[roman, enfin mon 1er essais, soyez pas vache ;p] Chronique de Valreys

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Comme c'est dit: c'est un premier essais, soyez pas vaches
Sinon, j'trouve pas mon prologue vraiment bien...j'y suis pas trop arrivé... :/
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Prologue: Histoire de la Croisée:


Ulja était un petit village fortifié, au Nord de la plaine ausselwéenne et a la limite du royaume de Tarsorys, qui s'étendait sur tout le sud de l'île de Dwarlès , l'une des plus grandes îles du monde appelé Valreys. Ce village était plus communément appelé « La Croisé » car il était a l'intersection des principales routes commerciales entre Tarsorys et les royaume nains et elfes se trouvant plus au nord et, a moins de faire un détour de plusieurs centaine de kilomètre en longeant la cote ouest de l'île, le passage ici était quasiment inévitable.
Pourtant, malgré cela, le village n'était en rien devenu prospère.


Il faut dire que la région sortait de temps troublés et de nombreux royaumes ou villes indépendantes avaient disparues ou étaient annexées, la guerre avait prit fin il y a de cela plus d'un siècle mais les troubles étaient encore présents. Des régions entières étaient revendiquées par les trois royaumes qui avaient réussit a survivre à cette période de troubles.
Ulja avait survécu sans problème a cette guerre grâce a une position géographique favorable.
A l'ouest, se trouvait le fleuve Selwa, qui délimitait le territoire des Selwens les elfes des forêt. Ceux-ci quittaient rarement leur forêt natale et ne dépassait jamais cette frontière naturelle lors de leurs rares expéditions.
Au Sud se trouvait le royaume qui les annexerait, Tarsorys; a cette époque, les rapports entre le village, indépendant, et le royaume étaient assez amicaux. Très au nord, se trouvait le royaume des Nains de Gorgogarth; la ville souterraine. Ceux-ci , alors en guerre contre le royaume elfe du Herwen, étaient trop occupés pour s'occuper d'un simple village.
Seule réelle menace pour le village, les hordes gobelines des Monts Jarlak, qui s'étendaient du Nord-Ouest jusqu'à l'Ouest d'Ulja.

Suite à une invasion gobeline bien plus importante que les autres, les uljéens durent faire appel a leur allié de Tarsorys. Le roy Fargo de Tarsorys envoya plusieurs régiments de ses meilleurs unités, plus inquiété par la puissante armée que les gobelins avaient déployée et par son existence même que par la perte d'un allié. En effet, les gobelins vivaient d'habitudes en petits clans, attaquant par raids et, jusque là, personne n'avait rapportée l'existence d'une armée gobeline organisée.
La victoire de Fargo permit a celui-ci d'annexer la ville d'Ulja.
Les uljéens étaient des hommes plus forts et plus endurants que les autres et étaient naturellement doués pour les armes. Cela faisait d'eux des guerriers redoutés et Fargo voulait ceux-ci dans son armée.
Seule bémol à cela, les uljéens étaient très fiers et se rebellèrent rapidement face a cette annexion; Fargo, qui avait déjà des adversaires de tailles a l'ouest ne voulait pas de conflits avec les uljéens et dût leur rendre une partie de leur liberté. Si ceux-ci servaient le royaume de Tarsorys avec fidélité et dévotion, ils pourraient administrer par eux-même leur ville. Depuis ce jour, les hommes de Ulja sont formés très tôt a la guerre pour servir de soldat et la ville est devenu un avant-poste du royaume.
Waow, c'est vraiment pas mal!
Le style est peut-etre un peu pompeux toutefois... Mais continues, serieux, la, t'es sur la bonne voie!
[edit parce que autre chap]
Meme chose que plus haut.
chapitre 1:Promesse
Les premiers rayons du soleil sortirent le jeune homme de son sommeil; la nuit ne l'avait pas reposé. Il se sentait fatigué et aurait voulu resté au lit. Mais le devoir l'appelait. Il se leva à contre-coeur et commença a s'habiller puis enfila une légère cotte de maille. C'est alors qu'un oiseau au plumage blanc, d'un blanc d'une pureté absolue, se posa à la fenêtre qu'il laissait ouverte en permanence. Falwen fît un bond de surprise lorsque l'oiseau , qu'il n'avait pas encore remarqué, poussa un fort roucoulement. Falwen, fut encore plus surpris lorsqu'il vit l'oiseau: une corlick, que l'on surnommait « phoenix de lumière ». Ces oiseaux servait pour délivrer les messages, mais étaient très rare; seul les plus riche se servaient de tels oiseaux. Falwen n'avait jamais espéré en voir un et encore moins recevoir un message d'un tel oiseau. Ces oiseaux étaient magique, on les disait cadeau de Faëlys, déesse de l'air aux elfes; il suffisaient de leur donner une lettre en pensant au destinataire pour qu'il sache où celui-ci se trouvait.
Falwen se demandait qui pouvait lui avoir envoyer un message par un tel moyen tout en s'approchant lentement de l'oiseau pour ne pas l'effrayer. L'oiseau était très docile et se laissa faire, même lorsque le jeune homme lui retira le petit étui cylindrique qui était accroché a la patte de l'oiseau. L'étui était fermé des deux cotés par un sceau de cire. Lorsqu'il l'ouvrit, une bague glissa dans sa main, accompagné d'un mot sur lequel il était marqué juste ce mot « promesse ». Lorsqu'il vit le mot, Falwen ressentît de la tristesse. Une larme glissa le long de sa joue, il ne l'essuya même pas.

