Provient du message de
Arsenick
@Grosquiick
bravo pour ton argumentation mais y a un petit probleme:
le régime de Saddam a ete appuyer par qui? les USA
les USA soutienne combien de regime tyranique en amerique du sud? beaucoups
alors ca en reviens a dire que soutenir les USA c'est soutenir les regime tyranique d'amerique du sud on en arrive au même conclusion que ton argument (pan dans tes dent )
plus serieusement Bush a doubler les budget de l'armee bien avant les problemes actuel je pense personnellement que vouloir la guerre a tout pris a un but purement économique ( certain dirai meme personnel: $$$ quand tu nous tiens^^) et politique:
il fut bien prouver l'utiliter du doublement du budget de meme que l'economie bat de l'aile et que une petit guerre qui ferai tourner les usine d'armement et certaine autre (comme les pieces electronique) ne ferai vraiment pas de mal
hum, la France a quand meme plus soutenu le regime de Saddam que les USA lol!
d'ailleurs depuis 30 ans,la France est le "grand ami" de l'Irak.
"chaque début de crise internationale avec l'Irak, les mêmes photos resurgissent. Elles montrent, en septembre 1975, un jeune Premier ministre français à lunettes carrées, Jacques Chirac, aux côtés de son «ami personnel», le nouveau dirigeant irakien, Saddam Hussein. En visite dans la centrale nucléaire française de Cadarache, ils portent des blouses blanches et sont entourés d'une noria d'ingénieurs des deux pays.
Un an plus tôt, Jacques Chirac s'était rendu en visite officielle à Bagdad. Il en était rentré fasciné par le dynamisme du jeune leader arabe laïque, soucieux d'accélérer la modernisation de son pays. Leur lune de miel débouche sur la signature de plusieurs contrats militaires (vente de Mirage, missiles, blindés...) et, surtout, sur un accord de coopération nucléaire pour un programme civil. La France livre deux réacteurs de recherche aux Irakiens _ Tamuz 1 et 2. Peu de temps avant leur mise en service, ils seront détruits par un bombardement israélien, en juin 1981.
«Continuité» française. Durant la guerre Iran-Irak, la France reste une amie fidèle de Saddam, peu regardante sur la nature de son régime : poursuite des accords de coopération, vente d'armes, visites réciproques des ministres des Affaires étrangères. Paris ira même jusqu'à prêter cinq avions de combat Super-Etendard pour permettre à l'Irak d'attaquer les bateaux iraniens. A Bagdad, en 1983, le chef de la diplomatie française, Claude Cheysson, insiste sur «la continuité de la politique française initiée par Jacques Chirac» et assure l'Irak du soutien de la France «face à la poussée iranienne».
Jusqu'au début des années 90, François Mitterrand comme Jacques Chirac, revenu à Matignon en 1986, multiplient les gestes amicaux en direction de l'Irak... et de son pétrole. L'idylle va atteindre son sommet avec la signature _ en juillet 1990 _ d'un accord sur le ré échelonnement de la dette irakienne. Quelques semaines avant l'invasion par Saddam du Koweït.
Pour l'ensemble des dirigeants politiques français, la révision est déchirante. A l'exception de Jean-Pierre Chevènement, qui démissionne du gouvernement, et de Jean-Marie Le Pen, qui se rend à Bagdad, tous lâchent l'«ami» Saddam. Dès le début de l'opération alliée, Tempête du désert, la France participe militairement aux bombardements sur l'Irak et envoie un corps expéditionnaire pour participer à l'offensive terrestre. En février 1991, François Mitterrand exclut l'utilisation par la France d'armes chimiques et nucléaires dans ce conflit. Ce «rejet de principe» est sévèrement dénoncé par Chirac et Giscard. Pour eux, Saddam est désormais un pestiféré.
«Diplomatie positive». Mais, dès la fin de la guerre, la France va plaider sans relâche pour la levée de l'embargo sur le pétrole irakien. En 1995, elle rouvre son ambassade à Bagdad et fait pression à l'ONU pour que l'Irak puisse vendre son pétrole contre de la nourriture et des médicaments. Manière d'affirmer son indépendance à l'égard des Etats-Unis et de retisser des liens spécifiques avec les pays arabes.
Hostile à une «guerre préventive» et à toute action unilatérale des Etats-Unis contre l'Irak, la classe politique française _ à l'exception du Parti communiste, pacifiste, et du Front national _ est aujourd'hui plus ou moins alignée sur la position du chef de l'Etat : retour sans condition des inspecteurs de l'ONU en Irak ; recours à la force en cas de désaccord. Depuis hier, et l'acceptation par l'Irak de la venue des experts en désarmement sur son territoire, la France n'en finit plus de célébrer sa position médiane dans la crise et sa «diplomatie positive». De là à se targuer que de vieilles amitiés ont contribué à ce résultat...."
(source:
http://www.liberation.com/page.php?Article=53685)
on est meme de sacré ordure encore pire que les EU, on a soutenu le regime de Saddam lors de la guerre Iran-Irak parce que ca nous arrangeai et on a lâché ce pays lors de la guerre contre le Koweit parce qu'on avait aucun intérêt economique)
franchement moi j'appelle ca un sacré coup de pute (surtout pour un "ami" de longue date)
faut arrêter de dire que les EU c'est le mal incarné.