[Orcanie] les larmes de pique

 
Partager Rechercher
Bonjour, je suis Mamapoc. J’écris car aujourd’hui, mon fils Piquepoc est malade. Il revient d’un séjour au-delà de notre monde et il souffre. Je me permets donc de prendre la parole à sa place.

Il était parti dans un monde bienveillant que certains appellent vacances. Il ne pouvait donc participer à la vie de ses compagnons qu’il aime tant. Moi je suis sorti pour le chercher, et je l’ai trouvé.

Il était contre un arbre. Assis, la tête entre les mains. Je le connais bien mon fils, dans cette position il fait souvent semblant de réfléchir alors qu’il dort. C’est surtout depuis ces derniers temps d’ailleurs. Il paraît que les tavernes ne l’ont pas aidé à mieux réfléchir. Moi je l’aide à coups de baton. Il apprenait beaucoup plus vite dés que je le sortais. Mais là, il ne dormait pas. Je m’approchais de lui et pour une fois j’ai compris. Dans d’autres conditions, ma main serait venue s’écraser violemment derrière sa tête. Mais là je sentais que quelque chose n’allait pas.

Il portait une belle armure, toute en écaille. Il paraît qu’il en est fier. Il n’ose encore trop s’attaquer aux autres royaumes de peur de l’abîmer, mais il est beau là dedans. Il m’a dit que ce sont ses compagnons qui lui ont offert. Il n’ose prononcer leurs noms, mais il ne sait comment les remercier.

Cet arbre était tel qu’il les aime, gros et grand. Un peu comme lui, mais pour un Firbolg il est petit quand même. Vous connaîtriez son père. Enfin il était là, moi je l’avais trouvé. A ses cotés un elfe ne disait rien. On m’a dit qu’ils se voyaient plus souvent prés d’un puits mais là ils étaient prés de l’arbre. L’elfe était pâle. Il se tenait assis et silencieux. Je ne le connais pas trop mais moi je touche pas aux elfes.

Ils ne m’avaient pas encore vu, je suis resté mince pour mon age. Je vis l’elfe prendre mon Pique par les épaules. Le silence environnant était étrange. Comme si la nature avait compris que quelque chose n’allait pas. Puis le silence se rompis.

« Pique, remet toi. » L’elfe parlait d’une voix douce. Pique ne disait rien.
« Au moins cette quête est terminée. »
« Non. » Pique avait parlé, et je sentais dans sa voix un tremblement bien particulier. Oui, il pleurait.
« Je ne veux pas que cette quête se termine. Jamais. » Il pleurait comme jamais je ne l’avais vu.
« Mais tu ne peux rien y faire. Allons-nous en, trouvons d’autres compagnons. »
« Jamais, ce ne sont pas que des compagnons. Ce sont mes amis avant tout. C’est de ta faute, c’est toi qui m’as demandé de venir. »
« Pique, pardonnes moi. »
« Si toi aussi tu laisses tomber, jamais je ne pourrais te pardonner. Tu es comme moi malgré tes grands airs. Alors ne me dis pas ça. »
« Mais que veux-tu faire ? On ne peut rien à nous deux. »
« Si un jour je m’étais dis ça, je ne serais pas là aujourd’hui. Je serais resté dans ma forêt. Nous devons faire quelque chose. »
« Mais quoi ? Nous ne sommes pas assez puissant tous les deux. »
« La puissance n’est rien si le cœur n’y est pas. Et nous avons du cœur. Alors nous pourrons faire quelque chose. »
« Explique-moi alors ? »
« Je vais devenir ce qu’il faut pour ne pas voir mes compagnons devenir un simple nom dans une liste. »
« Que me dis-tu ? »
« Je ne veux pas que cette guilde disparaisse. Alors je deviendrai celui qu’il faut pour la faire vivre. »
« Mais tu n’as pas le temps, nous ne pouvons pas ! »
« Je le trouverai. Ce n’est pas du temps qu’il faut, c’est du cœur et de la volonté. Je ferais de cette guilde ce qu’elle a toujours été. »
« Mais nous ne pouvons en faire une grande guilde du royaume. »
« Ce n’est pas de ça que je parle. Peu m’importe d’être un grand. Cette guilde est comme une famille, un bonjour en arrivant, un au revoir en partant, et des amis avec qui parler. »
« Mais si ils ne veulent pas ? »
« Je me parlerai à moi-même, je m’en moque, ce sont mes amis c’est tout. Tu m’as confié la mission de voir si ils sont bien. Oui ils le sont. Alors moi je reste, rien que pour qu’un jour en me voyant certains disent que la lune noire est une guilde sympathique. »
« Mais tu ne pourras le faire seul ? »
« Tu es là toi, et ceux qui pensent comme moi resteront. J’en suis sur. »
« On ne pourra monter une grande guilde à nous deux ! »
« Qui parle de grande guilde ? Moi je parle d’amis qui aiment se retrouver même sans rester tout le temps ensemble. Je parle de convivialité et d’entraide quand on peut. Rien de plus. »
« Et ceux qui veulent plus ? »
« Je ne promets rien d’autre. Pas de richesse, pas de puissance. Juste de l’amitié. Ceux qui veulent plus, je les aiderai comme je le peux. »

Le dialogue entre mon fils et cet elfe durait encore. Pique semblait avoir perdu beaucoup. Mais il était prêt à tout donner pour garder ses amis. Il savait que des tas d’autres moyens existent, mais cette guilde lui était chère. Je m’approchais pour le consoler. Mais son visage me fis mal au cœur. Il était bouffi de larmes.