Promesse...

Cela datait d' une semaine, des kobolds avaient été aperçus par des fermiers près de la frontière et Vyals, le capitaine de la garde, avait envoyé Falwen et Dack, son lieutenant sur les lieux. Les paysans avaient été formels, les kobolds n'étaient pas plus d'une dizaine...
Comme pour toutes autres affaires du même style, Vyals enverra quelques hommes a cheval pour chasser les homme-chiens. Les fermiers remercièrent les soldats de s'être déplacé.

Falwen et Dack était sur le chemin du retour; leur chevaux trottant l'un a coté de l'autre. Les deux hommes discutaient tranquillement quand Dack partit au galop en poussant un juron. Falwen ne comprit ce qu'il se passait que quelques secondes après qu'il eut rejoint Dack dans sa course: des kobolds, sûrement la horde repéré par les paysans, attaquaient un petit convoi marchand. Des cinq marchands, trois était déjà à terre, sûrement morts; les deux autres tenaient des petites épées et s'évertuait de manière peu convaincante et encore moins efficace a chasser les hommes chiens. Les kobolds étaient des bipèdes d'un mètre de haut, le dos courbé, possédant une tête et un pelage de chien. Ils n'était pas spécialement fort ni intelligent ni même courageux, bien au contraire. Mais ils vivaient en bande, ce qui leur permettaient de compenser leur faiblesse. Lorsque les cavaliers arrivèrent au galop, les kobolds eurent un moment d'hésitation et reculèrent, mais leur nombre les rassura.
L'un d'entre eux, un peu plus grand devait être le chef; autour de lui, il y en avait sept autres.

Dack n'hésita pas un seul instant et traversa a cheval le groupe des hommes-chiens. Surpris par cette attitude, ils n'essayèrent même pas de l'attaquer et eurent juste le temps de s'écarter pour ne pas être piétiner. Le cavalier lui, ne rata pas l'occasion de décapiter celui qui était le plus proche de lui.

