbre et rétorque : Je vais te montrer si j ai peur quand tu sentiras dans ta chair ma lame doucement tourne.
A cet instant, les Matis encore présent braquèrent d un seul homme leur épée vers le visage du Fyros.
Le Zoraï reprit la parole excéder :
Arreter de vouloir vous entre-tuer. L ennemi aujourd hui est dans ces tours. Gardez vos forces...

La tension retombe doucement.

Le Matis prit alors la parole :
Nous allons nous partager en trois groupes et nous prendrons d assaut les trois tours en mémé temps. Lorsque chacun des groupes aura réduit en cendre sa manifestation du Goo il se dirigera vers la zone centrale pour en finir avec cette histoire. Le but étant de rallier ses forces au centre. Des objections ?

Le silence règne a nouveau. Tous comprennent l importance de cet assaut.

Le Matis reprend :
Bien... Faisons des groupes mixtes. Je sais que beaucoup ont des animosités avec une autre espèce ici mais c est en mélangeant les talents que l on arrivera a vaincre.

Sans discussion, les groupes doucement se forment.

Le Matis continue :
Tres bien... Alors en route... Et bonne chance a tous...

[Premier groupe dans la tour de l eau]
[Deuxieme groupe dans la tour du feu]
[Troisieme groupe dans la tour du vent]
Message roleplay
Comme convenu, les homins se répartirent en groupes mixtes.

Cependant, au vu des déséquilibres, il apparaissait évident que chaque peuple avait sa préférence.
Ainsi le groupe se dirigeant vers la tour du Feu était majoritairement composé de Fyros.

Les Trykers se dirigèrent principalement vers la tour du Vent, qui avait retenu leur attention avant même qu'ils ne rentrent dans la tour de la Terre.

Enfin, le groupe à dominante Matis se dirigea vers la tour de l'Eau. L'eau qui donne la vie aux plantes, l'eau qui coule comme la sève.
Avec eux, deux Fyros et marchant entre eux, un Tryker mal à l'aise. Un Zoraï également, lui aussi laisse les Fyros entre lui et les Matis.
Les deux Fyros, des chasseurs des Sentinelles d'Atys, auraient bien été à la tour du Feu, mais si il y avait une manifestation du goo dans cette tour, il était de leur devoir de la combattre.

Jetant sans cesse des coups d'oeil au groupe se dirigeant vers la tour du Vent, le Tryker s'agite et rapidement les chasseurs ont du mal à le supporter.


"Hola Tryker, cesse donc de t'agiter comme ça, tu nous donnes le tournis."

La remarque suscite quelques ricanements parmi les Matis et le Tryker juge plus opportun de se tenir tranquille et va chercher refuge derrière le Zoraï.

Le groupe est maintenant à l'entrée de la tour. La pièce qu'ils voient est bien éclairée par de grandes ouvertures dans les murs.

Un Matis pose la main sur le bord de la porte et remarque:


"Cette même matière anormale, comme l'autre tour."

Pour constater d'eux-même, les autres homins posent chacun à leur tour une main sur le mur.

La pièce dans laquelle Le groupe débouche est remplie de plantes en pots. La plupart de ces plantes sont desséchées. Des feuilles mortes craquent sous leurs pas.

En levant la tête, les homins s'aperçoivent qu'il n'y a pas de plafond, on peut voir des nuages défiler au dessus de la tour.

Et à mesure qu'ils s'avancent vers le centre de la tour, la végétation se fait plus dense, même si la répartition des pots reste régulière, et les Matis ne manquent pas de remarquer la curieuse nature de cette végétation.

Sous l'impulsion des deux Fyros, qui ne goûtent guère aux joies de la botanique, et pressés d'en finir avec cette tour pour rejoindre leurs compagnons dans la tour du Feu, le groupe traverse un mur constitué de plantes rampantes. Le contact des plantes est glacial, mais ce qu'ils découvrent après le leur fait vite oublier.

Tour à tour, les Fyros, les Matis et enfin le Zoraï et le Tryker arrive dans la trouée, et voient trônant au centre...