Il m’expliqua ce qu’il avait.
Il s’en voulait beaucoup d’avoir été absent. Il appris que ces amis quittaient la guilde pendant son absence. Il se sentait responsable. Pas de n’être pas là, mais de ne pas les avoir retenu. L’elfe lui expliquait qu’il n’aurait sûrement pas pu les retenir, mais lui disait que si. Je ne raconterai pas chacune des larmes qu’il a versées, mais il m’expliqua tout cela. Je suis sa mère, et même si je m’exprime plus souvent avec les mains dans sa figure que par les mots, je comprends sa peine. Il m’expliqua tout. Je n’étalerai pas ce coté obscure de sa vie, mais je sais ce que je dirais à ses compagnons si je les avais en face.

La Lune Noire survivra avec lui. Si ses amis veulent revenir juste pour avoir ce contact si sympathique qu’il y avait qu’ils viennent. Si ils veulent beaucoup plus, Pique ne promet rien. Lui veut des amis, pas devenir le plus grand du royaume. Il sait que tous resteront des amis malgré tout, mais il aime tant pourvoir leur parler simplement, sans avoir à choisir auquel il va parler en premier. Il pense pouvoir faire de cette guilde la guilde la plus sympathique du royaume, il sait que ses compagnons le peuvent aussi. Alors il garde la porte ouverte, mais en attendant, il pleure.

Voilà, je sais que ce n’est pas ce que Pique raconte en général comme histoire. Mais celle là il n’en parlera pas. Il est trop fier pour exprimer sa peine. C’est pour ça que je me suis permis. Mon fils deviendra peut être pas un grand du royaume, mais je sais que ceux qui le connaissent l’apprécient. Il ne demande rien d’autre.
Re: les larmes de pique
Tres beau texte piquepoc,et fort interressant.....neanmoins sa:


enfin voila meme prit dans le contexte de ton histoir sa peut paraitre comment dire ambigu?
Message roleplay
Chère dame Mamapoc

Votre fils est un ami de longue date à se jour, et il va surmonté sa peine.
La perte des amis d’une guilde et toujours un grand moment de douleur.
Mais je suis sur que Picpoque va vite trouvé un remède a cet état de fait et que comme un phénix sa guilde va de nouveau brillé de mille feu.
Arf mon pique, je t'ai croisé de temps en temps sur certain champs de bataille ou certain camps d'entrainement, je suis au courant pour la lune noire, ce que je te propose est un defi, rejoint nous chez les blackelevens tu y trouveras des amis de ton ancienne guilde et decouvriras de nouveaux amis, certes ce ne seras pas si facile, mais je t'aiderais de tout mon coeur a trouver ta place dans notre grande famille..

Un cousin firbolg qui te veux du bien.
piquepoc est encore bien triste, malgré sa volonté il semble impossible de faire survivre sa guilde pour des raisons techniques.

Merci hogar de ton soutien. Tu es un ami, et mon seul regret et d'être ton ennemi dans ce jeux.

Merci Azuar, je sais que je peux compter sur toi, et c'est toujours un plaisir d'xp avec toi, réellement.

Pour la suite, rien n'empêchera Pique de vivre ses aventures, juste un petit regret pour cette guilde fort sympathique.
Message roleplay
Chère Mamapoc,

Transmettez à votre fils toutes mes amitiés, car même si nous sommes ennemis de royaumes, nous restons amis de coeur.
Je suis bien triste pour lui qu'il ne puisse reconstituer sa guilde malgré toute la bonne volonté qui l'anime, mais ce sont les aléas de la vie.

D'autres amis croiseront bientôt sa route et il se remettra de sa douleur. Cela prendra du temps, bien sûr, mais le rendra plus fort et un jour, il repensera à cette époque avec nostalgie et sans blessure...

Bon courage
Espérancia
Amitié et guilde
Bonjour Madame Mamapoc,

Je sais que mon ami Pique est des plus triste... comme nous le sommes tous depuis la dissolution de notre guilde. Pour parler d'elle, c'était avant tout un groupe d'amis comme il a su le dire, mais hélas l'amitié ne fait pas tout dans une guilde. Des raisons techniques ont été un soucis majeur dans la continuité de la vie de la guilde, et j'avoue avoir été emportée lors de cette dissolution. Toutefois, tout comme Pique, je ne veux pas perdre mes amis ... ma famille. Tant d'aventures avons nous vécus ensembles, tant de bon moments qui laissent une trace indélébile dans les méandres de notre tête.
Dites lui que ce n'est pas un adieu, mais juste une des quêtes qui nous sont imposées parfois et qui nous rend plus fort quand on l'a résolue. Nous trouverons le moyen de nous retrouver, même si nous devons batailler ferme pour y arriver.
La Lune Noire est morte mais son esprit est éternel. Restons dignes de notre cri de guerre : Force et Honneur !