Falwen, lui, était descendu de cheval, se plaçant entre la petite meute et les marchands. Les kobolds hésitèrent encore un moment sur l'attitude a prendre: fuir ou attaquer. Les deux hommes étaient en armure, et possédaient des épées plus grandes que celles des marchands; les kobolds, eux, n'avaient que des petites dague et ne portait pas d'armure.
Leur hésitation prit fin lorsque l'un d'eux, plus enhardit que les autres, attaqua Falwen. Bien mal lui en prit car le jeune homme le tua d'un seul coup, abattant son épée sur le kobold au niveau de l'épaule gauche, lui coupant le corps quasiment en deux. Les autres kobolds se mirent alors a face a Falwen, prêts a l'attaquer; oubliant Dack, derrière eux, qui les chargea a nouveau, profitant de leur distraction. Deux autres créatures tombèrent.
Dack sauta a terre et se plaça aux cotés de Falwen. Les kobolds les regardèrent sans bouger pendant une dizaine de seconde puis s'enfuirent dans la forêt toute proche.
_C'était pas trop dur, déclara Dack en riant.
Falwen s'apprêtait a lui répondre lorsqu'un petit ricanement se fit entendre.
Les deux hommes se retournèrent vers la source du bruit. Perché sur la branche d'un arbre, a environ 3m du sol, une créature verdâtre, de la taille d'un enfant de 15 ans les regardait. Sa tête était ovale, chauve et possédait des oreilles en forme de losange d'une taille assez grande. Le gobelin tenait dans ses mains un cylindre creux qu'il porta a sa bouche au moment où les deux hommes se retournaient. Avant que Dack ne comprennent ce qu'il se passe, une fléchette s'était planté dans sa gorge. Il tomba a genou, se tenant le cou; le poison placé sur la tête de la fléchette faisant effet.
Le gobelin sauta a terre quelques seconde après tout en dégainant la petit épée qui se trouvait a sa ceinture. Il atterri pres du chariot, avant que Falwen ne l'attaque il en profita pour attaquer l'un des marchands. Celui-ci, surprit, n'eut pas le temps d'utiliser son épée. Le gobelin lui trancha la main qui tenait celle-ci; le marchand n'eut pas le temps de crier que le gobelin lui transperça le ventre de son épée.

L'être chargea le jeune soldat après avoir retiré son épée dégoulinante de sangs du cadavre. La perte de son coéquipier et ami avait mis Falwen dans un état de choc, c'était la première fois qu'il voyait un homme mourir. Bien sûr il avait vu quelques cadavres, mais jamais personne n'était encore mort sous ses yeux. Le gobelin profita de son état pour lui asséner un premier coup, en diagonale, du haut vers le bas. Si Falwen ne s'était pas repris ni n'avait sauté en arrière, le coup lui aurait été fatal; malheureusement pour lui, il avait réagit trop tard et son empressement lui fit perdre l'équilibre. Le gobelin allait le charger quand une épée lui traversa le ventre. Falwen fût aussi surpris que la créature quand la lame traversa le ventre de celle-ci. Les deux combattants avaient complètement oublié le dernier marchand.
_ Me..merci..., balbutia Falwen, encore perturbé.
_ C'est plutôt a moi de vous remercier! Vous avez fait fuir ces satanés kobolds! Sans vous, on y serait tous resté!
Vous méritez bien une récompense pour votre courage; je suis joaillier et j'était en voyage d'affaire. Je ne possède rien de valeur et je vous promet de vous envoyer une récompense à mon retour.
Falwen, encore sous le choc, n'avait écouter que d'une oreille distraite les parole de l'homme, ne pût balbutier que quelques mots:
_Ce... C'est rien...
Falwen rentra a Ulja, rapportant le corps de son compagnon et des marchands. Le retour avait été pénible, le jeune homme ne savait comment son arrivée serait accueillit, il se sentait responsable de la mort de Dack.


Promesse...

