[texte de moi] Lettre

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Lettre à la mort

La mort c’est inévitable, c’est ce que l’on attend et que la plupart des gens craignent.
Moi je la sais, je la connais, je suis née avec toi, faucheuse incorruptible.
Mais laisse les.
Oublie les, laisse les moi.
Jamais ne t’attaque à l’Aimé, jamais ne le prend en tes bras, pour ca je te crains.
J’ai peur de ta faux, j’ai peur de tes mots, qu’il reste près de toi.
Je sais qu’il aime, qu’il m’aime, mais ne succombe à ses charmes, je te pose un interdit.
Amie lunatique qui arrache le bonheur à fleur de peau, pétri des cœurs à mains nues pour qu’ils souffrent, tu m’as épargnée une fois, toi ou mon ange gardien, épargne maintenant cet homme, jusqu'à ce que nos mains vieillissent.
Mais prend nous ensemble, l’un sans l’autres nous ne sommes rien, ni personne.
Le fil de nos vies est jeune et intarissable, il ne cesse de s’allonger, que tes trois tisseuses les perdent dans le flux, que tes satyres ne les retrouvent plus.
Ennemie, fait que le temps venu, nos morts soient douces et heureuses, pour toutes les âmes que tu as récupérées , pour tout ceux qui ont eu mal de ta venue, je parle en égoïste,
Je parle en fille, aime.
Pour la première fois peut-être, aime l’humanité, deux êtres qui, passionnés, ne veulent pas se perdre dans les dédales d’un peut-être, dans un autre monde, sous peine de rester dans la masse des malheureux.
Aime nous comme on s’aime, je te le redevrais ailleurs, dans une autre vie.
Nous nous retrouverons comme prévu depuis ma naissance sous tes auspices, Ankou.
Ce jour là, je serais main dans la main avec lui, je ne serais pas seule, je te sourirais.
Sourire à la mort, ça pourrait paraître stupide, pourtant, amie, je te remercierais de ma vie sous ton aile, de ma mort, domaine où tu excelles.

Nous nous reverrons, et, comme mère et fille de raison, nous nous aimerons.

Une fille celtique parmi d’autres.


Ceci est loin d'être un texte morbide comme certains pourront le croire.
Je reviens en même temps sur un post où je parlais de croyances, le lien qui suis parle de la vision Bretonne de la mort. Plus qu'une disparition c'est une renaissance.
Et j'explique que moi je n'en ai pas peur, pour moi, mais pour les gens que j'aime, voilà.

Explications sur l'Ankou

Miss Merc'h a la Ankoù
même pas vrai moi qui suit ce que tu fais depuis que caern est mort
je commence à te comprendre alors si tu meurs je pourrai pas te comprendre comme je le veux
ce que tu écris je trouve ça très profond très noir comme j'aime (et comme La fouine aime )
Continue parle tant que tu le pense bon ,toujours j'écouterai ...

*s'étonne de ce qu'il vient d'écrire**est content de lui*
Hey oh, j'aime moi aussi !
C'est très beau, et je pense que c'est le meilleur texte de toi qu'il m'ait été donné de lire.
Peut être parce qu'il m'a vraiment touché. Surement, même.

Moi,
Qui aime être émue

Edit pour en dessous: Essaie de trouver la sortie, on verra si mon sourire revient
Citation :
Provient du message de Telefoneur OdO
*se demandait où la pitite était**soulagé de la revoir*
Oué ça fait longtemps qu'on t'a pas vu Miss je croyais tu viendrais plus

Damon qui croyait
Citation :
Provient du message de Miss M La Honte
Ouais telefoneur, mais les gens doivent pas aimer ce que j'ecris que veux tu, faut que je sois morte peut etre pour qu'on aime...
Bon je serais toujours une incomprise
mé non reste simplement toi même et il t'aimerons pour ce que tu est
Merci a vous tous ca me fait super plaisir, sans compter les quelques mp

j'ai deux petits textes assez disons orientés amour mais bon... Je vous les mets.