Amitiés les plus sincères pour mon ami Pique et mes hommages pour vous Madame Poc

Karanis
Le temps ce couvrait a Emain Macha, il ne faisait pas bon de traîner par ce temps là ou par d’autre dans cette région. Les couleur du ciel devenait de plus en plus sombre un belle orage ce préparer. Un temps idéal pour ces sournois d’assassin, ou ces fourbes de kobolt. La nuit ou les temps sombre leur son beaucoup trop propice heureusement que sur notre belle terre ce n’est que peu souvent que ce temps là apparaît.

J’accélérais ma course pour me réfugier a Crauchon ces hauts mur m’offrirons un abri sur pour la nuit. Cela fait trois jours et trois nuits que ces batailles s’enchaînent, personne n’a put trouver de repos.Apparemment la guerre c’est déplacé du coté du mur d’Hadrien. Laissant a nos braves guerrier un peu de répit, leur permettant de ce remettre des blessure qu’ils subirent le long de ces dernier jours.
Qu’elle chaos, j’entends encore le choc des armes au pied de crauchon, cette bataille fut rude. Mais nous avons défendu fièrement notre fort. La défaite de Crim ne nous a pas arrêté, elle nous a seulement rendu plus fort.

Voilà Crauchon enfin je vais pouvoir me reposer, je me tournais sure de ce sentiment qui nous habite tous dans la nuit, celui d’un regard qui vous observe et qui guette prêt a essayer de vous occire, mais peu sur d’y arriver. Le garde me fis entrer, un palefrenier m’accompagna jusqu'à la salle d’armes où je posais mon matériel. Je fut convier a un repas quelque habituer ce restauré, Teloma, Tan, Eloade, la belle et farouche Kerrigane et beaucoup d’autre.

Mes pensais été ailleurs, loin de cette table, je pensais sans cesse à des choses que bien peu connaissaient mais qui avait bouleverser ma vie. Nous avons perdu, oui perdu notre unité. La colère a guidé nos pas, à brouiller nos yeux et à enflammer notre cœur. Ce fut une bien triste journée que ce jour là.
Pourquoi, comment en étions arriver là. Notre belle amitié n’a que peu de force quand on voit avec quelle rapidité nous nous somme égarer. Je suis partit la rage au ventre, je me battais contre ces diaboliques Dames, elles ont subit mes assaut de colère et de douleur. Mais rien, rien n’a put étanché ma peine et ma colère. Aujourd’hui je ai trouvé une nouvelle famille, mais pour autant je me sans seul, car ils me manquent. J’ai retrouver la chaleur d’un nouveau foyer, mais pour autant mes souvenir me rattrape et je soupir a leur venu. J’ai croisé le fer avec mes nouveaux compatriotes, me rappelant nos escapades et nos escarmouches à Emain. Le cœur lourd je repenses a mon départ, le cœur lourd je relis la lettre de mon amis Piq, ma mains ce serres sur ce vieux papier froissé et humide. Mais rien ne peu étancher ma peine. Quand je pense à tout cela je me dis, que de rien tout peu arriver, que de tout on peu arriver a beaucoup de peine. Alors aujourd’hui le cœur lourd mais emplit d’un espoir je repars vers d’autre aventure avec mes nouveaux compagnons mais aussi avec mes anciens. Il est vrai que nous ne sommes plus sous le même drapeau, mais nous nous battrons avec la même hargne et pour le même pays. Car c’est cela aussi qui fait notre force cette amitié qui quelque soit les épreuves les dangers, ou que nous soyons quoique nous fassions, chacun d’entre nous sais qu’il peut a toute moment faire appel au autre.

Mon chère Piq, ton amitié est très chère a mon cœur, je peu t’assurer que nous guerroierons encore ensemble. Le temps de la paix est encor trop loin, beaucoup de chose reste à faire, et il y a toujours cette légende sur la venue du soigneur du royaume qui hante nos esprits. Ton destin est en marche et je serais, et nous serons à tes cotés.
J’entends des cris roques à l’extérieur, je monte les marches du fort pour me hisser en haut de la plus haute tour. De la je vis mon amis Saraukhan épauler par Graadaag ce battre contre trois troll….. L’aventure continue et tout de suite IG

Stricker Dragon Noir
FORCE & HONNEUR
Ancien Officier de la Lune Noir
Nouvelle éleve Maléfique des Blacks Elvens
 

Connectés sur ce fil

 
1 connecté (0 membre et 1 invité) Afficher la liste détaillée des connectés