Falwen examinait la bague en or tout en se rappelant les événements tragiques. Elle était simplement magnifique. Le bijou était sertie de 4 petites pierres: un rubis, une émeraude, un saphir et un diamant, disposés de manière équidistante.
Il se demandait qui pouvait être cet homme pour posséder un tel oiseau et offrir un tel présent. Il tenta vainement de se rappeller de l'apparence du marchand: il avait été trop choqué pour faire attention a l'homme.
Thumbs up
J'aime bien aussi; il y a un peu trop de sexe (bah oui la règle de l'accord est violée toutes les 5 à 10 lignes et je m'appelle pas F7 j'ai la flemme de toutes les répertorier :baille: ) mais je ne trouve pas le style pompeux... peut-être "classique du roman", à la rigueur, mais bon, c'est un premier roman donc ça se comprend...
Rhôôôôlàlà!!! J'ai déjà le roman de l'autre caernite (une nana) qui à fait un roman dans le désert à lire... Si en plus y a ça... grrrr... Y a intérêt à ce que ça soit du bon boulot Je t'enverrai mes commentaires par mp si j'en ai

Chapitre 2
Pour ceux qu'on pas vu: j'ai mit la fin du chapitre 1 a la suite du début en éditant. J'ferais la même chose pour ce chapitre

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Falwen se dirigeait vers la maison de Mélia, sa fiancée, qui habitait encore chez ses parents. Elle habitait au premier étage de la petite épicerie du village que ses parents adoptifs possédaient, ses vrais parents étaient inconnus. Mélia était une demi-elfe aux longs cheveux blonds comme le blé et aux yeux bleux comme le ciel; un contraste étonnant à coté du jeune homme, de la même taille qu'elle, mais aux courts cheveux noirs et ses yeux, eux aussi, noirs comme le jais. La jeune femme était considérée comme l'une des plus belles femmes du village, si ce n'était la plus belle. Beaucoup des jeunes gens du village lui avaient fait des avances, mais seul Falwen avait réussit a lui plaire.
Le jeune homme avait décidé de lui offrir la bague. Il comptait, en même temps, la demander en mariage. Falwen était d'un naturel rêveur et il espérait depuis quelques temps déjà, lui en faire la demande. Il se demandait aussi comment elle allait réagir.
Il marchait, la bague a la main, perdu dans ses pensées, lorsqu'on lui adressa la parole:
_ Hum... Joli bijou, mais il ne faudrait pas le perdre...
Falwen se retourna, l'homme à la voix traînante le fixait de ses petits yeux, une étrange lueur brillait dans son regard, il portait au cou un pendentif représentant un crâne humain a l'intérieur d'un pentacle. Falwen ne reconnaissait pas cette emblème et ne pouvait savoir a quelle faction celui-ci se rapportait, mais il sentît que cela n'augura rien de bon. Il demanderait a Vyals quand il le verrait, il reconnaîtra sûrement le symbole.

Vyals était le capitaine de la garde et avait été un mercenaire il y a quelques année; des rumeurs disaient aussi qu'il avait aussi fait partie d'organisations secrètes et que son passé, qu'il ne racontait jamais, était entachés de sombres affaires. Agé d'une trentaine d'années, Vyals avait eut une vie bien plus agitée que la normale, et cela dès son plus jeune âge. Il était de taille moyenne, avait les yeux verts et les cheveux bruns, sa musculature associée à cela en faisait en homme attirant, mais il était aussi solitaire que mystérieux. Falwen éprouvait un fort respect pour l'homme et était l'une des rares personnes avec lesquelles celui-ci aimait discuté.

L'homme au pendentif était arrivé la veille au soir sur un cheval couleur jais et avait passé son temps à examiner la ville, sans jamais adresser la parole a quelqu'un excepté pour louer une chambre a la taverne. Il reprit, en se caressant sa légère barbe et en souriant:
_Oui, très joli bijou... Vraiment, ne le perdez pas. Soyez très prudent....
Il insista sur la dernière phrase, à laquelle Falwen réagit immédiatement:
_Est-ce des menaces?
_Ai-je dit quelque chose de mal? Mais je doit y aller... Nous nous reverrons...
L'homme écarta légèrement sa cape, révélant les deux dagues accrochées a sa ceinture, puis rabattît le capuchon de sa cape.
_Oui... Nous nous reverrons...
Falwen ne chercha pas a le retenir, devinant que ce serait inutile.