[ Mais que voient-ils donc? ]
[ Pourquoi la végétation est-elle plus dense? ]
[ Ils débouchent tour à tour... vraiment? ne manque-t-il pas quelqu'un à l'appel? ]
[ Ou sinon: pendant ce temps, à Vera Cruz... que font les autres groupes? ]
Je n'aime pas cela ... s'exclama le puissant Zoraï.

Quoi donc ? lui répondit le Tryker en désignant du doigt l'objet qui trônait au centre de la pièce. Ce n'est juste que de l'eau !

Au centre de la grande pièce circulaire se trouvait un épais pilier de la matière si étrange qui constituait les tours, il n'allait pas plus haut que le torse d'un Matis et était l'unique mobilier dans la pièce. Enroulées autour de sa base, les plantes rampantes partaient toutes de cet endroit et couvraient la majeure partie du sol, grimpants sur les murs et recouvrant aussi le plafond. Le plus étrange était toutefois la grosse bulle d'eau, mouvante et vibrante, qui se trouvait en suspension juste au-dessus du pilier.

Un des Fyros renifla et cracha bruyamment par terre.
Ca pue ici, moi non plus je n'aime pas ça. Il dégaina prestement son longue dague en os et se mit à observer les lieux, cherchant une quelconque menace. Les Matis le regardèrent lui et son compagnon. Des sauvages, pensèrent-ils.

Le Zoraï prit alors la parole.
Oui ... voila un endroit bien ... mystérieux. Il parlait lentement comme absorbé par ses pensées Je pense ... oui je pense que ... que ... cet endroit a été ... touché par la corruption ... une ancienne corruption ...

Les Matis et les deux Fyros regardaient le plus sage d'entre eux parler et trouver une réponse à ce que signifiait cet endroit, après tout il semblait savoir quelque chose sur ces lieux. Le Tryker quand à lui en eu assez vite ras-le-bol de ce discours émietté et décida de mener sa propre investigation. Avec souplesse et discrétion, il marcha entre les plantes rampantes et se dirigea rapidement vers l'étrange boule d'eau.

Hé ! l'autre Tryker là, il nous fait quoi ? un jeune Matis remarqua le petit homin qui tendait la main vers l'eau. Le Zoraï n'eut pas le temps de dire quoique ce soit, que le Tryker, encouragé par tous les regards furieux qui se tournaient vers lui, voulu se saisir de la boule à pleine main.

Un flash aveuglant illumina brusquement la pièce.

---

Lorsque les membres du petit groupe rouvrirent les yeux, le Tryker avait purement et simplement disparu. Envolé, vaporisé ... A l'endroit où se trouvait le Tryker ne se trouvait plus maintenant qu'un petit tas de cendres. La boule d'eau quant à elle se trouvait changée, un peu plus grosse, un peu plus mouvante ...


Qu'est ce que ... Un des Matis surprit une des plantes rampantes autour de sa cheville. Autour de lui les longues lianes se mettaient en action.

[ Que va t'il se passer ? ]
[ Que font les autres groupes? ]
__________________
"I've seen things you people wouldn't believe. Attack ships on fire off the shoulder of Orion. I watched sea beams glitter in the darkness at Tan Hauser Gate. All those moments will be lost in time like tears in rain. Time to die."
La plante rampante augmenta son emprise sur la cheville du Matis et le secoua dans les airs comme une simple brindille tournoyant dans une tornade. Le Matis réussit tout de même à dégager sa dague et à lacérer la liane. Elle lâcha prise et se mit a se tordre de manière anarchique comme si elle souffrait.

Le Zoraï cria alors :
La plante ressent les coups !
Tous se mirent à fendre les airs avec leurs armes pour tenter de survivre quelques instants de plus.

En silence, la boule d'eau commençait à se métamorphoser approchant peu à peu la silhouette d'un homin.

Un des fyros s exclama :
La boule va nous attaquer !! Faites attention à ce qu elle ne vous touche pas, vous risqueriez de finir comme le Tryker !
La forme commença elle aussi à se battre dans un balais d'attaque et d'esquive esthétiquement superbe s'il n'était pas mortel pour celui qui manquait d'adresse.