le premier

Ce soir le clair de lune me domine, la fraîcheur de ma chambre rend ton absence encore plus douloureuse, toi, l’ange de mes rêves.
Tu es, fut et sera le régisseur de mon cœur, qui dirige et mène un bout de ma vie, une main de fer dans un gant de velours, tu es ma vie, et sans toi, je n’y pense pas.
Un rideau s’écarte et rend la vue sur la rue inévitable, le gel installé sur le trottoir me rappelle ce froid, cette sensation de vide qui me prend au cœur, me donne le vertige, j’ai mal de toi, j’ai mal de nous.
Le ciel est dégagé sans nuage , ils sont tous enfournés en mon sein, la lune reflète ma grande tache de malheur sur le monde, que tout le monde voit ma brèche, qu’elle illumine de joie les médisants.
Mais cet astre est censé être celui qui protège, qui surveille les nuits, les sommeils, les rêves !
J’aimerais qu’elle dépose dans mes rêves la joie des lendemains, mais seul le présent et la longueur restent, pourquoi l’étincelle de mon regard s’éteint peu à peu ?
Peut-Être qu’un mot la revigorera, un regard une phrase, une caresse.
Mais tu es loin de moi et c’est le regard mouillé par les larmes du destin que mes chimères prennent forment et que les perles de mon désespoir s’écoulent jusqu’au coin de mes lèvres, entrouvertes par un sanglot.
L’eau salée de mes tourments est figée d’un revers de main et si mes hoquets n’avaient pas troubler le silence, on aurait pu entendre leurs plaintes.
Mais l’éternité nous sépare et il faudra attendre pour que la plainte se noie, que l’étincelle se ravive.

le second

Je tend la main dans le vide, je nourris mes illusions, j’espère que tu te retourneras, mais tu ne peux pas, tu n’as pas le temps. Je sais que tu reviendras demain et pourtant j’ai les larmes aux yeux, je sais que demain tu m’appelleras, que tu me jetteras un millions d’étoiles qui viendront nourrir mon regard, que tu jetteras une poudre magique qui étirera mon sourire , et pourtant ce soir il s’éteint, comme hier et comme demain, quand tu pars. J ‘ai un souffle au cœur, je manque d’air pour t’insuffler l’amour, je manque de mots, j’ai plus d’herbe sous le pied pour amortir ma chute, c’est si dur de te sentir m’échapper, de sentir le temps et l’espace se liguer entre nous, de sentir la mort de l’âme pas loin, car oui, sans toi je me meurs.
Une cellule après l’autre, membre après membre, tu es mon souffle de vie, mon moteur, ma raison d’être.
Je me meurs comme la rose qui se referme la nuit, la soleil se cachant pour un temps incertain. Tu es mon soleil, tu me quittes au soir pour mieux me revenir le lendemain, mais en attendant, je dors, je m’endors, je meurs, je me flétris, les larmes s’amoncellent, et voilà ta rosée. Ma tige s’affaiblis, et voilà que je penche vers le sol, mes feuilles se resserrent comme chaque fibres de mon cœur, je souffre de ton départ.
Tu souffres, nous souffrons, je conjugue l’amour à cette personne, mais aussi la douleur, logiquement solitaire elle n’épargne pas le nous, pourquoi devrions nous être plus forts ?
Nous sommes faibles ! la peur pour l’autre nous réduis et pourtant… ?
J’ai si peur, et si l’accident te prenais soudain sous son aile ? Et si elle se liait à la malchance ? Alors la douleur me prendrait à elle, l’amoncellement aussi, la mort nous visiterait mais que répondrions nous ?
Et bien nous lui dirons de partir, de dégager et plus vite que ca ! Nous sommes deux la mort est seule, au moins ca, l’Union fait la force.


