[Mandalloren]

Né a Prydwen de parents cuisiniers à la cours du Seigneur Prydwen, j'ai passé ma petite enfance a travaillé dur entre les cuisines et autres taches.

Alors que mes parents voulaient me voir aux cuisines pour ne pas me voir faire des taches plus ingrates encore; de mon coté, j’écoutais en cachette les grands discours du noble paladin, qui avait toujours les bons mots aux bons moments.

Très jeune j'eu donc très près de moi -et pourtant si loin...- un modèle de ce que je voulais être. La vie me ramena vite à la raison... Nous étions pauvres et asservis.

Toutefois, les odeurs de la cuisine étant loin de mon envie de guerroyer au service du Royaume; je ne perdais pas une occasion de m'enfuir pour observer au loin les préparatifs des combattants avant leur départ.

C'est ainsi que je fie la connaissance de l'armurier qui s'était vite rendu compte de ma présence de plus en plus fréquente... Il proposa alors à mes parents de me prendre en apprenti, chose à laquelle ils ne consentirent que face à ma promesse de continuer à les aider en cuisine.

C'est ainsi que je me retrouvais à courir toute la journée de la forge à la cuisine. Je n’avais alors que douze ans. Très vite, mon travail auprès de mes parents devint une catastrophe, la fatigue cumulé à l’envie d’être ailleurs eurent raison de ma bonne volonté.

Mon père fini donc par me laisser a plein temps à la forge. Bien sur cela me réjouis mais j’étais encore si loin de ce que je voulais faire…
Une nuit pourtant ma vie basculât : alors que je guerroyais courageusement dans la forge contre un horrible monstre (un amas d’outils que j’avais imbriqué ensemble) dans une armure de cuir clouté (trop grande pour moi et en réparation à ce moment là) et une épée bâtarde (un poignard un peu long) ; Je réussis à faire s’effondré une bonne partie des réserves de cuir et de métal sur moi… Perdant connaissance sur le coup.

Je me réveillais le lendemain au coté du clerc de la paroisse qui m’avait soigné de mes nombreuses contusions.

L’armurier, furieux m’ayant renvoyé a mes parents, je passai beaucoup plus de temps en compagnie du clerc qui un jour me donna comme mission d’aller porter une missive en la Grande Camelot à Dame Triss, chose que je fis avec joie.

C’est ainsi que de découvrit la grande ville et ces milles couleurs, sa vie, ses ombres et… la cathédrale. Je portai donc la missive comme convenu à Dame Triss. Après avoir parler avec elle, je compris le sens de ma vie: la Lumière. Chaque parole à son sujet donnait un peu plus de sens au discours de mon Seigneur Prydwen.

Je demandais alors si je pouvais aider d’une quelconque manière l’église. Devant ma ferveur apparente, elle me confia alors des taches, de plus en plus ardu. Je gagnais en même temps ma vie en forgeant, complétant ainsi au fils du temps l’enseignement que j’avais reçu en ce domaine. Tous les jours ne furent pas faciles mais chacun m’apporta une très grande joie.

Il y a peu, je me réveilla, enfilant une mon armure pour partir aux aurore pour une nouvelle mission. C’est à ce moment la que je sus, que j’avais réalisé mon rêve d’enfant: rencontrer les plus grands de ce royaume, combattre à leur coté pour Albion…

Malheureusement les rêves d’enfants ne tiennent pas compte de tout… La guerre ne se réduit pas à enfiler une belle armure et à partir au galop sur un beau destrier… Il y a aussi le chaos de la bataille et… les morts.

Une nouvelle fois, les éclaireurs indiquaient que les puissantes armées Midgariennes marchaient vers Excalibur tandis que nos efforts restaient vains pour récupérer le précieux bâton de Merlin.

Une dure journée en préparation… Mais tant que la lumière le voudra bien, je serais la pour Albion !

[foufou/yellow]

super !!
Tres sympa !

[piquepoc]

simple à lire, j'aime bien. Une suite ?

[Kalliopê]

Bravo !
A quand la suite ?

[Mandalloren]

La suite c'est tous les jours sur Orca

Bon si je suis très motivé je vous sort la suite d'ici 8 ou 9 mois (ben vi mon perso a 10 mois et j'écris son BG aujourd'hui )

<feignant et fier de l'être >

[Morraga]

[hogar]

Très agréable à lire.

Allez fait nous une suite un beau jour, car sa commence vraiment bien.