La situation était désespérée : non seulement deux membres de l'expédition avaient fini vaporiser au contact de l eau maudite mais l'épuisement commençait à se faire cruellement ressentir. A cet instant, le Matis eu une idée : il sortit une petite baie de sa poche et la lança dans la forme aquatique. Par transparence, on vit le fruit se décomposait en laissant échapper une couleur violette inquiétante. La forme se torda de douleur alors que l'aspect des plantes changea.

Un Fyros s'exclaffa :
Que se passe-t-il ?
Le Matis répondit d'une voie glaciale : Chaque plante possède une vie qui lui est propre. Je me le suis souvenu lorsque le Zoraï a dit qu'elles souffraient. Or aucune vie ne peut prospérer sans une goutte d'eau. Cela m'avais semblé bizarre, lorsque nous sommes arrivés, qu'autant de végétations survivent dans une tour où il n'y a pas une goutte d'eau. J'en ai déduit que cette sphère aquatique était leur source.
Le Fyros rétorqua : Mais pourquoi elles semblent pourrir ?
Le Matis, avec une satisfaction que son sourire au coin des lèvres dissimulaient difficilement, répondit : Cette baie était un des poisons les plus puissants que mon peuple à créer. J'ai tout simplement empoisonné leur source en eau et ces plantes vont pourrir de l intérieur jusqu'à leur mort définitive.

Et effectivement, les plantes pourrissaient a vu d'oeil. En très peu de temps, la sphère liquide disparut et les plantes tombèrent en poussière.

Le Fyros reprit alors :
Bien ! La manifestation du Goo a était éliminé en ce lieu dépêchons nous de rejoindre les autres dans la tour du feu...

[Le petit groupe court maintenant vers la tour du feu. Que vont ils découvrir en y arrivant ?]
[Le groupe dans la tour du vent a t il des difficultés ?]
Entrainant leur groupe dans une apparente pagailles, les Trykers se dirigeaient vers la tour du vent en mettant au point leur "plan d'attaque".

Depuis que le nom de la Luriah avait été prononcé, toute un organisation silencieuse s'était mise en place. Alors que les autres homins les voyaient jouer à de puérils jeux de mains, les Trykers se communiquaient des instructions...

La Luriah renferme les connaissances Tryker, et n'est destinée qu'aux Trykers. Les Matis rêveraient bien de s'en emparer pour assujettir encore plus les autres homins. Les Fyros ne sont pas dignes de confiance, ce sont les premiers à s'être retournés contre leurs maîtres Trykers après tout. Quand aux Zoraïs.. cachés derrière leurs mystérieux masque, ne riant jamais.. il est préférable aussi de s'en méfier.

De signes de mains en pas de danses, le message est passé. Il y a ceux qui chercheront les traces de la Luriah, et ceux qui préserveront ses secrets du regard des autres homins.
Certains sont plus déterminés, plus emplis de rancoeur. Ils sont prêts à faire couler le sang si nécessaire. Mais pour la cause, leurs armes resteront dans leurs fourreaux jusqu'au dernier moment.

Réussissant avec brio à se rendre insupportables, ils ont atteint leur objectif: être accompagné du du moins grand nombre de non Tryker possible.

Avec eux, un Zoraï, un Matis et deux Fyros.


-"Des enfants! Ils bougent dans tous les sens, sans raison" peste un Fyros visiblement mécontent d'avoir été désigné pour faire le garde-Tryker.
-"C'est insupportable, effectivement..." surenchérit le Matis, le regard fixé sur la tour. "Peste!" laisse-t-il échapper en trébuchant sur un Tryker.
-"Peste!" reprennent divers échos dans le groupe.

Seul le Zoraï ne semble pas tellement ennuyé par le débordement d'énergie de ses petits compagnons.
Son attitude calme et stoïque est même une source d'inquiétude pour les Trykers qui n'arrivent pas à déchiffrer ce qui se cache derrière le masque.

La porte de la tour est encore à une dizaine de pas, mais déjà les homins peuvent discerner quelques détails de son intérieur.
Ce qu'il voient éveille leur curiosité. Des mats et des voilures, se gonflant et claquant selon un rythme étrange..


~ * ~
Par contraste, le départ vers la tour de feu, mené par un chef de file des Sentinelles, fut beaucoup plus organisé.
Les Fyros, marchant selon deux lignes, protégeaient les flancs des autres homins, regroupés entre les Fyros.