Continuant sa route, il arriva sur la place de la ville, l'épicerie se trouvait a quelques dizaine de mètre de lui. Il allait rentrer dans l'échoppe lorsque Mélia en sortît, se retrouvant face a lui. Avant qu'elle ne dise un mot ni ne fasse quoi que ce soit, il lui tendit la bague:
_Je...Je voulais te dire que je..
Elle ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase et l'embrassa.
_Moi aussi, je t'aime, dit-elle souriante, elle est... magnifique!
Loos, un des gardes, accourut vers Falwen au même moment:
_ Vyals veut te voir de toute urgence!
_Mais c'est pas encore l'heure de mon service! S'ecria le jeune homme, plaintif!
_Il a dit que c'était très important... Dépêche toi!
Falwen se sépara de son amie en grognant:
_J'espère que ça en vaut la peine!
_Il m'a aussi demandé d'être présent et nous serons pas seuls... Braham et Dilibert sont déjà à la caserne, attendant les ordres en plus de ceux qui étaient de service!
_C'est si grave que ça?
_Ça en à l'air! Une corlick vient d'arriver a la caserne en provenance de Tarsorys!

Vyals avait devant lui la vingtaine d'homme qu'il avait réquisitionner. Il était assez inquiet et les soldats le furent autant que lui après l'exposé de la situation qu'il leur fit. Comme tous l'avaient remarqué, les kobolds et gobelins devenaient très actifs dans la région, bien plus qu'ils ne l'étaient depuis des décennies. De nombreuses attaques avaient été signalés dans les hameaux et fermes des alentours. Il y avait eu peu de morts parmi les fermiers, mais une telle agitation ne présageait rien de bon. Autre mauvaise nouvelle, que Vyals venait de recevoir, via la corlick, les nains de la ville souterraine du Mont Gorgor, Gorgorgart, venaient de fermer la passe du Col de Larnak. Les raisons de l'acte n'avaient pas été expliqué dans le message, mais Vyals ne doutait pas une seconde qu'on lui cachait des faits, ce qui l'inquiétait encore plus.

La passe de Larnak, se situait a la pointe sud de la vallée Zakgarienne. À cette endroit, les Monts Zakgar s'étiraient jusqu'à rejoindre les Mont Jarlak, les terres gobelines. Les nains avaient fortifiée leurs frontières pendant la période des Troubles, la passe de Larnak, seule route marchande praticable de la région fût fortifiée, les nains exercèrent ainsi une pression sur plusieurs royaumes, dont beaucoup chutèrent a cause de celle-ci: Seule route praticable a l'est de Dwarlès, si les nains décidait de bloquer leurs portes, ils forceraient tout convois à faire un détour de plusieurs centaines de kilomètre, ou à passer par les rares routes traversant les terres gobelines.

La fermeture des portes, si elle s'avérait être vraie, couperait toutes transactions terrestres entre les royaumes du Herwen et de Tarsorys, les autres routes étant elles aussi coupées par les affrontements entre la ville indépendante de Tyls et le royaume du Herwen.
Vyals finit son rapide discours sur les événements qui lui avaient été communiqués ainsi:
_ Des fermiers ont aperçus un regroupement assez important de kobolds au Nord, allez voir ce qui s'y passe et pas d'imprudence! Falwen prendra le commandement de l'expédition!
Vyals avait nommé Falwen plutôt que Braham car, bien qu'inexpérimenté, il savait que la mort de Dack le fera être plus prudent que n'importe quel autre.

Alors que les autres soldats sortaient de la caserne, Falwen prit Vyals en aparté, lui demandant des renseignements sur l'emblème de l'homme.
Vyals regarda le jeune homme avec inquètude et soupçon avant de lui répondre:
_C'est l'emblème du culte de Dalaar.
_Dalaar?
_Le dieu du néant et de la destruction. Ses adeptes sont dangereux, très dangereux...