Miss, amoureuse
C'est tout la pitite Miss que je connais....
Tu parles a ton coiffeur... ??
mouhahah heu oki...
bref... miss M la honte maintenant que tes cheveux on repousser tu peux te remettre Miss M non ?
bisous a toi
Check a ton copain
Citation :
Provient du message de Tekil@! Le Ménestrel
C'est tout la pitite Miss que je connais....
Tu parles a ton coiffeur... ??
mouhahah heu oki...
bref... miss M la honte maintenant que tes cheveux on repousser tu peux te remettre Miss M non ?
bisous a toi
Check a ton copain
le La Honte ne venait pas de la bévue de mon coiffeur, mais c'est quelque chose de permanent, je suis une boulette sur patte, stou.
Sale hs va!
Citation :
Provient du message de Patum URSUS !

- veux-tu bien porter tout ça à la bibliothèque, toi ?

allez Hop! Hop! Hop! et plus vite que ça !

Patum,
*sourit rassuré*

Bein pourquoi pas oui faut que je mp hoogan, mais sinon, j'essai vaguement de monter mon site pour repertorier les pages et les pages que j'ai...

aller encore un parceque j'ai les chevilles aussi larges que ma tete...Mais parfois ca fais du bien

Encore un bout bien ciblé.

Une porte ouverte sur le lendemain, une sur le passé, une sur le présent.

Je choisis le passé pour te dire combien j’étais heureuse, je choisis ce moment où le temps assombri, ou la nuit perpétuelle à été remplacée par un soleil ardent, par une lumière si vive qu’elle m’oblige à fermer les yeux et à me laisser porter.
Je ferme les yeux sur le malheur pour les ouvrir dans les nuages, loin au dessus de tout ce qui a pu faire mal, je comble la brèche par un rayon, je la ferme en ton nom.
J’ai survécu en ton attente, j’ai vécu un temps révolue, comme une évolution de par ce que tu m’amènes, je t’aime.

Je referme la porte du malheur et la scelle jusqu’a ce jour où tu es arrivé.

Je choisis ensuite la porte du futur pour t’écrire combien j’ai espoir. Sur tout ce qu’on sera, fera, construira.
Le soleil jamais ne quittera ce qui lui sert d’écrin, jamais ne quittera nos cœurs pour le néant.
L’espoir nous animera, celui de se voir le plus rapidement possible, celui qui nous fait dire que l’on peut tout entreprendre, nous ne sommes qu’un avec deux âmes pour gouverner, nous sommes forts car avons la meilleure arme, l’union.
Je t’aime.

Je referme la porte du demain et la scelle jusqu’au jour où nous y arriverons.

J’ouvre grand la dernière porte, celle d’aujourd’hui, succédant à hier et précédant demain.
Celle qui me dit que l’astre ne brille que pour nous, qui me murmure le chant divin, qui me plonge dans le rêve et qui tout simplement me montre que de vivre à tes cotés, vivre avec toi c’est mon paradis.
Citation :
Provient du message de Miss M La Honte
le La Honte ne venait pas de la bévue de mon coiffeur, mais c'est quelque chose de permanent, je suis une boulette sur patte, stou.
Sale hs va!
HAHAHAHAHAHHAHA.....
Heu.... pourquoi je rigole... bon ok tu ma cassé..
beuh....

*s'en va seul dans la rue en pleurant*






*Reviens... *
T'as pas le monopole de l'amitié
*re s'en va*
hihihi meuh non t'es pas une boulette... rooooh..
bon ok un piti peu...
Enfin toute le monde même Coin² [ INSULTE A MODO 2 ANS DE PRISON ] et moi aussi la preuve avec cette Blague débile..qui n'en est pas une...
Citation :
Provient du message de Kuldar
Ouais, si tu veux je connais le patron d'une maison d'édition, c'est tellement merveilleux qu'il faut le faire partager à tout le monde.
Kuldar est toujours très acerbe dans ses commentaires, il faut s'y faire...
Lettre...
Très joli texte

Malgré les opinons différentes sur la mort et l'après mort , les gens se questionnerons toujours , comme si quelque part , ils avaient tout oublier ...


L'Âme est comme le bulbe de la tulipe , ce même bulbe te donnera a chaque printemps une fleur différente avec une vie et une histoire différente , mais ça sera toujours le même bulbe .



Lady-Van...
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