Leur visages affichaient une détermination et un abnégation qui trahissait le fanatisme qu'ils vouent à leur "devoir".
Cette attitude déterminée provoque chez les autres homins du groupe respect, mépris, crainte..
Ils sont à la fois rassurés d'avoir à leur côté les guerriers de feu, mais ils ont peur de l'aveuglement dont ces derniers font preuve face aux dangers et aux dangers que peuvent courir leur compagnons.

Rapidement, le groupe arrive au pied de la tour.
La porte est de la même matière que les murs, froide et rugueuse au toucher, d'un noir très sombre.

Le meneur du groupe s'arrête face aux deux battants fermés et les balaye du regard. Ils sont imposant, comme la tour, et menaçants. Ils semblent le mettre au défi, on pouvait presque lire dans leur présence
"Toi qui compte passer ce seuil, prépare toi à connaître la souffrance et à ne pas revenir"

D'un geste résolu il s'apprête à empoigner l'anneau massif d'un des battants quand des cris retentissent de la tour de l'eau.
Sans un regard, il dit d'une voix posée:


-"Que triomphe le brave et périsse le goo."
-"Que triomphe le brave et périsse le goo!" reprend le coeur des guerriers derrière lui.

Il se saisit de l'anneau et le tire violemment.
Les deux lignes de Fyros s'hérissent de lances, haches et lance-flammes.
Entre eux les autres homins sortent également leurs armes, mais ne se sentent pas rassurés en entendant le lourd battant frotter bruyamment contre le sol.



[La tour du vent]
[La tour du feu]
[Le retour des survivants de la tour de l'eau]
[réactions extérieures du temple après nettoyage de la tour de l'eau?]
Tour de l'eau
Regardez crie le zorais !
Aussitot tous se tournent vers l'autel.
Un liquide épais et noirâtre se met a sourdre de l'autel.

Ce n'est pas bon signe dit l'un des matis
Non. Il me semble entendre une voix maintenant dit le zorais.
Atys pleure, vite sortons nous sommes en danger maintenant.

Pendant ce temps dehors
Bhalou l'esprit encore embrumé des inscriptions apparues sur les murs du temple de la terre se laisse a errer dans le complexe.
Ses pas l'amènent rapidement au centre de la structure.
Celle ci très simple, est constituer d'un grand bac de matière morte semblant plonger dans les profondeurs d'atys et rempli d'un terreau noir et riche.
Au centre de celui ci les restes desséchés d'une plante.
Arrivé là il s'assoit dans la position du lotus et entre en méditation.
Quelques minutes d'intense concentration lui font enfin découvrir le sens des inscriptions.
Aussitot il comprend l'immense danger de ne pas suivre ce qui est en fait une série d'instruction pour remettre le temple en état d'accomplir sa fonction.
Utilisant alors toute ses ressources et ses connaissances magique il amplifie sa voix afin de prévenir tous ses compagnons


Les inscriptions sur les murs du temple de l'eau sont en fait des instructions pour remettre le temple en fonctionnement hurle t'il
Elles disent ceci
Purifier la terre ou repose le sanctuaire
Activer les vents pour permettre aux porteurs d'eau d'accourir
Nourrissez le feu pour que sa force fasse s'ouvrir les ventres des porteurs d'eau
Détruisez les plantes vampires qui autrement s'empareront de toute l'eau au détriment de l'arbre portail
Chantez l'arbre qui vous donnera la connaissance mais ne laissez pas la non vie l'approcher.

A ce moment la un curieux bruit (sorte de vrombissement) retentit dans la vallée.
Et jaillissant de la canopée une forme monstrueuse, comme porté par l'air elle même, se met a descendre en direction du temple.
A peine au sol une sombre ouverture se fait dans la matière de la structure et une dizaine d'homins en armes jaillissent de cette ouverture.

Mais que viennent faire ces gens de la Karavane ici se dit Bhalou juste avant de se rappeler l'étrange couplet par lequel l'inscription se finit.
La non vie est là se dit il enfin.


[temple de l'eau ? ]
[temple du vent ? ]
[temple du feu ?]
[ à l'extérieur ? ]
[la Karavan est elle le non vie et si oui pourquoi un temple en pierre ?]
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