Falwen sortit juste après la réponse rejoindre les autres soldats, déjà en selle. Vyals eut envie de le rattraper afin de lui demander pour quelles raisons il lui posait cette question, mais il se reprit, jugeant que cela n'était pas très important, il le questionnerait a son retour. Il regrettera plus tard cette erreur.
Citation :
Provient du message de John Carmody
mais je ne trouve pas le style pompeux... peut-être "classique du roman", à la rigueur, mais bon, c'est un premier roman donc ça se comprend...
Je sais aps, moi je dis ca comme ca, j'ai eu la flemme de lire plus de 3 mot, mais je tenais a l'encourager sans paraitre hypocrite, donc j'ai ajouter une petite critique...
Chapitre 3: l'attaque
Les cavaliers avançaient au trot vers le Nord-Ouest. Ils maintenaient cette allure pour ne pas épuiser leur chevaux, qui devaient porter le cavalier, son armure et son arme mais aussi pour pouvoir parler entres eux. Ils étaient tous inquiets des nouvelles, les Troubles étaient encore présents sur l'île et ils avaient tous peur que le temps de la guerre ne reviennent.
Il avaient dépassé les derniers hameaux au Nord d'Ulja depuis une heure et arrivaient a un croisement. La route qui continuait au Nord menait jusqu'à la Passe de Larnak et celle du Nord-Ouest traversait la forêt Jarlienne qui s'étendait sur la plaine à l'ouest des montagnes jusqu'à la route marchande.
Falwen ordonna une halte. Vyals les avaient envoyés examiner les raisons de l'agitation kobolde et gobeline, la logique voudrait qu'ils prennent la route Nord-Ouest, en direction de leurs territoires habituels, mais des attaques avaient eu lieu tout le long de route marchande, la route du Nord. Falwen avait espéré trouver quelques indices lui permettant de choisir l'une des directions, mais rien, les quelques fermiers des hameaux ne lui avait pas non plus permis de choisir la bonne voie. Le jeune homme, trop inexpérimenté, ne sachant pas que faire, demanda les conseils de Braham, le soldat dont l'expérience était sûrement la plus importante du groupe. Celui-ci proposa de séparer le groupe en 2: 15 hommes prendraient la route Nord-Ouest, la plus dangereuse, et les 5 autres prendraient la route marchande. Falwen décida de l'écouter, et lui confia le commandement du groupe de 5 hommes.

Le cadavre avait été découvert après le départ des soldats. Vyals était arrivé le plus vite possible sur les lieux. Le mort avait une trentaine d'année, une barbe, des cheveux et des yeux noirs, une taille moyenne, tout les témoins l'identifiait comme étant Braham Granz, mais celui-ci faisait partie des hommes envoyés avec Falwen. L'homme avait été égorgé et n'avait pas eu le temps de se débattre comme le prouvait l'absence d'autres blessures et de bleus.
Une blessure unique et qui avait tuée sur le coup, Braham avait toujours eu de bons réflexes, l'assassin devait être un professionnel. De nombreuses questions venait a l'esprit du capitaine des gardes: Qui avait tué Braham? Pour quelles raisons?
Il sentait que quelque chose de très grave était en train de se dérouler, mais il ne savait pas quoi, et cela l'énervait. Il s'inquiétait aussi pour les hommes qu'il avait envoyé avec Falwen. Mais ses pensées furent interrompu par le bruits des sabots de plusieurs chevaux lancés au grand galop. Trois chevaux blancs, portant trois hommes en armures. Vyals reconnus aussitôt les emblèmes qu'ils arboraient: l'épée et la balance de l'Ordre des Paladins de Slareys, l'une des plus puissantes organisations qu'il pouvait exister sur l'île de Dwarlès, voire sur Valreys. La plupart des membres de cette guilde priait soit Slareys, le dieu de la lumière ou sa mère Alvendya, la déesse de l'Ordre. L'Ordre était une organisation indépendante de tout royaume bien que leur quartier général se situait à Herwen, capitale du royaume portant le même nom. Vyals se demandait bien ce qui pouvait amener les paladins de Slareys ici. Celui qui devait être leur chef s'arrêta près du capitaine de la garde.
_Que la lumière de l'Ordre guide vos pas! Pourrais-je voir le ...
L'homme ne finit pas sa phrase qui devint un gargouillement inaudible: une flèche était planté dans sa nuque et ressortait par la gorge. Vyals sortit de son fourreau une épée argentée, une légère aura entourait celle-ci. Les deux paladins s'étaient retournés vers l'elfe noire qui venait de tirer mais n'eurent pas le temps de faire quoi que ce soit. Avec une précision mortelle, l'elfe se débarrassa des soldats de l'Ordre. Elle sauta ensuite sur le cheval le plus proche, maintenant débarrassé de son cavalier. Vyals se précipita instinctivement vers elle. L'elfe le fixa et dit:
_Personne ne se met sur le chemin de la confrérie de la Lune Rouge sans en payer le prix!
Lorsque Vyals fût assez près pour engager un corps-à-corps, elle partit au galop.
Après avoir lâché un juron, Vyals entrepris de fouiller les cadavres. Il ne trouva rien pas même une lettre. Il eût alors le sentiment que quelque chose se tramait dans l'ombre: La Lune Rouge était une organisation puissante, mais n'agissant jamais aussi directement, elle aurait plutôt engager des hommes du Kaeltar, une organisation de l'ombre qui vivait par le vol et les assassinats.
Vyals n'avait jamais aimé quand les événements se précipitaient, ils aimait avoir le temps de réfléchir aux causes et conséquences possibles de ce qui se passait et, dans le cas présent, il détestait la situation.


Les quinze hommes, avec Falwen à leur tête, avaient repris leur chevauchée depuis quelques dizaines de minutes, empruntant alors un petit chemin caillouteux qui serpentait dans la forêt Jarlienne, mélange dense de chêne, de noisetier et de frêne. Des jappements se firent entendre de chaque cotés du chemin qu'ils empruntaient. Les hommes se préparèrent aussitôt a l'attaque. L'attaque ne vint pas, les jappements les entouraient mais aucun kobolds ne se montraient. Falwen chercha les hommes-chiens du regard, comme tous ses compagnons d'armes, mais aucun ne réussit a les apercevoir, les arbres et arbustes les cachaient. Les chevaux étaient de plus en plus nerveux, tout comme leur cavaliers. Chaque seconde durait une éternité pour tous les soldats. Ils chargèrent une dizaine de minute après le début des aboiements. Armés de piques et d'épées courtes, les hommes-chiens déboulèrent de tous cotés. Depuis des siècles, personne n'avait aperçu une horde aussi importante de kobolds.
Citation :
Provient du message de Alleria Elven Ranger
Rhôôôôlàlà!!! J'ai déjà le roman de l'autre caernite (une nana) qui à fait un roman dans le désert à lire... Si en plus y a ça... grrrr... Y a intérêt à ce que ça soit du bon boulot Je t'enverrai mes commentaires par mp si j'en ai

si ca ne te plaie pas(tu mentirai vue que tu le lit)ben arrette de les lire pour ma part je trouve ca pas mal
Citation :
Provient du message de Orodreth/Felagund
si ca ne te plaie pas(tu mentirai vue que tu le lit)ben arrette de les lire pour ma part je trouve ca pas mal
Lol, j'ai dit que ça me plaisait pas?
Je me demande si le second degré tu connais...

Citation :
et la suite ?faignant tu es bien lent
D'solé, j'pouvait pas ecrire grand chose, ni poster: aucun acces internet a part le WE (normal, pas chez moi en semaine) puis vais essayer d'ecrire la suite ce WE, mais bon, j'dois quand meme bosser pour le Bac Blanc, me reste les 3 pires matières )
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